[Fanfiction - Term]Les anges peuvent sauver de la mort1°part

Bon, je sais ce n'est pas bien, j'écrit plein de fic en meme temps, il faut que j'arrète, mais les autres n'ont pas l'air de plaire tant que sa, mais pour celle la j'ai completement changer de facon d'écrire, et ne vous en faite pas sa s'arrangera ( l'histoire) sa va paraitre un peu bizarre, mais lisez bien pour ne pas vous perdre.
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Les anges peuvent sauver de la mort

Chapitre 1

Assise dans mon lit, la radio allumer, il et 22h46min. Mes deux chats dorment, prés de moi, mais moi je ne dors pas, je suis la assise, j’ai installé, quatres ciseaux, de lame de rasoir, un mouchoir. Mon âme est à moitié éteinte, je n’ai plus espoir, je n’ai plus envie, je n’arrive plus a supporté cette douleur, ces coups, ces reproches, ces mensonges, ces faux-espoirs. J’ai décidé de mettre un terme à tout cela. Je regarde l’heure il et maintenant 23heures, le temps se fige, je n’entends plus la radio, elle s’est éteinte automatiquement, j’observe une dernière fois cette chambre, cette peluche, je l’ai depuis lomptemps, elle compte plus que tout au monde a mes yeux, elle me rappelle beaucoup de mauvais souvenirs, je lui parler dans mes moments de désespoir, elle a tout vu, mes chagrins, les coups que l’on me donner, ma première scarification, ma première douleur, mes souffrances, et maintenant, elle et encore là, a me regarder, elle m’observe, c’est comme si j’était née avec elle sauf que ce n’est pas le cas, je l’ai eu quand j’avais a peu prés 8ans, c’est une amie a mes parents qui me l’a offert pour un anniversaire. Mais maintenant, elle va me voir m’éteindre, tout comme elle a vue mon âme se détruire a petit feu, lentement, douloureusement. En la regardant, je verse une larme, elle coule le long de mon visage, suivit, d’autres larmes qui s’enchaines. Sa y et cette fois-ci c’est la fin, après plusieurs tentative échoué, le saut du 4eme étage, le glissement sous une voiture, a tout cela j’ai survécu, beaucoup de monde aurait voulu être a ma place, survivre a se genre d’accident. Je vis mes dernières minutes, dernières secondes. Je cesse enfin de pleuré, j’essuie mes larmes, et je prends la lame de rasoir, je la passe sur mon poignet gauche, je pose la lame du coté gauche de mon poignet et je la glisse vers la droite, la lame caresse ma peau, puis entre dans ma chair, pour toucher ma veine, sa y et cette fois-ci je pars, enfin, j’attendais se moment avec impatiente. Quand l’alerte incendie retenti, la lame reste accrocher à mon poignet, mon père vient me chercher, je prends mes chatons, mon téléphone, et nous sortons de l’appartement, mes sœurs et ma mère se trouve déjà en bas du bâtiment. Une fois de plus j’échappe a la mort, j’en ai marre, je n’ai pas de chance, le bâtiment, lui non plus. Mais je commence à avoir la tête qui tourne, je n’avais pas senti le sang coulai le long de mon poignet, je passe les chats a ma sœur, puis je regarde mon poignet, il et ensanglanter, la lame s’est enfoncer, elle et rester coincer, si je la sors mon sang va encore plus couler, et sa y et se sera enfin le moment, se moment que j’attendais temps. Je rapproche mon autre mains pour enlever la lame, mais je tombe, mes yeux se ferment, je ne respire plus, je ne me sens plus tomber, je n’entends plus rien, je perds tout mes sens.

Suis-je endormis ? Ou suis-je morte ? Que se passe t-il ? Toutes ses questions défilent dans ma tête. J’ouvre les yeux, je ne sais pas ou je suis, tout et si sombre, je ne vois pas un mur, pas de lumière, j’avance, malgré que je ne sais pas ou je vais, tout et si vain et vide, j’aperçois un point blanc au loin, sa semble se rapprocher, je sens une sorte de frissons, mon poignet me fait mal, je le regarde, je n’ai même plus la trace de la lame, je me sens étrange, c’est indescriptible, puis je regarde a nouveaux cette lumière blanche, elle c’est agrandi, on dirai des personnes, que me veulent-elle, peut être que je le saurai bientôt, je pense qu’ils ou elles sont quatre, oui, quatre, je ne l’ai ai jamais vue. J’ai l’impression que trois d’entre eux sont des garçons, et il y a une fille parmi eux. Sa y et ils sont prés de moi, il se rapproche, les voila enfin en face de moi, puis ne s’arrête même pas pour jeter un regard sur moi, mais je les dévisage, ils ne m’ont peut- être pas vue, ou peut-être au contraire, il m’évite exprès. Je ne pense pas que se soit une fille finalement.

« - Tu veux venir avec nous ? Dit l’un d’entre eux sans prendre la penne de se retourner.

- Vous allez ou ?

- La ou le destin a décidé de nous mener…

- Que voulez-vous dire ?

- Suis-nous, ou reste ici, comme tu le sens. »

Je décide de les suivre je ne sais pas ou ils vont, mais il vaut mieux que je marche avec eux, que rester seule. Nous marchons, lomptemps, très lomptemps, puis, nous arrivons, a un endroit ou il y a de la lumière, lentement nous nous en rapprochons, puis nous sortons de cette sorte de « tunnel » sombre, noir, sans vie.

Je découvre un paysage d’une beauté infini, je n’avais jamais vu cela, il y a une rivière, quelque arbres fleurie, un champ de fleurs en face de la rivière, je m’assoie en face de celle-ci, les garçons font de même ils s’asseyent a coté de moi, et l’un d’entre eux, commence à me parler.

« - Nous, voici arriver.

- … Je rester sans mots, devant ce paysage.

- Sache, que nous somme tes amis, nous seront toujours là pour toi, peut importe ta décision.

Ces mots me firent lâcher des larmes, je n’ai jamais eu d’amis, je ne me suis jamais senti aussi bien en présences de quelqu’un.

- Quelle décision ?

- Celle pour laquelle nous somme tous la.
- Tu veux continuer ou tu veux t’arrêté ? Dit un autre.
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Cette fic en vaut-elle la penne ou non? Si vous ètes plus de 4 a la lire, je continurai.

Moi j'aime beaucoup le début c'est assez original. J'attend la suite^^.

Ah oui continue!!! j'ai hate de lire la suite!!!

Si il y a plus de lecteur je metrai la suite :=):

oui!suite!!!!!!!!!

SI sa ne fait que intérrésser que 3 personne, sa ne vaut pas la penne que je continue... --"

Siii continue !! :--)
j'aime bien le debut ! ^^

Continue =)

Dans ce cas, laisser moi un peu de temps et je met la suite :)

Edit : C'est qui qui as cocher "ne te fatigue pas plus arrète la" ?

Messages : 2341 Points : 0 Date d'inscription : 06/11/2006 Âge : 34

j'aime bien moi aussi on est plus de 4 donc suite mdr

mdr, je fini le chap 3 et jmet la suite :=):

Voila enfin le chapitre 2, bOnne lecture, a partir du chapitre 3 sa commencera a s'arranger ^^" en attendant voici le 2eme
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Chapitre 2

- Celle pour laquelle nous somme tous la.

- Tu veux continuer ou tu veux t’arrêté ? Dit un autre.

- Je ne sais pas, je n’ai pas envie…

- Pourquoi ? Me coupa t-il.

Je lui racontai mon récit, avec tristesse, je continuer a pleuré, mais je savais qu’il fallait que je le finis. Après m’avoir écouté, attentivement, avec cœur, il me répondit, je m’étais senti écouter, tout le monde jusqu'à présent se contre-fiché de ma vie, sauf eux, se qui me faisait le plus grand bien.

- Voila pourquoi…

- Je comprends mieux, mais si tu continue, on t’aidera, on effectuera un nouveau départ. Tu véra. Que décides-tu à présent ?

Je ne sais pas quoi dire, puis contre ma volonté je dis :

- Je continuerai. »

L’eau s’arrêta de couler. Ils partirent tout les quatres de la ou nous venons, je m’allonge sur l’herbe, je ferme les yeux.

Puis je les rouvre, je suis allonger dans un hôpital, une infermière était venue voir comment je me portais quand elle me vit réveiller, elle s’assoie sur mon lit et commence à me parler.

« - Tu sais depuis combien de temps tu et ici ?

- Non, je n’en ai pas la moindre idée.

- Hé bien… sa fait un an jour pour jour.

- Quoi ? Comment sa ?

Je ne comprends pas, j’ai l’impression d’avoir dormis que quelque heure seulement. Je viens de me rendre compte que j’ai perdu 1 année de ma vie.

- Nous somme quel jours madame sil vous plait ? Dis-je poliment.

- Le lundi 15 Septembre. Il est temps pour moi de te laisser. »

Il fallait que je m’y attends que se soit se jour, le jour de mes 17ans.

Une jeune femme entra dans ma chambre, elle avait l’air amical, était habiller en jupe et avec un chemisier, et elle s’approcher, puis c’est assise au bout de mon lit. Elle tenait une enveloppe.

« - Bonjour. Me dit-elle calmement.

- Bonjour.

- C’est bien toi Mina ?

- Oui pourquoi ?

- On vient de m’avertir de ton rétablissement, tien c’est pour toi ** tendent l’enveloppe. **

- C’est quoi ?

- Ouvre. Je pris l’enveloppe de ses mains, et l’ouvrit, je découvrais un billet d’une valeur de 100€. C’est pour moi ? Demandais-je intriguer.

- Toi, et toi Seule !

- Pourquoi, me donnez-vous cet argent ?

- Parce que aujourd’hui ces ton anniversaire.

- Mais se n’était pas la penne.

- Garde le j’y tiens. En attendant prépare-toi je te ramène chez toi.

- Comment sa ? Pourquoi ? Non je ne veux pas !

- Pourquoi tu refuserais de retourner chez toi ?

- Pour rien…

- Bon d’accord. »

Le trajet de son véhicule a chez moi fut des plus silencieux. Je ne parlais pas, ne disais pas un mot elle non plus, je repensais sans cesse a se rêve. La voiture s’arrête, sa y et je vais retourner dans cette enfer, cette prison, elle sonna a la porte, j’ai peur, je stresse.

La porte s’ouvre, doucement, mais surement…

« - Bonjour, que puis-je faire pour vous ? Dit ma mère en affichant un sourire.

- Bonjour, je suis le professeur principal de Mina, et je suis allez la cherchez a l’hôpital…

- Il ne fallait pas madame, c’est très aimable de votre part. Dés que ma mère me vit, elle changea de visage.

- HO… Ce n’est rien. Au revoir ! Dit la personne en partant. »

Ma mère me fit entrer, et me fit m’installer dans la cuisine pour parler. Je crains le pire.

« - Quesque cette enveloppe ?

- Une lettre de rétablissement, de mes amies. Se n’est pas bien de mentir, mais la je n’ai pas le choix. Dis-je d’une voix timide.

- Je peux la lire ?

- NON !

- Tu ne me parle pas sur se ton. Elle m’arracha la lettre des mains, et l’ouvrit, elle y découvrait l’argent. Je pleuré, je ne voulais pas quelle le sache.

- Qui ta donner cela ? De toute façon j’en avais besoins pour m’acheter des vêtements et des produits de beauté.

- Tu n’a pas le droit, cette argent et a moi !

- Et bien maintenant c’est le mien, monte dans ta chambre, a oui, c’est vrai tu n’a plus de chambre, tu étais a l’hôpital. Va dans le grenier, on y a mis ton lit ! Sa sera ta chambre en attendant tes 18ans, pour pouvoir te faire partir !

Je parti en pleurant.
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Vous aimez ma nouvelle façon d'écrire? Perso je la trouve mieux! la suite ou pas?

c'est horrible sa situation. Continue ta fic est vraiment geniale!!!

en faite si vous avez compris, elle a voulu se suicider, car elle est maltraiter.

J'avais compris lol! vite la suite !!! :ange:

Elle et pas beaucoup lu, parceque ma fic et trop longue ou nul au début ???

Messages : 105 Points : 0 Date d'inscription : 19/04/2007 Âge : 32

suiteuhhhh!!! elle est trop super ta fan fic mais vite la suite stp

J'adore vraiment !
C'est triste sa situation ^^
Jpense que tu as l'impression que peu de gens la lisent car ils ne te mettent pas "la suite", mais c'est pas grave, si ?
Ou peut-être que les gens ne lisent pas, car tes fics sont souvent tristes et sombres et les autres ne veulent pas avoir le bourdon en lisant tes fics. Moi, je m'en fiche, j'adore tes fics et je veux que tu continues !

oki --" il faut que je fasse des Fic "Happy" -_-" sa va ètre simple encore... mais sa s'arrange toujours! enfin, la plupart du temps

BOn, aprés avoir réfléchi, j'ai décider de metre la suite, par contre, si elle fait le meme succes que le 2eme chapitre, j'arrète, je ne plaisante pas!
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Chapitre 3

Pourquoi ais-je décider de continuer, je n’aurai pas du, cela fait maintenant 6 mois que je me suis rétabli, et dans 6mois je quitterai cette asile de fou, ma soi-disant « Famille », car eux ne me traite pas comme telle, mais, je n’ai toujours pas revue ces quatres personne, si gentil, si attentionner. Si seulement je pouvais les revoir, même en rêve, ne serait-ce qu’une seule fois… J’entendis un « A table ! » c’est l’heure de diner, mon père allume la télévision, et dans leur émission du soir, il vient un moment, ou quatre jeune garçons, apparaissent, je regarde vite fait, sans faire attention, puis je regarde a nouveaux, ce sont eux ! J’en suis sur, je les reconnaitrai n’ importe où, il faut que je l’ai rencontre, quand j’ai une idée en tête, je vais toujours au bout. Mais, comment vais-je bien pouvoir faire, ils ne me connaissent même pas, bon tans pis, je vais quand même leur envoyer une photo, avec un courrier, grâce a l’argent que j’ai gagné, en cachette, je ne l’ai pas dit, ni montrés a mes parents, a cause du mauvais coup que m’a fait ma mère le jour de mon anniversaire. Sur ce après avoir, écrit une lettre, de ma plus belle écriture, et de mon médiocre stylo plume, je glisse une photo de moi, la plus belle que j’ai, je suis dessus en longue jupe noir qui touche les pied et un haut avec une tête de mort qui a une rose dans la bouche, j’adore cette image, je ne sais pas pourquoi, je trouve quelle me représente. Je sors de chez moi, sans avertir qui que se ne soit, et je pars la poster, au bout d’une vingtaine de minute je rentre chez moi, ma mère était devant la porte, elle avait l’air de m’attendre, je n’aime pas sa, sa sent l’interrogatoire, je ne peu même pas m’absenter une trentaine de minute :

« - Ou était tu ?

- Quelque part.

- Ne soit pas insolente, Répond !

- Je suis allez poster une lettre, ques que sa peu te faire ?

- Et avec quel argent tu as pris un timbre ? Tu et venue piocher dans le budget ? Comment a tu oser, file dans ta chambre ! »

Je n’ai même pas pu répondre, j’en ai marre, je me repose souvent cette question, pourquoi j’ai décidé de continué, je le savais pourtant. Alors, je m’exécute puis je rentre dans ma chambre, je n’ai pas répondu a ma mère car sinon j’allais avoir encore plus d’ennuie, mais je sais que dans quelque mois, enfin, le moment de ma liberté aura sonné, et la je partirai, loin d’ici, très loin.

« - Mina ! Descend ! Nous avons reçu ton bulletin de note ! Dit mon père.

Il pourrait me dire « Sil te plait ! » je n’ai pas peur cette fois-ci car, j’ai toujours des bonne note, il va faire comme a chaque trimestre, me dire de continuer ainsi, si je travaille bien ce n’est pas pour eux, c’est pour passer mon temps, m’occuper, je n’ai rien à faire, a part approfondir mes devoir et compagnie… Me voila enfin en bas.

- Tu étais lente ! Dit-il

- Mais bon, nous avons calculé ta moyenne, et nous nous somme aperçu qu’elle avait monté, elle et maintenant de 18,93. Dit ma mère.

- Coul. J’ai que sa a faire de toute façon

- Tu as maintenant l’autorisation de sortir 30minute par jour, sans dire ta destination, mais si au bout de se temps réparti tu n’es pas revenue, se temps te sera supprimer.

- C’est censé être une bonne nouvelle ? Je leur demande.

- Bien sur ! Mais vu comme tu viens de nous parlez, sa passe a 15 minute, bon, maintenant remonte dans ta chambre. »

C’est vraiment du n’importe quoi, 15minute de sorti par jour, il ne vaut mieux pas sortir du tout, je n’ai même pas le temps d’aller ou que se ne soit. Je m’allonge sur mon lit, et je m’endors, le soir, je ne mange pas, je n’ai pas faim, je continue à dormir, malgré les menaces qui me sont faite pour venir manger. Le lendemain matin, je pars au lycée sans rien manger, se n’est pas dans mes habitude, mais je n’ai pas faim. Les cours se passent comme d’habitude, je suis la 1ere de ma classe, je ne sais pas comment je fais, il y en a qui devrait être a ma place, de toute façon je m’en contre-fiche. Je rentre chez moi, tranquillement, le facteur et a la boite au lettre, il me donne le courrier en main propre, je le remercie, et regarde s’il n’y a rien pour moi, il n’y a rien, j’ai l’habitude tout le monde se fiche de moi, c’est a penne si les autres de ma classe savent mon prénom, il doivent le savoir, car je me fait tout le temps interroger, il faut dire aussi que je suis la seule a lever la main en cours. Mais ceci n’est pas important, je continue de regarder, et je vois une lettre adresser à Mina Scence, c’est moi (non pas possible), je la cache dans mon sac, et je part donner le courrier a mes parents, je cours dans ma chambre, mes sœur me voyent courir dans les escalier a grande vitesse. Je ne cour pas souvent chez moi, je balance mon sac sur mon bureau, je verrouille ma « chambre », et je saute sur mon lit avec l’enveloppe, je l’ouvre, et je la lis.

« Cher Mina,

Nous avons bien reçu ta lettre avec ta photo, et nous voulons bien te rencontré, voici mon numéro de téléphone portable, ne le donne a personne c’est le : 06 ** ** ** **.

En espérant te voir, réellement, tout le groupe. »

Je verse une larme, comment es-ce possible, parmi tout les fans qui doivent leur écrire, moi je vais les rencontré, j’ai un peu honte, je ne connais aucun de leur titre, je n’ai plus mon poste radio, je vais passer pour une sombre idiote, de ne pas connaître leur chansons, je ne vois pas comment je peux faire. En attendant il faut que je les appelle.
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Bon, dite-moi si je dois Réelement continuer, prouver moi que ma fic en vaut la penne!

NIARK NIARK NIARK!!pardon...
Alors je disait!! la suite vite ta fic est vraiment bien!!

elle et "bien" ou "BIEN!!!" xD

BIENN!!!! ^^

BOn allez comme se soir, je suis folle, je vous met le chapitre 4 tout frais!
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Chapitre 4

Je prends mon téléphone, avec le peu de crédit que j’ai-je leur demanderai de me rappeler, en plus je vais bientôt perdre mon numéro, car mes parents ne veulent pas me repayer de crédit. Je compose le numéro, j’entends les BIP de tonalité, mon cœur bat très fort, j’entends décrocher, et je n’arrive pas à parler, j’hésite, puis je me lance.

« - Bonjour…

- Bonjour vous êtes ? Dit la voix.

- Je suis Mina.

- A oui, je me rappelle vaguement de ta lettre, mais de ta photo si ! Sa t’intéresser de passez un peu de temps avec nous ?

- Oui, j’aimerai bien mais je peux à penne sortir de chez moi pour me déplacer au lycée. Alors je n’imagine pas pour partir en voyage…

- Passe moi le numéro de téléphone de tes parents, je vais voir se que je peu faire.

- Mais parents sont difficile a convaincre, il se peut que se soit même impossible…

- J’essaierai toujours !

- Bon d’accord, tenez : 06 ** ** ** **.

- A bientôt sans doute !

- Oui peut-être. »

Il et vraiment gentil, je ne sais pas qui c’est mais il a beaucoup d’espoir, si mais parents n’accepte pas, je n’aurai pas de surprise. J’entends le téléphone de ma mère sonner, il ne prend pas son temps, j’entends ma mère parler au téléphone, je ne comprends pas se quelle dit. Après une très longue conversation téléphonique, ma mère m’appelle, que va elle me dire cette fois-ci, je descends, comme toujours.

« - Mina, j’ai eu quelqu’un au téléphone, celui a qui tu aurais envoyé la lettre, il m’a proposé de t’envoyer le voir lui et ses amis pendant quelque temps, il m’a dit que tu étais d’accord, es-ce vrai ?

- Heu… Oui…

- Bon, prépare ta valise… ** pense** J’ai enfin trouvé le moyen de me débarrasser de se poids !

- HO, merci maman ! »

Je fonce dans ma chambre, et je prépare ma valise. Il y a quelque chose de pas très nette, mais je serai enfin parti de cette prison, la ou pendant 17 année de ma vie, j’ai été maltraité, la ou pendant mon enfance jusqu'à mes 12 ans je n’ai pas cessé d’être enfermer dans un placard pour la moindre bêtise, la ou j’ai essayé tans bien que mal de mettre fin a ma douloureuse vie, je vais enfin partir, m’échapper. Je suis apaiser, j’ai le cœur léger, je me sens « heureuse » comme jamais je ne l’ai était. Sauf qu’une question, me reste en tête, après mon séjour avec eux, ou vais-je aller, tans pis je me débrouillerai.

Je fais ma valise, en mettant le peu d’habit que j’ai, deux jeans dont un de déchiré, trois T-shirt, une robe, une jupe, et une paire de chaussure, en plus de celle que j’ai sur moi, voila ma garde-robe, on m’a toujours reproché de ne pas m’habiller a la « mode » moi je n’aime pas se mot, je n’aime pas les marques, je suis contre sa, je trouve sa ignoble, et puis se que j’ai, je n’ai pas le choix de faire avec. Sa y et ma valise et prête, je ne sais même pas quand es-que je pars, je descends ma valise, mon téléphone bon a jeter, et dans ma poche trouée. Quelqu’un sonne a la porte, je pars ouvrir, un jeune homme, était la, assez grand, avec une sorte de cheveux que je n’ai jamais vue, je n’arrive pas a identifier, mais je le reconnais, c’est lui, l’un d’entre eux.

« - Tu viens ?

- Je te suis.

- Les autres sont dans le van, ** tout en marchant vers el véhicule ** j’ai une impression de déjà vu, on ne se serait pas déjà rencontré ?

- Pas réellement du moins ! [Rires]

- Ou veux-tu en venir ?

- Non, rien, laisse. »

J’entre dans le van, ils sont là, pour moi, ils m’attendent.

« - Salut ! Me lança l’un d’entre eux.

- Bonjour !

- Tu vas bien ?

- Oui, depuis que j’ai appris que j’allai quittez cet asile !

- Que veux-tu dire ?

- Non, rien. Dit, c’est quoi ce noir que tu as sur les ongles ?

- C’est du vernis. Pourquoi cette question ?

- Je ne savais pas se que c’était…

- ** Ricanant ** Tu as déjà du t’en mettre !

- Non jamais.

- A tiens ! Je n’ai jamais connu de fille qui ne savent pas se que c’est !

- Je devrai savoir ?

- Un peu, oui. C’est comme pour le maquillage.

- J’ai déjà vu des filles de mon lycée se maquiller au toilette, je c’est un peu se que c’est.

- Si tu veux je te montrerai comment faire.

- Bonne idée ! Merci. »
Le véhicule s’arrêta devant un grand hotel, j’ai jamais dit que je n’aimé pas le luxe, il faut dire, que je sais a penne la signification de se mot, mais je crois que je vais la découvrir très vite…
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VOila! SUite ou pas? ho... et puis non, je vais au lit, j'y réfléchi a la suite!

Messages : 105 Points : 0 Date d'inscription : 19/04/2007 Âge : 32

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