[Fanfic terminée] Sur les routes avec Tokio Hotel

bon emilie tu assure
tous les soirs j'ai le droit a ma petite histoire avant d'allez me coucher :--)
auré et saby non mais vous pensez qu'au cul
faut dire qu'on les attends ces petits passages croustillants

Merci lilie :--) (Au fait, je ne sais pas si t'as lu la fanfic Sans titre que j'avais posté pour toi... je te le dis au cas où)

Juste une chose... je suis hyper critique envers ce que j'écris, si je n'ai pas un minimum d'encouragements, je me dis que c'est de la m*rde et que je perds mon temps... et j'arrête. Alors pour celles qui aiment et qui me disent juste "la suite", ça serait gentil de me dire au moins que ce n'est pas de la m*rde... enfin soyez honnête, mais pas avares en compliments... lol...

J'ai dépassé les 45 000 mots sur cette histoire, c'est plus qu'un roman de taille moyenne... I'm proud Mais j'hésite encore sur la fin...

Tu sais Emilie, si c'était de la m*rde, on ne resterait pas pendu à tes dernier mots comme ça en attendant la suite avec impatience !! )) Et je ne pense pas que tu aurais autant de lectrices non plus !

Moi aussi j'ai hâte de savoir ce qu'ils vont bouiner sous la couette nos deux tourtereaux !

J'dore trop Emilie ! J'ai même pas dormis de la nuit ! Œn tout cas lâche pas j'adoooree !

Biz

Alex.

Oui Emillie tu ne fais rien qui est de la m*rde tu est trop forte et ne nous lache pas quand Allison et Bill se retrouve ensemble pour la première fois dans un lit se serais pas humain

Moi aussi,je suis fan de ta fanfiction depuis le début et je regarde à chaque fois si la suite est parue, car l'intrigue est géniale avec une bonne dose de suspens et le tout tiré de certains faits réels(grâce à beaucoup de recherches de ta part)
Continue et épate-nous !

Merci pour vos commentaires :--) Et j'attends vos avis sur la suite...


Chapitre 25

Il souleva sa couette pour que je puisse me glisser dessous. Je m'installai tout contre lui. C'était chaud et doux. Il portait un t-shirt et un caleçon. Pour ma part, j'avais mis une de mes nuisettes. Il passa ses bras autour de moi, et je me relevai un peu pour poser mes lèvres sur les siennes. Il glissa ses mains sur moi, et quand elles passèrent sur mon ventre - la seule partie chatouilleuse de mon corps -, je ne pus m'empêcher de rire en me tortillant un peu.

Allison en chuchotant à bout de souffle : Arrêtes !! Arrêtes ça !
Bill : J'ai trouvé ton point faible là...
Il me chatouillait exprès maintenant. J'essayai d'attraper ses mains pour les empêcher de continuer. Il s'arrêta de lui même et se mit à rire à son tour.
Bill : T'es mignonne quand tu rigoles.
Allison : Merci. Ne refais plus jamais ça.
Bill : Je ne peux rien te promettre, j'adore te voir flipper comme ça.
Allison toujours sur le ton de la rigolade : T'es méchant !
Bill : Oui, mais je t'aime.
Comment lui en vouloir ? C'était le mec le plus adorable sur Terre.
Allison : Je t'aime.
Je l'embrassais à nouveau, en me mettant sur lui.
Tom : Moi aussi, je vous aime.
Bill et moi nous mimes à rigoler doucement.
Tom : Hey Gus, tu ne nous aimes pas ?
Gustav à moitié endormi : Si si, je vous aime, mais si vous pourriez fermer vos gueules... il y en a qui essaie de dormir.
Tom : Gus, la voix de la sagesse comme toujours.
Bill : Pardon, on va faire moins de bruit.
Gustav : Merci !
Bill en chuchotant : On en était où ?
Allison : Là !

Je remis mes lèvres sur les siennes, et mes mains sur son torse. Les siennes passèrent sur mon dos pour me serrer contre lui. Nos baisés polis et réservés devinrent de plus en plus passionnés. Je sentais son souffle chaud contre mon visage. Je dégageai une des mains pour lui caresser la joue, il avait la peau si douce au touché. On n'avait jamais été si proches physiquement l'un de l'autre qu'à cet instant précis. J'entrouvris légèrement ma bouche pour que ma langue puisse aller à la rencontre de la sienne. Je sentais ses mains descendre dans mon dos mais s'arrêter poliment au bas de celui ci. Je me dis que ce ne serait pas Tom qui aurait la retenue de ne pas directement les mettre sur mes fesses. Et à cet instant, j'étais perturbée d'avoir osé penser à Tom alors que j'étais avec Bill. Et plus j'essayais de ne pas penser à Tom, plus je pensais à lui, forcément.

Lorsque je sentis quelque chose de dur faire pression contre mon bas ventre, mon attention revint naturellement et complètement sur Bill. Je passai mes mains sous son t-shirt pour caresser son torse. J'aimais cette intimité qui grandissait entre nous. J'attrapai le bas du tissus de son vêtement et entrepris de le lui retirer, il se laissait faire sans protester. Nos lèvres se connaissaient bien maintenant, ça faisait assez longtemps qu'elles jouaient ensembles. Je sentais toujours son érection contre moi, et j'avais très envie d'aller plus loin avec lui. Ca ne faisait peut être pas bien longtemps qu'on était en couple, mais on se connaissait déjà depuis un certain temps. On continuait de s'embrasser quelques instants, j'attendais qu'il fasse le premier pas. Mais comme il n'allait pas plus loin, je décidai de faire une tentative. Je fis doucement glisser une de mes mains qui étaient sur son torse vers son ventre, puis vers son bas ventre. Et alors que je m'apprêtais à descendre encore, il brisa notre baisé et attrapa ma main pour la retirer. Je me décollai un peu de lui, et ouvris les yeux pour le regarder d'un air interrogatif dans la pénombre. C'était bien la première fois que quelqu'un repoussait mes avances. Je ne comprenais pas. Je me sentais un peu stupide, et me posais un million de questions. Le mieux était peut être de m'excuser. M'excuser d'être allée trop vite.

Allison toujours en chuchotant : Je suis désolée.
Là, c'était encore pire, parce que je ne pouvais plus nier ce qui c'était passé, je ne pouvais plus faire comme si j'avais mis ma main là par mégarde.
Bill : Non, ne t'excuses pas...
Il semblait réfléchir un instant.
Bill : Ecoutes... ce n'est pas que je n'ai pas envie d'aller plus loin avec toi. C'est juste que...
Il prit une inspiration.
Bill : Je ne l'ai jamais fait.
Allison : Quoi ?
Bill : Je n'ai jamais... fait l'amour.
Je me mis à rire doucement, pensant qu'il se moquait de moi.
Allison : Arrêtes de me prendre pour une imbécile.
Bill : Je suis tout à fait sérieux.
Allison : Mais... ce n'est pas possible.
Bill : Pourquoi ?
Allison : Avec toutes les filles qui sont après toi...
Bill : Ca ne veut rien dire du tout. Ce n'est pas parce que j'ai des opportunités que je dois passer à l'acte.
Je gardais le silence un instant, complètement perturbée par ce qu'il venait de me dire.
Bill : Ne crois pas que j'ai un problème ou quoi que ce soit... c'est juste que, j'attends le bon moment. Je veux dire, pour moi c'est quelque chose d'important, la première fois. Alors j'ai envie que ça soit la bonne personne dans la bonne situation... Je ne veux pas tout gâcher. Tu es la bonne personne, mais ce n'est pas le bon endroit, ni le bon moment. 
Je cherchais mes mots.
Bill : Je ne suis pas comme Tom, je n'ai pas envie que ma première fois soit un coup rapide dans les toilettes d'une boite de nuit avec une fille que j'aurais rencontrée cinq minutes plus tôt.
Tom : C'est pas vrai ! J'avait passé toute la soirée à la baratiner pour qu'elle veuille bien m'accompagner aux chiottes.
Bill : TOM ?!!?
Tom : Quoi ?
Bill : Tu pourrais éviter d'écouter notre conversation !
Tom : Je n'y peux rien si vous êtes juste à coté et que vous parlez assez fort pour que je vous entende.
Gustav : Si t'étais poli, tu ferais au moins semblant de ne pas entendre, comme moi.
Heureusement qu'il faisait nuit, parce que je devais être toute rouge de honte qu'ils aient tout entendu. Bill avait raison, ce n'était pas le bon endroit.
Tom : Et puis, j'ai quand même le droit de répondre quand on parle de moi et qu'on dit des trucs pas sympa. Il me fait passer pour un goujat sans coeur. Je peux vous dire que c'était une super première fois dans ces toilettes : elle a tout avalé, c'était très romantique !
Bill  : Tom...
Tom : Quoi ?
Bill : Tais-toi ! Et bonne nuit tout le monde.
Tom : Je n'ai plus sommeil pour le coup. Hey, Allison ?
Allison d'une petite voix : Oui ?
Tom : Moi ça ne me gène pas de faire ça ici tout de suite !
Je me mis à rire doucement, il avait du culot.
Allison : Je vais faire comme si je n'avais rien entendu.
Gustav : Est ce qu'il serait possible d'avoir le silence pour espérer dormir ? Ou est ce qu'il faut que j'aille sur le canapé du rez-de-chaussée ?
Allison : Désolée.

Le silence emplit la pièce, je m'allongeai contre Bill dans une position confortable. Il passa sa main sur ma joue en une caresse, et je sombrais petit à petit dans un sommeil sans rêve.

Les jours suivants se déroulèrent sans surprise. Le groupe faisait ses concerts et sa promo à travers le pays. Anja et moi les suivions sur certains trajets mais pas sur tous. Lorsqu'ils devaient passer dans une émission importante tout à l'autre bout des USA, il était plus simple qu'ils prennent l'avion et une chambre d'hôtel sur place, et que le tourbus reste stationné à attendre leur retour. Dans ces cas là, Anja et moi restions donc en général dans notre bus, tout comme le reste de l'équipe technique. Leur emploi du temps était encore plus chargé que sur les tournées Européennes, et on se rendit vite compte qu'on ne les verrait qu'en soirée, s'écrouler après une longue journée de travail. Qu'ils soient demandés sur tous les plateaux télé, que chaque magazine veuille leur interview, c'était super pour le groupe, mais je mentirais si je disais que je n'avais pas envie de passer plus de temps avec eux, et avec Bill surtout.

Après avoir fait le tour de plusieurs Etats, on finit par remonter vers le Canada avant de repartir vers l'Europe. Si j'étais une personne plutôt casanière, je dois dire que j'aimais vivre sur les routes et voir du pays tout en ayant mon chez-moi - le tourbus -, mes amis et ma famille avec moi en permanence. Il n'y avait que des avantages, sauf peut être le décalage d'horaire et certains trajets plus longs que d'autres. Dans tous les cas, j'étais ravie de revenir en Allemagne, même si c'était un peu dans la précipitation étant donné que la cérémonie des Comet Award 2008 commençait seulement quelques heures après notre retour sur le continent.

Les garçons étaient nominés dans trois catégories, et s'ils avaient bon espoir de gagner plusieurs prix, ils ne s'attendaient pas à les remporter tous ainsi que le Super Comet. Après une soirée pleine d'émotions, on alla fêter leur victoire dans une salle réservée aux personnalités. La musique trop forte, l'air embaumant la nicotine et le fait que Bill était sans cesse accaparé par des personnes venant le féliciter, me donnèrent envie de mettre les voiles. J'avais un peu la nausée, et je me sentais invisible au milieu de toute cette foule. Je me frayai un chemin jusqu'à Bill, il y avait toute une troupe autour de lui. Je le tirai par le bras pour attirer son attention. Il se détourna de son interlocuteur en se penchant vers moi.

Bill parlant fort au dessus de la musique : Allison ?
Allison : Ecoutes, je vais prendre l'air. On se retrouve après ?
Bill : Ca ne va pas ?
Allison : Si, si. Profites de ta soirée, j'ai juste besoin de respirer un peu.
Bill : Ok. A plus tard.

A peine avait-il détourné son attention de moi qu'une autre personne vint lui serrer la main. C'était son boulot après tout, d'être poli et de donner bonne impression dans le milieu. Mais moi, je ne faisais pas partie de tout ça, j'étais juste sa petite amie cachée. Heureusement pour moi, le tourbus était sur le parking non loin du lieu de la cérémonie.

Je rentrai dans le véhicule vide et sombre, appréciant le silence. Je pris quelques cachets pour calmer ma nausée et allai m'allonger un peu sur ma couchette.

Quelques minutes plus tard, j'entendis des pas dans l'escalier, et aperçus la silhouette de Bill venir vers moi.

Bill : Pourquoi tu restes toute seule ici ?
Allison : J'en avais marre de tous ces gens. J'ai juste envie d'être tranquille. Mais tu devrais y retourner toi, ils vont rapidement s'apercevoir que tu as disparu.
Bill : Ce n'est pas bien grave. Je préfère rester avec toi.
Je lui fis un sourire.
Allison : Merci.
Pour une fois qu'il était disponible, je décidai de me confier à lui.
Allison : Tu me manque ces temps-ci.
Bill : Pourtant on est ensemble tous les jours.
Allison : Oui, mais on ne fait que se croiser. J'aimerais qu'on ne soit rien que tous les deux, loin des médias, des fans, des autres...
Il s'assit sur le lit, et regardait devant lui d'un air pensif.
Allison : J'ai l'impression de passer mon temps à t'attendre. Je sais que le groupe passe avant tout, seulement...
Bill : Tu sais, les prochains jours seront plus calmes. David voulait nous laisser décompresser un peu après les Comet.
Allison : C'est déjà ça.
Bill : Non, ce que je veux dire c'est que... j'ai une idée.
Allison : Laquelle ?
Bill : Ca te dirait de faire un truc un peu fou ?
Bill, le mec le plus prévisible sur Terre, me proposait de faire un truc un peu moins prévisible.
Allison : Tu m'intéresses là, dis-moi ?
Bill : Tu serais prête à me suivre jusqu'où ?
Allison : Jusqu'au bout du monde.
Bill : Ca tombe bien, j'aimerais t'y amener.
Allison : Oui... mais encore ?
Bill : Il y a un endroit que je connais bien, où on pourrait être complètement seuls et tranquilles.
Allison : Ca me plaît déjà.
Bill : On y est allé plusieurs fois avec Tom.
Allison : Mais rassures-moi, on n'emmènerait pas Tom avec nous cette fois ?
Bill en rigolant : Non, non. Rien que toi et moi. T'es déjà allée aux Maldives ?
Un énorme sourire venait d'apparaître sur mon visage.
Allison : Non, mais j'ai vu un reportage sur ces îles, ça avait l'air paradisiaque !
Bill : Ca l'est ! On y était allé une première fois, et on a tellement aimé qu'on y retourne à chaque vacance.
Allison : Mais c'est vachement loin, non ? Un weekend ne suffira pas pour faire l'allée-retour.
Bill : Oui, mais le concert de Lisbonne c'est dans plus d'une semaine. Et entre temps, on a juste quelques interviews et l'épisode de TH TV de prévus. Si j'insiste auprès de David...
Je bondis hors du lit.
Allison : Tu crois qu'il nous laisserait toute la semaine ?
Bill en rigolant devant mon enthousiasme : Je suis quand même libre de faire ce que je veux, et si je lui dis que j'ai besoin de décompresser et tout... Les trois autres peuvent bien s'en sortir sans moi. Mais... t'es sûre que ça ne te dérange pas de partir aux Maldives avec moi ?
Je lui fis un sourire avant de lui sauter dessus à califourchon.
Allison : Arrêtes de me taquiner, tu sais très bien que j'en crève d'envie.
Bill : Tant que ça ?
Allison : Tu n'as pas idée.
Je passai mes bras autour de son cou et l'embrassais tout en souriant.

je m'en lasse pas j'ai tellement hate de lire la suite
oh la la la petite vie d'alison est un beau rêve :--)

'Tin, j'voudrais bien que ça m'arrive à moi ça !!!

Continue comme ça Emilie ! J' adore !!!

AAAA GÉNIAL J'ATTEND LA SUITE avec impasience (sa commence vraiment a être mystérieux ) et j'adore vitte la suite !!!!!

j'aimerais bien avoir une vie comme celle d'Allison

Je suis vraiment trop fan de cette histoire ! C'est génial !

Genial cet episode, encore une fois !! bon alors comme ça tu veux des compliments, lol!!
Quoi te dire a part que tu ecris tellement bien que j'ai un sourrire au coin des lèvres a chaque fois que Tom sort une replique, que je ris toute seule comme une conne a chaque moment drole, je lis cette histoire comme si elle etait vrai, et j'attends chaque episode avec nervosite comme si ma vie en dependait !! Bref merci Emilie, chuis fan de toi et de tes fanfictions, lol. (en plus j'adore ton nouvel avatar, y me fais bav*r.)

Une de fois de plus on veut la SUITTTTTTTTE!!!!!!

Toujours aussi fan !!!
je rigole moi aussi comme une pauvre folle seule devant mon ordi!!!j'ai l'air de rien, heureusement que je suis pas filmée!!!!!

Merki!!!!!

Emilie, bitte, il faut que tu nous ecrives la suite!!!! avant que on ne meurt d'impatience, lol

moi j'en peut plus ca fait une semaine qu'on attend
je meurt d'impatience
allez emilie la

Moi plsu d'une semaine et j'en peu plus VITTE EMILLIE!!!!

Voici donc la suite, elle est un peu plus longue que d'habitude puisque ça fait quand même un bout de temps que vous l'attendez. Si ça m'a prit si longtemps, c'était à la fois pour des raisons personnelles et parce que j'ai du mal à écrire certaines choses sur Bill (par contre sur Tom, pas de souci ).

J'attends vos commentaires, parce que je suis toujours aussi indécise sur la qualité de mes écrits.

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Chapitre 26

David accepta de nous laisser partir et Eva se débrouilla pour nous faire les réservations de dernière minute. Ca faisait bien longtemps que je n'étais plus partie en vacances, alors mon excitation était à son comble. On embarqua en première classe dès le soir suivant sa proposition de partir, tout se passa si vite, mais on ne voulait pas perdre de temps.

Je pensais qu'il me serait difficile de convaincre Andrew de me laisser partir, mais à ma grande surprise il accepta immédiatement. Je compris plus tard qu'il avait eu une discussion avec David, au cours de laquelle il avait appris que si son contrat avec été renouvelé, c'était uniquement parce que les jumeaux avaient insisté pour que je voyage avec eux sur cette tournée. Je ne savais pas exactement ce que David avait dit à mon frère, mais le fait est qu'il ne me fit plus aucun discours moralisateur sur ma relation avec Bill ou le groupe lui-même et ça m'allait très bien.

Notre avion décolla donc en milieu de soirée. C'était la première fois que Bill et moi étions vraiment seul, même pas un chaperon pour nous escorter, juste tous les deux, pendant toute une semaine. Evidement, malgré l'excitation ou peut être à cause de ça justement, il s'endormit rapidement sur mon épaule, me laissant seule avec les milles pensées qui m'assaillaient pendant cette nuit là. Onze heures de vols, ça peut sembler long, mais j'appréciais ce temps qui me permettait d'imaginer tout ce qu'on allait pouvoir faire. Parce que finalement, je ne le connaissais que dans son domaine professionnel, je ne l'avais jamais vu hors de tout cet environnement, juste comme un gars normal, sans toute une équipe à son service, sans toutes ses responsabilités et sans image médiatique à porter sur lui.

On arriva à l'aéroport de Malé et ils nous firent débarquer.

Bill : On va récupérer les valises et après on prendra la navette jusqu'à l'île.
Il semblait bien connaître l'endroit.
Allison : La navette ?
Bill : Oui, un petit bateau qui dépose les touristes sur les îles avoisinantes.
Allison : Sympa.
On arriva jusqu'au tapis roulant et Bill attrapa nos deux valises. J'étais presque choquée de le voir faire ça lui même.
Bill : Qu'est ce qu'il y a ? Pourquoi est ce que tu me regardes comme ça ?
Allison : Non pour rien, c'est juste que je n'ai pas l'habitude.
Bill : De quoi ?
Allison : Te voir prendre tes valises toi-même.

Il me fit un sourire et prit ma main pour me guider vers la sortie de l'aéroport. On rejoignit le quai où le bateau était amarré. 

On s'installa sur le bateau, avec d'autres touristes. Le dépaysement était total. La mer bleu limpide comme on ne la voit que sur les cartes postales, le soleil d'une intensité rare et la chaleur qui réchauffait chaque parcelle de peau exposée alors qu'il n'était pas encore midi, tout ça me donnait l'impression de rêver. Et c'était vraiment un très beau rêve.

L'île était une sorte de grand complexe hôtelier, réservé uniquement aux touristes. Il y avait une belle végétation dense, des plages de sable fin, et notre bungalow sur pilotis situé juste au dessus de l'eau, auquel on accédait par un petit pont en bois. A peine étais-je entrée dans la chambre que je déposai ma valise au sol et courus jusqu'au balcon. J'étais bluffée. La mer à perte de vue, et cette sensation d'être vraiment seuls et au bout de monde, loin de toute cette agitation, loin des obligations, loin de toute contrainte. 

Bill arriva derrière moi, m'enlaçant autour de la taille.

Bill : Ca te plaît ?

Je le fixai du regard un instant, incapable de répondre à cette question pourtant simple. C'était presque trop beau. Tout était presque trop beau depuis que j'étais avec lui. Et si j'avais pu retenir une leçon de la vie, c'était que les bonnes choses ne durent jamais, elles durent juste suffisamment pour qu'une fois qu'elles nous échappent, on passe le restant de nos jours à les regretter. Ces vacances n'allaient pas être éternelles, et cette tournée que je passai auprès de lui allait se terminer, et nous allions tous les deux changer, évoluer avec le temps. Je n'avais aucune garantie sur la durée de ce bonheur que nous partagions à cet instant précis. Alors autant ne pas se projeter dans l'avenir, autant ne penser qu'à maintenant et tout de suite, et chasser toute prévision apocalyptique d'un avenir incertain.

Bill : Allison ?

Il attendait une réponse. Je ne trouvais aucun mot adapté pour décrire à quel point ça me plaisait. Alors je lui fis un sourire en me mordant la lèvre et l'embrassais doucement. Chacun de nos baisés étaient encore tout comme le premier, magique et déstabilisant, des frissons délicieux parcourant chaque cellule de mon corps. Et chaque fois que ses lèvres quittaient les miennes, un manque abyssal et presque insupportable m'obligeait à me rassasier d'elles une fois encore. J'avais déjà dit "je t'aime" à d'autres personnes, et je pensais effectivement aimer ces personnes, mais on ne comprend toute la signification de ce mot que lorsqu'on en fait vraiment l'expérience. 

Allison : J'adore cette chambre, et la vue est magnifique.
Bill : Je vais te montrer la plage et l'hôtel. Le restaurant est sympa aussi.

On passa le reste de la journée à se prélasser ici et là. On n'avait pas prévu de programme particulier. Il y avait des activités comme la plongé ou la visite de l'île qui étaient proposées, mais après avoir passé des semaines à suivre un emploi du temps strict, il avait juste envie de ne rien faire d'autre que décompresser.

Le soir arriva plus tôt que prévu. A dix huit heures, le soleil se coucha sur la plage, et comme on y avait passé une bonne partie de la journée, on apprécia le spectacle comme deux petits terriens impressionnés devant la beauté simple et infinie de la nature. 

Je ne voulais pas gâcher cet instant, mais cela faisait un certain temps que je remettais à plus tard mon aveux concernant ma brève relation avec Tom et si nous devions aller plus loin tous les deux ce soir, je préférai qu'il soit au courant. 

Allison : Il faut que je te parle de quelque chose.
Bill : Dis-moi ?
Je n'avais aucune idée de comment il allait réagir. Je ne l'avais jamais vu vraiment énervé ou en colère et j'espérais que je n'aurais pas à en faire l'expérience à cet instant. Je pris une grande inspiration avant d'ouvrir la bouche.
Allison : Le premier jour quand on s'est rencontré, je vous avais suivi à l'hôtel, tu te souviens ?
Bill : Bien sûr.
Allison : J'avais été coincée par la grêle et j'avais passé la nuit à l'hôtel dans la chambre qui était réservée pour Tom.
Bill : Oui, je me rappelle bien, où tu veux en venir ?
Allison : Après que vous ayez quitté la chambre, Tom est revenu un peu plus tard, on est allé au bar de l'hôtel ensemble, on a un peu trop bu et... on a couché ensemble.
C'est sorti. 
Il me fixait du regard. Je cherchais à lire ses pensées sur son visage. Quand un sourire se dessina sur celui ci, j'étais complètement perdue. Est ce qu'il n'avait pas compris ?
Bill : Merci.
Allison : Heu... de quoi ?
Bill : D'être sincère avec moi.
Je restais perplexe.
Bill : J'étais déjà au courant, mais je suis content que tu me l'aies dit, pensant que je ne le savais pas.
Allison : Mais... comment ça, tu es au courant ?
Bill : Dès que tu as quitté l'hôtel ce matin là, il m'a tout raconté. Tu sais, Tom et moi, on n'a pas beaucoup de secrets l'un pour l'autre, enfin sauf quand ça nous arrange évidement.
J'avais quelques envies de meurtre à l'encontre de Tom à cet instant précis.
Allison : Est ce qu'il t'a dit aussi que c'est lui qui t'avait fauché ton CD de Green Day ?
Oeil pour oeil, dent pour dent, comme on dit.
Bill : Ah non, comment tu le sais ?
Allison : J'ai trouvé le CD avec le boîtier cassé dans ses affaires.
Il acquiesçait en hochant la tête avec une expression pensive.
Bill : T'as fouillé dans sa valise ?
Je lui fis un sourire embarrassé et il me sourit en retour.
Allison : Et puis mince... c'est toi qui m'avait dit de le faire !
Il passa son bras autour de mon épaule pour me tirer vers lui en rigolant.
Bill : Tu veux qu'on aille manger un bout ?
Allison : Volontiers.

**********************

(Voir la suite ci-dessous)

(C'est tellement long que ça ne passe pas dans un seul post. Je m'excuse donc auprès des modérateurs qui je l'espère, seront compréhensifs, car je sais qu'il est normalement interdit d'écrire deux posts à la suite... mais là ça ne rentre pas, donc je n'ai pas le choix.)

Voici la suite.

**********************

Après le dîner, on retourna au bungalow en passant par la plage. J'avais pleins d'idées qui me passaient par la tête. Notre relation était restée purement platonique depuis ma première et dernière tentative avec lui, et nous allions partager le même lit cette nuit. Pour une fois, nous n'étions pas coincés l'un sur l'autre dans une couchette à coté de Tom et Gustav, et nous n'étions pas non plus dans une chambre d'hôtel dans laquelle tout le monde entrait comme dans un moulin. Alors j'avais bon espoir de passer une très bonne soirée avec lui.

Il s'installa devant la télévision pendant que je prenais ma douche. Après celle ci, je pris le temps de me pomponner un peu pour l'occasion, et attrapai un des peignoirs de l'hôtel pour me recouvrir, ne mettant rien en dessous. Je sortis de la salle de bain pour le trouver toujours allongé sur le lit à zapper entre les différentes chaînes internationales. Je grimpai sur le lit et me lançai dans une tentative d'approche.

Je me glissais doucement sur lui, sans rien dire et déposai mes lèvres dans son cou pour l'embrasser avec sensualité.

Bill : Qu'est ce que tu fais ?
Allison : J'essaie d'attirer ton attention.
Bill : Ca marche.
Il me regardait avec un sourire et semblait humer l'air.
Bill : Humm... qu'est ce qui sent si bon ?
Allison : Mon corps.

Son sourire grandit encore sur son visage. Je l'embrassai brièvement et plongeais mon regard dans le sien, mais je vis qu'il regardait quelque chose un peu plus bas que mes yeux, avec un certain intérêt. Penchée sur lui comme je l'étais, dans ce peignoir un peu trop grand, il avait une vue plongeante sur ma poitrine.

Bill : Je parie que tu n'as rien là dessous ?
Allison : Tu paries bien.

Il prit la télécommande et éteignit la télévision. J'avais gagné.

Il passa sa main dans ma nuque en m'embrassant et en m'enlaçant. Je m'allongeais sur lui en l'enjambant et commençais à retirer ses vêtements un à un. Il mit sa main sur la table de chevet sans que ses lèvres ne quittent les miennes et semblait chercher quelque chose à tâtons. Il éteignit la petite lampe.

Allison en se décollant de lui : Tu veux que j'éteigne l'autre ?
Bill : Oui, s'il te plaît.

Une fois ma lampe de chevet éteinte, il ne restait plus que la lumière de la lune qui se reflétait sur la surface de l'eau et qui dessinait des vagues bleutées sur les murs blancs de la chambre. Il s'approcha de moi et ses lèvres retrouvèrent leur chemin jusqu'au miennes. Nos baisés étaient plus intenses et passionnés que jamais. Sa langue et la mienne devenaient complices. J'adorerais son goût, son touché, son odeur. L'obscurité nous privait de notre sens visuel mais décuplait nos quatre autres sens. Je continuais de lui retirer ses vêtements comme on ouvre un paquet cadeau, jusqu'à ce qu'il ne lui reste que son caleçon.

On resta plusieurs instants l'un contre l'un, à se caresser et à s'embrasser. Jamais je ne me lassais de son contact, mais je mentirais si je disais que je n'en voulais pas plus. Il était trop poli, et semblait hésitant. Je décidai d'aller droit au but. On était suffisamment proche l'un de l'autre pour ne pas avoir besoin de jouer les faux semblants.

Allison : Fais moi l'Amour, tu veux bien ?

Je sentais son regard se poser sur moi, troublé par ma question.

Mes pupilles dilatées par l'absence de lumière me permettaient de distinguer les traits fins de son visage. Même dans la pénombre, il était magnifique, telle une représentation parfaite et inaccessible, vers laquelle on tend inexorablement mais qu'on ne peut jamais atteindre. Il était là, devant moi, contre moi, et pourtant, il me manquait comme s'il était hors de ma porté. Son expression première de désarroi se transformait doucement et je vis un sourire apparaître à nouveau. Petit sourire que j'aimais tant et qui illuminait ma vie.

Allison : A quoi tu penses ?
Bill : Que j'aimerais que cet instant dur toujours.

En une phrase, il m'avait fait perdre toute contenance. Je n'arrivais plus à réfléchir correctement.

Son expression devint plus sérieuse et on échangea un dernier regard qui n'aurait pas pu être décrit en mille mots. Il attrapa mes lèvres des siennes en me poussant sur le lit pour m'allonger. Il se mit sur moi et le noeud fermant mon peignoir ne résista pas longtemps. Il se fit une place dans celui ci et je l'accueillais bien volontiers. J'étais complètement nue contre lui, et je trouvais cela injuste et inéquitable qu'il garde un bout de tissu, alors j'entrepris de lui retirer son boxer mais je trouvais cette tâche particulièrement difficile à accomplir alors que je sentais ses mains caresser mon corps, perturbant ma concentration. Après quelques minutes à m'acharner en vain, je me mis à rire de la situation.

Allison sarcastique : Ne m'aides pas surtout !
Bill en rigolant : Ben non, je trouve ça trop amusant de te voir persévérer encore et encore. Je me sens désiré.
Allison : T'as besoin de te sentir désiré ? Comme si tu n'avais pas déjà assez de preuves de mon addiction à ta petite personne.

Je ne lui laissai pas le temps de répondre, je le poussai un peu pour me relever et lui baissai son caleçon d'un adroit coup de main. C'était à mon tour de rigoler devant son expression de surprise. Il voulait protester, mais mes lèvres firent taire cette vilaine bouche qui parlait trop à mon goût et je n'avais plus envie de discuter.

Je m'allongeai sur lui et alors qu'il ne restait plus aucun tissu entre nous, je partais à la découverte de chaque centimètre de son corps. Mes lèvres quittèrent sa bouche pour retrouver leur emplacement favori dans son cou et descendre vers son torse. Ma langue se promenait dans cette zone qui lui était encore interdite jadis. J'aimais son corps, pas pour son anatomie mais juste parce que c'était lui. Sa peau glissait sous ma langue et ses gémissements m'encourageaient dans ma démarche. Je me retenais d'aller trop vite parce que c'était la première fois pour lui et que je ne voulais pas lui sembler trop entreprenante.

Je remontais sur lui, pour que mes lèvres retrouvent les siennes et que je puisse sentir son corps frêle vibrer contre moi à chacune de mes caresses. Ses doigts fins effleuraient ma peau, de mon dos à mes cuisses et finirent par trouver leur chemin jusqu'à l'objet de leur convoitise, mes fesses. Si je le sentais hésitant dans ses gestes, son intimité faisant pression contre la mienne me confortait dans l'idée qu'il avait autant envie que moi d'aller plus loin.

Après un certain laps de temps, il arrêta de m'embrasser et brisa un peu notre étreinte. Il attrapa son sac qui était près du lit et en sortit un préservatif. Je ne l'imaginais pas comme étant le genre de gars qui gardait toujours un préservatif dans son portefeuille pour se parer à toute éventualité, bien au contraire. Alors s'il en avait un avec lui aujourd'hui, c'est certainement qu'il avait au moins un peu planifié que nous allions faire quelque chose ensemble. Je ne pus m'empêcher de constater que c'était la même marque que celui de Tom et je me surpris moi-même de me rappeler d'un tel détail. Je me demandai s'il en avait emprunté un à son frère.

Alors que j'étais en pleine réflexion concernant l'origine et l'histoire de ce petit bout de plastique, il l'avait déjà enfilé et revenait sur moi. Mais bizarrement, j'avais du mal à me re-concentrer sur l'instant présent maintenant que j'avais été coupée dans mon élan et que mes pensées s'étaient focalisées sur autre chose. J'étais malgré moi en train de me remémorer de ma nuit avec Tom, et même si ce n'était que des pensées, j'avais l'impression que c'était fort malsain.

Il se remit sur moi dans le lit et ses baisés passionnés tentaient de replacer toute mon attention sur lui. Je n'étais plus dans le même état d'esprit et je commençais presque à avoir des doutes. Mais pas lui.

Il s'installait entre mes cuisses, et capturait ma bouche de la sienne. Je me perdais dans ses baisés, et laissais ses mains me parcourir à nouveau. La tendresse et la douceur avec lesquelles il s'appliquait à caresser mon corps me rappelaient pourquoi j'avais attendu cette nuit avec tant d'impatience. Mes mains dans son dos le retenaient tout contre moi. Je le sentais tremblant de désir, et sa respiration haletante m'excitait plus que tout.

Il rouvrit les yeux et connectait son regard au mien avant de doucement s'enfoncer en moi. Un gémissement échappa mes lèvres et je le serrais plus fort contre moi alors qu'il faisait de lents va-et-vient.

Bill en murmurant à bout de souffle : Je t'aime.
Allison : Moi aussi.

Je suis persuadée que nous autres humains sommes tous désespérément seuls et que toute notre existence on la passe à chercher l'autre, à essayer de se sentir un peu moins seul pour se rassurer. Et finalement, l'unique instant où l'on a l'impression d'être complètement en phase avec quelqu'un c'est pendant cet acte, lorsqu'on est totalement relié - physiquement et spirituellement - à un autre être. Lorsqu'on ressent exactement ce que l'autre ressent avec une telle intensité, c'est comme si le temps s'arrêtait juste pour nous deux qui ne formons plus qu'un.

Super, comme d'habitude, continue !

wouah, c'etait super, et ça valait la peine d'attendre, pour quelqu'un qui ne savait pas trop comment faire avec Bill tu t'en sors vraiment tres bien, c'est juste parfait, je dirait même exquis!
tu as bien travaillé alors prend ton temps pour la suite, lol

NB: le fait que Bill le prennne si bien qu'Allison ai couché avec son frere jumaux, chuis pas sure que ça marche aussi bien dans la vrai vie, lol, alors les filles un conseil ne couchez pas avec le frere de votre copain!!!

Merci :--)

Juste une remarque : Allison a couché avec Tom bien avant d'avoir la moindre relation avec Bill, elle n'a donc rien fait de mal sauf de ne pas lui en avoir parlé tout de suite mais c'était quand même personnel et délicat... et Bill le savait dès le départ, donc pour lui rien de surprenant ou choquant, c'est du passé.

LOL comme tu prends sa defense, c'est toi allison!???!!

nan je plaisante c'est juste que je pensais que tu nous ferais vivre une petite crise au moment de cette annonce, histoire de nous faire flipper et nous laisser dans l'angoisse d'une rupture avant une nuit d'amour lol

lol... ben il y a forcément un peu de moi dans Allison, c'est mon personnage féminin...

Mais là, si j'ai décrit un Bill calme et compréhensif face à cette annonce, c'était surtout pour des raisons de crédibilité, je ne pense pas que le vrai Bill aurait flippé, puisque de toute façon il était déjà au courant. Et pour la suite, c'est important que je pose les choses comme ça... mais je te rassure, tout ne va pas rester tout beau tout rose... forcément, sinon je n'ai plus rien à écrire !!! lol

A OUI super comme dab Emillie continu !!

C'était magnifique ! J'ai beaucoup aimé ! C'est dingue, la façon dont tu écris fait que je ressens exactement la même chose que tes personnages : quand Allison se "déconcentre, ça m'a fait le même effet, du coup j'ai ré-entendu la télé alors que jusque là, j'étais tellement absorbée par l'histoire que j'avais occulté tous les bruits qui m'entouraient, j'étais dans ma petite bulle et d'un coup PAF ! lol :--)

En tous cas continue comme ça, c'est un régal !