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| [FanFic inactive] Souvenirs | |
| | Auteur | Message |
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jano
Messages : 3043 Points : 0 Date d'inscription : 05/11/2006
Âge : 32 Localisation : sur le toît entrain de sifloter une petite mélodie pleine d'entrain
| Sujet: [FanFic inactive] Souvenirs Jeu 22 Fév 2007 - 19:46 | |
| bon voili voila ma new FanFic (bah quoi j'trouvais l'autre complètement NULLEuh) lien de mon blog: FanFic souvenirs et euh... voila j'ai rien d'autre à dire! mdr | |
| | | KnL Zen
Messages : 1711 Points : 0 Date d'inscription : 16/11/2006
Âge : 32 Localisation : dans le vent
| Sujet: Re: [FanFic inactive] Souvenirs Jeu 22 Fév 2007 - 20:44 | |
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| | | Mme.Kaulitz
Messages : 2341 Points : 0 Date d'inscription : 06/11/2006
Âge : 34
| Sujet: Re: [FanFic inactive] Souvenirs Ven 23 Fév 2007 - 14:44 | |
| j'ai lu mais il me faut la suite pour te donner un avis c'est un peu mystérieux ^^ | |
| | | jano
Messages : 3043 Points : 0 Date d'inscription : 05/11/2006
Âge : 32 Localisation : sur le toît entrain de sifloter une petite mélodie pleine d'entrain
| Sujet: Re: [FanFic inactive] Souvenirs Lun 26 Fév 2007 - 17:13 | |
| voila y a le deuxième chapitre :--) | |
| | | Arimi
Messages : 14 Points : 0 Date d'inscription : 26/02/2007
Âge : 29 Localisation : Sur ma chaise en train de baver sur mon clavier en regardant TH
| Sujet: Re: [FanFic inactive] Souvenirs Lun 26 Fév 2007 - 17:31 | |
| J'aime beaucoup ta façon d'écrire lol. En tous cas, j'adore, Bravo !!! | |
| | | jano
Messages : 3043 Points : 0 Date d'inscription : 05/11/2006
Âge : 32 Localisation : sur le toît entrain de sifloter une petite mélodie pleine d'entrain
| Sujet: Re: [FanFic inactive] Souvenirs Sam 28 Avr 2007 - 18:58 | |
| bon au faite je me dis que je pourrai la poster ici. J'ai pas encore écrit le 3ème chapitre et je ne peux pas confirmer le fait de l'écrire dans pas longtemps, mais je l'écrirai c'est sûr! parce que j'aime bien comme j'ai commencé de l'écrire alors voilà. Je met déjà le premier chapitre.
Souvenirs : Chapitre1 :
Je me réveillai en sursaut, après avoir fait un cauchemar, comme d’habitude. Il n’était pas là. Je me levai, avec peine, puis sorti sur le balcon. Je m’assis car ma jambe me faisait mal. J’entendis des pas derrière moi, aucun doute, ça ne pouvais être que lui. Il était cinq heures du matin, le soleil ne se levait pas encore, il faisait bon pour un hiver qui avait été annoncé glacial. Il se pencha et me dit à l’oreille : -je dois y aller -je ne te vois jamais, lui répondis-je -tu me verras ce soir, si tu ne t’enfuis pas comme l’autre jour. -je serai là, si tu me promets de venir vite. -promis ! Il me glissa un « je t’aime » et un petit baiser sur la joue, puis il partit.
Je me retrouvais seule, comme d’habitude, et, comme d’habitude, je ne savais pas quoi faire. Je décidai de me recoucher, bien que je sus que je ne me rendormirai pas. Je me traînai jusqu’au lit, ma jambe me faisant mal, je me laissai tomber sur le matelas. Je n’avais aucune force et pourtant ne pouvais pas rester là, à ne rien faire. Ma vie était devenue trop vide, depuis « ce » jour-là… A mon grand étonnement, je me rendormis assez rapidement. Je me réveillai environ trois heures plus tard. Le jour s’était levé. Les gens aussi. La plupart allaient ou étaient déjà au travail. Moi je restais là. Je les regardais passer par la fenêtre. Peut-être depuis trop longtemps. Je les connaissais par cœur, « ces gens », tous des inconnus. Tous. Et pourtant dans cet amas de personnes inconnues, il y en a sûrement qu’on pourrait connaître. Si on cherchait un peu au fond de nous, chacun se connaîtrait. Mais ce n’est pas le cas, et moi je suis là. Là. Lasse de regarder ma vie défiler devant mes yeux chaque jour. Sans que je puisse intervenir au déroulement des choses. Depuis « ce » jour-là, je n’étais qu’un pantin, une marionnette, un jouet de la vie, sans aucune envie de faire quoi que se soit. Je me laissai faire, je n’avais plus aucune volonté de vivre. Mais en pensant tous ça, cela me rappelai cette expérience inoubliable, qui malgré tout, fut oubliée de tous.
Je devais avoir une dizaine d’année de moins, oui, je devais avoir 16ans. C’était un hiver, semblable à celui-ci. Je me rendais à une audition, avec mon groupe. Nous étions quatre, John, 16ans, notre chanteur ; Marie et Maxime, 15ans, qui étaient batteuse et bassiste ; et moi, Chantal, 16ans, guitariste. Nous nous étions baptisés « Tankers ». Je ne sais plus vraiment d’où ça venait. Nous nous étions bien préparé, nous voulions vraiment gagner cette opportunité d’avoir un contrat. Et puis, je voulais à tout prix pouvoir partir de chez moi. C’était l’occasion rêvée. Et nous étions vraiment prêts. Nous avions eu cette audition comme ça, nous avions envoyé la maquette d’une de nos chansons et une boîte de production nous avait envoyés en retour de notre maquette, une lettre qui nous invitait à aller jouer devant eux.
C’était un samedi, vers dix heures du matin. Moi qui n’étais pas matinale, j’avais dû faire un effort pour me lever. Nous nous étions donnés rendez-vous devant le bâtiment où nous allions passer l’audition. Quand j’arrivai, Marie et Max étaient déjà là depuis un moment. Nous dûmes attendre John pendant au moins quinze minutes, ce qui nous stressa davantage. Mais nous n’étions pas au bout de notre stresse car nous dûmes encore attendre un moment, dans une pièce avec une montre qui faisait un « tic tac » plus qu’agaçant surtout dans un silence extrême, avant d’être reçu. Nous nous fîmes recevoir par un homme à la carrure assez prononcée, il devait faire du sport dans un de ces satanés centres de fitness. Il nous mena dans une pièce où se trouvaient nos instruments. Nous jouâmes trois de nos morceaux. Ensuite, on nous fit attendre encore environ quinze minutes. Une attente insupportable, qui parût durer une éternité.
Après cette « éternité » d’attente, on nous pria de nous rendre dans un bureau. Là, un homme, une femme, un bureau, des feuilles sur le bureau, un ordinateur, une lampe dont la lumière me paraissait un peu défectueuse, et nous. L’homme et la femme s’avancèrent, se présentèrent « je suis Jaques Dusonpier et voici Camille Tenjen » et nous serrèrent la main. Ensuite ils commencèrent à nous parler de notre « peut-être » future carrière dans la musique. Puis, le moment que tout le monde attendait avec impatience, le verdict. Notre « peut-être » future carrière allait-elle commencer ici ? Ou s’arrêter sans avoir commencé ?
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bon là c'est encore un peu zarb' mais j'mettrai le chpitre 2 plus tard (il est moins "mystérieux" le 2ème | |
| | | _maeva
Messages : 1424 Points : 0 Date d'inscription : 27/02/2007
Âge : 31 Localisation : Comme un aigle...Dans les nuages.
| Sujet: Re: [FanFic inactive] Souvenirs Sam 28 Avr 2007 - 21:52 | |
| Je veux la suiteuhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! | |
| | | Amandine3759
Messages : 1493 Points : 0 Date d'inscription : 17/04/2007
Âge : 30 Localisation : 59 maubeuge a 1h de lille
| Sujet: Re: [FanFic inactive] Souvenirs Dim 29 Avr 2007 - 7:10 | |
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| | | jano
Messages : 3043 Points : 0 Date d'inscription : 05/11/2006
Âge : 32 Localisation : sur le toît entrain de sifloter une petite mélodie pleine d'entrain
| Sujet: Re: [FanFic inactive] Souvenirs Dim 29 Avr 2007 - 16:41 | |
| je met le chapitre 2 mais après faudra aattendre un peu pour la suite
Chapitre2 :
10 heures, déjà… Je passais tellement de temps à repenser au passé que j’en oubliais le cours du temps actuel. J’étais devenue tellement vide d’émotion, plus rien ou presque, ne me faisait réagir à la vie. Je vivais dans mon monde, dans mon passé. Une idée me vint, je pouvais écrire ce à quoi je passais mes journées entières à penser. Je me levais difficilement du lit, je me traînais jusqu’au bureau, je pris de quoi écrire, un livre avec des feuilles lignées, où il n’y avait encore rien d’écrit, et un stylo. Je commençais d’écrire, à partir du moment ou nous avions été invités à aller jouer dans cette première boîte de production. Une belle rature ! Mais une bonne expérience quand même. J’en arrivais déjà à la partie ou nous allions savoir si, oui ou non, nous allions avoir ce contrat.
#Plongement dans le livre# …Notre « peut-être » future carrière allait-elle commencer ici ? Ou s’arrêter sans avoir commencé ?
Non. Non, nous n’avions pas ce contrat. J’étais déçue et je pense que ça se voyait un peu à l’expression de mon visage car cela me valu la réflexion de M. Dusonmachin : ne faites pas cette tête, vous aurez encore plein d’occasion ! Il l’avait dit avec un grand sourire du genre à vous dire qu’il apprécie votre musique mais qu’il préfère aller voir ailleurs si vous y êtes. Quand j’y repense, quel débile celui-là ! Il avait un sourire niais qui lui allait comme un gant, il n’était pas très grand ce qui devait, d’ailleurs, le complexé un peu, et il avait une petite moustache, ce qui lui donnait un petit air pervers. Et l’autre, la Miss Tenjen, elle était assez mince, assez grande, son corps ressemblait à celui d’un corps de mannequin, mais apparemment elle avait opté pour un métier encore plus chiant que mannequin, bravo. Elle me regardait avec l’air de vouloir dire : désolé mais je dois obéir à l’autre pervers.
Ils nous dirent de persévérer, d’améliorer encore et encore nos chansons, puis nous serrèrent la main pour nous dire au revoir. Nous sortîmes du bureau, escorté par l’homme à la carrure assez prononcée. Il aurait du faire carrière dans l’athlétisme lui. Je suis sûre que ça l’aurait mieux réussi que de devenir l’homme de main de M. A-l’air-pervers et de Mlle (je pense) je-dois-obéir-à-l’autre-à-l’air-pervers. Quel bousillage de vie !
Environ un mois après, nous reçûmes une autre réponse à l’un de nos nombreux envois de maquette. On nous demandait de nous rendre à une certaine adresse pour participer à un concours auquel assistait plusieurs producteurs à la recherche de futures « stars ». Nous nous y rendîmes, nous jouâmes et nous repartîmes bredouille. Il fallut trois semaine pour que le résultat se montre. Un homme, habillé en costar cravate, vint nous attendre à la fin des cours. Il nous donna une enveloppe que nous ouvrîmes immédiatement. Il était curieux de savoir ce qu’il était écrit car il n’était qu’un « humble porteur de lettre » disait-il. Je ne croyais pas un mot de ce qu’il nous disait. Max lut la lettre à voix haute, bien que nous l’ayons déjà tous lue.
« Vous êtes invités à vous rendre toute une semaine à Paris. Là, une surprise vous attendra. Vous aurez une, et une seule, occasion de montrer ce que vous valez avec vos instruments. Nous vous attendrons, mon assistant Dan et moi-même dans un endroit que vous découvrirez ultérieurement. Mon deuxième assistant Momo, vous accompagnera pour votre voyage. Avec mes meilleures salutations blablabla… signé : le producteur qui vous a vu et qui vous attend. »
Nous nous regardions et nous nous demandions si c’était une blague. « Momo » se fit un plaisir de nous dire que ce n’était pas une blague mais que son patron avait, disait-il, un sens de l’humour particulier. Quel sens de l’humour… Est-ce que nous acceptions ? Bien sûr que oui ! Même si tout cela semblait un peu bizarre. Il y avait malgré tout un problème de taille : nos parents. Nous n’étions pas majeurs et ça n’allait pas être un jeu d’enfant de les convaincre. Chacun rentra chez lui en pensant à, comment il ou elle allait demander à ses parents l’autorisation.
#Plongement dans le passé# Je rentrai en claquant la porte (une mauvaise habitude que j’avais pour emmerder ma mère). Je montais dans ma chambre, déposait mes affaires par terre et redescendais. Je passais par la cuisine pour prendre quelque chose à manger et me rendit au salon ou se trouvait ma mère avec ses « amies ». Une belle bande de cinglées qui se laissait prendre à la fourberie de ma mère qui profitait de cette « amitié » pour avoir des choses gratuitement. -maman, dis-je d’un ton sec pour faire taire les poules jacentes. -quoi ? -je peux aller une semaine à Paris ? -fait ce que tu veux du moment que tu me déranges pas. Sympathique n’est-ce pas que le manque d’intérêt d’une mère pour sa fille de 16ans. Le soir quand mon père rentra, je lui posais aussi la question puis que de toute façon c’était à lui que je demandais tout, vu le manque d’intérêt de ma mère. Mon père avait été cinglé de l’épouser mais il disait être heureux avec elle. A mon avis, elle l’avait eu comme les poules jacentes qui se réunissaient à la maison tous les jours. -A Paris ? Une semaine ? C’est une blague ? Tu te fous de moi ? J’aimais mieux la réaction de mon père. Je ris. C’est vrai que tout réfléchit et demandé comme ça, ça paraissait vraiment étrange ! -oui, nan mais je t’explique : un mec est venu nous attendre à la fin des cours et nous a remis une lettre. -nous ? -bah oui nous, le groupe, Marie, Max, John and mi ! -et ? -et ... euh attend, je vais te montrer la lettre ! Par bonheur c’était moi qui l’avait gardée. Je lui montrais la lettre et il éclata de rire. -tu crois quand même pas cette connerie ? me dit-il -oui je sais ça a vraiment pas l’air vrai, mais le mec qui nous l’a remise lui, il avait pas l’air d’être un imposteur et… -et je peux le joindre où ? -bah normalement il est à l’hôtel de la Tour. -ok je vais lui téléphoner, et aussi aux parents de Max et Marie et à ceux de John. Il s’exécuta. Il avait vraiment l’air surpris qu’une telle « chose » puisse arriver. Malgré tout, lui et les parents des autres avaient décidé de nous laisser y aller. Il y a vraiment des malades n’est-ce pas ? Nous laisser y aller, quelle inconscience. Faut vraiment pas tenir à son « enfant » pour le laisser s’enfoncer dans un truc pareil. Au moins, nous louperions les cours, durant une semaine !
Deux jours plus tard, nous partions. Nous prîmes le TGV. Dans celui-ci, je vis un visage qu’il me semblait avoir déjà vu. Durant le trajet, Momo nous indiqua l’hôtel ou nous résiderions pendant la semaine et aussi deux ou trois autres choses qu’il nous fallait savoir, disait-il. Il parlait, il parlait, c’est à croire qu’il ne s’arrêtait jamais. Il attira notre attention à tous quand il commença de parler de la surprise qui nous attendait. -vous verrez, vous ne serez pas déçu ! dit-il Le voyage était long et j’en avais marre d’écouter Momo parler. Je mis mes écouteurs sur les oreilles. Je mis du Tokio Hotel, je mis la lecture en boucle et je me laissais endormir par ma « berceuse ».
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