Voila deux épisodes pour vous !
Dans le dernier épisode :
- Salut, Chouchou ...
Nos deux têtes se retournèrent brusquement. Mais... Je reconnus cette fille. Il s'agissait de l'ex de Gustav. Comment l'avait-elle retrouvé ? Comment ici même ? Je n'arrivai pas à le croire. Je restais bouche bée à observer la scène. Dire que j'étais à deux doigts de me mettre avec lui. Gustav, lui, se leva et s'approcha d'elle [ Grrrrr :-((( ] et l'enlaça pour ensuite lui faire la bise. Puis il dit :
- Comment m'as-tu retrouvé ici ? à Paris ? Surtout dans cet hôpital ?
Elle me dévisagea : je lui lançais alors des regards noirs puis elle répondit :
- Pour être franche, je t'ai suivi jusqu'à l'aéoroport de Berlinn, j'ai pris un billet, arrivée à Paris, j'ai appellé un taxi qui me conduisit jusqu'à toi.
Elle me dévisagea encore une fois. Gustav le remarqua puis répliqua :
- Je te présente, mon amie, Sarah
- Salut [ s'adressant à moi puis à Gustav ] Elle est avec toi ?
- Euh non, nous sommes juste de trés bons amis, rien de plus.
Je le regardai soudain avec de grands yeux. Il me lança un regard puis baissa la tête vers le sol. La grosse blonde romput ce silence soudain :
- Au fait, je peux te parler ? demanda-t-elle en me regardant d'une façon bizarre.
- Parle devant Sarah, je n'ai rien à lui cacher, répondit-il
Je me sentis un peu mieux malgré les bêtises qu'il a dit. La grosse blonde, désolé je lui ai trouvé un surnom très approprié pour elle, prononça :
- Je t'ai suivi, parce que je t'aime toujours, je ne peux pas t'oublier comme ça...
Moi contente, je fus sûre et certaine de sa réponse mais ...
- Ecoute, j'ai bien réfléchi. Je veux que l'on soit à nouveau ensemble.
QUOI ??? Il allait m'embrasser, il y a encore quelques minutes et maintenant il se tape cette espèce de Paris Hilton miniature qui n'a franchement rien de particulier excepté sa volumineuse poitrine et son large derrière. Elle se jeta soudainement sur lui. Il la porta puis ils s'embrassèrent langoureusement. Moi qui étais là, j'étais prise pour un mur. Dès qu'ils se détachèrent, Gustav remarqua finalement de ma présence et demanda à " Miss Kathelin ", qu'est-ce que je peux détester ce prénom désormais, de sortir car il voulait ENFIN me parler. Il surveilla bien qu'elle fut sortie puis commença à parler :
- Franchement, tout à l'heure, j'allais faire une bêtise de t'embrasser. Je ne veux pas rompre cette amitié solide car c'est très important à mes yeux. Et puis, j'ai toujours aimé cette fille.
Assez surprise de sa réaction je lui dit :
- Laisse, ce n'est rien. Moi aussi j'allais faire une bêtise et à l'aéroport, j'ai aussi dit une bêtise. Tu es l'un de mes meilleurs amis et je veux pas te perdre pour une aventure qui devait se finir un jour ou l'autre...
- Tant mieux. Je ne veux pas qu'il y ait de malentendus entre nous.
Je sais que je mens. Et il s'est rétracté. Mais si c'est pour lui faire plaisir alors... Je décidai malgré tout cela d'engager la conversation :
- Juste une question : comment as-tu su où j'habitais ?
- Un numéro bizarre : euh je crois que c'est le 118 218.
Je ris légèrement. Mais au fond de ce qui restait de mon coeur, je saignais encore plus. J'ai beaucoup trop souffert...
Côté Gustav :
Je la regardai et je fis semblant d'aimer Kathelin. Je me suis rétracté. Quel con je suis. De plus, Kathelin n'est plus rien et je lui ai dit que je l'aimait. Comment se fait-il ? Je lui dis enfin :
- Je dois y aller. Il faut que je retrouve le groupe à l'hôtel. Elle me fit un signe de la main et je partai de la chambre. Je pris la main de Kathelin et j'avançai en pensant que j'étais un véritable nul...
Dans le dernier épisode :
J'avançai en pensant que j'étais un véritable nul...
Côté Sarah
1 semaine était passée. Je fus rétabli de mon attaque. Et Gustav était toujours avec cette pimbèche du nom de Kathelin. OH ! Qu'est-ce que je peux la détester ! Nous sommes sortis plusieurs fois tous les 3 mais je ne supporte pas de la voir avec elle. Cela me mettait en rogne. Puis j'ai rencontré les autres membres, très gentils et très amicaux. Dès que la grosse blonde désirait parler avec son " Chéri ". Je restai avec eux. Ils me faisaient délirer...
Côté Gustav :
Sarah et Kathelin étaient reparties de l'hôtel. Je retournais dans la chambre dans laquelle se trouvait Bill, Tom et Georg. Dès qu'ils me virent ils me demandèrent en coeur :
- Tu aimes Sarah n'est-ce pas ? Alors pourquoi tu restes avec l'autre, Kathelin ?
Ils avaient deviné. Je ne savais quoi dire. Mais Bill expliqua l'histoire en détail que je lui avais confié C'est un vrai ami, il me comprend, c'est sur. Mais il me trouve assez fou de dire que j'aime une fille que je n'aime pas et de ne pas dire que j'aime une autre fille que j'aime. Tom et Georg me regardèrent avec des yeux globuleux puis vinrent me consoler comme ils le pouvaient. Il fallait absolument que je réagisse. Kathelin était repartie pour l'Allemangne. Je décidai de lui envoyer un sms :
" Salut, je ne peux plus rester avec toi. J'aime vraiment Sarah et toi je suis désolé de le dire mais tu es une vrai pimbèche de ta sorte.
Adieu "
C'était assez méchant mais cela m'en est égal. J'appellai en vitesse le van et je parcourus la sublime ville de Paris jusqu'à arriver devant la porte de son appartement. Je toquai alors 5 fois. Puis elle ouvrit. Elle était assez surprise de me voir je commençais alors par lui dire :
- Salut, je peux entrer, il faut que l'on discute.
Il commençai alors par avoir un orage. Elle me répondit :
- Non, tu ne peux pas. Parlons dehors.
- Mais il va y avoir un orage...
- M'en fiche un peu, répliqua-t-elle, et puis écoute si c'est pour me parler de Kathelin, tu peux rentrer dans ton stupide hôtel.
- Quoi ?
- Mais tu es vraiment un garçon con. Désolé de te dire cela mais c'est vrai. Je veux juste ajouter quelque chose : tu savais que je t'aimais et que je t'aime toujours mais toi tu n'as rien d'autre à faire que de te taper les sal**** du coin.
Côté Sarah :
J'allai claquer la porte mais un bras m'en retint. Les larges gouttes d'eau tombèrent le long de nos visages. À peine que je me mettais à l'air que je fus toute trempée ainsi que Gustav. Il me dit :
- J'ai rompu avec Kathelin car je... Je t'aime !
- Mais, je...
- Chut... me murmura-t-il
Il s'approcha de moi et déposa un baiser dont la sensation fut d'une délicatesse extrême. Un frisson me traversa le corps comme la sensation d'avoir reçu mon premier baiser. Puis il rit, nous voyant mouillés. Puis nous recommençâmes cela pendant de longues heures sous la pluie...