[Fanfic en cours] Still alone

Suite !!!
j'étais a fond dedans et vl'a que sa coupe lol

pareil amandine!
suite steuplaîîît!

Voilà la suite en espérant qu'elle vous plaiera ! ^^
Merci pour vos encouragements et vos ptits commentaires gentils, ca me fait hyper plaisir !

~*~ Chapitre 8 ~*~

[…Une nuit d’enfer…]

~PDV de Tom~

Avec l’accord de la mère de Maria, nous appelions notre chauffeur pour qu’il vienne nous chercher. Nous étions tous prêt, direction la boîte de nuit.

Tom : Bon, qu’est ce qu’il fout ?
Maria : Embouteillage surement
Tom : Et m*rde...
Maria : Bon, je connais un chemin court et où on risque de ne pas vous voir
Bill : Bon, on va prendre le chemin, Tom, rappelle le chauffeur pour lui dire que c’est bon
Tom : Okay

Je m’exécutai, puis nous sortions dehors. Maria nous guidaient, j’avais bien vite remarqué que Bill ne la lâcher pas des yeux. Ils parlaient tout les deux, de quoi, je sais pas. Je donnai un coup de coude à Georg pour qu’il voie ça. On ne pu s’empêcher de pouffer de rire. Maria s’était arrêtée devant un grand bâtiment. Ca devait être la boîte. Une fois dedans, je me dirigeai directement vers le bar, histoire de boire un petit verre. J’invitai les autres à venir, mais Maria ne voulait pas d’alcool.

Tom : Tu veux même pas un verre ?
Maria : Non, parce que si vous buvez trop, je serai pas capable de vous ramenez si je suis moi aussi bourrée
Tom : Un verre !
Bill : Lâche-la, elle veut pas
Tom : Mais Gustav il boit pas beaucoup, il pourra nous ramener !
Gustav : C’est vrai
Maria : Non, mais je préfère ne rien boire pour le moment

« Pour le moment ». Donc, la demoiselle boirait surement plus tard. Une fois mon verre finit, je pris Maria par la main et l’entraîna sur la piste de danse, sous le regard de Bill. Je lui fit signe de pas s’inquiétait, il me sourit. Je commençai de danser avec Maria, qui dansait plutôt bien d’ailleurs. Bill et les autres étaient restés au bar, sirotant tranquillement leur verre. Ils parlaient, je n’ai jamais su de quoi. Bill sourit, puis regarda encore une fois Maria.

~PVD de Bill~

Assis au bar, Georg, Gus et moi-même buvions un verre. Même si l’alcool n’était pas mon fort, je ne refusais jamais un verre ou deux, exceptionnellement, lors d’une soirée ou autre. Mon regard se dirigea encore une fois sur Maria. Elle dansait avec Tom, et elle riait, elle riait… J’avais rarement vu des personnes aussi joyeuses. Cette attitude cachait quelque chose, j’en étais sûr. J’étais jaloux quelque part, elle dansait et riait avec toi. Moi, j’étais dans mon coin à l’observer, comme si c’était une proie. Je regardais autour de moi. Je n’étais surement pas le seul à l’observer. Certains regards étaient dirigés sur elle. Je soupirai. La célébrité ne fait pas tout. Tom se pencha vers Maria pour lui dire quelque chose à l’oreille, puis il la laissa sur la piste de danse. Elle continua de danser, trouvant bien vite un nouveau partenaire. Tom s’assit à une chaise, commanda un autre verre d’alcool, puis me regarda.

Tom : Tu lui plais beaucoup je crois
Bill : Hein ?
Tom : …Va danser avec elle, ils vont te la piquer sinon
Bill : Me piquer quoi ? On est pas ensemble
Tom : Non, mais avoue que ca te ferait chier de la voir avec quelqu’un d’autre

Je jeta un regard des plus noirs à Tom. Malgré tout, il disait la vérité. Mes yeux retournaient mécaniquement sur Maria. Je me levais, puis me dirigea vers elle. Effet immédiat, je ne m’attendais pas à cette réaction…Elle abandonna son cavalier pour moi, puis nous commencions à danser ensemble. Tom avait bien vite trouvé une autre fille, Gustav et Georg parlaient ensemble, jetant des coups d’œil furtif vers Maria et moi. Il est vrai que nous nous rapprochions de plus en plus. Son regard me faisait fondre, regard qu’elle avait approfondit d’un trait de crayon noir. Dehors, il faisait de l’orage. Avec la musique, nous n’écoutions pas. Quelques minutes plus tard, la boîte de nuit fut plongée dans l’obscurité totale. La musique s’était arrêté, la lumière était coupée, la panique s’installait. Je cherchais Maria des mains, sans la trouvée.

Bill : Maria, Maria t'es où ?
Tom : Bill ?! Bill où t’es ?!
Bill : Là ! Je suis là !
Tom : Faut pas que Gus et Georg bouge, on va se perdre sinon
Bill : Tu as pas vu Maria ?
Tom : Tu l’as perdu ?
Bill : Je la trouve plus !

Instant intense de panique. On écoutions enfin l’orage dehors, mais lorsque la musique reprit et la lumière se ralluma, Maria n’est plus là. Non, c’était pas possible. Je paniquais, malgré Tom qui essaya de me rassurer. Gustav et Georg se joignaient à nous, ils avaient l’air d’avoir vu que l’on chercher quelque chose. La musique, la musique était si forte que ne s’entendait pas parlé.

Bill : On a perdu Maria !
Georg : Quoi ?
Bill : On trouve plus Maria !
Tom : Calme toi Bill, on va bien la trouvée !
Bill : Et si on la trouve pas, on fait comment hein ?!
Tom : Calme toi ! Va se rafraichir un peu dans les chiottes, y’a des lavabos, et par la même occasion, va voir si elle est pas dans les chiottes des filles

Je suivis les ordres de Tom. Je lançai un dernier regard, si je l’apercevais, mais rien. Je parti dans les toilettes, me passait de l’eau sur le visage. Je fis un détour par les toilettes des filles, mais un cri attira mon attention.

« Lâche-moi ! »

Cette voix…C’était celle de Maria ! Je couru dans les toilettes des garçons et vit Maria, le dos contre un mur, plaquée par un gars.

Bill : Fous lui la paix !

Je me dirigeais vers le garçon qui la coincée et lui mit un coup de poing au visage. Sans attendre, je pris le poignet de Maria pour l’emmenait un peu plus loin. Une fois isolés, je la prit par les épaules et la secoua légèrement, furieux.

Bill : Pourquoi tu es partie ?!
Maria : Je suis pas partie ! Cette brute m’a prit par le bras quand il faisait noir et m’a emmener là bas
Bill : Et toi, tu te laisse faire ?!
Maria : Je savais pas qui c’était !
Bill : Justement ! Qu’est ce qu’il t’aurait fait si je ne saurai pas arrivé hein ?!
Maria : Je t’aurai appelé
Bill : Comment veux tu que j’entende avec un bruit pareil ?!
Maria : Arrête de me crier dessus !
Bill : Tu te rends compte ?!
Maria : Arrête !

~PDV de Maria~

Qu’est ce qu’il avait…Pourquoi il me criait dessus comme ça ? Je pris ses mains, qu’il n’arrêtait pas de lever en l’air.

Maria : Calme toi, ca ne sert à rien de s’énervé comme ça !
Bill : Tu m’énerve ! Lâche – moi !

Bill retira ses mains puis repartie sur la piste. Il prit Tom par le bras, puis regarda Gustav et Georg. Apparemment, il voulait rentrer. J’avais fait une erreur, une grosse erreur. Tom appela le chauffeur. Quelques minutes plus tard, nous étions dans le bus. Bill s’était mis à côté du conducteur, surement pour ne pas avoir à me parler. S’en était trop, je ne pouvais pas supporter la situation. Malgré deux ou trois verres bu de trop, Tom, qui était à côté de moi, me prit dans le bras. Il voyait que ca n’allait pas.

Tom : Qu’est ce qu’il sait passer ? Pourquoi Bill n’est pas avec nous ?
Maria : C’est de ma faute…
Tom : hein ? Vous vous êtes engeulés ?
Maria : Tout à l’heure…Je me suis fait bloquée par un mec, et Bill est arrivé juste au bon moment
Tom : Et ben, il devrait être content d’être arrivé au bon moment !

Mes larmes montèrent. Je ne supportais pas cette situation, je ne voulais pas lui faire du mal, je ne voulais pas qu’il soit en colère…

Tom : Tu pleures ?!
Maria : Si tu savais comme je regrette…

Tom dû prendre pitié de moi, il me prit dans ses bras. Il me rassura, mais rien n’y faisait. Bill nous lança un coup d’œil furtif, puis tourna aussi vite la tête.

Tom : C’est pas de ta faute
Maria : Si ! Si, il a raison ! Si j’étais restée plus prêt, si je ne me serais pas laissé emporter…
Tom : Chut…Calme toi, on va régler ça
Maria : Non, c’est fini maintenant, il ne me parlera plus…
Tom : Tu es fatiguée, tu dis n’importe quoi…
Maria : Non…il ne m’aimera jamais autant que moi je l’aime…

Je sens une main sur mon front. Sans que je le sache, Bill avait tout entendu. Sans que je le sache, Bill était touché. Sans que je le sache, Bill regrettait tout…

Tom : Ben, c’est à ton tour, tu as de la fièvre maintenant...
Maria : Non, c’est rien…
Tom : Si, tu as de la fièvre !

~PDV de Bill~

« Non…il ne m’aimera jamais autant que moi je l’aime »

…Non…C’est impossible… Comment… Est – ce qu’elle aussi elle… Qu’est ce qu’il m’arrive… Reprend toi Bill…

« Si, tu as de la fièvre ! »

Elle a de la fièvre ? J’espère que…Il faut que j’aille voir…Non, il ne faut pas. Non, il faut qu’elle comprenne que…Aaah tout s’embrouille dans ma tête ! Non, il faut pas que j’y aille, il ne faut pas… Et si tout était de ma faute ? On est déjà arrivés ? … Bon…Allez, je descends.

Tom : Elle s’est endormie…
Georg : Attend, on va t’aider…

Elle s’est endormie ? Si vite ? Bon, Bill, c’est pas le moment de faire l’indifférant, tu peux au moins aller les aider…

Bill : Laisse, je vais la porter
Tom : Il faudra que je te parle Bill
Bill : Une fois que tu pueras moins l’alcool, tu veux ?

Pourquoi je lui parle comme ça…Il m’a rien fait…m*rde…Qu’est ce qu’il m’arrive…

Bill : Non, Tom, excuse moi, je voulais pas dire ça…
Tom : On reparlera quand tu seras calmé…

Je m’en prends à elle, et maintenant à lui…Alors qu’il ne m’on rien fait… Bon, je m’avançai de Tom, puis pris Maria dans mes bras, la tenant comme une princesse. Elle dormait bien, et je compte bien ne pas la réveiller. Sa tête bascula contre mon torse. Une fois tout de monde rentrait, je la déposai sur son lit. Elle était si jolie lorsqu’elle dormait… Si innocente… Je caressais sa joue avec mes doigts, puis sourit légèrement. Je décidais de ne pas rester trop longtemps, je ne voulais pas qu’elle se réveille. Une fois le dos tourné, elle prit la parole.

Maria : Je t’aime...

la suite !

COntinue!

La S0uiite !!

Messages : 981 Points : 0 Date d'inscription : 29/01/2007 Âge : 30

En effet t'as mis la suite xD
Euh encore ^^

Une suite s'il te plaît!
elle est trop trop bien ta fic!
je l'adore!

o_O Merci, ca fait hyper plaisir ! :coeur:

Je commence à écrire la suite Wink

Messages : 981 Points : 0 Date d'inscription : 29/01/2007 Âge : 30

J'attendrai le jour et la nuit...

Chapitre beaucoup plus court, je vous l'accorde ! (Celui ci fait deux pages alors que les autres frôlent les 5/6 pages...) Mais j'ai pas eu le temps entre les valises et les courses >.< Promis, le prochain sera plus long ! Bonne lecture ! Et encore merci pour vos commentaire !

~*~ Chapitre 9 ~*~

[…Je t’aime…]

~PVD de Bill~

« Je t’aime »

Mon cœur…Il bat…Il bat vite, si vite. Je me retourne, hésitant. Ses yeux sont fermés, elle doit rêver. Je m’approche doucement, puis m’assoit au bord du lit. Ses cheveux cachent son si joli visage, dommage. Ma main s’approche de celui-ci, et mes doigts frôlent sa peau, balayant ses cheveux de son visage, qui glissent de sa joue à son cou. Sa peau, si douce… Son visage, si innocent… Ses lèvres…Non, il faut que je pense à autre chose. Mais mon regard s’’attarde sur ses lèvres, elles ont l’air si douces… Non, il ne faut pas…il ne faut…Pas… Je ne contrôle plus rien, comme si j’étais devenu en quelques secondes une vulgaire marionnette. Mon visage s’approcha du sien, mes lèvres des siennes… Il ne faillait pas que je reste là… Mes lèvres…elles… c’était trop tard. Mes lèvres avaient rencontré les siennes. Je me recula, manquant de tomber. Sans le savoir, j’étais comme victime d’une sorte de drogue. Le goût de ses lèvres, leurs douceurs…Ca me rendait fou…Je savais qu’a partir de cet instant là, je ne pourrais plus m’en passer. Je reculais, reculais encore. Je n’avais pas calculé qu’il y avait une petite commode, qui comporter un petit cadre. Dans ce cadre, il y avait une photo du groupe, et une petite photo de Maria à côté. Malheureusement, le cadre tomba sur le sol, et se brisa. Quelques secondes plus tard, les yeux de Maria s’ouvrirent. Et m*rde, je l’ai réveillé.

Maria : Bill ?

Il ne fallait pas qu’elle me voie ici. Je me dépêchais de sortir, mais elle me suivit. Une fois dans le couloir, je marchais rapidement, pour ne pas qu’elle me rattrape. Une main se posa sur mon bras. Je fis demi – tour, regardant Maria agrippait à mon bras.

Bill : Lâche-moi
Maria : Attend, laisse moi t’expliquer
Bill : Je ne veux pas tes explications
Maria : Mais tu ne comprends pas ?!
Bill : Comprendre quoi ?!
Maria : Que je ferai tout pour que tu me pardonne !

C’était dur, mais il ne faillait pas que je cède…Il fallait qu’elle comprenne… Je dégageais mon bras, puis reprit ma route.

Maria : Tu comprends pas que je suis folle de toi ?!

Je manquais un battement de cœur. Je me retournais, lentement. Elle était essoufflée et les yeux remplis de larmes.

Bill : Q-quoi ?
Maria : …je t’aime…

Ses mots…Ils résonnent dans ma tête… Ses yeux… Non, je ne peux pas la laisser comme ça… Je m’approche, lui attrape le bras et l’attire vers moi. Je la tiens maintenant dans mes bras, je respire encore une fois ce parfum, un parfum enivrant…Une main dans ses cheveux, une autre dans son dos, je ne voulais pas la quitter. Il semblait que je l’avais blessé, blessé une si jolie petite chose… Elle était là, tremblant légèrement, une main contre mon torse et une autre près de mon cou. J’entendais deux ou trois sanglots, des sanglots étouffés, des sanglots qui m’était insupportable. Comment avais – je pu être aussi idiot… Comment avais – je pu être aussi méchant avec elle, alors qu’elle m’apportait du soutient, qu’elle m’avait soigné, qu’elle m’apportait de l’amour…Et ce rêve…

Bill : Je suis désolé, j’ai été idiot…
Maria : Non, non, c’est moi qui l’ai été
Bill : Pourquoi ?...

Je ne comprenais pas. Je n’avais jamais rien comprit. J’étais bien trop aveuglé par son image pour me rendre compte combien je la faisais souffrir inconstamment.

Maria : Je n’aurai pas dû tomber amoureuse de toi…Je n’aurai pas dû tant m’attacher ni a toi, ni aux autres…
Bill : Non…Il ne faut pas dire ca...
Maria : Qu’est ce que je vais devenir quand tu vas partir…Quand vous allez partir…
Bill : Mais on…
Maria : Ce ne sont que des promesses qui ne seront jamais tenues ! Vous avez d’autres choses à faire que de répondre aux demandes qu’une gamine capricieuse comme moi !
Bill : Tu n’es pas une gamine capricieuse…
Maria : Qu’est ce que tu en sais hein ?!
Bill : Je te connais bien plus que tu ne le pense…
Maria : Ah oui ?! Et comment ?!
Bill : Par ce rêve…

~PVD de Maria~

« Par ce rêve »

Ce rêve…Ca ne peut pas être le même que le mien… C’est impossible…Cette plage, lui…Tout ça est irréel !

Bill : Viens…

Ce murmure, ce souffle dans mon oreille, ce mot… Il se détacha de moi, puis me prit la main, m’emmenant dans sa chambre. Il referma la porte, puis s’assit sur le lit. Je fis de même. Il se pencha vers moi, m’allongea sur le lit, puis unis ses lèvres aux miennes. Un instant éphémère de bien être total. Un instant éphémère, comme un rêve. Je posa une main sur son dos, près de son épaule. Une larme interminable coulait sur ma joue. Et s’il me posait la question, je lui répondrais : Une larme de bonheur…

la suite !!

Vivement la suite ! j'adore ce chapitre !

pourquoi j'adore autant ta fic?!
POURQUOIIIII !
lol
c'est vraiment magnifique!!
alors suite s'il te plaît!

>.< Je me met à écrire la suite alors ^^
Je pourrai plus poster pendant 3 semaines à partir de demain ^^"
Mais j'emmene mon ordi et j'essaierai d'aller squatter un cyber pour poster :p

Bon, bref, je me met à écrire la suite ^^
[Merci pour vos commentaires, c'est trop gentil ! :coeur:

]

Voilà la suite ! Désolée, ca n'est pas très long, mais j'ai pas trop le temps en ce moment...En revanche, je vais avoir 3 longues semaines devant moi, et je compte bien en profiter pour écrire le plus possible. Je ne sais pas si je pourrai poster de la où je serai, mais promis, j'essaierai. Je pourrai poster la deuxième semaine, donc je ferai un maximum de chapitre la première semaine ! Je vous souhaite de bonnes vacances en attendant mon retour !
M'oubliez pas hein ! >.<

~*~ Chapitre 10 ~*~

[…Une journée éprouvante…]

~PDV de Bill~

Les rayons du soleil chatouillaient mon visage, ainsi que le sien. Mes yeux encore clos, les sourcils froncés, je m’apprêtai à affronter le jour. J’ouvris un œil, timidement, puis un autre. Ceci dit, ils n’étaient qu’entre-ouverts. Mais je pouvais l’apercevoir, elle, contre moi. Elle ne portait qu’un tee shirt, un de mes tee shirt. Elle avait tenu à avoir mon parfum sur elle, elle m’avait assuré que ca l’aiderait à s’endormir. Je pris encore une fois une mèche de ses cheveux entre mes doigts. Cette mèche de cheveux glissait, caressant mes doigts. La couleur de ma peau et celle de ses cheveux faisaient un contraste, deux opposés. En ce mois de novembre, j’avais perdu mon bronzage, et ma peau n’était que très peu foncé. Et ses cheveux, noirs comme l’ébène, tout comme les miens. Or, la chevelure de Maria était lisse sur la longueur, mais bouclés sur le bout. Elle était encore là, encore une fois dans mes bras, encore une fois… Mais ce jour…Ce jour allait être plus douloureux que les autres. Ce soir, ca sera le départ… Le départ de tout. Notre départ en Allemagne, le départ de ses larmes, le départ de son parfum… Oui, je l’aimais. J’étais littéralement tombé sous son charme. Quelque part en moi, je la connaissais depuis le jour où j’avais fait ce rêve pour la première fois. Je ne pu m’empêcher de sourire lorsque je vis ses sourcils se froncer légèrement, les paupières chatouillaient par les rayons du soleil, comme moi quelques minutes auparavant.

Maria : Mmmmh...

J’entrepris de la rendormir. Elle ressemblait à « La Belle au Bois Dormant », version Rockeuse. Quelle phrase idiote ! Je ne pu m’empêcher de rire. Bon, aller Bill…Mmh…ouais, bon… Je commençai de chanter « Ich Bin Da », mais une version beaucoup plus douce. Ma voix se transformer en murmure.

Bill : Keiner weiss wies Dir geht
Keiner da der Dich vesteht
Der tag wr dunkel und allein
Du schreibst Hilfe mit Deimen Blut
Obwohl es immer wieder wehut
Du machst die Augen auf und alles bleibt gleich…

[i]Elle ouvrit cependant les yeux, tout comme je l’avais fait avant. D’abord entre – ouverts, puis ouverts. Elle me fit un sourire. Ses lèvres… Ses lèvres s’étiraient pour me faire un magnifique sourire. Ses lèvres que je n’ai pu empêcher d’embrasser. Le baiser avait un goût agréable… Lorsque que mes lèvres quittèrent les siennes, ma main vint à caresser sa joue.

Bill : Je t’aime…

Un autre sourire de sa part. Mon murmure lui avait éclairé le visage, comme si j’avais mis une lampe torche devant son visage. C’était une image étrange, je ne sais pas si vous pouvez la comprendre, mais c’était comme ça. Ou alors, prenons une autre alternative. C’est comme si elle était devenue un ange, et que son visage était illuminé par la lumière qu’elle dégageait. Ca vous, vous arrivez à voir la situation ? Bon, je vous laisse avec ca. Je compressais son corps contre le mien, sentant sa poitrine contre mon torse. Je sentais même son cœur battre. Maria prit une ses mes mains, puis la posa sur son visage. Elle posa sa main libre contre une de mes joues. Son regard…Je n’avais jamais vu un tel regard. Il exprimait tout, tout ce qu’elle ressentait. Je l’embrassais, encore une fois. Une fois notre baiser fini, Maria se leva, laissant glisser la main qu’elle avait posée sur ma joue. Elle se trouvait devant la fenêtre, une main contre la vitre. Le contact de sa main chaude contre la vitre froide produit comme de la vapeur autour de sa si jolie main.

Maria : On restera en contact hein…

Je perçu une pointe d’inquiétude dans sa voix. Je me levais à mon tour, puis me posta derrière elle. Je posa ma main contre la sienne, puis l’embrassa dans son cou. Ses épaules tendues devaient plus molles, telle une poupée de chiffon. Elle frissonna. Je me penchais légèrement sur son oreille, me collant un peu plus à elle.

Bill : Je n’ai pas l’intention de l’oublier…

Elle se retourna, pour me faire face. Ses yeux étaient brillants. Elle ne pensait surement pas se retrouver si proche de moi. Elle ouvrit grands les yeux en se retrouvant face contre mon torse. Je me mis à rire en voyant sa tête. Je déposais un baiser sur son front, malgré qu’il soit couvert d’une frange. Son regard se leva vers moi. On aurait dit une petite fille qui implorer à quelqu’un de lui donner des bonbons. Elle était…elle était si mignonne…

Maria : Tu m’oublieras pas hein...
Bill : Non, je t’oublierai pas.
Maria : Mais toutes ses filles…Elles sont tellement plus jolies que moi…
Bill : Ses filles ne comptent pas, c’est toi la plus jolie…
Maria : Tu te trompe…
Bill : Je ne me trompe jamais
Maria : Tu as déjà du te trouver plusieurs fois dans cette situation…
Bill : Ca va faire plus de deux ans que je n’ai pas aimé quelqu’un comme je t’aime aujourd’hui…
Maria : Oui, mais demain ?! Demain, tu m’aimeras vraiment ? Demain tu…tu ne m’aura pas oublié ?

Toute pour réponse, je lui offris un baiser. Elle dut se mettre la pointe des pieds, puis je glissa une main dans ses cheveux, et lui attrapa une de ses mains pour la poser contre mon cœur.

Bill : Tu seras toujours là, et tu y resteras

Elle me sourit puis m’embrassa a nouveau. Après quelques minutes, nous descendions les marches. Tom et Georg étaient déjà levés, ils déjeunaient. Je me joignais à eux, tout comme Maria. Tom leva un sourcil, puis un sourire se dessina sur ses lèvres. Il haussa les deux sourcils, puis je lui fis un « oui » de la tête. On se comprenait comme ça, puis il sourit encore une fois. Il continua de déjeuné, puis salua Maria.

suite c'est de mieux en mieux :=):

suite please!!

Suite ! stp

Su8! xD Suite!

suite

Messages : 981 Points : 0 Date d'inscription : 29/01/2007 Âge : 30

=) souite

Hey ! Je suis de retour :p J'espère que vous avez passé de bonnes vacances. Comme promit, voici la suite de la fic, en espérant qu'elle vous plaise !

Elle me sourit puis m’embrassa à nouveau. Après quelques minutes, nous descendions les marches. Tom et Georg étaient déjà levés, ils déjeunaient. Je me joignais à eux, tout comme Maria. Tom leva un sourcil, puis un sourire se dessina sur ses lèvres. Il haussa les deux sourcils, puis je lui fis un « oui » de la tête. On se comprenait comme ça, puis il sourit encore une fois. Il continua de déjeuné, puis salua Maria.

"Profiter de ce jour comme le dernier "

Cette phrase convient parfaitement à la situation. Je suis là, en face d’elle. Tom sourit, elle s’assoit à côté de lui, mais elle n’a pas l’air d’avoir très faim. Quant à moi, j’attrape un paquet de corn flex, puis en verse dans un bol, que je remplis par la suite de lait. Voilà qui est fait ! Je mange, lentement, en me délectant dans la beauté de Maria, puis se trouve en face de moi. Ce visage que je ne verrais pas avant notre prochain concert… Deux mois… Bon, j’ai plus faim, ca m’a coupé l’appétit. Tom se fait un plaisir de vider son bol…

Bill : A te gavais comme un porc, tu vas en devenir un
Tom : Mais non
Georg : Tu vois Tom en porc toi ?
Bill : Je préfère pas imaginer !
Tom : T’as raison p’tit frère, imagine rien.

Ne rien imaginer. Bon, ca ne devrait pas être compliqué !

Maria : Je vais me laver, je vous laisse un instant

Un joli sourire de sa part pour s’excuser, puis je sentis ses lèvres sur la joue. Je voulu la retenir par le poignet, mais celui-ci fila entre mes mains. Une fois qu’elle fut sortie de la pièce, je savais que ca a allait être l’interrogatoire…

Tom : Alors ?!
Bill : Alors quoi
Tom : Bah, vous êtes ensemble ?
Bill : On peut dire ca comme ça
Tom : Mais c’est génial !
Bill : Non, non, ca ne l’est pas
Tom : Hein ?! t’es fou ! C’est un canon et en plus elle est super sympa !
Bill : C’est pas ca le problème…C’est qu’on part ce soir…
Georg : Tu as peur de trop la faire…souffrir ?
Bill : Oui, tu as tout compris
Tom : Donne- lui ton numéro de portable !
Bill : J’avais l’intention de le faire, mais ca ne remplacera pas sa présence…
Tom : Tout ce remplace Bill...

Non, là, j’en reviens pas ! Je me leva, les paumes de mains sur la table. J’étais furieux, et il allait le savoir…

Bill : Tu veux dire que je devrais la tromper ?! Ne me confond pas avec toi Tom
Tom : Te plain pas alors
Bill : Tu…tu te rend pas compte ! Tes propos sont débiles !
Tom : Si tu veux

[/b]Maria avait fini, elle était revenue, rayonnante. Je ne trouve pas les mots pour vous la décrire, mais sachez seulement que j’avais rarement vu une jeune femme aussi belle. Elle dégageait un truc, je sais pas quoi. Bref, elle était splendide.Maria : C’est bon, vous pouvez y aller ! Il y a trois salles de bain de libre
Bill : Je peux prendre un bain ?
Maria : Bien sûr
Tom : Ca te calmera un peu…
Bill : Heureusement que ca ne rend pas plus intelligent, tu devrais en prendre tout le sinon
Georg : Bonjour la consommation d’eau !
Tom : Ben toi aussi t’en prendrait beaucoup hein !
Bill : Moins que toi !
Tom : Je te hais !
Bill : Moi aussi !
Tom : Parfait !
Bill : Parfait !

[i]Nous sommes partis chacun de notre côté, Georg également. Maria était seule, elle débarrassa la table et fit la vaisselle. Quant à moi, je montai les escaliers, furax. Et bien sur, je croisais sans cesse Tom. Nous nous sommes enfermés chacun dans notre salle de bain. Je me fis coulé un bon bain chaud, quitta mes vêtements et rentra à l’intérieur. Quelques instants de détente intense…

~PDV de Maria~

Une fois la vaisselle faite, je m’asseyais sur une chaise. Les bras croisaient sur la table, ma tête cachée dans ces derniers, je manquais de fondre en larmes. Quelques minutes de solitude, je me posais des tas de questions. Des pourquoi, sans trouver de réponses. Mais une main se posa sur mon épaule. Je relevais la tête, et vit Gustav. Il me sourit, puis s’assit en face de moi. Il me prit les mains. J’en étais assez surprise d’ailleurs…

Gustav : Crois moi, quand Bill dit quelque chose, il le fait en général
Maria : En général…
Gustav : Arrête d’être aussi pessimiste !
Maria : Oui, tu as raison, c’est idiot
Gustav : Assez oui … J’ai mon appareil photo, et on fera pleins de photos !
Maria : Chouette
Gustav : Tu as une imprimante ?
Maria : Non, mais ma mère a une machine pour tirer des photos, et nous, on a des jetons pour pas payer
Gustav : Alors ca sera super

Je n’avais pas eu le temps de répondre que Bill était là. Il me sourit, sourire que je ne tardais pas de le rendre. Gustav devina vite, puis il me lâcha les mains et se leva pour céder sa place à Bill. Tom descendait les escaliers, la tête baissait. Ce n’était pas à son habitude. Bill avait du voir que j’étais inquiète, et il ne s’étonna pas lorsque je me leva pour aller voir se qui se passait. Je pris Tom par le bras et l’entraîna légèrement plus loin.

Maria : Pourquoi tu es si triste ?
Tom : Je me suis fâché avec Bill
Maria : Oh…

C’était touchant… C’est pour ça que Bill avait l’air triste lui aussi. Je pris Tom dans mes bras, puis lui prit la main pour l’emmenait vers son frère.

Tom : Qu’est ce que tu fais ?

Voilà, Bill était en face de nous. Je lâchais la main de Tom, puis me mit derrière Bill. D’un coup de main, je le poussais légèrement, il avait comprit se que je voulais. Il ouvrit les bras, tout comme son frère. Ils se murmuraient des excuses, se traitant tout deux d’idiots. Bill, dos à moi, toujours dans les bras de son frère, m’attrapa néanmoins le poignet et m’attira à eux. Tom me fraya un passage, et nous nous enlacions maintenant tout les trois. J’étais surprise, mais pour le moins heureuse et touchée.

Bill : C’est grâce à toi
Tom : Merci
Maria : Non, c’est normal...

Gustav nous observait, souriant. Il prit son appareil en main, puis nous photographia. Georg ne tarda pas à descendre, et nous montions tous dans ma chambre. Bill me donna son mp3 pour qu’il recharge, tout comme Tom et Gustav. J’en profitais pour mettre une chanson qui me tenait à cœur sur le mp3 de Bill, mais je modifiais le titre. « Sterben für dich » se modifia en « Ein Lied für dich » (une chanson pour toi). C’est bon, personne n’avait rien vu ! Gustav posa son appareil photo sur le bureau, puis se mit sur le lit, avec nous.

Gustav : Minuteur activé !

Nous nous mettions tous à compter jusqu’à 10. Nous étions morts de rire, excepté Gustav qui nous disait de garder notre sérieux. FLASH ! La photo était prise. Puis Gustav entreprit de faire des photos individuelles, puis en duo. Nous y sommes tous passé. Lorsque que pour le duo j’étais avec Bill, Gustav nous prit entrain de nous embrasser, en train de faire des fous…Sous toutes les postures. Il savait aussi bien que nous et les autres que la séparation allait être dure, et les photos compenseraient un certain manque. Une fois les photos prises, nous descendions les escaliers pour aller faire développer les photos. Il y en avait au moins soixante – dix. Soixante – dix photos en moins de trente minutes ! Pendant que les photos se développer, Bill et moi faisions la cuisine, alors que Georg et Gustav jouaient à un jeu vidéo. Nous avions fait développer les photos en trois exemplaires, c'est-à-dire soixante dix fois quatre, Gustav ayant les photos sur son appareil, il ne voulait pas les avoir sur papier. Nous avions donc tout le temps devant nous. Bill avait décidé de faire plaisir à son frère en lui préparant son plat préféré : Des pennes à la crème et à la sauce tomate. Quant à moi, je préparais deux gâteaux. Un pour nous, et un pour la voisine, une veille dame au cœur grand comme la galaxie. Nous étions prêts à commencer encore une fois une bataille de farine, mais Gustav nous appela pour voir les photos. Photos très réussites d’ailleurs. Gustav me donna une enveloppe avec les photos, puis il en donna également une à Tom, Bill et Georg. Je montais dans ma chambre et posa l’enveloppe sur mon bureau, pour ne les pas abimé. Bill, quant à lui, les glissa dans la poche immense de sa veste en cuir, et Tom et Georg les mis bien au chaud dans leurs valises. Leurs valises…Ils étaient déjà prêts à partir…

Bill : Les photos sont magnifiques, tu as fait du bon boulot Gus’
Gustav : Ouais, vous m’avez bien aidé aussi !
Tom : Ouais, je sais, je suis le meilleur
Gus’, Bill, Georg et Maria : -_- Te lances pas trop de fleurs, on va plus te retrouver après

Nous nous sommes mis à rire tout les quatre. Tom, lui, boudait dans son coin, mais l’odeur des pates le fit vite changer d’humeur.

Tom : Haaaan mon frérot chéri tu m’as fait mon plat préféré !
Bill : Oui, pour te faire plaisir
Tom : Je t’aime tit frère
Bill : J’t’aime aussi

Aaaaaaaah c’était mignon…Une fois la nourriture prête, nous nous sommes mit à table. Le temps passait vite, trop vite. Il était déjà 13 heures, et les garçons devaient être à 15 heures dans la salle des fêtes, pour une séance de dédiasse. Bill ne s’était pas coiffé en plus, il fallait donc qu’il soit prêt avant.

Maria : Je ne veux pas vous mettre en retard…
Tom : En plus, t'es pas coiffé Billou
Maria : Enfin, il est toujours aussi beau
Bill : Vraiment ?
Maria : Oui, je suis sincère
Bill : Bon, je me passerai un coup de brosse, je les laisse tel que.
Maria : Pourquoi ?
Bill : Si ca te plait…Alors moi aussi
Tom : Oh…On voit que tu es amoureux toi !

Rire général. Nous rions de bon cœur, sans savoir que nous rions ensemble pour la dernière fois avant nos retrouvailles qui s’annoncèrent longues…Encore plus longues que prévues. Je m’absentais un moment avec le groupe pour aller apporter la part de gâteau à Mme Lewis, cette dame si vieille et si gentille. Nous papotions au moins dix minutes ensembles, puis repartirent à la maison. Nous nous remettions à manger.

« Toutes bonnes choses à une fin »

La voix sortait de nulle part, mais je savais que cette voix avait raison. Je compris, malgré que la voix fût allemande. Non non, ce n’était pas la voix de « Secret Story ». C’était la voix de l’agent des quatre garçons. Une jeune femme, blonde, droite, en tailleur. Elle paraissait froide, sans sentiments, cruelle. Tom murmura :

Tom : V’la Cruella…

Je n’avais pas du me tromper. La jeune femme avançait vers nous, les mains sur les hanches. Elle observa avec un air dégouté ce que nous mangions, elle reprit, toujours en allemand.

Agent : Ce n’est pas bon pour vous ca !
Tom : Vous allez quand même pas décider de ce qu’on va manger, ca change des pizzas tout les jours

Tom lui répondit en allemand aussi. Je n’avais pas tout comprit, mais, ca l’avait calmé ! Néanmoins, nous nous pressions de manger le gâteau. Comme Tom me l’avait demandé, j’avais coupé plusieurs parts et les avaient mis dans une boite. Il voulait les prendre pour le voyage, lui qui trouvait le gâteau si bon. J’en proposa une part à leur agent, mais elle n’avait pas l’air de comprendre le français, et encore moins de vouloir manger une part. Dès fois qu’il serrait empoissonné… Une fois fini, les garçons montèrent à l’étage pour prendre les valises. Je les suivis, et Bill m’entraina dans sa chambre. J’avais par ailleurs fait un tour dans ma chambre et avait caché un petit cadre dans mon dos. Bill me demanda de m’assoir. Je m’exécutai, et il fit de même. Il poussa les cheveux de mon visage, puis m’embrassa. Un long baiser, comme un baiser d’adieu. Quelques minutes plus tard, il me donna un papier avec son numéro de téléphone, et me tendit un papier et un stylo pour que je lui écrive le mien. Il me prit la main, se leva et prit sa valise se sa main libre. Toute cette scène s’était passée dans le silence, mais dans la compréhension absolue. Une fois en bas des escaliers, la jeune agent nous regarda, Bill et moi, sidérée. Elle s’apprêtait à dire quelque chose, mais Bill lui lança un regard tellement noir que personne n’aurait osé dire quoi que ce soit après. Ils montèrent dans une limousine, Bill hésita un moment.

Bill : Ce n’est pas là qu’on se dit au revoir
Maria : Non, j’espère…
Bill : Rejoins nous derrière la salle où nous allons, une voiture nous conduira à l’aéroport, tu monteras avec nous
Maria : Je serais à la séance moi aussi
Bill : Ca sera dur de cachait ma joie quand je te verrais
Maria : Pareil pour moi

Bill me lâcha la main, bien que je vis sur son visage qu’il ne voulait pas. Une fois la voiture partie, je couru dans la chambre chercher la photo du groupe et moi, je la mis dans un cadre et je mis l’enveloppe avec des autres photos dans un sac. Bill, Tom et Gus’ avaient oublié leur mp3, occasion de leur ramenait. Je les mis eux aussi dans mon sac et couru à la salle des fêtes.

~PVD de Bill~

[Trente minutes plus tard]

Nous étions assis, derrière une table, à signer des albums, photos, singles, tee shirt… Toutes les filles défilaient, toutes, sauf Maria. Au bout de quelques minutes, j’aperçu son visage, elle n’était pas seule.

Madeleine : C’est trop cool que tu ais pu venir !
Maria : J’allai pas manquer ca !
Madeleine : Tu m’étonnes !

C’était leur tour. Maria me sourit, et je ne pu m’empêcher de lui sourire à mon tour. Elle me tendit la photo du groupe et elle le plus discrètement possible, et je la signais, puis la retourna. L’incompréhension se lisait sur le visage de Maria. Je gribouillais un « Immer in mein Herz » (toujours dans mon cœur) et passa la photo en cachant Maria à Tom, Gus’ et Georg. Je souriais encore une fois à Maria, tandis que sa copine fantasmait sur Tom. Tom qui, en Don Juan parfait, lui fit un petit sourire en coin, et la jeune fille manqua de tomber. Maria me lança un petit regard désespérait pour son amie puis repartie.

Suite ?

suite !!

Suite ^^

[A la fin de la séance de dédicace]

Une fois la séance de dédicace finie, nous nous éclipsions derrière la salle, sans que personne ne s’aperçu de rien. Toutes les jeunes filles attendaient devant, l’amie de Maria aussi. Maria, quant à elle, nous avait rejoins. Une fois dans la voiture, je la pris dans mes bras, et ce fut comme ça pendant tout le voyage. Mais le plaisir fut de courte duré. En dix minutes, nous étions déjà arrivés. La mère de Maria était sur place. Une fois sorti de la voiture, je serrais la main de Maria aussi fort que je pouvais. Elle sortie de son sac nos mp3, que nous avions oublié. Tom lui embrassa la joue en signe de remercîment, et Gustav fit de même. Quant à moi, je l’embrassai. Nous profitions de nos dernières minutes ensemble. Le pilote de l’avion fit signe à l’agent que tout était bon, qu’ils pouvaient maintenant partir. Je passais à côté de la mère de Maria, puis lui murmura :

« Je vous l’empreinte quelques minutes, je vous la rends, promis ».

Elle acquiesça de la tête. Tom, Gustav et Georg montèrent dans l’avion, je fis de même, emmenant Maria avec moi. Je collais mon front contre le sien. Ses joues étaient mouillées de larmes, et un sourire triste flottaient sur ses lèvres.

Bill : Je t’appelle quand j’arrive, promis.
Maria : J’ai…j’ai un cadeau pour toi…

Elle me tendit un cadre avec une photo de nous deux. Je lui souris, puis l’embrassa. Le pilote s’impatientait, il fallait partir. J’embrassais Maria une dernière fois, puis elle partie en courant, une main sur sa bouche, pour étouffé ses sanglots. Elle rejoint sa mère. Je m’assis dans l’avion, à côté de la vitre, loin de Gustav et Georg. Tom s’assit à côté de moi. L’avion décolla, je regardais Maria, qui pleurait, et me faire « au revoir de la main ». Les larmes ne tardaient pas à couler sur mes joues aussi. Maria se faisait petite, de plus en plus petite. Ma main sur la vitre, je criais son nom. Gustav et Georg ne pouvaient pas supportait la situation. Ils savaient que j’allais mal, et ils n’aimaient pas me voir ainsi. Pour « masqué » sur peine, ils mirent leurs mp3 en marche. Je ne leur en voulais pas, je les remerciais même. Tom me prit dans ses bras, tandis que je trempais son tee shirt de larmes. Je serrais le cadre entre mes mains, la photo d’elle et de moi. Quelques instants plus tard, je pris mon mp3, puis tomba sur une chanson inconnue. « Ein Lied für dich ». Mes larmes ne cessaient de couler, et lorsque j’écoutais la chanson, cela ne fit qu’empirait. Tom me prit la main. Plusieurs heures plus tard, je m’étais endormi, la cadre sur le cœur, la chanson…non, notre chanson dans les oreilles, un vide énorme dans le cœur et des larmes incessantes sur mes joues.

~Du côté de Maria ~

Ils étaient partis, eux…M’enlevant ma joie de vivre, celui que j’aime, des souvenirs. Tout. Cet avion m’a tout prit. Cet agent, elle m’a tout prit. Ce pilote, lui aussi. Je les hais. Je hais tous. Sauf eux. Eux qui m’ont apporté tant… Et mes larmes…Que je ne peux pas arrêter…Et ce vide…Que je ne pourrai jamais comblé…Et cette peine…Qui ne s’arrêtera jamais… Ma mère me prend dans ses bras, me caresse les cheveux, et me promet qu’elle travaillera dur pour me payer le plus de concert possible. Aucuns sons ne sort de ma bouche. Aucuns. Seulement des sanglots, des « pourquoi » saccadés. Ce manque allait être dur à combler. Mais la suite des événements allaient encore plus les compliquer…

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