[Fanfic]

Voilà ma nouvelle fic. Alors euh, c'est pas une songfic à proprement parler, mais y a quand même beaucoup de paroles de différentes chansons dedans.



First chapter:



_Oui maman, tout se passera bien!
J’avais hurlé à travers la maison. J’espère qu’elle aura entendu. De toute manière, elle n’a pas à s’en faire. Ce n’est pas comme si j’avais 6 ans et que je rentrais en cour préparatoire quand même. Le chauffeur était garé juste devant chez moi. Avec le travail de mon père, on pouvait s’offrir ce luxe. Personnellement, ça m’arrange. Je n’aime ni les transports en commun, ni la marche.
_Alors, Alice, premier jour d’école?
_Oui, on tient bon.
Je l’aime bien, le chauffeur. Il est gentil avec moi. Et puis, parler pendant le trajet, ça ne fait pas de mal. Je suis toute excitée, je vais mettre les pieds dans un lycée pour la première fois de ma vie. Avant, je prenais des cours par correspondance. Mais mes parents ont décidé de me placer dans un établissement avant que je ne décroche mes diplômes. Je ne sais pas trop à quoi ça va ressembler, mais connaissant mes parents, je pense que je m’y sentirai bien.
_Allez, au revoir Frank.
_Bonne journée.
Me voilà arrivée. Les autres qui attendent devant la grille me dévisagent. Ca, il fallait s’y attendre ma petite. Tous des fils et des filles de médecins, de diplomates, tous des gosses de riches. Comme moi d’un autre côté. Ca se voit à leur regard, à celui qu’ils jettent sur les gens. Je suis restée seule contre un muret, de la musique dans les oreilles.

You and me, it's pulling me down
Tearing my down, piece by piece
And you can't see
That's it's like a disease
Killing me now, it's so hard to breathe

Différentes voitures sont arrivées. Des vans, des Mercedes, un réel cortège. Je ne sais vraiment pas ce qui m’attend après. Mais alors vraiment pas… On aurait là un des meilleurs lycées de toute l’Allemagne… Que des privilégiés donc? Les filles balancent sur moi des regards envieux et jaloux…
Oui, je sais, elles sont belles mes jambes. Alors je les découvre aisément.

Cause nothing ever lasts forever
We're like flowers in this vase, together

La sonnerie retentit. Je range mes écouteurs, éteins mon portable, et tout le monde fait de même. J'espère que mon accent français ne s'entendra pas trop, mais de toute manière, j'ai l'habitude de parler allemand avec mon père. Je regarde autour de moi. Le lycée est étrangement moderne. Des portes de verre, une cafétéria, et ma destination, l’administration. Je frappe au carreau de la porte. Une jeune femme brune vient m’ouvrir.
_Vous êtes la nouvelle élève? me demande-t-elle.
J’approuve d’un signe de tête, et elle m’accompagne jusqu’au bureau du principal adjoint.
_Bonjour jeune fille. Je vais me charger de surveiller votre scolarité tout au long de l’année. Mon nom est M.Schultz. Veuillez bien me suivre, je vais vous montrer votre nouvelle classe.
On marche à travers les couloirs lumineux du lycée. Une porte bleue, Schultz frappe et rentre, voilà ma nouvelle classe.
Mein Gott.
Les mêmes regards que tout à l’heure. 25 paires d’yeux rivés sur moi. J’en tremble.
_Chers élèves de dernière année, j’aimerai vous présenter une nouvelle élève arrivée tout droit de France. Voici Alice.
Il me fit entrer dans la salle en me tapant dans le dos. Pas aimable, ce mec. Il partit, me laissant seule avec le professeur et…les autres. Le prof me jaugea un instant, et désigna un bureau au fond de la salle.
_Allez vous asseoir là-bas, jeune fille. Et la prochaine fois, tâchez de mettre une jupe encore plus courte.
Fou rire intégral. Pour ça, je ne peux m’en vouloir qu’àmoi-même. La classe dans laquelle je me suis retrouvée est une classe à horaires aménagés pour les passions de chacun. Il y en a ici qui suivent très peu de cours, mais qui ont des occupations en parallèle (la musique, le sport…). Hm… Tout ça sent la compétition à plein nez.
La personne à côté de moi (fille?garçon?)
a toutes ses affaires sur mon bureau. Je le regarde un instant.
_Euh, est-ce que tu pourrais les…
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase. Une fille brune qui était devant moi se retourne.
_Oh, Bill, tu pourrais pousser tes affaires pour la sale blonde à côté de toi?
Garce.
Bill, c’est donc un garçon. Il ouvre des grands yeux sur ma jupe, puis les lève.
_Ah, oui mes affaires…
Décidément, ça promet.

Continue !!

bill qui se rince l'oeil pas mal trouvé mais pourquoi la garce aide-t-elle alice ?
et camille on dit MONSIEUR Schultz pas Schultz xD

Ahhhh jsui fan de toi cam tecrit tro bien
vite la suite enfin si ten a envi bien sur

Ca commence bien =] Suiite ;p

sOuiiit' =)

déjà accro...ça promet ^^

on est à ranger dans le même sac matchan^^
suite =)

xD

J'aime bien comment t'écris, j'en ai pas lacher une miette ^^
Continue narcisse XD

le surnom est très bien choisi en effet^^

j'aime beaucoup le début.
l'histoire a l'ai pas mal du tout.
je te demande pas une suite tout de suite vu que tu te barres xD
mais j'apprécie le premier chapitre =)

Second chapter:



Super classe: entre les travelos (mon voisin, en l’occurrence), la garce brune de devant qui lui trouve je-ne-sais-quoi mais qui le drague depuis le début de l’heure, les fashions qui se la pètent, l’intello au premier rang… Où suis-je tombée?
Sonnerie. Récréation. L’occasion pour moi de sympathiser avec quelques personnes. Les filles d’une autre classe sont venues me parler. Elles sont sympas, mais pas d’atomes crochus. Le plus drôle, c’est ceux qui viennent me questionner sur mon pays d’origine.
_C’est grand la tour Eiffel?
_C’est beau Paris?
_Ils sont comment les Français?
Je ne leur réponds pas.
_C’est vrai qu’il y a une boutique Louis Vuitton immense là-bas?
Par-contre, là, j’ai répondu. Histoire de dire que j’ai deux sacs qui en viennent.
Il y a quelques garçons mignons dans les parages. Dont un blond, mais pas de bol, il reste avec Bill, le travelo par excellence. Ce mec fait peur avec ses cheveux, pourtant toutes les filles tombent à ses pieds. Dans l’histoire, il y a un mec avec des dreadlocks, c’est aussi pitoyable, voir même plus. Et moi, je m’incruste avec ma mini-jupe et mes boucles blondes dans cet univers que je trouve totalement ridicule.
Sonnerie. Cours. Sonnerie. Cours. Sonnerie. Cette fois, je peux enfin sortir de ce lieu atroce.
Et dire que ce n’est que le premier jour… Je ne vois pas la voiture du chauffeur. A tous les coups, il m’a oublié. J’attends un peu. J’attends beaucoup. Rien. Et bien, je n’ai plus qu’à marcher. Mais bordel, mes bottes me font mal! Oui, je sais, caprice de star. Mais bon, j’ai été élevée comme ça. Alors votre avis, je m’en balance. Il y a un van noir qui passe devant moi. Une des fenêtres s’ouvre. Oh non. Bill.
_Besoin d’aide Alice?
_Nan.
J’ai répondu froidement. Je n’avais pas besoin de son escorte. J’ai des pieds quand même.
_Bon très bien. Salut.
Il remonte la vitre teintée après que j’ai entendu la suite de la conversation qui rimait à ça:
_C’est qui elle?
_Paris Hilton.
Demain, il est M.O.R.T. Ce n’était même pas drôle, sa «blague». Euh… Je marche depuis tout à l’heure en espérant trouver mon chemin, mais je crois que j’aggrave les choses. Je décide de retourner au lycée. Aïe… Mes pieds…
_Alice!
Tiens, le chauffeur. Je suis sauvée.

Le lendemain matin:

Prête pour le deuxième jour, fringuée top classe, avec des lunettes Dior qui s’accorde parfaitement à mes ballerines. Je sais, je suis trop forte.
Devant le lycée. Il y a un attroupement avec deux guignols au centre. Oulala, le groupe se déplace vers moi. Ca sent le roussi, ct’ affaire. Un des deux types s’approche de moi, passe littéralement son bras sur mes épaules, me balance un sourire digne d’un mec trop con (ouais, les sourires comme ça, ça existe), et me fait:
_On fait une fête vendredi, ça me plairait vraiment de te voir là-bas.
_Euh… Ouais, ça marche.
Il s’éloigna avec ses potes.
_C’est bon les mecs, y aura la bombasse a la soirée, vous pouvez venir.
Ouh purée… Calme… Cool… Zen… J'hésite entre aller lui mettre une baffe magistrale ou un coup de pied là ou ça fait... mal. J'ai fait mon choix. Le plus douloureux sera le mieux. Et en plein dans mon élan...
_Salut!
Manquait plus que ça, Bill et sa collection de poteaux. On dirait une troupe de singes, ils ont tous l’air aussi cons les un que les autres.
_Tiens tu parles à Paris Hilton maintenant?
Hilarité totale de mon côté. Bill penche léger… chien battu. Allez, à la fourrière, Médor!





La je me tape un fou rire toute seule ^^, j'ai honte de cette fic xD

comme t'es méchante avec Biiiiill!
mais je veux quand même une suite!!
t'as abandonné ton autre fic ?

Je sais aps.... No more inspiration =/

Mdr Bill et sa collection de poteaux !!
Sinon j'adore !! la suite !

j'aime beaucoup camille =)

cam666 a écrit:

Je sais aps.... No more inspiration =/

c'est triste, elle était trop bien!

Moi je sais la suiteuh ^^ ;D bon je te le redis meme si t'es a berlin cam elle est trop bien ta fic