[Fanfic] Le mal. [Propos vulguerre]

aarg !! jveu savoir la suite moua !! mdr
c'est top bien

Trop bien ?
Je ne crois pas.

pourquoi?

Parce que c'est pas la meilleur que j'ai fait lol
_maeve, la semaine prochaine

Meme si c'est pas la meilleure celle la est quand meme genial!!!!
La suite viteeeeeeeeeee! :--)

hen j'adore ta fic !!!!
suite stp!!!!

Propos Choquant.

Je me réveille doucement, la première chose que je vois, c’est lui, le sauveur de mes rêves. Il semble inquiet. J’ai du m’évanouir de n’avoir rien mangée depuis plusieurs heures. Je détourne doucement les yeux et remarque un cabaret avec un bon repas qui m’attend. Je n’ai pas envie de manger mais je me sens contrainte avec ses yeux qui me fixent. Il a remarqué que je me suis réveillée et me caresse les cheveux doucement. Je veux qu’il ne me touche pas, mais je ne veux pas l’effrayer, ça fait si longtemps que je me sens bien avec un jeune homme.

Gustav : Ça va mieux ?
Moi : Oui. Si on veut…
Gustav : D’accord.

Il me tend le cabaret et me le pose sur les genoux. Je sais bien qu’il me forcerait à manger. Sous ses yeux je mange, mais je sais que je vais tout vomir quand il sera parti, parce que mon corps n’accepte plus la nourriture. Mais, dans ma bouche, les aliments son si bon, je sens leur gout dans ma bouche puis descendre dans mon estomac. C’est bon. Je souris tendrement à Gustav.

Il est parti lorsque j’ai fini de manger, il m’a seulement regardé sans dire un mot cherchant peut-être se qui c’est passé dans ma vie avant sa rencontre. Il m’a promis revenir le lendemain. Mais je n’y crois pas, je ne crois plus personne, je sais que personne n’est de confiance. J’ai vomis mes tripes, j’ai mal de me sentir souillée. J’en ai vraiment marre. Mais j’ai peur de mettre fin à mes jours. Et ma mère dans tous ça ? Je ne crois même pas qu’elle c’est aperçu de ma disparition. Mais lui oui, c’est sûr, il ne doit plus avoir de plaisir maintenant que je suis partie. Lui, il n’a pas de nom, je le nomme comme ça quand je le désigne. Il n’a plus de nom depuis qu’il a osé me toucher. Toucher mon innocence. Toucher ma jeunesse que je n’ai même pas pu profiter. J’ai peine à croire qu’il est le mari de ma mère depuis leur vingt cinq ans. C’est mon supposé père. Celui qui m’a crée. C’est dégoutant quand j’y repense, que je vomis encore même si je n’ai plus rien dans l’estomac.

Après plusieurs minutes dans la salle de bain, je sors après avoir nettoyer ma bouche. Je me couche dans se lit confortable où tout cauchemar est effacer. Je ne sais même pas pourquoi mais j’ai pris le téléphone et j’ai composé le numéro à la maison.

Voix : Allo.
Moi : Maman ?
Mère : Comment vas-tu ? Ton voyage se passe bien ?
Moi : Maman, j’ai fuguée.
Mère : Bien sûr ma puce.
Moi : Maman tu as encore bu ?
Mère : Mais non mon joli cœur. Papa veut te parler.
Moi : Pas moi.
Père : Pourquoi donc ?
Moi : C’est de ta faute si je suis comme ça.
Père : Qu’est que j’ai fait, je ne comprends pas.
Moi : Fiche moi la paix, je ne veux plus jamais te voir.
Père : Tu reviendras assez vite à la maison sois en sur.
Moi : Tu crois, je ne reviendrai jamais.
Père : J’en suis pas si sur. Et puis j’ai tellement hâte de sentir ton odeur.

J’ai raccroché brutalement. Comment on peut être aussi ignoble. Mes larmes ont commencé doucement à perler le long de mes joues. Je n’ai plus envie de sentir son souffle sur moi, je n’ai plus envie de sentir ses mains sur mes seins, je n’ai plus envie de sentir ses yeux brulant de désir. J’ai envie qu’il meurt en souffrant pour toute les années où il a abusé de moi.

Je me suis endormis en pleurant, lorsque je me suis réveiller Gustav était près de moi à me fixer. Il n’a même pas dit un mot, il est rester là comme si il voulait que je lui dévoile ma vie.

Moi : Pourquoi tu me fixe comme ça.
Gustav : J’essaye de comprendre se qui c’est passé dans ta vie pour que tu souffre comme ça.
Moi : Je n’ai pas envie de parler.
Gustav : Tu parleras quand tu seras prête.
Moi : Tu crois qu’un jour je serai prête à tout oublier.
Gustav : Peut-être, mais si tu raconte ta vie à quelqu’un peut-être sera-t-elle moins difficile à oublier.
Moi : Tu crois ?
Gustav : Je n’en suis pas sûr mais j’espère.
Moi : Tu veux savoir ma vie et bien la voici.

Lorsque j’étais jeune, mes parents on perdu leur première enfant, une fille. Elle avait 10 ans à cette époque et moi seulement 5 ans. Elle est morte dans un accident de voiture où mon père à survécu. Il s’en est voulu longtemps. Mais à l’aube de mes 10 ans, il est rentré dans ma chambre, comme à son habitude. Mais j’avais l’impression que son comportement était différent. Il sentait l’alcool à plein nez. Il s’est donc coucher près de moi, et doucement il a commencé à me caresser le corps. Je ne comprenais pas trop se qui se passais, j’avais envie de crier, mais il ma chuchoter à l’oreille que si je criais, il allait dire à ma mère que j’avais été méchante. Je me suis donc laisser faire. Après plusieurs caresse il est parti de la chambre et puis le jour d’après il est revenu, il continuait son manège tout les jours mais sans pour autant me violer. C’est lorsque j’ai eu 11 ans qu’il m’a violé pour la première fois. Il m’a obligé à le toucher. J’étais totalement dégouté par se qui m’obligeais à faire. Bon dieu je lui aurai craché au visage si j’aurai eu moins peur de lui. Chaque fois que je rouspétais il me frappait pour ensuite dire à ma famille que j’avais méritée ce bleu. Ma famille riait de moi comme une bête de cirque. À croire que ma famille il n’y a que des monstres. Plus les années passaient plus il devenait brusque dans ses gens, plus il me faisait mal, plus le temps passait, plus je souffrais. J’ai essayé de m’enfuir de la maison mais ça ne faisais que l’excité d’avantage. Aujourd’hui j’ai quitté ma maison pour toujours…Enfin j’espère…

Gustav : Putain je suis dégouté.
Moi : Par moi…
Gustav : Non par les gens comme ton père.
Moi : Ce n’est plus mon père depuis des années
Gustav : Je te protègerai de lui.
Moi : Merci…

Il m’a écouté sans dire un mot, mais là, il m’a pris dans ses bras et m’a bercer dans ses bras comme font les mères. Je me sentais bien dans ses bras.

[…]

La vie est supposément belle, mais lorsque la vie n’était que mort, peut-elle s’ensoleillée de nouveau ?

t'ecri tro bien suite stp!!!!!

"Je veux qu’il ne me touche pas"==> c'est mieux de dire "je ne veux pas qu'il me touche"

"si j’aurai eu moins peur"==> les 'si' n'aiment pas les 'rais'! on écrit tjs "si j'avais eu moins peur..."

Et un cabaret, c'est un mot québecois? Enfin quand je lis cabaret ça me fait plus penser au Moulin Rouge qu'à autre chose xD!

En tout cas, c'était très bien! Gusgus se transforme en super héros ^^!
Suite???

Moi je dis, c'est trop bien écrit, c'est trop beau !

J'attend la suite ))

c'est bien! j'attend la suite! ^^