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| [fanfiction en cours] Maman Veut Ta Peau | |
| | Auteur | Message |
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Mona
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| Sujet: [fanfiction en cours] Maman Veut Ta Peau Sam 17 Sep 2011 - 10:36 | |
| A l'origine ma fiction était une fanfiction...les Tokio Hotel étaient la clé...et puis ça fait maintenant quatre ans que je l'écris cette histoire et elle a un tout "petit" peu évoluée avec moi. J'ai gardé Bill et Tom (non rien contre les G' mais bon.. ^^) et je me suis éclatée. J'espère que ça vous plaira ^^ INTRODUCTION Le bruit de la télévision recouvrait entièrement celui du téléphone. Karlina était plongée dans ses pensées, donc doublement coupée du monde et de la sonnerie stridente du fixe. L’appareil hurlait à la mort depuis une dizaine de minutes quand Jean dévala les escaliers pour y répondre. Parvenu au bas des marches, il posa la main sur le combiné, puis se retourna, cherchant sa sœur jumelle du regard. Il aperçu, se jetant du bras d’un canapé au sol, une cascade de cheveux blancs et noirs. « Je peux savoir pourquoi tu ne décroches pas le téléphone ? lança Jean, la main toujours sur le combiné. - Tu ne vois pas que je regarde la télé ? marmonna Karlina, émergeant de ses pensées. - Je peux savoir ce qui a de si important à la télé ?! répliqua-t-il ahuri. - Phantom Riders ! répondit-elle, en lisant rapidement le nom du groupe sur l’écran. C’est mon groupe préféré, depuis environ…deux minutes ! rit-elle. - Non mais t’as quel… - Réponds ! coupa-t-elle. - Attends que… - Mais décroche j’te dis ! C’est irritant ce bruit ! » Jean maugréa une courte série de noms d’oiseaux puis obéit. « Jean ? fit une voix grave. - Lui-même. Qui est-ce ? - Je suis…je suis le fiancé de Katherine. - Tante Katherine a un fiancé ?! - Oui. Nous avions prévu de vous faire la surprise à Noël. On avait prévu de vous rendre visite à Berlin…mais…je crois… ça ne va plus du tout être possible ! réussit-il à dire, avant d’éclater en sanglots. - Qu’est-il arrivé ? Que s’est-il passé ? Répondez ! - Katherine est morte. Ce matin. Elle venait de sortir de la baignoire. Elle a glissé. Sa tête a heurté le bord du lavabo. Et…et...le choc a été si violent…Elle. Elle est morte sur le coup. Oh mon Dieu ! Katherine ! fit l’homme d’une voix hystérique. - Quand sommes-nous attendus à Knightsbrigde ? demanda calmement Jean. - Le plus tôt possible, répondit l’homme, reprenant contenance. - Nous serons là dans deux jours. Merci… - Howard. Je m’appelle Howard, murmura l’homme. - Merci. Pour tout , reprit Jean. » Ce dernier ne se rendit compte de la présence de Karlina qu’une fois qu’il eût raccroché. Elle posa de grands yeux inquiets sur lui, l’interrogeant de son regard émeraude. « Nous allons à Londres ? » finit-elle par demander. Jean soupira et lui prit les mains avec sollicitude avant de lui répondre. « Tante Katherine est décédée ce matin. » Il n’y eut plus rien à ajouter. Aucun d’eux ne pleura. Jean et Karlina adoraient leur tante. Elle avait été une mère pour eux pendant de très longues années. Et même si ils n’avaient aucun lien de parenté avec Katherine, même si au fond, ils avaient toujours été orphelins, ils restèrent de marbre à l’enterrement. Leurs cœurs pleurèrent pour eux durant les mois qui suivirent. Pour la seconde fois, Karlina avait perdu une mère. Jean lui disait adieu à la seule femme qu’il ait considéré comme sa mère. | |
| | | April TH
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| | | | Fur_Immer_Alien
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| Sujet: Re: [fanfiction en cours] Maman Veut Ta Peau Lun 19 Sep 2011 - 15:37 | |
| Il faudra juste rajouter la balise [Fanfiction en Cours] dans le titre stp | |
| | | MARMOTTE Banni
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| Sujet: Re: [fanfiction en cours] Maman Veut Ta Peau Lun 19 Sep 2011 - 16:44 | |
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| | | Mona
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| Sujet: Re: [fanfiction en cours] Maman Veut Ta Peau Mar 20 Sep 2011 - 9:00 | |
| - April TH a écrit:
- J'aime bien ce début! On ne sait pas ce qui pourrait se passer par la suite et ça rend les choses intrigante
Je suis contente que ça te plaise Sasha Désolée Pauline..j'avais carrément zappé ^^ Et à maman marmotte ^^ Sinon vous en pensez quoi de la fiction? Avant que son chemin ne croise celui de Jean et de Karlina, les jumeaux Vera, Klark était comme les trois quarts des êtres humains. Sa vie était dénuée d’un quelconque intérêt. Fade et sans aucun événement palpitant pour la troubler, la vie de ce jeune homme se déroulait selon le schéma classique de préoccupations. Le travail et les amis. Garde de corps de six heures à dix huit heures, et parfois videur quand il fallait arrondir des fins de mois. Comme une grande partie des gens du métier il était de muscles et de ruse. Sa cupidité n’ayant d’égal que son addiction pour la musculation. Rencontrer les Vera ne l’avait rendu ni plus intelligent, ni plus sympathique. Il avait gagné bien plus et beaucoup mieux que cela. L’éternité. Car voyez-vous, Klark avait toujours eu peur de mourir, aussi avait il longtemps rêvé de jeunesse éternelle. Et un soir, sans même n’avoir rien demandé cela lui était littéralement ‘tombé’ dessus. Son bienfaiteur n’avait exigé qu’une chose dérisoire de lui : surveiller les jumeaux Vera. Klark était tenu de veiller sur eux et de les éloigner autant que possible de tout élément lié à leur passé. C’était risible comme condition. Il avait accepté. Depuis, il avait la sensation de vivre dans un véritable film d’action. Il se sentait être le OO7 allemand, tandis que ce lundi-là il attendait devant la Deutsche Bank. Au bout d’une vingtaine de minutes, elle apparut devant lui. Elle lui sourit, de ce sourire divin qui l’hypnotisait des heures durant. Il la suivit jusqu’au coffre, des étoiles dans les yeux. Il n’y avait rien de captivant dans la boîte métallique. Juste quelques photos de Karlina et de sa mère. Il y avait sur plusieurs autres clichés un jeune homme blond au regard blasé et au sourire mièvre. Derrière la photo il y avait inscrit Tiffen Land. Suivait d’autres photos apparemment aussi peu importantes les unes que les autres. Il s’apprêtait à manifester l’ennui suprême qui le submergeait quand son regard se posa sur la déesse. Il fut comme frappé de plein fouet par l’aura qu’elle dégageait. Elle semblait briller de milles feux célestes. Son visage exprimait une telle révérence, une fièvre sans nom et une admiration indescriptible qu’il n’osait en détourner les yeux. « Qui est-ce ? » osa-t-il demander au bout d’un long moment de contemplation. La néréide laissa éclater un délicieux rire et le fixa intensément sans répondre. Elle attendit un moment ensuite se leva de la table où elle était assise jusque là. Elle passa derrière lui avec une démarche évanescente puis, l’enlaçant de son bras nacré elle lui murmura sensuellement à l’oreille : « C’est Gordon. Mon Boss. » Klark gloussa. Il avait cru jusque là que son bienfaiteur était aussi son patron, qu’il avait un grade supérieur à la déesse qui se tenait derrière lui. Pourtant, il apprenait avec une toute nouvelle excitation qu’il y avait quelqu’un au-dessus d’eux tous, et qui tirait les ficelles. C’était grisant. Il faisait partie d’un réseau. Il allait voir le visage de celui qui en était à la tête. Il tendit les bras par derrière et voulu se saisir de la photo qu’elle tenait. Elle se dégagea lestement, et d’une main elle lui tordit joyeusement le bras. Il hurla de douleur. « Ah ! Mais qu’est-ce qui te prend ?! cracha-t-il. Ce n’est pas drôle du tout ! Je n’ai pas le droit de voir à quoi ressemble notre patron ? Tu n’avais qu’à le dire ! - Notre patron ? reprit-elle, amusée. - Quoi ?! répliqua-t-il. - Qu’est-ce qui te fait croire que tu travailles pour lui ? Qu’est-ce qui te prend de parler comme si toi et moi on était dans la même équipe ? croassa-t-elle. Tu n’es en rien comparable à nous. Tu n’es qu’une espèce de résidu. Ton boulot c’est d’être la baby Sitter des Vera. Qu’est-ce qui t’arrive ? - C’est bon ! Lâche-moi ! marmonna-t-il, frustré. - D’accord, rie-t-elle. Allez, debout, j’en ai assez pour aujourd’hui. » Klark se leva et la suivit hors de l’enceinte. Elle s’apprêtait à monter en voiture quand elle se jeta à son cou et lui déposa un léger baiser sur la joue en murmurant : « Ne t’avises surtout pas de parler de tout ceci aux Vera, ou je me ferai un plaisir de mettre fin à ta misérable existence ». Klark se le tint pour dit. Il regarda partir la belle avant de décrocher son portable. « Alors Klark t’es où ? Il faut te bouger là Karlina attend ! fit la voix enjouée de Jean. - J’arrive ! Je te rejoins à l’appartement. J’avais deux ou trois bricoles à régler. - Encore une de tes conquêtes que tu viens de larguer ? ricana-t-il. - T’as tout compris ! - Allez ramène-toi. Karlina risque de se transformer en bête sauvage si on ne rapplique pas rapidement. - Crois-moi, j’aurai vu pire ! » | |
| | | Fur_Immer_Alien
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| Sujet: Re: [fanfiction en cours] Maman Veut Ta Peau Mar 20 Sep 2011 - 13:03 | |
| Je lis ça dès que j'ai un peu de temps | |
| | | Mona
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| | | | April TH
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| Sujet: Re: [fanfiction en cours] Maman Veut Ta Peau Ven 30 Sep 2011 - 12:40 | |
| C'est cool!! J'aime beaucoup! C'est bien écrit et pour le peu que l'on voit du scénar pour le moment je trouve ça cool! Pressé de lire la suite ! | |
| | | Mona
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| Sujet: Re: [fanfiction en cours] Maman Veut Ta Peau Ven 30 Sep 2011 - 16:43 | |
| - April TH a écrit:
- C'est cool!! J'aime beaucoup! C'est bien écrit et pour le peu que l'on voit du scénar pour le moment je trouve ça cool! Pressé de lire la suite !
Venant de toi...ça fait plaisir!! Je suis entrain de dévorer tes fictions du forum et j'adoore. J'espère que tu reviendras lire ma suite. ^^ N'hésite pas à donner tes critiques..
Chez André, derrière le comptoir en obsidienne renforcée de l’accueil qui faisait face à la porte d’entrée, Karlina commençait à perdre patience. Il sonnait 13h, elle finissait son service dans une demi-heure, la file de clients qui attendaient de se voir attribuer une table ou qui en avait réservée ne cessait de s’allonger, alors qu’Andréa, celle qui prenait le service après Karlina, n’était toujours pas arrivée. Cela sentait encore les heures supplémentaires. Karlina détestait cela. Elle haïssait ce travail, elle avait développé une sourde antipathie pour ce restaurant, aussi exécrait-elle d’y passer une minute de plus dès que son service s’achevait. Comme si cela ne suffisait pas, elle avait beau tendre le cou et guetter la rue, elle n’apercevait toujours pas la voiture de Jean. Il allait être en retard, encore une fois ! Karlina fulminait tout en adressant un sourire chaleureux et avenant à une espèce de petite vieille aigrie, aussi charmante qu’un Bulldog enragé. Que disait-elle déjà ? Karlina se connecta à la bonne fréquence avec une légère moue. « Vous trouvez ça drôle peut être ? beugla l’aïeule. - Mais quoi donc madame ? demanda Karlina, affable. - J’ai réservé une table ! Au nom de Miranda Malmeudi. Ça fait une heure que je vous demande de vérifier ! ça vous amuse de vous moquer d’une vieille dame sans défense ?! Dans quelle espèce de repère de débauchés suis-je tombée ! Appelez-moi votre supérieur ! - Madame Malmeudi, excusez sincèrement mon incompétence. Je suis vraiment désolée du désagrément. J’ai dû mal regarder la liste. Andrew va vous conduire à l’une de nos meilleures tables pendant que je vérifie, proposa Karlina. - Vous avez intérêt ! Quelle bande capable quand même ! - Je vous présente encore nos excuses madame. - Je n’en ai cure ma chère… - Andromède, termina Karlina alors que la pauvre vieille plissait pitoyablement les yeux pour pouvoir lire le bagde. - Peu m’importe ! coupa celle-ci, en se détournant rageusement. » « Tous des complexés ! » soupira Karlina en cherchant le nom dans la liste des réservations. Elle finit par trouver une certaine Malmédy. Cette fichue centenaire ne pouvait même pas épeler correctement son propre nom ! Lina souffla, puis leva la tête pour accueillir le client suivant. Ou plutôt le couple de clients, en pleine scène de ménage, qui ne lui accorda même pas un regard. « Je ne vois absolument pas pourquoi tu tiens à engager une nouvelle styliste ! Toutes celles que Michaël nous a envoyées jusque là étaient des plaies ! Laisse tomber David, fit un charmant trentenaire, l’air exaspéré. - Non. J’ai pris ma décision, ce n’est pas discutable, coupa sèchement le dénommé David. - Mais… - Excusez-moi messieurs ? intervint Karlina. Vous avez réservé à quel nom ? - David, répondit âprement l’homme portant le même prénom. - Juste David ? reprit Lina. - Oui, c’est ça ma chère… - Andromède, compléta Lina en baissant les yeux sur sa liste. - Andromède ? répéta niaisement David, en la dévisageant. - Oui, c’est ça, répondit caustiquement Lina. - C’est une idée absolument ridicule ! Que tout le service ici soit à l’éloge d’André ! rouspéta l’homme qui accompagnait David. - C’est toujours avec beaucoup de considération que nous accueillons les remarques de nos clients dans notre boîte à suggestion messieurs. Andreï va vous conduire à votre table maintenant. Bon appétit à vous ! » Le couple ne répondit pas. Ainsi suivirent trois autres clients, sans que Karlina n’aperçoive ni celle qui devait la remplacer au comptoir, ni la voiture de son frère. Quand quatorze heures sonnèrent, elle failli éclater d’une rage folle. Elle baissa les yeux pour reprendre contenance et se calmer avant d’accueillir les clients suivants. « Excusez-moi ? Euh...Andromède ? » demanda une voix masculine veloutée et hésitante. Karlina releva vivement la tête avec la sensation d’avoir été prise en faute. Les mèches rousses de sa perruque bruissèrent légèrement autour de son visage. Elle sourit d’un sourire aérien au jeune couple qui lui faisait face. Un jeune homme, le visage rond, les paupières légèrement maquillées, les cils noircis de mascara, les cheveux soigneusement en bataille, lui retourna son sourire. « Savannah, tu penses qu’elle s’appelle vraiment Andromède ? demanda-t-il, ahuri. - C’est aussi sûr qu’elle est rousse ! rie la dénommée Savannah. - C’est ce que je me disais aussi, fit-il, jetant un coup d’œil complice à Karlina. - Que...que puis-je faire pour vous ? demanda Karlina décontenancée. - Une table réservée au nom de David pour six personnes, s’il vous plaît, répondit le jeune homme. - Laissez-moi deviner, c’est Persée qui nous amène à notre table ? badina Savannah. - Non, Andrew ! pouffa Karlina - Parfait, Andromède ! J’adore déjà votre restaurant. Et cette perruque vous va à ravir, complimenta Savannah. - Merci. Bon appétit à vous. » Karlina regarda avec envie le jeune homme à la démarche éthérée s’éloigner aux bras de la délicieuse Savannah à la chevelure blonde et vaporeuse. « Salut ! Excuse-moi Karlina, je suis en retard, s’excusa Andréa dans son dos. - Ce n’est pas grave, fit Lina, perdue dans ses pensées. » Karlina s’éclipsa rapidement dans les vestiaires pour se changer et sortit par la porte de derrière. Elle revint devant le restaurant pour y attendre Jean. Elle y arrivait quand un 4x4 aux vitres fumées s’arrêta à quelques mètres d’elle. Un trentenaire à l’air sournois et vêtu d’un costume griffé descendit du côté conducteur et s’adossa nonchalamment à la voiture. Quand le voiturier ouvrit la portière arrière, l’un après l’autre, deux autres hommes apparurent. Inconsciemment, Lina pressa légèrement le pas. Intriguée par leur apparence, elle voulait entendre leur conversation. Elle eut à peine le temps de parvenir à leur hauteur quand les deux hommes s’engouffrèrent dans le restaurant. Elle jura silencieusement. Elle aurait tellement voulu savoir le prénom du plus jeune individu. Les dreadlocks, le double piercing aux oreilles et le sourire espiègle lui semblaient étrangement familiers. Elle soupira de frustration et se retourna vivement en entendant une autre voiture s’approcher. C’est à cet un instant qu’un frisson glacial la parcourut. Malgré le fait que ses yeux restaient voilés par la paire de Ray Ban qu’il portait, Lina sentit le regard froid et inquiétant de l’homme en costume l’examiner. Il la fixait avec un angoissant sourire en coin.
« Lina ! Lina ! Tu viens oui ?! » lança la voix lointaine de Jean.
Karlina leva les yeux, soulagée. Jean était garé à quelques mètres plus loin. Au même moment, la 4X4 démarra brusquement et s’en alla. Alors que Karlina s’élançait vers son frère, elle sentit ses talons crisser sur quelque chose par terre. Elle se baissa et ramassa. C’était une carte de visite au nom de Michaël Ortiz. La carte appartenait à coup sûr à l’un des deux hommes qui étaient entrés Chez André quelques instants plus tôt. Karlina sourit et la glissa dans son sac. | |
| | | April TH
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| Sujet: Re: [fanfiction en cours] Maman Veut Ta Peau Ven 30 Sep 2011 - 17:23 | |
| ahhhhhh ça y est, la rencontre! J'ai bien aimé! je vais devenir accro si tu continue comme ça! J'ai trop adoré le "C’est aussi sûr qu’elle est rousse ! rie la dénommée Savannah." Sincèrement j'adore, continue ! Ca me fait plaisir aussi que tu me dise ça. Je suis contente que tu aime mes fictions! Bises. | |
| | | Mona
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| Sujet: Re: [fanfiction en cours] Maman Veut Ta Peau Ven 30 Sep 2011 - 18:06 | |
| - April TH a écrit:
- ahhhhhh ça y est, la rencontre! J'ai bien aimé! je vais devenir accro si tu continue comme ça!
J'ai trop adoré le "C’est aussi sûr qu’elle est rousse ! rie la dénommée Savannah." Sincèrement j'adore, continue !
Ca me fait plaisir aussi que tu me dise ça. Je suis contente que tu aime mes fictions! Bises.
je veux bien te rendre accro moi...moi j'accronise les gens MDr! Bon bah écoute...puisque t'es là...mettons le paquet ^^ Pourquoi s’était-il autant attardé en la voyant approcher ? Elle ressemblait terriblement à sa mère. C’en était encore plus troublant en la regardant d’aussi près. Elle en avait le nez, les lèvres et le regard sibyllin. Pendant une fraction de seconde, une ombre était passée sur le visage de Karlina, et il avait été certain de voir la mère de la jeune fille : Neritsa. Il avait eu l’envie soudaine de lui briser le cou une seconde fois et de s’assurer qu’elle était définitivement hors d’état de nuire. Mais il s’était contrôlé. Il avait laissé partir Karlina et s’était vite éclipsé. Il avait roulé toute l’après-midi, errant sans but dans la capitale allemande, jusqu’à ce que David ne l’appelle. Il y avait un problème à la Villa, on avait instamment besoin de lui. Il les trouva tous dans la spacieuse et magnifique cuisine de la Villa, l’air grave. David et son épouse étaient les seuls à être assis à une somptueuse table lambrissée. Athéna se tenait en retrait, dans l’entrebâillement de la porte donnant sur le jardin, le visage impénétrable. Enfin Gordon était adossé au mur juste derrière David. Quel charmant tableau ! pensa ironiquement Illian. On aurait dit une réunion de la haute pègre. Illian tût ses pensées pour se concentrer sur l’objet de la discussion. Ou plutôt de la dispute. A la façon dont l’air s’électrifiait quand David et sa compagne se parlaient, on comprenait que régnait une légère mésentente. « Je ne comprends pas comment tu peux emmener les enfants déjeuner en ville et te comporter comme si de rien n’était alors qu’une folle furieuse traîne dans les parages! Elle a tué mon fils ! Tu ne comprends pas ?! Les jumeaux sont en danger aussi! fit fébrilement la femme. - Elle est morte, reprit froidement David. Elle n’a pas pu attenter à la vie de notre fils. Pour Amaury c’était un accident. - Alors tu me prends vraiment pour une idiote ! s’insurgea son interlocutrice. Neritsa a trouvé un moyen. Je le sais, je le sens. Elle va tous nous tuer. L’un après l’autre. L’assassinat d’Amaury n’est qu’une mise en garde. Crois-moi ! Croyez-moi ! Gordon, s’il te plaît, soupira-t-elle en tournant un regard implorant vers lui. - Pourquoi voudrait-elle te tuer ? Pourquoi tuer Amaury ? demanda Gordon sur un ton neutre. - Allons Gordon ! Ne rentre pas dans son jeu ! coupa David avec irritation. - L’écouter au moins serait faire preuve de politesse, non ? glissa Illian, espiègle. - Merci Illian. David, Neritsa doit être jalouse. Tu l’as trahie. Vous étiez quand même fiancés à l’époque, avant son tragique accident. Tu m’as épousée ensuite. Puis on a eu Amaury. Tu l’as rejetée ! Vous l’avez tous fait ! Et moi, qu’en savais-je ? Rien. Et Amaury, était-ce de sa faute ? Elle commencera par les innocents avant de s’en prendre aux coupables. - Tu aurais une bible dans la main, qu’on te prendrait pour le fou furieux à trois rues d’ici qui annonce chaque matin la fin du monde, se moqua David. - Je savais. Je savais que tu resterais aveugle. J’étais déjà prête, avec ou sans ton aide je m’en vais. En fait, nous ne sommes là que pour que tu décides lequel de ses deux-là me servira de chauffeur, répliqua sa femme en se levant. - Aucun. Tu ne pars pas, grogna David. - Je suis ici de mon plein gré ! Tu n’as aucun droit de me retenir ! Notre accord était limpide. Ma raison de vivre, la seule condition pour que je reste là est morte et enterrée. Amaury n’est plus. Alors moi je m’en vais ! - Très bien ! Très bien ! Fais ce qui te chante ! Après ne viens pas te plaindre de ta bêtise ! s’énerva David. Allez, vas-t-en maintenant, avant que je ne change d’avis ! - Lequel d’entre vous ? demanda Gordon en fixant Athéna, puis Illian. - Je m’y colle ! lança Illian avec un sourire en coin. - Bien ! » conclut David se levant à son tour.
Quelques minutes plus tard la Chrysler 300c marron cendré démarra. La Villa était une véritable enclave, à quelques kilomètres s’élevait entre elle et le reste du monde une muraille végétale dense et imperméable percée d’un haut portail en acier. « Pourquoi quitter la Villa ? Tu ne cherches pas un abri, tu nous fuis, affirma Illian. - J’en ai assez de ce monde. Cette vie n’est pas mienne. La Villa est plus une prison qu’un refuge pour moi, répondit l’épouse de David. - Mais c’est l’endroit le plus sûr au monde. Ta crainte de Neritsa n’était donc qu’une feinte ? demanda Illian. - Non j’ai réellement peur d’elle, mais j’ai déjà tout perdu. Mon fils unique est mort. Je n’ai pas de preuve de son implication, mais quelle importance ? Je n’ai plus rien à perdre. Qu’elle prenne ma vie, elle me fera un cadeau, dit-elle avec indifférence. - Je vois, soupira Illian. Où veux-tu aller ? - Hors du continent. A toi de choisir l’endroit précis. - Hum, souffla Illian. Je suppose que tu ne veux rien qui vienne de David ? Du genre un petit chalet cossu perdu au milieu de nulle part. - Tu as deviné. J’achèterai le chalet moi-même. Je ne veux plus rien dans ma vie qui me relie à David. - Tu es dure ! Lui aussi a mal, un chagrin et une culpabilité terribles le rongent. C’était son fils à lui aussi ! protesta Illian. - Ne compare pas ! N’aie pas la prétention de pouvoir le faire ! Je n’ai jamais eu qu’Amaury ! Aujourd’hui il est mort. A David il reste encore Bill et Tom. Il considère les enfants de Gordon comme ses propres fils, il les a toujours traités ainsi et maintenant qu’il a perdu Amaury, sa tendresse et son attention envers les jumeaux n’auront plus de limite. Avec le temps sa douleur deviendra supportable, la mienne non. - A une certaine époque tu l’aimais passionnément. A ce moment-là tu n’aurais pas fui, tu lui aurais laissé une chance. Vous auriez surmonté ce drame ensemble ! plaida Illian - A une certaine époque… reprit-elle en écho. J’étais naïve et innocente. J’étais ignorante, aveugle. C’était avant que je ne sache qui était réellement David. Avant qu’il ne m’ouvre les portes d’un monde hostile. Quelle idiote j’ai été ! - Alors pour toi nous ne sommes tous des monstres sanguinaires ? se moqua Illian. - Pas tous, fit-elle, condescendante. Où m’amènes-tu ? - Albuquerque, répondit-il, lassé. - Au Nouveau-Mexique. Et comment comptes-tu m’y conduire ? - Moi ? Tu rigoles j’espère ! Je te dépose à Orly. Athéna aura déjà réservé une place sur un vol pour New York, puis un autre de New York à Albuquerque. Ensuite tu te débrouilleras comme une grande. - Merci » dit-elle avec sincérité. La discussion s’arrêta là. Il n’y avait plus rien à ajouter. Chacun se plongea dans ses pensées. Illian était tranquille. Pendant une fraction de seconde il avait sérieusement considéré l’hypothèse de la résurrection de Neritsa. Mais ce n’était qu’un prétexte, un délire. Elle ne pouvait être vivante. Il en était persuadé. Impossible. Il freina à peine quand ils parvinrent au portail en acier renforcé. Il aperçu brièvement le rayon qui scannait la voiture, avant que le portail ne s’ouvre de lui-même. Ils passaient la frontière entre les deux mondes. Une centaine de mètres plus loin, alors que la voiture prenait de la vitesse, son capot vola en éclats, une formidable détonation fit exploser les tympans de la passagère. Au milieu des hurlements de la femme, Illian essayait de reprendre ses esprits. Brusquement les quatre pneus se déchirèrent littéralement. Le véhicule décrivait des cercles sur la route à une prodigieuse allure. Par la fenêtre et le pare-brise, Illian entrevoyait un tourbillon étourdissant d’ombres féminines. La lumière se fit dans son esprit quand la portière de sa passagère vola en éclats, et que la femme fut violemment happée hors de ce qui restait de la voiture. La vitre de la portière côté conducteur avait aussi été explosée, avec agilité Illian s’en servit pour s’extirper du véhicule. « Illian !! Illian ! » hurla une voix noyée de sanglots. Illian se retourna juste à temps pour apercevoir les yeux exorbités et injectés de sang de sa passagère le fixer désespérément. Ensuite un craquement sourd. Un râle. Un second râle. Du sang, juste un peu. Puis, plus rien. Le corps retomba mollement sur le sol. Illian voulut s’élancer vers elle, même s’il était déjà trop tard. Il se rendit compte qu’il était prisonnier. Ses bras étaient maintenus dans son dos par de fines mains avec force surprenante. Un coup de pied dans les jambes le fit tomber à genoux. Un bras s’enroula autour de son cou et lui releva la tête de force. Il entendit des talons crisser légèrement sur le sol, puis le visage d’une très belle femme se pencha au-dessus du sien. « Illian » fit-elle d’une voix rauque. L’intéressé esquissa un sourire grimaçant. Le bras autour de son cou lui inclina brusquement la tête de sorte que son regard tombe sur le corps de sa passagère. « Elle, reprit la voix. Elle : un avertissement. Mais, toi ?...que va-t-on faire de toi ? » | |
| | | April TH
Messages : 93 Points : 107 Date d'inscription : 14/07/2011
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| Sujet: Re: [fanfiction en cours] Maman Veut Ta Peau Dim 2 Oct 2011 - 11:05 | |
| C'est sympas, le côté suspens et action, j'aime bien! J'attends de voir la suite | |
| | | Nath' Regan
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| Sujet: Re: [fanfiction en cours] Maman Veut Ta Peau Mar 4 Oct 2011 - 14:26 | |
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| | | Mona
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| Sujet: Re: [fanfiction en cours] Maman Veut Ta Peau Mar 4 Oct 2011 - 22:17 | |
| --> Lelelo : La chronique?... Wiwiwi les noms, ça me fait plaisir..je commençais à me demander si ça contrastait pas trop Oui..j'ai essayé de mettre du fantastique dans tous ça. Passion à Twilight obligé... Voila voila la suite arrive Merci d'aimer ^^ --> April Th : merkii, je mets la suite de suite On lui releva encore la tête vers son interlocutrice, une dernière fois. Il sentit la pression sur ses jugulaires s’accentuer. Illian paniqua. Pourquoi n’y arrivait-il pas ? Comment ces garces pouvaient-elles l’avoir terrassé ? Il y avait une force surhumaine en elles ! Une force titanesque qui lui broyait la tête à présent. « Non ! J’ai dit NON ! protesta une voix fluette. - Tu préfères qu’on aille le noyer dans la Sprée ? rugit la voix rauque. - Si on le tue le message ne sera pas transmis ! répliqua l’autre. - Oh Métis ! Si tu savais combien tu peux me les casser des fois ! » siffla la voix écorchée. On relâcha Illian. Avant qu’il ne puisse esquisser le moindre mouvement, un pied le plaqua à terre tandis que le talon de la chaussure qui le recouvrait s’enfonça dans sa poitrine, juste au niveau du cœur. Une femme, autre que celle qu’il avait vu précédemment, baissa la tête vers lui. « Alors c’est ça ton nom ? Métis ? ricana-t-il. Est-ce que ça ne manque pas un peu d’originalité ? Je veux dire, c’est vrai elles sont toutes noires, mais bon ! Quand même ! » Le regard nacré de Métis s’agrandit d’hilarité. Elle se pencha un peu plus jusqu’à ce que les pointes tranchantes des longues tresses qu’elle portait n’entaillent le visage de l’homme à terre. « Tu n’es qu’un gros porc, murmura Métis avec un sourire béat. - Oh…tu m’en veux toujours, c’est ça ? Mais, il faut croire que c’est ce qui t’as séduit chez moi cette nuit-là, non ?! » répliqua-t-il, hilare. A peine avait-il finit de rire qu’un bottillon en cuir à lacés bleutés lui défonça la mâchoire. « Ama !! Pourquoi t’as fait ça ? Tu vois pas qu’on discute ? protesta Métis. - Je m’ennuie ! Et…on se tire ! grogna-t-elle. - Désolée, rit Métis, en envoyant un baiser à Illian. A bientôt. »
Il y eut un raclement indescriptible de talons de chaussures autour de lui. Quatre femmes le dépassèrent et formèrent une ronde autour de la dénommée Métis. Certaines portaient des tresses pareilles à celles de Métis, d’autres des dreadlocks. Les prunelles soit nacrées ou marrons, elles avaient toutes une carrure imposante malgré leur aspect frêle et irréel. Elles semblaient appartenir à une race particulière, issue d’une sorte de croisement entre néréides et walkyries. Aussi évanescente qu’un rêve. Elles jetèrent un dernier regard à Illian, puis disparurent soudainement. Il lui fallut une demi-heure pour se remettre de ses émotions, juste le temps de revenir à la Villa. Il aurait pu revenir beaucoup plus vite, mais il avait besoin de réfléchir. Le portail s’ouvrit automatiquement devant lui. Il savait qu’ils l’attendaient déjà. Son retour avait dû les alerter, et l’agitation causé par ses agresseurs n’était sûrement pas passée inaperçue. Cette fois-ci, il les trouva dans l’immense jardin japonais de la Villa. David, qui avait perdu Amaury son fils unique et était à présent veuf. Gordon, rejoint par sa femme Simone. Et Athéna. « Et bien tu t’en es sorti entier à ce que je vois ! lança cette dernière. - Pourtant j’ai bien cru que j’allais y laisser la peau cette fois, sourit-il. Je suis désolé, je n’ai rien pu faire, s’excusa-t-il en fixant David. - Je sais, fit-il en hochant gravement la tête. - Mais…pourquoi ? Qui les envoie ? Pourquoi parlent-elles d’un avertissement ? Nous ne sommes pas en guerre que je sache ? s’inquiéta Simone. - Il faut mettre les jumeaux à l’abri. Il faut absolument éloigner Bill et Tom quelques mois, le temps de retrouver ces tueuses et de remonter à leur employeur, proposa Illian. - Tu…rigoles j’espère! pouffa Gordon. Mes fils ne risquent rien. - Et puis la tournée est dans quelques semaines! Je crois qu’il ne se rend pas compte de ce qu’il dit. La colère et la déception de leurs fans seraient encore plus dévastatrices que tes tueuses à gages, s’esclaffa Athéna. - Suis-je la seule ici à éprouver de la tristesse pour la femme de David ? souffla Simone, peinée. - Suis-je le seul à trouver la coïncidence inquiétante ? A penser qu’elle a peut être raison et que Neritsa n’est peut être pas…morte ? répliqua Illian. - Simone, ma chère, nous la regrettons tous, crois-moi, soupira Gordon, en pressant la main de son épouse avec solicitude. - Coucou !! Bill et Tom sont peut être les prochains !! siffla Illian,exécédé. - Suffit ! Athéna, occupe-toi de lui. Et qu’on ne me parle plus de Neritsa ou d’une quelconque menace ! Illian, va te reposer. Le sujet est clos, fit David. - Bien, murmura froidement Illian, avant se retirer. - Attends-moi ! » fit Athéna en passant ses bras autour de lui. Gordon, David et Simone regardèrent le couple s’éloigner en silence. Tous savaient qu’Illian avait raison. Mais comment l’accepter ? Aucun ne voulait se l’avouer. Une morte pouvait-elle avoir commandité l’agression et les deux meurtres ? Car la femme de David avait bien raison, Amaury avait été assassiné. Amaury, ensuite sa mère. Une vendetta ? Mais de qui ?! Neritsa ne pouvait en aucun cas en être l’instigatrice. Puis presque simultanément, la lumière se fit dans les trois esprits. Neritsa était peut être décédée…mais ses enfants étaient toujours en vie. Jean et Karlina habitaient tout près. Enfin, surtout Karlina. | |
| | | Nath' Regan
Messages : 2652 Points : 3107 Date d'inscription : 30/09/2011
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| Sujet: Re: [fanfiction en cours] Maman Veut Ta Peau Mer 5 Oct 2011 - 13:59 | |
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| | | Mona
Messages : 205 Points : 250 Date d'inscription : 16/09/2011
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| Sujet: Re: [fanfiction en cours] Maman Veut Ta Peau Jeu 6 Oct 2011 - 19:33 | |
| --> Merci! Merci...mieux que Twilight ouaaaah ça me touche ^^
Ouah elle arrive la suite ^^ | |
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| Sujet: Re: [fanfiction en cours] Maman Veut Ta Peau | |
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| | | | [fanfiction en cours] Maman Veut Ta Peau | |
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