[ fanfic en cours ] Sans titre

Suite à la demande de lilie, je poste le début d'une fanfiction que je viens de commencer et qui n'a pas encore de titre. Je ne sais pas si je la continuerai, ça sera en fonction de ma motivation et de vos commentaires.

Cette histoire contient des descriptions sexuellement explicites (bien oui, comme d'habitude... lol... mais je préviens quand même).



Prologue

A notre arrivée à l'aéroport de Madgebourg, nos proches étaient là pour nous accueillir. Ca nous faisait de bien de rentrer chez nous, de retrouver des lieux et des visages familiers. Après avoir passé trois ans à parcourir le monde, on allait enfin pouvoir poser nos valises à terre.

Gustav et Georg rentrèrent chez eux, retrouver leurs maisons et leurs chambres telles qu'ils les avaient laissés. Mais pour Bill et moi c'était différent. Nos parents avaient vendu notre ancienne maison, le passage incessant de nos fans rendant le quotidien difficile. Ils avaient acheté un appartement sur Madgebourg même et celui ci était à l'heure actuelle en pleine rénovation. Nos parents vivaient donc à l'hôtel pendant les travaux. Ne voulant pas rester encore dans des hôtels impersonnels et peu chaleureux, Bill et moi avions décidé de loger chez des amis.

Pour éviter d'être trop encombrants à deux, et pour respirer aussi après avoir passé des années ensembles, Bill et moi allions vivre dans des foyers différents. Bill allait partager la chambre d'Andreas, un de nos plus vieux amis. Et pour ma part, c'était mon pote Benjamin - le fils de nos anciens voisins - qui m'avait invité. Il avait une chambre d'ami confortable.

Benjamin était cool. On avait passé notre enfance à jouer ensemble, il avait toujours des super plans et on ne s'ennuyait jamais avec lui. Je me rappelle encore de cette après midi où on avait fait la guerre aux gamins du quartier d'en face, avec les ballons d'eaux et des boules puantes faites maison, on avait bien combattu. Le plus difficile avait été d'expliquer à nos parents en rentrant, pourquoi on était trempé de la tête aux pieds et couverts de boue. Il avait une petite soeur aussi, une enquiquineuse qui était constamment dans nos pattes, à vouloir jouer avec nous, à vouloir faire comme les grands. Elle trouvait toujours le moyen de nous forcer à la laisser jouer avec nous, que ce soit par la menace de nous dénoncer à nos parents quand on faisait des choses interdites ou par le marchandage. Une vraie petite peste. Je m'étais même retrouvé à devoir la garder deux ou trois fois lorsque ses parents s'étaient absentés avec Benjamin pour ses matchs, et ce n'était pas de tout repos. Elle était au moins aussi ingénieuse que son grand frère quand il s'agissait de faire des plans, mais c'était toujours à mes dépends. Elle aimait surtout jouer à des parties de cache-cache improvisées, c'est-à-dire qu'alors qu'elle était sous ma responsabilité, elle disparaissait soudainement dans sa maison gigantesque dont elle connaissait chaque recoin et je passais trois heures à fouiller toute la résidence pour la retrouver. Ca l'amusait beaucoup, moi pas.


Chapitre 1

Après avoir fait un tour de la ville et mangé un bout dans notre pizzeria préférée, nos parents nous déposèrent - Bill et moi - chez nos hôtes respectifs.

J'arrivai devant la porte de la famille de Benjamin et frappai brièvement. A travers la fenêtre ouverte j'entendis quelqu'un courir dans l'escalier.
Benjamin : J'y vais !
Il m'ouvrit avec un grand sourire et me tendit la main, lorsque je voulais la lui serrer il la retira et je compris qu'il voulait qu'on se salue avec notre poignée de main secrète. On n'avait plus douze ans, mais je trouvais ça marrant. C'était toutes ces petites choses qui m'avaient manquées. On avait vécu à cent à l'heure pendant trop longtemps, j'avais juste envie de me poser maintenant, de décompresser.
Benjamin : C'est cool !! Tu t'en souviens !
Tom : Bien sûr, comment j'aurais pu oublier ? Tu m'as forcé à faire ce truc débile chaque jour pendant des années !
Benjamin : C'était quand même ton idée à la base, pourquoi déjà ? Ah oui, pour savoir si l'autre n'était pas un imposteur...
Tom : On était cons...
Benjamin : Surtout toi, et j'espère que tu n'as pas changé.
Il m'invita à entrer.
Benjamin : Alors, vous menez la grande vie maintenant ?
Tom : Ouais, enfin c'est surtout beaucoup de boulot...
Benjamin : C'est ça, plains toi ! Voyager tout autour du monde, jouer de la gratte en étant payé une fortune et surtout... avoir des milliers de nanas à tes pieds.
Je souris en guise de réponse.
Benjamin : Punaise !! Racontes ! Vous revenez des USA c'est ça ? J'ai vu que vous étiez à la plage à L.A. et tout...
Tom : Tu lis les articles sur nous maintenant ?
Benjamin : Non, non... c'est Amber qui me raconte.
Amber, c'est sa petite soeur.
Benjamin : Elle est devenue une de vos plus grande fan. Elle suit chacun de vos déplacements, et je ne te conseille pas de mettre les pieds dans sa chambre sauf si tu veux te retrouver nez à nez avec cinquante fois ta propre image.
Tom : Wow ! Je n'aurais pas cru...
Benjamin : Ouais, moi non plus, je ne pensais pas qu'elle avait si mauvais goût !
Je lui donnais une petite tape.
Benjamin : Elle voulait absolument faire au moins un concert de votre dernière tournée, mais tu connais mes parents... elle a fait toute une comédie, c'était pitoyable.
Tom : J'aurais voulu voir ça.

On continua de discuter jusqu'à ce qu'on se pose sur le canapé pour se mater un DVD. No Country For Old Men venait de sortir, et il l'avait loué. C'était cool de juste traîner comme ça, entre potes, sans avoir à me soucier de mon image, sans avoir à faire quoi que ce soit.

Au milieu du film, la porte d'entrée s'ouvrit, on entendit des voix féminines venant du couloir et la porte qui se refermait. Benjamin se leva et je le suivais jusque dans le couloir. Je ne la reconnus pas tout de suite, la petite Amber avait grandi.
Benjamin à Amber : C'était Emma ?
Amber : Je ne vois pas en quoi ça te regarde ?!!?
Elle posa les yeux sur moi.
Amber : Hey Tom !
Elle avait une intonation un peu espiègle et langoureuse quand elle s'adressa à moi. Ses yeux verts me souriaient d'un air complice. J'avais du mal à faire le rapprochement entre cette jeune fille et la petite emmerdeuse que j'avais connue.
Tom : Salut.
Benjamin : Tu sais très bien que tu n'as plus le droit de la fréquenter !! Après tout ce qui c'est passé, si je le dis aux parents...
Amber : Mais tu ne diras rien, parce que sinon je pense que je ne pourrai plus garder bien longtemps ce petit secret qui pèse si lourd sur ma conscience concernant ta petite escapade avec Tania.
Benjamin : Tu n'as pas intérêt à l'ouvrir...
Amber : Toi non plus !
Elle se tourna vers moi.
Amber : Je suis contente que tu sois là ! On se voit tout à l'heure ?
Je ne répondis rien, je restais bouche bée devant son comportement et sa nouvelle apparence.

Elle se tourna pour monter à sa chambre. Elle portait un jeans taille basse qui moulait bien ses formes, et elle en avait. Benjamin me donna une petite tape.
Benjamin : Arrêtes de mater le cul de ma soeur comme ça !!
Tom : Je ne... Tu ne m'avais pas dit qu'elle avait autant... et si bien... grandi.
Benjamin : T'es con !!
Tom : Ca va, je déconne... c'est quoi cette histoire avec son amie ?
Benjamin : Oh rien... Elle a quinze ans, l'âge bête comme on dit... elle croit tout savoir...
On retourna à nos occupations.

Après avoir passé la soirée avec cette famille de substitution, je m'installai dans ce qui allait être ma chambre ces prochaines semaines. C'était une petite chambre qui servait de fourre-tout, il y avait un bureau et de vieilles affaires qui avaient appartenu aux différents membres de la famille. J'aimais bien le coté authentique et un peu bordélique de cet endroit, rien à voir avec un hôtel c'est sûr. Le petit lit simple qui avait appartenu à Benjamin prenait une bonne partie de la place. J'étais mort de fatigue, les décalages d'horaires à répétition m'avaient bousillé mon cycle de sommeil. C'était un soir de semaine, alors tout le monde allait se coucher de bonne heure, je décidai d'en faire de même. J'attrapai ma brosse à dent et ma serviette pour faire ma toilette avant de mettre au lit.

Je me repérais sans trop de difficulté dans cette maison que j'avais bien connue, jusqu'à la salle de bain. La porte était ouverte alors je me permis d'entrer, Amber se brossait les cheveux dans une petite nuisette satinée aux teintes orangers.
Tom : Oups, pardon, je repasse tout à l'heure.
Amber : Non c'est bon, je vais finir dans ma chambre.
Tom : Ok, merci.
Je ne sais pas si j'étais plus choqué par sa gentillesse ou son apparence. Elle me fit un sourire en se tournant vers moi. Son vêtement était vraiment léger et je ne pus m'empêcher de constater qu'elle ne devait pas porter de sous-vêtements là dessous. Mon regard se perdait sur sa poitrine généreuse une fraction de seconde, jusqu'à ce qu'elle se tourne pour rejoindre sa chambre. Je la fixais du regard alors qu'elle s'éloignait. Sa nuisette était vraiment très courte à moins que ce ne soit ses jambes qui étaient vraiment très longues. Elle avait une jolie silhouette. Oui, la petite Amber avait bien grandi, et elle possédait aujourd'hui tous les atouts pour rendre un homme heureux. Seulement elle n'avait que quinze ans, et c'était Amber... la petite Amber. Je décidai de me focaliser sur mon brossage de dents plutôt que sur l'anatomie de la demoiselle.

(C'est trop long, alors j'ai du couper le message en deux...)

Après avoir fait ma toilette, je retournai à ma chambre et m'installai confortablement dans mon nouveau lit. Il était petit et trop mou, mais je l'aimais. Je l'aimais parce qu'il n'était pas grand et froid, parce que les draps n'étaient pas d'un tissu noble et qu'ils sentaient la même lessive que celle qu'utilisait ma mère.

J'éteignis les lampes une première fois mais le sommeil ne venait pas. Je me tournais encore et encore, je commençai à avoir chaud. Je savais ce dont j'avais besoin. Je rallumai la lampe et fouillais dans mes affaires. Je sortis quelques magazines porno que j'avais achetés avant de partir et je me réinstallai confortablement dans ce petit lit.

Beaucoup de personnes devaient s'imaginer que je me tapais toutes les fans que je croisais sur mon passage et qui voulaient bien de moi, mais il n'y avait rien de plus faux. On avait des plannings surchargés, on passait la moitié de notre vie dans notre bus tous ensembles, on avait peu d'intimité en tournée et il n'était pas toujours aisé de rencontrer quelqu'un avec qui cela pouvait aboutir. Alors j'avais pris l'habitude - comme tous les autres -, de me satisfaire comme je pouvais. Et finalement ce n'était pas plus mal, il suffisait d'avoir un peu d'imagination et le coup de main. C'était quand je voulais, où je voulais, je n'avais de compte à rendre à personne.

Je glissai un peu plus dans mon lit, et retirai mon caleçon. J'attrapai un des magazines et commençai à le feuilleter. Mais plus je feuilletais, et plus je pensais à elle. Et ces filles siliconées et fabriquées comme des poupées prêtes à usage ne m'excitaient pas ce soir. Je repensais à Amber dans sa nuisette trop courte et à son regard aguicheur. Je n'allais pas avoir besoin de ces magazines, je les jetai à coté du lit. Je me mis à penser à ses seins que j'avais imaginés à travers le tissu, à ses fesses fermes et rebondies, ainsi qu'à ses lèvres douces et sensuelles. Je posai mes doigts sur mon membre et commençai à faire un lent mouvement de va-et-viens en me concentrant sur son image. J'imaginais sa peau sous mes doigts, ses gémissements à mon touché... J'imaginais que c'était elle qui me touchait. J'augmentais la cadence et ma respiration devenait haletante.

Quelqu'un frappa à ma porte. Ca me coupa net.

Je ne savais pas qui c'était, mais ça avait intérêt à être important, parce que là tout de suite, j'étais bien frustré. J'allai attraper mon caleçon près du lit mais la porte s'ouvrit soudainement. Je me recouvris rapidement jusqu'à la taille. Amber passa sa tête dans l'entrebâillement de la porte.
Amber : Je peux entrer.
Elle entra avant d'attendre ma réponse.
Amber : Je te dérange ?
Tom : Heu... non. Qu'est ce que tu veux ?
Amber : Je n'ai même pas eu le temps de te parler tout à l'heure.
Tom : Tu voulais me parler de quoi au juste ?
Amber : Je ne sais pas... ça fait longtemps qu'on ne s'est pas vu Tomi.
Tom : Ahhh ! Ne m'appelles pas comme ça !
Elle me fit un sourire taquin, avant de s'approcher et de sauter sur le lit, en se mettant sur moi à califourchon. Je poussai un gémissement quand elle se posa violemment de tout son poids sur mon membre encore à moitié en érection.
Amber : Je t'appelais toujours comme ça avant.
Tom : Et j'ai toujours détesté ça.
Sa position faisait remonter sa nuisette sur ses hanches. Son regard fut attiré par quelque chose à coté du lit. Elle attrapa les magazines que j'avais laissés traîner.
Amber : Intéressant.
Je les lui pris rapidement des mains pour les jeter loin de sa porté.
Tom : Ce n'est pas pour les enfants.
Amber : J'ai l'air d'une enfant ?
Tom : Non, mais tu n'as pas l'âge de pouvoir lire ça.
Amber : Oh ça va, je n'ai plus douze ans, merci. Et je suis sûre que tu n'es pas beaucoup plus mature que moi.
Tom : C'est ça...
Je vis un sourire malicieux se dessiner sur son visage avant qu'elle ne se mette à me chatouiller. Elle connaissait mes points faibles. Ses doigts allaient droit sur mon torse nu et en moins de deux secondes, j'étais pris de spasmes et je me tortillais de tous les cotés en pouffant de rire, à la recherche de mon oxygène. Je lui attrapai les poignets pour la faire arrêter et reprendre mon souffle.
Amber : Tu ne me parais pas si sérieux et mature quand tu pleurs de rire sous mes chatouilles.
Tom agaçé : T'as fini ?
Amber : Je ne sais pas, peut être que si tu me lâches je pourrais te dire pourquoi je suis là.

Je tenais toujours ses poignets, ce qui la forçait à rester penchée en avant sur moi, sa poitrine bien à ma vue. Je la lâchai et elle se redressa, se dandinant un peu alors qu'elle était toujours assise sur moi. Je me répétais dans ma tête, telle une chanson qui tournait en boucle : C'est la petite Amber, c'est la petite soeur de Benjamin, c'est cette petite emmerdeuse que j'ai si bien connue... ce n'est pas une bombe sexuelle à moitié nue toute seule dans ma chambre alors que ça fait des mois que je n'ai pas touché une fille. Ca ne marchait pas. Et mon érection était à son comble.
Tom : Alors, qu'est ce que tu veux ?
Elle attrapa une feuille et un stylo qu'elle avait amenés avec elle.
Amber : Tu me signes un autographe ?
Tom : Quoi, là, maintenant ? Tu ne pouvais pas me demander ça tout à l'heure ou demain ?
Amber : Ben non, pourquoi, je t'embête ?
Tom : Non, mais bon... si en fait.
Amber : Pourquoi ? Tu ne dormais pas quand je suis entrée. Qu'est ce que tu faisais au juste ?
Tom après un temps de réflexion : Je réfléchissais.
Amber : Ah bon ? Je ne t'imaginais pas si cérébral.
Tom : Ben tu te trompais.
Amber : Sûrement.
Elle avait un air sarcastique.
Tom : Bon, tu me les donnes que je te signe ça.
Après, j'espérais qu'elle s'en aille enfin, que je puisse reprendre où j'en étais.
Amber : Il me faudra aussi ceux des trois autres.
Tom : Ok. Tu n'as qu'à me laisser la feuille, je les ferais signer quand je les verrai.
Amber : Tu as l'air pressé de me mettre dehors. Mais je ne suis pas sûre que tu aies vraiment envie que je m'en aille.
Elle m'envoyait encore un de ses regards.
Tom : Tu n'as pas changé, toujours si collante.
Amber : Oh non, j'ai beaucoup changé. Et je vois dans ton regard que tu t'en es bien rendu compte. Et je le sens aussi.
Elle regardait vers le bas avec un air dépravé la bosse que formait mon érection sous la couette. J'étais mal à l'aise, et elle pas du tout.
Amber : Mais bon, si tu veux que je m'en aille...
Elle se leva et alla jusqu'à la porte, elle l'ouvrit et regarda dans le couloir. Il n'y avait plus aucun bruit dans la maison, tout le monde devait être couché. Elle resta à l'intérieur de ma chambre, referma la porte et éteignit la lumière, avant de venir jusqu'à mon lit et de se glisser dans les draps à coté de moi.

Tom : Qu'est ce que tu fais ?!!?
Elle se collait tout contre moi. Je n'avais pas suffisamment de volonté pour la repousser. Elle posa son doigt sur mes lèvres.
Amber : Chut !
J'étais complètement nu là dessous.
Tom : Il faut que tu t'en ailles.
Elle sentait bon, c'était un parfum léger et fruité.
Amber : J'ai envie de rester. Tu sais, je crois savoir ce que tu faisais avant que je ne vienne t'embêter.
Tom : Ok, tu as de bonnes capacités de déduction. Maintenant retournes dans ta chambre !
Elle mit sa main sur mon torse et se redressa un peu.
Amber : Je peux m'occuper de toi si tu veux ?
Tom : De quoi tu parles ?
Amber : Je sens bien comme tu es tendu. Laisses-moi faire, je sais comment te détendre, fais-moi confiance...
Je la sentais descendre sous le drap. J'avais dix-neuf ans et elle quinze, je savais que ce n'était pas bien, mais toute capacité de réflexion semblait m'avoir abandonné à cet instant. J'étais un être humain après tout. Elle prit mon sexe dans sa main, doucement. Et elle le prit dans sa bouche. C'était un million de fois meilleur qu'avec ma main. Je ne pouvais plus penser à rien d'autre qu'à cette sensation. C'est dans ces moments là qu'on se dit que le sexe est vraiment le meilleur truc au monde. Je la laissais faire, elle se débrouillait très bien. Je me perdais dans cette sensation, je baissais complètement ma garde et je ne pensais plus qu'à ce qui allait venir. Je sentais le plaisir monter, la pression qui se faisait trop forte et en même temps j'avais envie que ça dure encore. Des ondes d'extases voyageaient à travers tout mon corps, ma respiration était saccadée. Et ça montait encore et encore, jusqu'à ce que je me laisse complètement aller et que je me vide en plusieurs giclées d'une jouissance ultime dans sa bouche si accueillante. Mon Dieu, rien de comparable. Je me sentais fabuleusement bien, soulagé et rassasié, calme et serein, dans ma tête comme dans mon corps. Amber remonta sur moi.
Amber : Alors, c'était bien ?
Que répondre à une question comme celle ci ? Aucun mot ne pourrait décrire fidèlement à quel point c'était bien.
Tom : Oui, vraiment très bien.
Elle sortit de mon lit, j'entendais ses pas sur le sol et lorsqu'elle ouvrit la porte du couloir, je vis un filet de lumière pénétrer la chambre.
Amber : Bonne nuit, Tom. Fais de beaux rêves.
Tom : Merci, toi aussi.
C'était le truc le plus dingue et le plus excitant que j'avais fait depuis bien longtemps. En fait, je n'avais pas fait grand chose, c'est ça qui était le plus fou.

Vraiment bien. J'aime beaucoup tu as vraiment beaucoup de talent !

Merci... faudra attendre un peu, pour une suite éventuelle.

vite la suite pourquoi ne pas mettre sur le site un ange en enfer toutes les fanfic que tu a ecrite son super

Merci :--)

Parce que cette histoire (Un ange en enfer) contient des scènes de violence et qu'il y a sur ce forum de jeunes lectrices... maintenant, il y a le lien vers mon site dans ma signature, si ça vous intéresse ))

Wouah, génial, bon je suis sure que tu sais precisement ce que j'en pense, alors je vais juste te dire

lol... "Wouah"... carrément ? Non mais sérieux, j'avais presque honte de poster ce truc...

Ben t'as pas à avoir honte car moi j'ai super bien aimé aussi ! ))

Ouais suite !!! Et j'aime bien "un ange en enfer aussi" !!!!

Arf, le début est vraiment cool. C'est dommage que tu n'ais pas continué, vraiment.

j'adore suite en fait je ne voi pas le lien dans ta signature

c'est dans son www... sabrinel

http://tilletbom2gfiction69.free.fr/THFiction/Bienvenue.html

JDR suite

merci marmotte

Merci pour vos commentaires :--) Je ne sais pas encore si je la continuerai un jour.

Je suis en train de refaire mon site, donc la version en ligne n'est pas à jour, désolée.