- civa a écrit:
- ya un beug
OU ?
Chapitre 3 :Plus d’1 ans plus tardLa sortie de l’album « [r]évolution » du groupe Zak0uskii fit un grand bruit. Leurs chansons en français et en anglais conquit rapidement le publique de France, Belgique, Angleterre, Suisse, Luxembourg, Espagne et Italie. Le succès s’était jeté à leur visage et depuis ne les lâchait plus. Ils allaient commencer l’enregistrement de leur 2ème album et pour ne pas se faire harceler durant cette période furent envoyé dans un pays où leur anonymat était quasi totalement conserver. La filiale allemande du groupe les accueillit leur fournissant le logement dans une résidence et même bien entendu des cours.
C’est le matin du 3 février qu’il débarquèrent en Allemagne. Une voiture les amena à leur résidence.
Julie soupira.
- Qu’est-ce qui se passe ? Demanda Vivien.
- Mes amies me manquent déjà, soupira de nouveau Julie.
- Et ta famille ? Demanda Natan intéressé.
- C’est vous ma famille maintenant, leur sourit Julie.
- Et super fier de l’être ! Avoir une vois si douce qui vous berce tout les soirs et avec un petit bisou en prime ce serai dix fois mieux ! Lâcha en rigolant Arno.
- IMBECILE ! Dit Julie en se retournant pour le frapper.
Marc était devenu baby-sitter et manager à plein temps pour le groupe et ne s’en plaignait pas.
Nelly non plus d’ailleurs, la boîte lui payait de la nourriture à volonté.
* De vrais frères et sœur * pensa Marc en souriant vaguement.
Il aperçu la résidence par la fenêtre et prévint le groupe.
- Votre palace est la !
- C’est une résidence ! S’exclama Natan.
- Vous aller y vivre un petit bout de temps, autant vous préparez ! Lui répondit Marc.
- Heuuu c’est nous qui devons faire la cuisine, demanda Julie, parce que j’ai pas envie de goûter les plats d’Arno, il serait capable de m’empoisonner !
- Non, il y a un cuisinier.
- Et il…
- Oui, il est au courant pour tes diverses allergies, la coupa Marc.
- Ok, cool, répondit Julie, Hé bien, qu’est-ce qu’on attend pour découvrir ça ?
Ils descendirent tous de la voiture et se dirigèrent avec leurs sacs vers l’entrée ou un vieil homme attendait en somnolant. Marc le réveilla doucement. Il eut un mouvement de surprise et s’adressa à la troupe dans un Français médiocre.
- Ha….bienveuhnue dans la rézidence du zingne…Je m’appelle Gunter. Je vé fou montré vo chambrrrre.
- Heuuuu ok…lui répondit simplement Marc.
A côté de Julie, les garçon était mort de rire.
- Cé quel numéro ma chambrrre décha ? L’imita Arno qui reçu un coup de coude du Julie qui se retenait de rire et un regard pleins de reproche de Marc.
Ils avaient tous des chambre individuelles. Julie pénétra dans la sienne et la trouva particulièrement triste.
* Ma vie en Allemagne commence bien* se dit elle intérieurement.
Elle posa ses affaires sur son lit double avec un couvre lit à fleurs horrible puisse avança sur la terrasse de sa chambre. Elle vit que la chambre voisine était occupée mais par qui, elle ne savait pas et la chambre de droite était occupée par Arno. Elle sourit, il faisait frais et elle aimait le frais.
Elle s’assit sur une chaise en plastique blanc qui était sur la terrasse et sortit de son sas une cigarette (fumer nui gravement à la santé, sachez-le !) et son briquet. Arno passa la tête au-dessus de séparation des deux terrasses !
- Hééééé c’est mal ! Tu peux pas fumé pour ta belle voix.
Julie lui lança un regard l’air de dire « tais-toi, j’ai déjà marc sur le dos et pis t’es pas mon père. ».
- Bon ok…t’en as une pour moi ?
Julie rit et lui fit signe de venir. Quelque minutes plus tard, il pénétra dans sa chambre accompagné de deux autres lutins qui n’était autre que Vivien et Natan.
- Alors on fume toute seule ? Lui demanda Vivien.
- Oué…lui répondit simplement Julie.
- Hoooo notre reine est pas en forme ce soit ! Qu’est-ce qui se passe ? Demanda Arno.
- Notre vie à énormément changer depuis cette après-midi, vous vous souvenez ?
- Oui, moi je me souviens de ton appel sur mon portable, mais je pensais que tu nous avait juste trouver un concert mais en fait, t’avais dénicher une boîte de production ! Lui dit Natan en souriant.
Soudain Julie se mit a fouillé dans son sac et au bout d’un moment en extirpa un carnet de notes et un bic.
- Ha oui, le mystérieux cahier de mademoiselle ! S’exclama Vivien.
- A quoi il te sers ce machin vieux et pourri ? Demanda Arno.
- Ce machin vieux et pourri contient toute les chanson que j’ai écrit au long de ma vie même celle qui figurent sur l’album pour celles que j’ai écrit.
- En fait c’est une mine de trésor ! Dit Natan qui venait apparemment de se réveiller de son incompréhension totale.
- Oui mais c’est le mien. Vivien, tu peux aller me prendre ma gratte s’il te plait ? Dit Julie alors qu’elle écrivait déjà rapidement sur son cahier.
Vivien s’exécuta et la passa à Julie qui commença a fredonner un air un peu triste en suite elle y ajouta les paroles qu’elle avait écrit sur son cahier.
- Mouais c’est pas mal, mais tu devrais chanter en anglais, lui dit Vivien.
- Pourquoi ? Lui demanda Julie.
- C’est simple, tu as un accent trop craquant en anglais ! Lui dit malicieux Arno.
- N’importe quoi !
La porte de la chambre s’ouvrit et Marc et Nelly entrèrent.
- Alors les jeunes ça va ? S’exclama-t-il en arrivant sur la terrasse.
- Tu te sens si vœux que ça ? Lui demanda Natan.
- Nan, mais vous ne l’êtes pas assez pour fumer comme des trous !
- Ha je suis désolée mais j’ai plus de 16 ans et les garçons aussi, on à légalement le droit ! Lui répliqua Julie.
- Oui mais ta voix…
- Ma voix va bien merci ! Le coupa Julie, je composais à l’instant !
Ils ne se doutaient pas que sur la terrasse voisines, il y avait une personne qui les épiait.
- Bon les gosses…
- C’est bon, Marc nous prend pour des gosses maintenant ! Dit Arno très haut pour bien le couper.
Marc l’ignora et continua sa phrase:
- Demain vous commencez à 10 heures alors ne traînez pas, en plus c’est dimanche et dès Lundi vous aurez cours.
- Quoi ? On est obligé ? Demanda Vivien.
- Oui, comme ça vous serez encore plus légaux ! Lui répliqua Marc.
- Il est marrant ce type, dit Arno pendant que Marc et Nelly disparaissaient derrière la porte de la chambre.
- Il a raison, allez les mec, zou, dehors de ma chambre ! Je vais allez pieuter moi, je suis crevée ! Dit Julie en poussant les trois garçon dehors. Elle entendit derrière la porte une petite voix, genre celle d’Arno dire : « c’est bon, on est SDF maintenant », avant d’entendre des éclats de rire.
Ce qui trottait dans la tête de Julie ? Elle n’avait jamais été dans une école Allemande et n’était pas sure d’avoir un bon Allemand ! Mais elle ne se tracassa pas plus que ça, elle chercha un T-Shirt qui lui ferai office de robe de nuit, l’enfila, se démaquilla, enleva ses bijoux et se coucha. Elle s’endormit rapidement.
Le lendemain, Marc vint la réveiller de bonne heure pour qu’elle ait le temps de s’habiller.
Elle le remercia et entra dans une douche bien chaude la tête vide et le cerveau en mode OFF.
Elle sortit et enfila rapidement un jean noir avec un T-Shirt de la même couleur avec écrit en grand et en Orange dessus « OPEN YOUR MIND ». Elle descendit déjeuner après s’être mit un peu de maquillage.
Elle ne prit pas la peine d’observé qui était dans le restaurant de la résidence, elle s’assit à table et supplia quelqu’un d’aller lui chercher un café bien noir. Ce qu’Arno fit en voyant sa tête.
- Toujours accro hein ? Lui souffla-t-il.
- Mmmmmh, utilisa Julie en guise de réponse.
- Tu as vu qui était dans la salle ? Continua-t-il.
- Arno, si j’arrivais à ouvrir les yeux, je pourrait te le dire mais la c’est mon lit et ses draps qui monopolisent mon esprit.
- Je te vois bien faire une chansons la-dessus, continua-t-il encore.
Elle finit sont café et entama un croissant sans conviction.
- Mange hein ! Lui dit vivant en lui donnant un coup de cuillère sur la tête.
- Oui oui…
Elle avala la dernière bouchée et puis inventa une excuse de fille pour retourner dans sa chambre de reposer un peu.
Elle croisa des gens de le couloir et en percuta l’un deux. Un type avec des Dreads et une casquette qu’elle avait déjà vu quelque part mais ne chercha pas plus loin. Elle s’excusa rapidement avant de s’enfoncer dans l’ascenseur. Arrivée à son étage, elle entra dans sa chambre et s’écroula sur son lit.
Elle eut à peine le temps de se reposer, Marc vint la chercher.
- Allez mademoiselle, on va bosser !
- C’est cruel, lui répondit-elle la voix étouffée par son coussin.
- Oui, je suis un sadique, allez hop ! On se lève princesse !
- Moué…
Julie se leva doucement et suivit Marc dans le Hall où attendait déjà le reste du groupe.
Ils montèrent dans leur voiture et prirent la direction du studio. En chemin, ils se mirent à discuter :
- Hé Julie, tu as vu qui était dans notre résidence ? Lui demanda Natan.
- J’ai pas vu grand chose jusqu’à ce que Marc vienne me re-chercher dans mon sommeil…
- Allez devinne, continua Natan.
- Je suis pas devin, dis-le parce qu’en plus je suis vraiment nulle au devinette !
- Ca commence par un T c’est en deux mot et le deuxième mot comment par H.
- Pas de devinette, ne plus mon cerveau dors encore, j’ai l’impression qu’il s’est transformé en masse liquide qui va bientôt couler par mon nez ! Lui répliqua-t-elle.
- Ho mon dieu ! Arno d’éteint sur toi ! S’exclama Vivien qui commença a se faire frapper par Arno.
- Allez devine !!! Continua Natan.
- Vous êtes épuisants les garçons !
- Allez devine, jeune fille, s’en mêla Marc.
- C’est bon, c’est plus des devinette la, c’est « fais-chier Julie ». Soit vous le dites, soit vous le dites pas ! Dit-elle sur un ton sans réplique.
- Ok, on te le dit ! Dit Natan.
- Mais dit pas qu’on a pas essayer de te le dire ce matin, parce que à table j’ai essayer ! Lança Arno.
- A table ? Demanda Julie.
- Ouais, t’était pas très réveillée…Bon alors c’est qui ?
- Les TH ! TOKIO HOTEL !
- Si je dis ça à Nathalie, elle me croira pas ! Rit Julie.
- C’est tout ce que ça te fait ? Lui demanda Vivien, tu vis à côté de merveilleux musiciens, super connus, talentueux à souhait et tout ce que tu dit c’est ça !!
- Tu veux que je dise quoi ?
- Hurle ta joie Julie…continua Vivien.
- Ho oui un beau cris, genre film d’horreur, commença à blaguer Arno.
- Nan elle casserai sa belle voix, dit Natan dans un sourire.
- Ca ne me fait pas plus d’effet que ça en fait, ils sont comme nous, répondit Julie en haussant les épaules puis se tourna vers la vitre.
- Elle est trop maligne cette fille, dit Arno, ça doit pas être une fille.
- Ouais, elle a raison en plus…dit Vivien.
- C’est pour ça que c’est notre chanteuse princesse à plein temps préférée, dit Natan en rigolant.
Elle leur sourit et dévia à nouveau son regard vers dehors. Ils finirent par s’arrêter devant un bâtiment blanc et bleu.
Ils entrèrent dans le bâtiment qui avait l’air tout aussi moderne que leur ancien studio. Une petite femme vint les accueillir et les fit monter dans un studio assez grand. On leur dit qu’ils avaient jusqu’à 17 heures avec une pause d’une heure à midi. Ils commencèrent à se mettre au boulot. Répétant avant tout plusieurs fois leur chanson avant de l’enregistrer partiellement.
La journée était déjà presque finie et il était 17 heures passée.
Le producteur alluma son micro :
- Il manque quelque chose pour moi…Va falloir retravailler ça demain, il est tard, vous devez libérer le studio.
Effectivement, ils aperçurent des ombres derrière les portes vitrées opaques. Julie était énervée parce qu’elle ne considérait pas son travail comme bon et accompli. Elle détestait que ce qu’elle fasse soit inutile et imparfait. Elle empoigna son sac et sortit de la salle sans adresser un mot aux autres. Bousculant le groupe qui attendait derrière la porte. Arno se précipita pour la rattraper mais trop tard, Tokio Hotel était déjà dans l’embrasure de la porte attendant qu’ils partent. Ils virent la jeune fille qui les avaient bousculer entrer dans une salle de répétition et d’enregistrement de démos. Le groupe dans la salle n’alla même pas la chercher. Ils descendirent par l’ascenseur. Les TH se regardèrent et haussèrent les épaules jusqu’à ce qu’une porte mal fermée leur fit parvenir une mélodie puissante et une voix sublime. Bill réfléchit et s’excusa de devoir aller aux toilettes, les autres l’imitèrent. Le producteur leur dit dans le micro :
- Vous avez 5 minutes, après je lance le plan disparition.
Ils hochèrent la tête et entrèrent dans la pièce derrière la vitre du producteur. Cette partie de la salle, non éclairée, ne permettait pas de voir si il y avait quelqu’un dedans. Ils s’installèrent et regardèrent la jeune fille chanter avec rager et jouer avec force sur sa guitare électrique. Ils se regardèrent et finirent par convenir qu’elle était pas mal en tant que musicienne. Mais soudain, un jeune homme la rejoignit dans la salle. Ca sentait vachement fort la dispute….