[Fanfic en cours] G0ssipGirl.de

très bizarre mais j'aime^^

Bravo, vous m’avez adressé la parole.
Mais je ne vous oublie pas.
Je ne ment jamais.
Je tiendrais ma promesse, bientôt.
Nympha.

….

E : Alors, ces recherches ?
T : On lui a parler, mais elle a raccroché.

Je me mis à rire.

T : C’est pas drôle.
E : Tu as l’air tout dépité.
B : Enfin, elle nous à promis qu’elle se monterais bientôt.
E : Bonne chance.
B : Pour ?
E : Tu as dis que c’était une pétasse, donc bonne chance avec elle.
B : Merci…

Franky vint vers moi en courant.

F : Big fête chez Martin ce soir !
E : Cool.
F : Vous êtes aussi invité les jumeaux.
B : Tant mieux.
F : Pourquoi ?
B : Nympha sera sûrement là aussi.
T : Pas con !
B : D’office, le con, c’est toi.
T : Dis, tu dois respecter ton grand frère.
B : Pour 10 minutes !
T : Ca fait quand même dix minutes !
E : Dites, les crétins vous avez pas bientôt fini ?

J’aime pas quand on crie dans mes oreilles.

B : Pardon ?
E : « Dites, les crétins vous avez pas bientôt fini ? » Dis-moi quel mot tu comprends pas, je te l’expliquerais.
T : C’est qu’elle est insolente en plus…
B : Tu sais ce qu’on fait aux filles comme toi ?
E : Non…

En moins de deux secondes, je me suis retrouvée à terre, explosée de rire à cause des deux crétins qui me chatouillaient.

Franky : Ils se sont bien trouvés ceux-là.
T : Quoi ? Tu es jalouse ?
F : Non, je m’en passe, merci.

Je me suis relevée quelques minutes plus tard, aidée par Bill.

E : Bon, on se voit ce soir alors.
B : Je viens te chercher ?

Ca veux dire quoi ça ?

E : Ok. Ben Tom passe aussi parce que je serais avec Franky.
T : Okey.
E : A c’soir.

…

Comme ça le joyeux peuple se rend à une fête ce soir ?
Attention, ne faites pas les crétins.
Je veille sur vous.
Bon amusement.
Nympha.

Aujourd’hui :

- Lizzie et Josh sont officiellement ensemble. Ils ont échangé leur salive pendant tout le temps de midi, s’en était d’un pathétique alarmant. Mais c’est peut-être simplement parce que je sais qu’il sort avec une fille de l’école Garten. OoPss…c’est sortit tout seul =)
- Jordan a passé l’aprem a décollé les chewing-gum de sous les banc. Draguer son prof principal à des conséquences, sachez-le.
- Franky portaient des boucles Chanel. Faut dire que depuis que son papa est devenu millionaire, ça ne se prive plus.
- On a vu Martin dealer derrière l’école. Ca devient n’importe quoi. Enfin, maintenant, tout le monde le sait.
- Tabatia et Marina ont décidé de se lancer dans la musique. Titre de leur première chanson ? « Je t’aime ». Apparemment, les chanteuses stupides existent toujours. Des nouvelles Spice Girls ? Je miserais plus sur les Anonymes girls. Mais bon…

…

On sonne. Ca doit être les garçons.
Effectivement.

E : Entrer.
B : Woaw, vous êtes toute belle !

Ca, on le savait. Je porte un jean déchiré avec un débardeur noir de plus banal.
Oui, mais je suis une bombe, ça comble le manque d’excentricité.
Franky porte un haut qui dévoile légèrement son nombril beige de chez D&G et un pantalon taille basse noir qui doit venir de chez Chanel ou un truc dans le genre.

E : Merci.
F : Merci.
T : On y va ?
E : Oui. Je vais chercher mon téléphone et j’arrive.
B : Toujours au téléphone toi !
E : Non, c’est ma mère qui veux que je l’ai sur moi. « Au cas où on voudrait te violer ». Genre, comme si j’allais dire au mec : « Attend, je téléphone à ma mère pour la prévenir que je me fais violer et puis tu peux continuer ok ? ».
B : J’avais jamais vu ça comme ça.
T : Tu es avec des mecs forts, tu peux pas te faire violer.
F : J’espère que tu parlais pas de toi. Ni de Bill.
T : Merci…
E : Tu viens de leur casser tous leurs rêves…
F : Autant qu’ils se rendent compte tout de suite que c’est impossible.
B : Ouais ouais…on va être en retard.

...

la suite !

j'adore!
c'est trop délire!!

Moi par contre comme je lit des 10aine de fic jme rappelle plus trop quelq'un pourrais la resumer svp

Trop délire continue!!
J'ai hate de lire la suite !!

J'adore les petite commentaires qu'elle fait, en gras X)
Continue!

la suite c'est exellent sa me fait débloquer mdr

La fête était…géniale. Surtout pour une gossip comme moi mais aussi pour toutes les petites gossip que j’avais formé. Je les regardais du coin de l’œil à veiller comme moi. Mes précieux informateurs.
Que serais-je sans leur 200 mails par jours ? Je sais pas. Certes, cela demande un tri constant des fausses infos mais bon…c’est ce que je fait le mieux non ?
Parce que après tout…ça fait tellement de bien de dire du mal…

B : Youhouuu !
E : Quoi ?
B : Tu m’écoutes quand je te parle ?
E : Non.
B : Ok…
E : Je rigole.
B : Tu veux boire quoi ?
E : Bière.
B : Deux bières s’teplait. Ca arrive souvent les fêtes comme ça ?
E : Ouais…et après…
B : Après quoi ?
E : Nympha en parle pendant des jours.
B : J’avais oublié, c’est vrai qu’elle doit être là.

Oui, juste ici. Souris, on te regarde !

E : A ton avis, elle est comment ?
B : Moche et grosse. Faut être comme ça pour être à ce point jaloux.
E : J’y avais pas pensé.

Sauf que moi, je suis une bombe, raté.

E : Ton frère est toujours aussi…entreprenant ?

Je lui ai montrer les exploits de son frère sur la piste.

B : Ca c’est Tom. Je suis pas comme ça.
E : C’est vrai…pourquoi tu vas pas draguer ?
B : J’ai une fille sublime à côté de moi, ça me suffit.

Arrête, tu me fais PRESQUE rougir.

E : Merci…
B : De rien. Je t’inviterais bien à danser, mais je danse très mal.
E : Viens.

Je l’ai emmené à travers l’immense maison de Martin. Ce mec est vraiment trop friqué.
Je connais sa maison par cœur. En fait, j’ai un plan de toutes les maisons que j’ai pu visiter ou qu’un de mes informateurs à visité. C’est excellent.
Apparemment, Martin avait évité de dire aux gens qu’il avait une piscine en bas. Mais moi, je le sais.
Que c’est bon d’être moi.

B : T’es sûre qu’on peux ?
E : Martin ne dira rien. Il m’aime bien.
B : ha ?
E : Mh mh.

Martin m’aime bien car grâce à moi il a réussi son examen d’anglais.
Alors, il va s’en foutre.

B : Mais pourquoi on est la ?

Ouais, pourquoi ? Je suis sensée observer les gens d’en haut moi !
Enfin, des petites vacances me feront pas de mal.

E : On se baigne ?
B : Habillés ?
E : Met toi en calbut!
B : Et toi ?

Pour toute réponse, j’ai enlevé mon T-shirt.

B : Ok.
E : Pas la tête dans l’eau.
B : Ouais, maquillage, je sais.

Faut qu’on reste présentable.
Enfin, si on nous trouvait à l'instant, j'aurais du mal à croire qu'on ait quelque chose de présentable...
On descends doucement dans l’eau.

E : c’est froid.
B : Chochotte !
E : Tu peux parler, tu as la chair de poule !
B : J’avoue qu’elle est pas chaude.
E : Je me lance.

Je commence à nager.
Bill me rejoint.

B : Purée, c’est quoi cette idée ?
E : Ca te plait pas ?
B : Si, mais c’est froid.
E : Ho tu as froid ?
B : Ouais…

Il dit ça tout en prenant une de mes mains et en me tirant à lui.

B : Pas toi ?

Non…enfin, j’avais froid. Mais la, je dois devenir rouge. Pourquoi moi bordel ?

E : Si.

Toujours aussi bien !! ^^

Suite !!!

souite souite souite

suite !

jolie suite... =D

rah...c'est mignion!!

nan mais tu peut pas nous faire sa malgrès que je suis déja entrain de mimaginer la suite tu ne peut pas t'arreter comme sa s'il te plait !!!!!!!!!!! est pitié nan je déconne nan mais si tu pouvais mettre la suite stp se serait génaile !!

J'avais pas rattrapé mon retard: maintenant c'est fait. Super ta fic mamie =)

… : HE !
E : Salut Adrien.
A : Vous foutez quoi dans ma piscine ?!
E : On se baigne…
A : Tu sais ce que je te dit…
E : Ouais, ça va. Ta piscine est privée, blablabla…

Les mecs comme Adrien, ils vous pourrissent la vie comme un poisson pourri tue l’odeur d’une pièce.
En gros, c’est le genre de mec qu’on a envie de tuer, si seulement on osait approcher à moins de 3 mètres de lui. Parce que avec ses deux mètres et sa carrure de RugbyMan….

On est sortit. Piquant au passage des serviettes à Adrien, un peu furieux mais je lui adressa mon regard-qui-veux-tout-dire. On se rhabilla correctement et on se rendit dans la partie « publique » de la maison.
Adrien m’attrapa par la taille pour qu’on aille danser. Un signe de la main à Bill et je part sur la piste.
Il est con Adrien. En plus, il pue l’alcool. Il esquisse un geste pour m’embrasser mais je fais la manœuvre de défense numéro 8 : « J’ai soif ! ».
Il hausse les épaules. Pas perspicace le mec…
Alors, je lui murmure quelques mots à l’oreille. Et il me lâche. Je pars avec un petit sourire. Et me jette dans un canapé à côté de Bill qui scrute les environs.

E : J’ai cru qu’il allait me manger.
B : Moi aussi, comment tu as fait pour qu’il te lâche ?
E : Je lui ai dit un truc.
B : Quoi ?
E : Que tu étais mon copain.
B : QUOI ?
E : Que tu étais mon copain.
B : On doit le convaincre ?
E : Je sais pas. Peut-être.

Il me regarda un instant dans les yeux. Et avant que je puisse me rendre compte de ce que je venais de dire, ses lèvres touchaient les miennes. S’en emparaient. Se les appropriaient.
Puis, il se retira doucement.

B : C’est bon la ?
E : Heu…
B : Attends, on sait pas au cas où il est pas sûr.

Il passa sa main autour de ma taille, m’attirant un peu plus à lui. Ses lèvres assaillent les miennes faisant tomber les derniers remparts entre nous deux.

B : Ca va ?
E : Ouais.

Je me suis levée, je suis partie me prendre un verre.
Croisant Tom qui faisait des exploit avec une blonde dans le couloir.
Un verre de bière et une cigarette plus tard. Je suis d’attaque.
Des mains me saisissent par derrière.

E : Salut Adrien.
A : Le petit nouveau hein ?
E : Mmmmh…
A : Ca me donne encore plus envie de goûter tes lèvres.
E : On m’appelle…Salut.

Putain, lourd le mec.

SUITE !