[Twinfic]Son Ange Gardien

-CEST LE PLUS BEAU JOUR DE MA VIE!! CEST LE PLUS BEAU JOUR DE MA VIE!!!

Je tournait en rond dans la loge, gesticulant et criant comme une folle. Le spectacle auquel je venais d'assister résonnait encore dans ma tête, la douce voix de bill chantant encore et encore mon passage préféré de "Hilf Mir Fliegen". De mauvais poil comme toujours depuis 3 mois, ma mère me gronda:

-calme toi donc, cest seulement un chanteur. ferme toi, tu me donne des migraines.

Ma mère ne comprenait pas, elle na jamais compris. Bill n'est pas qu'un chanteur, il est mon idole. et j'était sur le point de le rencontrer. des sueurs froide recommencèrent a couler sur mon frond, mon coeur battait la chamade. J'entendit la porte s'ouvrir.
Bill,Tom,Gustav et Georg venaient d'entrer. Malgré moi, une larme bien lourde roula sur ma joue rouge d'excitation. Charmant comme je l'imaginait, Bill me tendit la main.

-Enchanté jeune demoiselle, vous êtes? me dit-il, avec le bel accent allemand que j'aimais tant.

-Do...Dorothé... Enchanté moi aussi!

Mes main étaient mouattes et tremblante, la sienne chaude et douce. Tom, fidèle a son image de pur séducteur, me pris par la taille et me serra contre lui. Mon coeur battait encore plus fort, chose que jaurais cru improbable.

-Alors Do-Dorothé, sa roule?

La conversation commenca ainsi. Je jubilait, converser ainsi avec mes musicien préféré était comme une thérapie et j'oubliait les 3 dernier mois, ces 3 dernier mois denfer et de haine.

-Sa vous ennuirait de.. d'étemper l'empreinte de vos mains sur une feuille.. cest pour mon tatoo..

J'était sure qu'ils refuserait de me donner l'empreinte de leur mains, puisque j'aurais très bien pu en vendre des copies etc.. mais a ma grande surprise, ils me firent l'honneur de leur mains.

-Jai vue une fille avec mon visage tatoué sur un sein, mais jen ai jamais vue avec mes mains sur l'épaule! rigolait Tom, encore plus beau et musclé que sur les photo.

-Dodo, j'vais dans l'auto deux minute, pouvez la surveiller vous autres? dit ma mère en regardant les jumeaux.

-Bien sur, de toute façon, elle est tellement mignone qu'on la garderait pour toujours si vous nous la donneriez!

Bill ne faisait que blaguer, mais ses paroles eurent plus d'impact qu'elles auraient du.

Avec un air de cruelle satisfaction, ma mère sorti dehors, en me faisant un signe de la main comme pour dire au revoir. une fois qu'elle fut sortie, J'entendit la valise s'ouvrir et des impacts d'objets tombant par terre se firent entendre. La voiture démarra.

-Maman?

Je craignait le pire, non, maman ne pouvait pas me faire ça.

-Qui a-t-il pupuce? me demanda Bill, qui semblait inquiet devant mon expression.

Sans avertir, je me levai brusquement et je me précipita vers la porte d'entrer. Trop tard.

-MAMAN! MAMAN!!

j'ai eu beau hurler, la voiture tourna le virage et disparu dans le soir. mon coeur cessa de battre. ma mère m'avait abondonné.

Je tombi a genoux parmis mes valises, incapable de demeurer debout. mes yeux se remplirent de larmes froides,mon souffle n'était plus qu'un hoquet.
Bill sorti en trombe de la loge, alerté par mes cris. je n'ai même pas eu la force de me retourner pour voir ses propre yeux se mouillé quand il tomba a genoux a mes coté, me serrant de toute ses forces.

-Shuttttt... Shuttt... sa va, tout va bien, elle ne doit pas être très loin, elle va revenir, cest promis, shuttt... me soufflait Bill en nous balancant doucement.

Mais ses mots n'était plus qu'un échos, plus qu'un faible "Hilf Mir Fliegen" doux et paisible. Ce fut au tour de Tom de s'élancer a mon secour.

-Qu'est-ce qui se passe bordel? C'est quoi toutes ces valise? C'est quoi ces cris? P*tain Bill ou est l'auto de la mère de Dodo?

Il arrêter de parler deux secondes, réalisant ce qui venait de se passer.

-P*tain Bill...Dit moi qu'elle a pas vraiment balancer sa fille ici, dit moi qu'elle a pas fait ça??

Avec la force du désespoir, je répondit.

-C'est le pire jour de ma vie.

Je venais de passer la plus belle soirée de ma vie avec mes idoles, c'était l'au revoir de ma mère.mon seul réconfort était que e courant avait tout de suite passé entre Bill et moi, je me sentait proche de lui comme si nous avions grandit ensemble. Tom me faisais encore plus fondre, et la sombre force de Gustav me rassurait. je m'était sentie en sécurité toute la soirée, et le départ de ma mère me faisais moins mal blottie contre Bill.

Gustav sorti a son tour, et me soulava, m'arrachant a la réconfortante chaleur de Bill. Gus tremblait,sous le choc lui aussi. Il posa ma tête sur son épaule, et murmurra,d'une voix colérique, a mon oreille.

-Pleurs ma belle, pleurs si ça te soulage. Ta mère n'est qu'une &?%$&?$%!! abondonner une si charmante jeune fille, quel cruauté. pleurs mon ange, pleurs, tu n'a que ça a faire maintenant.

Cette fois, s'en était trop, sans aucune retenue, j'éclatai en sanglot. Après 3 mois de chicane et de menace, je croyait vraiment ma mère quand elle me disait qu'elle me pardonnait, qu'elle avait accepté ma bisexualité. c'était donc ça son plan, me larguer en route!

Bill vint se blottir dans mon dos et pleura avec moi, sans doute n'avait-il jamais vu une mère se débarrasser ainsi de sa progéniture. Je levai les yeux sur Tom, lui aussi semblait au bord des larmes. Il s'avenca vers moi et carressa ma joue inondée de larmes. Georg sorti finalement, et attrapa mes valise. Je n'oublirai jamais ce qu'il nous a dit ce soir la.

-Cessez de pleurer, célèbrez bordel!! Vsou voyez bien qu'elle nous la donne! on pleurs pas devant un aussi beau cadeau voyons!!

Bill susauta et se tourna vers Georg. Ses yeux brun se remirent a pétiller et sa voix se fit plus mélodieuse. Un large sourire fendi son beau visage.

-Sérieux?? on peut la garder?? on peut??

Je n'en croyait plus mes oreilles. Me garder? MOI? mais pourquoi donc, je n'était qu'une fille parmis tant d'autre. sauf que j'était bisexuelle. Bill ne semblait pas prendre en compte que ma propre mère ne voulait plus de moi, ni du fait que je n'était qu'une simple fan, ou de quoi que ce soit d'autre. tout ce qu'il semblait voir était mes cheveux teint en vert, mon look un peu loufoque, ma passion pour les arts, mon humour(malgré les circonstance) et mon sourire " plus joyeux que tout les sourire du monde! irrésistible, hein Tom?"

-Dit Puce, tu veux resté avec nous ? Dit, tu veux?? S'il te plait!! suppliait-il en sautillant comme un enfant qui veut un jouet. Mais pourquoi diable m'aimait-il autant?

Gustav me secoua un peu.

-Alors, tu reste Dodo? allez, dit oui, Bill sera invivable si tu le laisse tout seul, le gros bébé!

J'aurais bien voulu répondre que j'en mourais d'envie, mais mes lèvres refusait de bouger. Tom se mêla au jeu.

-Elle a avalé sa langue, minute, je vais lui passer la mienne!

Jétais sur le point de m'évanouir. Avant que tout devienne noir, je trouvai la force de prononcer quelque mots.

-C'est vraiment, VRAIMENT,le plus beau jour de ma vie.

J'ai écrit sa vite , en attendant mon bf.. pas très apliqué.. hum.. jpeut faire mieux.. je mettrai tout mon coeur dans La suite..... si vous la voulez....

:-((( ahem, ahem ...

alors :

1) on évite les doubles et triples posts, stp! ça me rend dingue !
2) il faut mettre des balises, c'est comme ça sur ce forum.

je vais demander à Exiraal ou Vai de modifier.

tu aurais du créer ce topic comme ça :

[fanfiction en cours] Un ange gardien.

Fais attention, c'est pas la première fois qu'on te reprend...
tu as lu la charte ? bon et même si c'est fait, relis là !

******

sinon, je lirais ton petit bout de fic plus tard... :--)

DSL marmotte! je sais très bien ce que jai fait, je ne suis pas stupide, mais il me reste des truc a apprendre! de un : je nai pas le temps de lire cette charte
de deux: javais a peine 15 min pour écrire ce fichu fanfiction
de 3 : je ne serais pas sur ce forum longtemps, lécole commence, et je passe la plupart de mon temps sur facebook


dsl de te déranger ma chère!

malheur...

Bon, je t'ai envoyé un MP.

Merci de partager ta fic avec nous, Loline, qui n'est pas indispensable je dois dire, quand on sait que sur notre forum déjà, il y a pas mal qui écrivent et postent. Vous avez peut-être régler ça avec Marmotte, mais je te parle en tant que modo de ce forum.

- Le double-post est toléré à condition que le post soit TROP long, et les tiens ne le sont pas assez pour que tu te permette de le faire. Le double-post est INTERDIT. Merci de faire attention la prochaine fois (si "prochaine fois" il y a).
- Tu ne respecte pas les règles pour ouvrir un topic. La Charte de ce forum exige l'utilisation des balises pour annoncer le thème du post.
Chaques forums possède sa Charte et ses règles, qui ne sont pas écrites pour rien, ou pour faire jolie, mais pour que les membres inscrits la consultent la respectent.
- Ta réponse a Marmotte est déplacée et manque d'humilité, de modestie et de politesse. Je vais rester polie en te disant que la prochaine fois que je te reprends en train de parler de cette façon à un membre, c'est le BANNISSEMENT. Si tu n'es pas capable de respecter la Charte du forum et ses membres, tu n'as à rien à faire ici.

Ai-je été assez clair ? Autrement, bonne continuation dans l'écriture.

qui a lu ce début de fic?
moi j'ai lu et franchement, je veux bien la suite car je voudrais comprendre pourquoi sa mère l'abandonne comme ça, et comment ça se fait que les Th ne soient pas plus méfiants!

J'ai pensée exactement la même chose ^^ Qui ramasserai une fille qui vient de se faire mettre à la porte sans vraiment regarder les conséquences ? Et puis une mère qui abandonne sa gamine juste parce qu'elle est bisexuelle, j'ai déjà vue ça, mais ça c'est fait sous le feu de l'action et non au bout de plusieurs mois.

Je l'ai lu aussi hier soir et j'aimerai bien connaitre la suite aussi !

LOLINE!!!! jvais dire a maman combien tu est malpolie! et puis, je dois dire, je t'ai déja vu mieux écrire que sa...

vas-y Vai, bannie-la, de toute façon, elle n'utilise plus le forum, elle c'est connecter une ou deux fois pour m'ajouter comme amie et voir les photos, c'est tout. Et sa ose dire que c'est une fan! même pas capable de respecter les gens sur le forum!

Au pire, je terminerai la fic pour elle, elle ne dit jamais non a sa jumelle préférée! c'est possible de terminer une fic pour quelqu'un ?

pourquoi pas si elle est ok...
je ne vais pas la bannir, il n'y a aucune raison

Mouais mais bon, elle a été plutot vache avec toi Momotte! ( plutot vache?ultra malpolie mouais!) Ninine ne supporte pas les avertissement et les reproche de tout genre, dommage, car si elle veut progresser dans le domaine des arts, elle devra apprendre a "comsommer" la critique humainement! Et si tu le permets alors daccord, je termine pour elle! ( sans rancune ma pouette, mais rentre les griffes stp!)

J'irai mettre des balises aussitot que je peut!

Suite de La FanFict de ma soeur
-Dodo! Réveille toi! respire dodo!! DODOOOOOOO!!!!
-La ferme Bill! elle est vivante calme toi, elle est juste tombée dans les pommes! Allez mon pamplemousse, un effort, ouvre tes grand yeux verts pour moi.
-JE l'ai tuée !!! Je L'ai tuée! Elle a fait une crise de coeur!! Apelle un docteur crétin! apelle un docteur!!!! DODOOOO!!!

Je me suis réveillée dans ce qui me semblait être un lit, Le visage d'un homme a deux centimètres du mien. Il n'existait pas plus doux réveil. J'étais morte, enfin, et de merveilleux anges m'accueillaient au paradis. Je refermaii mes yeux pour profiter au maximum de l'extase du moment ; s'en était fini de la guerre, finallement terminé.

PAN! Je reçu une giffle magistrale.

-MEURS PAS!!! MEURS PAS!!!

Je réalisai alors que j'étais encore en vie, et Bill était au bord de la crise de nerf, cetain que j'avait subi un acv.

-Coucou Bibi, tu vas bien? furent les seul mots que mon pauvre cerveau mortifié par la giffle fut capable de prononcer.

Le visage de Bibi se transforma en un sourire gigantesque, digne d'une bd pour enfant.

-J'vais MIEUX MAINTENANT! s'exclama-t-il en frappant des mains pour exprimer sa joie de me voir vivante.

Maman se serait contenter de me giffler... ou de me laisser mourir plus probablement....

David entra dans la chambre, et parcouru du regard le petit animal perdu que j'étais. Son visage devint bourgogne.

-C'EST QUOI CETTE PLAISANTERIE? fOUT MOI SA DEHORS BILL! cria-t-il en pointant la porte. D'un air dégouté, il ajouta: On sait pas où ça a pu traîner....

J'avais une bonne base en allemand, et je comprenai plus ou moins la conversation de David et Bill.

-PUCE N'A TRAÎNÉ NUL PART! ET SI TU LA FOUS DEHORS, JE PARS AVEC ELLE! EXCUSE TOI, OU JE NE CHANTE PLUS JAMAIS UNE NOTE!

David s'excusa bien bas, et proposa a Bill de me faire visiter le bus.

-Quel bus?

Je n'ai jamais entendu un rire aussi cristallin que celui de Bill. Je n'ai jamais vu plus ahuri que Tom quand j'eu terminé ma phrase. Je n'ai jamais vécu moment plus heureux que lorsque "mes" hommes me firent visiter LEUR bus.

-Et sa, c'est le repère de Georg, me disait Bibi en pointant la salle de bain. faut pas y trainer trop longtemps par contre, sinon on meurt étouffé.

-BILL!!!!

-Sa s'est notre salon, et la... bla bla bla...

J'étais en pleine euphorie. Un drogué bourré n'hallucinait pas plus que moi. s'était comme un rêve, comme si les paroles de Bill ne m'étaient pas destinées, comme si son bras ne m'entourait pas réèllement. J'étais sous l'effet de la drogue, s'était la seule explication possible. Mais tout était pourtant vrai et réel. Vers 3 heure du matin, Bill me serait toujours contre lui et me montrait des photos de lui, de son jumeau, de ses amis d'école, de sa famille, plein de portraits qu'ils gardait avec lui. Il passa au travers de 6 albums avant de s'endormir en me serrant comme une peluche bien douce quand le tonnerre gronde.

Je ne crois pas avoir dormi cette nuit-là.Mes pensées tournaient dans mon esprit, me torturant l'âme, moi qui n'était pas assez peinée. Je revoyais encore et encore l'auto de ma mère tourner le coin, me laissant a mon sort.Mon coeur semblait vouloir imploser, mes entrailes se tordaient comme pour me déchirer en deux, mes larmes brûlaient mon visage, roulant contre mes joues démaquillées pour finir leur route dans la douce chevelure de Bill. Pour je-ne-sais-qu'elle-raison, Bill avait réclamer à corps et à cri que je dorme près de lui, et je le regardais dormir paisiblement contre moi, presque irréellement. Comme un petit ange tombé du ciel au bon moment.


sal*p! traitre! Erreur de la nature! tu es la honte de la famille! Je ne t'ai pas élevé de cette façon! Comment ose-tu me trahir ainsi? Ne t'ai-je donc pas aimée?

ces mots résonnaient dans mon ouïe comme un disque qui saute. Ma mère était la pire homophobe du monde, et j'en payais le prix. Elle n'a jamais accepté le fait que je sois amoureuse de ma meilleure amie, Shanon. Elle s'était mise a vomir quand elle m'avait vue l'embrasser au cinéma. Je la vois encore gifler ma douce comme si elle n'était qu'un animal, un déchet, un monstre.

Je n'ai jamais compris pourquoi Kyle, ma si gentille mère, détestait autant les homosexuels. Peut-être parce que mon père, Halbert, l'avait plaquée pour mon professeur de couture, Daniel. Ou peut-être parce qu'elle avait été victime d'intimidation dans sa jeunesse, lorsqu'une fille avait succombé a son charme. Ouep, Maman avait bien des raison de détester les homos, mais sa propre fille...

J'ai toujours voulu habiter chez mon père, mon beau-père étant mon plus fidèle ami. Mais ma Kylinouette n'avait pas voulu, prêchant à qui voulait bien l'entendre que mon père était un bon à rien, et que son conjoint n'était qu'un pauvre drogué. Je m'était dès lors mise à l'haïr. Daniel m'avait toujours supporter, étant le seul à connaitre mes fantasmes. il était mon confident, mon ami, mon ange. du haut de ses 25 ans, il n'était pas bien menacant ou autoritaire ; il était toujours un adolescent perdu, affaibli par le monde plastifié dans lequel nous vivions tout les deux.

Bill remua un peu, enfouissant un peu plus son nez dans ma chemise de nuit. Je me rongait les sang, Bouddha guidez moi! Mais que diable voit-il de beau en moi? Pourquoi diable m'aime-t-il autant? je n'étais après tout qu'une vulgaire bisexuelle dont la propre mère ne voulait plus. N'importe qui M'aurait rejeté, mépriser, m'aurait cracher en pleine figure. Qui donc ne se serais pas méfier d'une délinquante de 17 ans jetée dehors par sa mère?

Un ange, un ange peut être. Un petit ange seul au monde parmi les photographes et les fans, un petit ange détruit par le divorce de ses parents, par les préjugés et les critiques. un petit ange ... oui... un petit ange. Je posai mes yeux humides sur Bill, qui n'avait rien de mieux a faire que de ronfler doucement contre moi. Ses tempes étaient trempées tellement il fesait chaud, et je sentais son coeur battre lentement à travers mon pyjama et le sien. Mes doigts se glissèrent tendrement dans son cou, tassant un peu ses cheveux pour apercevoir son tatouage. Je ne rêvais pas. j'étais la, près de LUI a le serrer contre ma poitrine, aussi déplacé était-ce, à sentir une nouvelle force jallir en moi. Il m'avait sauvé la vie, il m'avait pris sous son aile malgré les risques et les "malgré".

Au péril de ma vie, de chaque goutte de mon sang
Nul ne touchera à ton coeur brisé, déja plein de tourments
Du vent,du froid,du manque, des morsures de l'amour
Je te protègerai de tout, dès maintenant et pour toujours.

Et quand le soir enfin, tes yeux tu fermeras
Et quand le soir enfin, tu t'endormiras
Et quand le soir enfin, tu pourra être toi
Je te dirai je t'aime, un mille million de fois

La voix entrecoupées par des sanglots, je lui offrit la chanson que ma mère avait composée pour moi quand j'étais enfant. Et je lui promis, de tout mon coeur, sur mon honneur et sur ma foi, de ne jamais, JAMAIS, briser cette promesse.
Et même si un jour tu part, tu arrête de m'aimer
Prononce seulement mon nom, je serai la pour t'aider

-chante encore pour moi puce....chante....

Et je continuais a fredonner les mesures, avec un peu plus de justesse et, le coeur moins lourd, je terminai.

Et quand une grande personne, un jour tu deviendra
Même si mon heure résonne, je ne te quitterai pas...
Et quand le soir enfin, tes yeux tu fermeras
je te dirais je t'aime, jusqu'à perdre ma voix...

Et je m'endormi enfin, prête a tout recommencer, a tout oublier, prête a renaître...
Comme un phénix qui renaît de ses cendres...

ok merci !

J'ai le droit d'être honnète concernant cette fanfic ? Je pensais d'abord ne pas mettre de com', mais après tout, c'est les critiques qui permettent à un auteur de s'améliorer.

Concernant la partie écrite par Loline :
Tout d'abord, on ne comprend pas trop dans quel cadre elle rencontre le groupe. Si c'est un "meet and greet", il devrait y avoir d'autres fans, le groupe ne rencontre jamais une seule fan, sauf si c'est un hasard dans la rue ou autre, mais ce n'est pas le cas ici. Ensuite, ça manque énormément de crédibilité, jamais le groupe n'agirait comme ça, jamais il ne s'attacherait à une personne si vite, surtout pas une fan, et les dialogues ne collent pas du tout aux personnalités des membres du groupe. Et il y a beaucoup de fautes d'orthographe, pas assez de descriptions, la ponctuation n'est pas bonne...

PouttePoutte :
Avant de lire ta suite, j'avais envie de te conseiller de réécrire le début correctement. Finalement, après lecture du dernier chapitre, vous avez le même "style" d'écrire à peu de chose près, donc c'est inutile.

Avant de commencer : C'Est Loline qui parle, j'emprunte le compte de ma soeur pour écrire.

Merci de ton commment Émilie, mais j'avait déja tout remarqué moi même! XD j'avais songé moi aussi a tout réécrire, mais il est trop tard, ma soeur a continuer sur se bout de fic mal fichu.


Personne n'y a pensée avant nous : Pourquoi ne pas écrire cette histoire toute ensemble! si vous avez une idées: mp-ser moi, je l'ajouterai a l'histoire! t'as plutot bien terminé sa poutte, mais sa manque de fluidité comme tu dit toujours pouette. Chapitre 4 s'est ton tour, applique toi plus!XD ( t'as merveilleusement bien incoporer la chanson de mamie à l'histoire, brillante idée!)

Avec mes plus bases excuse envers Ma Marmotte du nouvel an, Voici la partie 3:

Mes yeux s'ouvrirent lentement. un faible rayon de soleil me carressait les paupières. Du bouts des doigts, je farfouillais les draps, cherchant la chaleur de Bill. Personne. Je me relevai d'un bond. Dans la semi-obscurité, je ne distinguais presque rien, et tout portait a croire que j'étais encore chez moi. Une larme brûlante me cascada sur la joue, me faisant tellement mal que j'eue l'impression qu'elle me défigurerait si je ne l'essuyais pas. Je ne l'ai donc pas essuyée...

Des bruits de pas résonnèrent, et des rires, quelqu'un semblait imiter la voix de Bill et ses simagrées, puisque j'entendai celui-ci pester comme un bon. Je risquait un oeil dans l'entrebaillement de la porte de bois précieux, digne d'un grand hôtel où dormaient "mes" hommes en tournée. Ils étaient tous la, assis autour de la table, se balancant des céréales trempées de lait. Gustav tenta de prendre une bouché de son toast, mais Tom, qui était assis à sa droite, la lui arracha pour la lui mettre dans le nez.

-TU ES MORT TOM KAULITZ!!! hurla Gus en se nettoyant les narines et en expirant très fort pour en faire sortir les bouts de pain grillés. JE VAIS TE FAIRE AVALER LE MOTEUR DE TON AUTO!! JVAIS TE PENDRE AVEC LES CORDES DE TA GUITARE!

-SHUUUUTTTT!!!! Z'allez réveiller la puce! murmurait Bill, son index sur les lèvres, signe international pour demander le silence.

Je ne pu m'empêcher de rire devant l'hilarité de la situation. Discrètement, je sortis de la chambre pour prendre place près de Bill . Quand mon protecteur me vie, il se tourna vers les "sniffeux de toast" et grogna:

-Voyez! Z'êtes contents la? Déja qu'elle a mal dormi vous la réveillée! 'spèce de sans-coeur.

Son déjeuner dans le système respiratoire, Gus saisi la manche du shirt de Tom et se moucha bruyemment avec. Dégouté, Tom lanca un "beurk!" et versa tout le contenu de son verre sur la tête de son compagnon étouffé par son toast. Je me tournai vers Georg.

-Ils ont quel âge ces deux la?

-Pas plus de 10 ans... de vrais enfants jte jure, Tom est pire encore! se lamenta le bassiste. Tiens puce, tu dois avoir faim.

Il me tendit un bol et une boîte de Corn-flakes. Je n'ai jamais "buzzer" sur ces céréales, mais au coté des meilleurs musicien du monde, j'aurais volontier gobé une asiette de fumier... bon, c'est un peu tiré par les cheveux, mais j'aurais mangé a peu près n'importe quoi.

Quelqu'un cogna à la porte. Un petit toc toc tout doux, comme si cupidon lui-même était dans le hall de l'hôtel.

Suite dans pas longtemps...

Juste une chose : pour avoir le droit de poster la suite d'une fanfic, il faut que quelqu'un en fasse la demande. Ce n'était pas (encore) le cas dans l'immédiat.

AAAAAWWWW enfin! mon pc fonctionne ! je suis donc de retour avec mon propre compte..

Merci bcp de ton honnêteté Émilie, tu m'as ouvert les yeux sur ce qu'est écrire à la vitesse sur un coup de tête! À présent, je serai plus appliqué et attentionné, et je pendrai garde de me corriger décemment. En attendant mon prochain passge, Ma soeur jumelle a bien réparer mon erreur, j'aime bien sa suite. Si tu te demande oèu la Dodo rencontre Th, j'avais songé a un meet'n'greet ... ou une rencontre privée...mais bon.. j'ai oublié de préciser! (jme déteste quand je gaffe comme sa!)

Merci pour ton aide!

De rien, c'est cool si ça peut améliorer ton écriture, et n'oublie pas quand tu écris que les lecteurs ne sont pas dans ta tête, ils ne peuvent pas deviner ce qui se passe si tu ne le mets pas en mots pour eux. Et surtout, n'hésite pas à te relire, plusieurs fois s'il le faut, pour les fautes et les incohérences.

Mouais, t'inquiète, jvais toujours me relire a présent. En plus, j'ai enfin pu reprendre contact avec ma jumelle, et j'ai enfin retrouvé ses précieux conseils. Longue histoire...

Merci de ta lecture, et si tu préfère les écrits de ma twin, n'hésite pas à le dire, elle aime tellement se faire complimenter! Et puis, elle écrit mieux que moi. (Par contre, personne ne me bats au Backgamon! Personne!!! XD)

Faudra penser à mettre les balises, c'est important =)

Loline a justement envoyé un mp à vai pour ça. Il était temps!
Et si quelqu'un veut la suite, je suis justement en train de l'écrire

Voilà la suite!
Partie ... euh... me rapelle pas.
La vitrine.

Dans le couloir, Berthe Blancheville attendait impatiemment qu’on lui ouvre la porte. Les occupants de la suite 503 lui avaient demandé de venir nettoyer la chambre vers 10h, et berthe détestait au plus haut point les retardataires. Dans la plupart des cas, les « lambineux », comme se plaisait à les nommer Berthe, étaient des fêtards, des salauds qui ne prenaient jamais la peine d’imaginer le trouble qu’ils lui donnaient. Souvent, les chambres étaient dans un désordre bordélique et en plus de devoir revenir sur ses pas pour nettoyer, Berthe ne trouvait jamais de pourboire… les clients ayant juste assez d’argent pour se souler!

La manche plein de pain grillé et de morve, Tom vint lui ouvrir.

-Service de chambre, pesta Berthe, de sa voix la plus monotone et énervante possible. Est-ce que je peux…

-Revenir plus tard, oui c’est une excellente idée. Merci.

Et il lui ferma la porte au nez. Après la soirée d’hier, Tom n’avait pas besoin de cette face de rat pour gâcher la bonne humeur qui s’était installée, aux dépends de son t-shirt. Tout en retournant s’asseoir, Tom jeta un œil sur la petite Dodo, qui faisait une démonstration de ses talents de caricaturiste. Sur son tableau improvisé figuraient les jumeaux, au volant d’un engin spatial tiré du film légendaire Star Wars. Devant son air jovial et doux, qui eu cru qu’à peine 24h auparavant elle pleurait comme une madeleine pour sa maman. Tom se remémora la pièce de théâtre basée sur leur nouvel album. La réalisatrice, Haly, les avait invités à rencontré sa meilleure comédienne, Dorothée, dont elle s’occupait tout particulièrement ; rien, mais au grand rien ne devait mettre un frein à la grande carrière de sa protégée. «On a bien fait d’y aller, pensa-t-il. Qui sait où cette fille aurait fini si Bill n’était pas allé voir une voyante.»

Une semaine avant la représentation, Bill avait consulté une diseuse de bonne aventure. Dans sa boule de cristal, la vielle femme avait vu une jeune actrice, au talent fou, en pleurs sous la pluie. Elle avait aussi vu la mort de Bill, dont seule cette jeune fille pouvait le sauver. Bouleversé, le chanteur s’était littéralement jeté sur l’occasion de rencontré la jeune actrice. Et maintenant la « prophétie » à demi-réalisée, il ne voulait pour rien au monde se séparer de son ange gardien. Bien sur, personne d’autre que Bill ne croyait à cette histoire de débile.

-Dessine en un autre Dodo!

-Tu veux que je dessine quoi?

-Gus qui se mouche sur le tshirt de Tom!

-HAHA! D’accord.

Les yeux rivés sur les doigts de Dodo qui traçaient son visage, le musicien ne pu s’empêcher de se demander ce qu’il adviendrait de la petite. Certes, elle ne dérangeait personne, bien au contraire, mais elle ne pouvait vivre dans le stress de la tournée. Son éducation, sa santé, sa vie sociale, tant de choses trop importantes pour être oubliées mettraient des bâtons dans les roues du bus! En plus, il ne connaissait rien d’elle. Sauf le fait que sa propre mère n’en voulait plus ; rassurant. Sans porter attention à quoi que ce soit, Tom termina son déjeuner, perdu dans ses songes.


Après avoir pris une bonne douche et s’être vêtue correctement, Dorothée s’enroula la gorge dans l’écharpe de Bill, très sensible au froid à cette période de l’année. Bill, fanatique de shopping, l’emmenait magasiner dans ses boutiques préférés : pas question de se montrer en public sans avoir assorti leurs habits.

-J’vais être ton styliste, et tu seras ma top modèle, tu verras, on va se marrer! Lui avait-il dit, au bord de l’overdose de caféine, a moitié dans la douche.

Il voulait l’emmenée partout, la montrer à tout le monde, la vêtir des plus dispendieux ensembles. Gênée de toutes ses attentions, Dorothée avait tenté de savoir pourquoi Bibi en faisait tout un plat de sa présence, mais rien n’a y faire : tout ce qu’il avait dans la bouche était les plans de sa journée. Magasinage, montée sur scène pour se présenter devant une foule de fans, signature d’autographes à ses cotés, bref, il ne se contentait pas de l’insinuer ; elle ne le quitterait pas d’une semelle. Pas du tout mécontente du soudain intérêt de Bibi à son égard, Dodo se laissait guider, vouée à son ange gardien, tellement reconnaissante que lui dire non à quoi que ce soit lui semblait impossible.

Leurs valises dans un chariot, main dans la main, Dodo et son nouveau compagnon se dirigèrent vers les ascenseurs. Bill eu beau appuyer mille fois sur le bouton, l’engin semblait ne pas vouloir fonctionner. Il était sur le point de passer sont poing au travers du sale bouton quand il remarqua une note tombée par terre : « en panne, veuillez utiliser les escaliers. ».

-Mais m*rde! On va devoir descendre tout ça par les escaliers.

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Berthe s’engagea dans l’escalier. Rageuse, elle bouillait de l’intérieur, pestant contre les maudits jeunes musiciens de la chambre 503. Son chariot d’une demi tonne tenu à bout de bras, elle descendit les marches une à la fois. Elle arrivait à la hauteur du troisième étage quand, ses mains étant moites, son chariot lui glissa des mains. Elle hurla un « Attention! » bruyant et désespéré, mais trop tard, il fonçait déjà à toute allure sur le couple qui descendait dans l’escalier.

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BRRRRRRRAAAAaAAAANNNNNGGGGGGGGG!!!!!BARDANGGGGGGG!!!!! BOUUUUMMMM!!!!

Je me retournai précipitamment, juste à temps pour voir le chariot filer droit sur nous. Je poussai Bill vers le mur pour le protégé, mais pour moi, il était trop tard. Le chariot me heurta de plein fouet et me poussa à travers la vitrine devant laquelle nous nous tenions. Un bruit de verre fracassé, une douleur aiguë au dos et un mal de tête effroyable sont mes seuls souvenirs. Je crois aussi avoir entendu l’écho d’une voix. Un faible « NON!!! » jaillissant du néant. Puis tout devint noir.
Bon la suite viendra probablement plus tard! Mon pauvre cerveau doit faire ue pause!

Plutot bien comme suite. Obligée de tuer dodo? :S

Bah non...elle va survivre tkt.

Spoiler: