[Fanfiction en cours] Une vie

Tom : Alors comme ça je suis ton copain ? Demanda-t-il avec une lueur
dans les yeux, mais pas un leur « positive ».
Moi : A bon j'ai dit ça moi ? T'as du mal comprendre je crois !
Tom : Oh que si, j'ai très bien entendu. Tu devrais plus te servir de
moi comme ça parce que malgré le fait que tu ne soit pas sexy, ben t'embrasse
comme une tigresse toi ! J'ai beaucoup aimé... rajouta-t-il avec un
sourire en coin, un sourire déplacé.


Je ne sais pas vraiment pourquoi ni comment j'ai pu faire ça, mais ma
main pris seule l'initiative de se déplacer en un point. Et avec une grande
vitesse, elle atterrit sur sa joue.


Moi : Laisse moi tranquille ! Je suis pas une pute ! Sur ce, au revoir !


Alors que je pris la direction de ma chambre, je sentis une main me
retenir par le poignet. Je me retournai et vis que c'était Tom.


Tom : Excuse moi, pardon je voulais pas dire ça.
Moi : je sais pas, je verrais.


Il libéra mon poignet et je rentrai dans ma chambre. Je ne sais pas
quoi faire. Anaïs est devenue folle à l'idée de la présence de certaines
personnalités, Raphaël est ici et j'embrasse Tom qui ne me repousse
pas. Je ne comprend plus rien. Qu'est ce que tu ferais à ma place
Anna ? Aide moi, je suis perdue là.
Mais le vibreur de mon portable me fis sortir de ma réflexion.


Moi : Allo ?
Voix : Myliane ? C'est maman.
Moi : Oui ?
Maman: écoute, j'ai une mauvaise nouvelle à t'annoncer, c'est Michel....
Moi : Non ! Me dis pas qu'il ...
Maman : Si, je suis désolée de t'annoncer ça par téléphone ...
Moi : Non, c'est pas possible, il avait l'air super bien, en bonne santé !
Maman : Oui je sais. Je suis aussi désolée, mais il faut que tu viennes,
ton père et moi partons tout à l'heure pour Arcachon. Prends un billet
et viens directement à Bordeaux, ton grand père viendra te chercher
là bas.
Moi : D'accord ... réussis je à dire la gorge serrée.
Maman : Courage, on se retrouve bientôt. Bisous.
Moi : Bisous.


Je raccrochai et fondit en larmes. Encore quelqu'un qui disparaît,
encore une personne que j'aime qui s'en va. Mais qu'est ce que j'ai fait
pour mériter ça ? ...

Je vois mon train entrer en gare. Il s'arrête et je pénètre à l'intérieur,
ma valise à la main et les écouteurs de mon mp3 dans mes oreilles.
J'ai laissé un mot à Anaïs dans lequel je lui explique que je m'en vais et
pour quelle raison, elle n'a qu'à aller au concert sans moi puisque
je ne pense pas que je serais rentrée à temps pour y aller avec elle.
Je lui ai glissé la lettre sous sa porte et je suis partie furtivement.
Me voilà dans ce train en direction de Bordeaux, je n'ai pas vraiment
envie d'y aller, mais c'est un devoir de mémoire et de soutien que je
dois faire. Michel, c'est le frère de ma grand mère, décédée elle aussi ;
je le considérais tel un grand père. Il aimait rire, la pêche, faire la fête
avec ses amis, il croquait la vie à pleine dents. Mais il y a peut de temps,
il a commencé à se paralyser peu à peu, puis il est entré dans un court
coma, et il s'en est allé. Il entame un long sommeil, un sommeil dont on
ne sort jamais.


Le temps passe, une dame vient me proposer de quoi manger
mais je ne prend rien, je n'ai pas faim, je n'ai pas d'appétit. Les heures
défilent, on arrive à la gare de Bordeaux. Je voit mon grand père et
me blottis contre lui pour y déverser des larmes qu'il sait arrêter,
puis nous rentrions à la maison. À peine arrivés, je prend mes affaires
et vais dans ma chambre où je m' affale sur le lit et éclate en sanglots.
Mes parents vont bientôt arriver eux aussi, mais je m'endors avec le
goût salé des larmes.


Quand je me réveille, je regarde mon portable et voit que j'ai 27
appels manqués et 24 nouveaux messages, tous de Anaïs mais je n'y
répond pas. Aujourd'hui, ce sont les obsèques de quelqu'un qui m'est
cher.
Habillée que de noir, je descend, dis bonjour à tout le monde
et nous partîmes ensemble, mon grand père, mes parents et moi en
direction du funérarium pour le voir une dernière fois avant que le cercueil
ne soit scellé. Du monde arrive peu à peu, et peu à peu, mes larmes
refonds surfaces sur mon visage. Puis tout le monde est dirigé vers
l'église où la messe, sa messe, est célébrée, là où nous lui rendons
tous hommage. Je dois lire un texte, mais je n'y arrive pas, ma gorge
me fait mal tellement j'ai envie de pleurer, mais je le lis quand même,
même si je pleur devant tous ces gens, je le fini. Mais n'en tenant
plus, je sort de l'église, et le vent froid de l'océan qui se déchaîne
s'abat sur mon visage, je regarde l'horizon, au loin, au dessus des eaux
troubles de cet océans qui a bercé ma jeunesse.
Je sent une main se poser sur mon épaule, je me retourne et je les
vois, il sont venus, pourquoi ?

Je sent une main se poser sur mon épaule, je me retourne et je les
vois, il sont venus, pourquoi ? Mis à part Anaïs, je ne les connais
que depuis peu.


Anaïs : ça va aller ?
Moi : Tu crois que j'ai l'air bien ? Les larmes inondant de plus belle
mon visage.


Elle me pris dans ses bras et me réconforta comme le fait une meilleur
amie, elle est toujours là pour moi quand j'ai besoin d'elle, ça fait du
bien de savoir que l'on a quelqu'un sur qui l'on peut compter.


Moi : Pourquoi t'es venue ? Et pourquoi ils sont venus eux aussi ?
Anaïs : Ben déjà, je suis venue parce que t'as besoins de moi, je l'ai
sentis. Tu sais, quand j'ai vu ta lettre, j'ai pris peur, parce que la dernière
fois que tu m'avais fait ce genre de mot, le soir même tu t'es ouvert
les veines alors j'ai un peu hurlé de terreur...
Bill : ... et comme on était tout les quatre dans la chambre d'en face
en train de discuter, on a tout de suite entendu le cri. Gustav s'est
précipité dans le couloir et nous on le suivait, il s'est mis à tambouriner
sur la pauvre porte (lol) et Anaïs est venue nous ouvrir la lettre à
la main. Et elle nous a expliqué ce qu'il se passait.
Gustav : Elle voulait absolument venir te rejoindre ici.
Tom : Et comme on savait que c'était toi et ben on est venu ensemble.
Georg : Et après, tu viendras à notre concert pour te changer les idées,
faut pas que tu te renferme sur toi même.


Je savais qu'ils étaient super sympas comme personnes, mais j'étais
loin de m'imaginer qu'ils l'étaient à ce point. Mais la présence de ces
quelque personnes me fit plaisir, c'est comme si un feu doux réchauffait
mon coeur, et une sorte de sérénité emplissait mon esprit.


Moi : Merci, merci d'être venus.


C'est à ce moment là que les portes de l'église s'ouvrirent et que les
personnes sortirent. Stéphane, le fils de Michel vint me voir et me remercia
d'avoir lu pour son père. Puis tout le monde partis en direction du cimetière
ou sera inhumé le défunt. Arrivés là bas, Anaïs et les garçons restèrent
en retrait et ma laissèrent y aller avec le reste de la famille. La cérémonie
finie, je rejoignis mes amis. Je pense que si Anaïs n'était pas venue,
j'aurais fait la même bêtise que la dernière fois, et je crois que cette fois
ci j'aurais fait en sorte de ne pas m'en sortir. Mais elle est là, avec eux,
c'est tout ce qui compte et je leur en suis reconnaissante.

Nous étions tout les six assis sur la plage, face à l'océan. Personne ne
parlait, seul le clapotis des vagues venant s'échouer sur le sable se
faisait entendre. Le soleil déclinait au loin, et plongeait au coeur des
eaux à l'horizon.
Je m'étais mise en retrait par rapport aux autres, plus proche de
la berge. J'étais vide, vide de toute émotion, vide de toute sensation,
vide de tout sentiment. Aucune pensée ne venait effleurer mon esprit. J'étais
bien, dans ces moments là, la solitude est me procure un bien être intérieur.
Je sentis une main se poser sur mon épaule, c'était Anaïs. Elle s'assit
à mes côtés puis me dit.


Anaïs : ça va mieux ?
Moi : Oui, le plus dur est passé, et puis vous êtes là, c'est super
sympa d'être venus.
Anaïs : Quand j'ai vu ta lettre, j'ai tout de suite su qu'il fallait que je vienne,
que t'avais besoin d'un soutien.
Moi : Merci, tu sais toujours ce qu'il faut faire toi, j'ai de la chance
de t'avoir.
Anaïs : Par contre, qu'est ce que tu leur a fait aux garçons ?
Moi : Pourquoi ?
Anaïs : Ben parce qu'ils ont absolument tenu à venir. Quand je les ai vu
j'ai quand même été surprise, mais j'ai repensé à ce que tu m'a dit, et je
suis restée moi même. Après tout c'est vrai, ils sont comme tout les
autres. Mais je me demande bien ce que tu leur a dit de particulier
pour qu'ils tiennent autant à venir te voir.
Moi : Pourtant j'ai rien dit et rien promis, on avait juste discuté.
Anaïs : T'es sûr ?
Moi : Mais oui ! Puisque je te le dis !
Anaïs : Bon ben si tu le dis alors, c'est que c'est vrai ^^. Au fait, ça
fais quoi alors d'avoir des amis comme eux ?
Moi : Ben rien de spécial. Et je me mis à rire, tout comme elle.


Ça me fis de bien de rire, ça m'a permit d'évacuer toute cette
douleur, et de penser un peu à autre chose.


Bill : On a bien fait de venir, c'est beau l'océan.
Tom : Oh tu pense qu'à tes vacances toi ! Tu vois pas qu'elle a besoin
d'être soutenue !
Georg : Arrêtez de vous engueuler vous deux ! On est pas là pour ça !
Gustav : Et d'ailleurs je me demande pourquoi Tom a absolument
voulu que l'on vienne la voir.
Bill : Il serait pas un peu amoureux le p'tit Tom ?
Tom : Mais arrête ! C'est n'importe quoi !
Georg : Vos gueules les Kaulitz !


Georg avait dit ces mots avec une voix forte et portante, ce qui fit
se retourner les filles vers leur direction avec des regards surpris.

J'adore, ta fic, je te shouaite bonne chance pour la suite
je trouve, que tu as le petit truc en plus que certaine fic n'ont pas (notament les miennes -_-"), je ne dit pas que les autres ne sont pas bien, au contraire, mais la tienne, je c'est pas... J'aime, ce petit truc, je ne sais pas se que sais, mais bon, Continue ^c^,

alors là j'adore!!
vraiment continue!
mais je la comprends pas avec Tom...bref!
suite!!

leitizia a écrit:

J'adore, ta fic, je te shouaite bonne chance pour la suite
je trouve, que tu as le petit truc en plus que certaine fic n'ont pas (notament les
miennes -_-"), je ne dit pas que les autres ne sont pas bien, au contraire, mais la tienne,
je c'est pas... J'aime, ce petit truc, je ne sais pas se que sais, mais bon, Continue ^c^,

Si tu trouve l'histoire attachante, c'est peut être que mise à part le détail Tokio Hotel,
cette histoire, l'histoire de Myliane c'est une peu la mienne, 95% de sa vie est en fait
ma vie, celle que j'ai vécu jusqu'ici. Je me sert des éléments réels de ma vie pour écrire
cette fiction.

Voilà !

Gros bisous à tous et à toutes !

PS : Pour la "relation" de froid entre Myliane et Tom, vous comprendrez pourquoi elle
le repousse comme ça dans le prochain chapitre et bien celui d'après.

oki, moi aussi j'écrit un peu de vécu mais, sa fait pas la meme chose --", jedoi mal décrire, de toute façon ma 3eme fic sera mieux.... bon revenon au sujet principal, Ta FIC!

Ben si on revient à ma fic,
certaines personnes disent que j'ai cerné le personnages, mise à part Tom que j'ai fait
un peu "méchant" ^^.
Mais bon, j'aime être sadique ^^.
Et puis tu sais, c'est ma première fiction et c'est la première fois que je m'engage dans
un travail décriture comme ça ^^.

en tout cas il est réussit ton travail d'ecriture lol , j'aime bien

merci ^^
ça fait plaisir de voir que ce qu'on écrit est aprécié ^^

Tom était redescendu tout de suite après rejoindre les autres, ces derniers avaient
tous les quatre l'air ébahit, surpris et effrayé. En apercevant son frère, Bill réagis au quart
de tour.


Bill : Tom ! Qu'est ce que t'as foutu encore !?
Tom : Mais j'ai rien fait cette fois ci ! Tenta il de se défendre.
Bill : Alors explique nous pourquoi elle est partie comme ça !
Tom : J'ai juste voulu être sympa avec elle pour me rattraper de mes conneries
passées mais elle, elle m'a totalement envoyé balader et s'est enfuie je ne sais où !
Gustav : Tu pourrais pas être plus précis sur le «sympa» ?
Tom : Ben je suis allé la voir pour lui demander si elle allait mieux puis je me suis
rapproché d'elle alors qu'elle avait le dos tourné et je l'ai prise dans mes bras par
derrière et ...
Anaïs : Oh le con !


Sur ces mots, Anaïs prit le même chemin que Myliane hâtivement, laissant en plan
les garçons.




Je cours vers la plage, mes larmes inondent une fois de plus mon visage. Je pleure.
Encore et encore. Pourquoi tout ces souvenirs me hantent ? Ils pourrissent
ma vie tout les jours. Tous ces malheurs, tous ces événements, pourquoi faut il que
ça m'arrive ?
Pourquoi faut il que ça n'arrive qu'à moi ?
A force de
courir, je me retrouve sur la plage où je me laisse tomber sur mes genoux, les mains
agrippant le sable et ma tête plongée en avant dans le vide. Et je me vide de toutes
mes larmes. Jusqu'à ce que je sente la présence d' Anaïs à mes côtés. Cette dernière
me prit dans ce bras où j'y déverse encore plus fort le flot de mes larmes.


Anaïs : Chuuuuuut .... Là ..... Ça va aller ma chérie ...... Il ne savait pas ....
Il ne peut même pas s'en douter .... dit elle d'une voix réconfortante.
Moi : Je ... Je sais .... Mais c'est trop dur ....
Anaïs : Tu devrais leur en parler, au moins à lui, il a essayé d'être super gentil avec
toi, et toi, ben tu l'as envoyé gicler ^^.


Cette façon qu'elle a eu de dire ces paroles me décrochèrent un sourire.


Moi : Tu sais, tu es la seule à savoir pour ce qu'il s'est passé ... même mes parents
ne le savent pas ...
Anaïs : Raison de plus pour lui dire. Il se demande ce qu'il se passe le pauvre.
Moi : Je vais lui dire alors.
Anaïs : Bonne résolution ^^ ! Allez viens, on rentre.

QUOI???
lui dire quoi???
c'est a propos de sa soeur jumelle nan??
elle était fan de Tom??
nan je sais pas!!
suiteeeeeeeeeeeeeeeee!
stp!

ahahahaha !!!
non c'est pas ça ^^ !
et puis je pense que celui ou celle qui trouve ben l'est balèze mdr !
bsx

roh...
bah comme ça c'est SURPRAÏSE!
dipiche!

salut les gens !
juste pour vous dire que je vous met la suite demain !


gros bisous et merci de lire ma fic et pour vos messages!

bon... on et Demain...

leitizia a écrit:

bon... on et Demain...

N'ayant pas assez de place dans la maison pour héberger tout le monde,
les garçons avaient réservé des chambres dans l'hôtel juste à côté. Je me
retrouvai donc devant celle de Tom. Après hésitation, je frappai. Une
voix, celle de Tom retentit.


Tom : C'est qui ?
Moi : C'est moi, Myliane...


J'entendais des bruits de pas se rapprocher, puis la porte s'ouvrit laissant
apparaître Tom. Ce dernier dit, le regard triste mais furieux.


Tom : Qu'est ce que tu veux ?!
Moi : Je suis vraiment désolée pour tout à l'heure. Je voulais pas réagir de
cette manière là. C'était un réflexe ...
Tom : Oui mais tu l'as fait !
Moi : Laisse moi au moins t'expliquer ...
Tom : Ben vas-y, j'écoute !
Moi : Je préférerais que l'on soit au calme.
Tom : J'ai compris, entre.


Il se poussa et me laissa rentrer. Il referma la porte, s'assit sur le lit et
m'invita à en faire de même à ses côtés. Mais j'optai pour le fauteuil juste
en face de Tom.


Tom : Alors ?


Je commençai alors mon récit, ce récit dont je n'aime pas parler, au
contraire. Mais c'est ça ou je crois bien que Tom me fera toujours la
tête.


Nous étions allongés dans un champs très fleuri aux herbes hautes. Tout
les deux. Raphaël et moi. Nous étions comme seuls au monde, coupés de
tout. Il commence à m'embrasser. Je ne le repousse pas. Je le laisse faire.
Puis il accompagne ses baisers de caresses. Je ne le repousse pas non
plus. J'ai confiance. Il ne me fera pas de mal. Mais à l'instant, je sens ses
mains devenir baladeuses. Je prend peur. Je ne suis pas prête. Je tente de
le repousser. Mais il a plus de force que moi. Je commence à me débattre.
Il me gifle. Si fort que je suis désorientée. Je n'ai pas le temps de réaliser
ce qu'il m'arrive. Je sens juste de la terreur envahir mes pensées.
Je ressent tout à coup une grande douleur en moi. Je pleure. Je pleure en
silence. Lui mon meilleur ami. Lui qui dit m'aimer. Lui, il me viole...

ah je m'en douté un peu , en plus Raphael la je l'aurai jamais cru

la souiteuh!!!!!!

la suite est pour bientôt !

aller, Raphael ne sera plus un mec... j'ai un couteau en main
lol