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 [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer

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MARMOTTE
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MessageSujet: [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer   [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer EmptyLun 5 Juil 2010 - 23:16

[concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer Tom_ma10



Une rencontre peut tout changer






« Quelques mots pleins d’ombre peuvent changer une vie.

Un rien peut vous donner à votre vie, un rien peut vous en enlever.

Un rien décide de tout. »

Bobin Christian






4 mai 2010 – Bremen



Dans l’allée principale de l’église pleine à craquer, passa lentement un cortège de six hommes tout de noir vêtus, portant sur leurs épaules un cercueil. Une toute petite boite blanche, aussi lisse que l’eau, qui paraissait si légère qu’elle semblait presque flotter toute seule. Un petit cercueil, pour un petit garçon, mais un grand soldat.



Il s’appelait Peter. Il avait 12 ans. Il était fan de Tokio Hotel. Pour moi, il avait été un ami, un petit frère. Il a été emporté par la leucémie.







« 14 avril 2010 - Paris



Moi : Tu veux boire quelque chose ?

… : Non merci.



Je m’abaissais au niveau du mini-frigo de la luxueuse chambre d’hôtel, ouvris la porte et me saisis d’une cannette de coca. Je me retournais. Elle était assise sur le canapé de cuire blanc, les jambes croisées, un bras reposant sur l’accoudoir du fauteuil. Ses vêtements se composaient de suffisamment peu de tissu pour que je puisse admirer son anatomie, mais cela ne lui donnait pourtant pas l’air vulgaire.



Moi : Ou alors, on peut regarder un film ? J’ai quelques DVD, ou bien on peut louer…

Elle m’interrompit.

… : Tu sais très bien pourquoi je suis là Tom.

Je ne pus m’empêcher de sourire. Au moins, elle était directe. Un bon point pour elle.



Je remis ma casquette en place, m’assis près d’elle et déposais ma boisson sur la petite table en verre devant moi. Elle me regardait faire sans rien dire, un sourire provocateur sur les lèvres.

Doucement, elle se rapprocha de moi, et automatiquement, sans m’en rendre compte, ma main glissa sur sa nuque, l’attirant un peu plus dans ma direction. Elle stoppa son geste quelques secondes, le temps de laisser courir son regard sur ma bouche et sur mon piercing avec lequel je ne cessais de jouer, appuyant clairement ses intentions.

Mes lèvres se saisirent des siennes, doucement d’abord, puis avec plus d’intensité. Je lui demandais le passage vers sa bouche, qu’elle accepta immédiatement, et laissais nos langues danser, et nos souffles se précipiter.

Ma main descendit le long de son épaule, de son bras, passait sur ses hanches et arrivait jusque sur ces fesses. Je la sentie sourire. Elle se rapprocha un peu plus, collant nos deux corps.

Je ne connaissais ni son nom, ni son âge, mais cela m’était égal. Le désir montait en moi comme une vague, me submergeant de la tête aux pieds, et plus rien n’avait d’importance excepté mes mains qui se baladaient sur son corps.

Le monde autour de nous n’existait plus…jusqu’à ce que je sente vibrer mon portable dans la poche arrière de mon jean.

Avec agacement, je rompis notre baiser et attrapais l’objet de ma contrainte. C’était Bill. Je lui avais pourtant dis de ne pas me déranger. Pas ce soir.

Je décrochais.



Moi (plus brutalement que je ne l’aurais voulu) : Quoi ?



La jeune fille se mis à califourchon sur mes genoux et entreprit de m’embrasser dans le cou tandis que ses mains parcouraient mon torse sous mon T-shirt. Ses doigts fins courraient sur ma peau avec agilité, laissant derrière eux des sillons électriques.



Un sanglot se fit entendre au bout du fil.

Moi : Bill ? Qu’est-ce qu’il y a ?



Ses larmes redoublèrent et il émit un long gémissement.

C’était comme si on me torturait. Mon âme était secouée, passant par des sentiments extrêmes. Il n’arrivait pas à me répondre, accentuant ma souffrance à chaque seconde. C’était comme si mon cœur avait loupé quelques battements. Je repoussais brutalement la fille sur le canapé et me levais, agacé par son comportement alors que mon jumeau n’allait pas bien. Elle eut l’air frustrée, mais je n’en tins pas compte.



Moi : Bill réponds-moi ! Qu’est-ce qu’il y a ?

Bill: Oh, Tom! C’est… c’est tellement horrible! Da… David vient de… de m’appeler… C’est à propos de Peter… »





C’était pourtant un jour ordinaire. Un jour comme les autres, comme les précédents et comme les suivants. Ou du moins ca aurait du l’être.

David nous avait accordé une matinée de sommeil. On avait ensuite donné une conférence de presse durant laquelle j’en avais profité pour vanner Georg, et Bill par la même occasion. Avec le groupe, on était repassé à l’hôtel ou j’avais écrasé Bill et Gustav à la Playstation. Je dois dire que je n’ai d’ailleurs jamais compris pourquoi ils s’obstinaient encore à essayer de me battre.

Et puis, après les sound checks, on a enfin pu retrouver nos fans sur scène. Apres le concert, j’avais prévu de ne pas dormir beaucoup lorsque j’ai trouvé cette fille qui m’attendait devant la porte de ma chambre, mais Bill a appelé. J’aurai du la baiser toute la nuit, comme je le faisais d’habitude avec toutes les jolies filles qui s’offraient à moi, mais il a fallu que Bill appelle. Finalement, je n’ai pas beaucoup dormi quand même. Mais pas pour les mêmes raisons…



C’est le genre de souvenirs qui vous marque pour toujours alors qu’on préférait les oublier.

J’ai pourtant essayé de les refouler, de les enfouir au plus profond de mon être. Mais rien n’y a fait. J’ai essayé de penser à des moments de joie. J’ai tenté de faire dériver mon esprit, de changer l’objet de ma concentration. Mais rien n’y a fait.

Ces souvenirs macabres sont restés là, quelque part, cachés sournoisement. Ils attendaient seulement le bon moment pour sortir, pour faire plus mal, pour frapper plus fort.

Ils sont tels des fantômes qui ressurgissent du passé pour vous hanter.

Et quand j’ai cru que c’était fini, que la blessure s’était refermée, que j’avais laissé couler toutes les larmes de mon cœur, quand je pensais être guéri, ils sont revenus plus forts encore pour me rappeler leur présence. Je ne pourrai jamais me détacher d’eux, les oublier. Je suis simplement obligé de m’habituer à leur présence.

On dit que le temps apaise toutes les blessures, mais elles ne disparaissent jamais complètement. Et surtout pas lorsqu’il s’agit de la mort d’un proche.





L’église était grande mais malgré tout, elle semblait presque pleine. La foule était entièrement vêtue de noir. L’entrée avait été interdite aux journalistes qui étaient obligés d’attendre la fin de la cérémonie. Je ne n’avais jamais vraiment aimé les paparazzis, mais savoir qu’ils étaient même capables de profiter de la mort de quelqu’un pour ce faire du fric me révoltait.



Une musique classique retentie dans l’édifice, et le silence nous envahit, lourd comme de la pierre, nous faisant presque suffoquer. Toute la salle se leva et se tourna instinctivement vers le fond de l’église.

Dans l’allée principale de l’édifice plein à craquer, passa lentement un cortège de six hommes tout de noir vêtus, portant sur leurs épaules un cercueil. Une toute petite boite blanche, aussi lisse que l’eau, qui paraissait si légère qu’elle semblait presque flotter toute seule. Un petit cercueil, pour un petit garçon, mais un grand soldat.



Mon estomac se noua, mes mains devinrent moites, ma gorge sèche, et j’avais du mal à respirer. J’avais ressenti la même sensation lorsque Bill m’avait appelé.

C’est incroyable comme dans ce genre de situation on tente de fuir la réalité.

Je n’ai d’abord pu prononcer aucun mot, comme si ma gorge n’émettrait plus jamais aucun son.

J’ai cru ensuite que c’était une blague, que ce n’était pas possible, qu’il devait y a voir une erreur, que jamais une telle chose avait pu se produire. Non, les médecins avaient du se trompé. Bill n’avait pas compris ce qu’avait dit David. Il devait forcement y avoir une explication. Ce n’était pas possible. Pas imaginable. Pas à moi, pas à lui.

Cette nuit-là, j’ai du appeler tous les médecins de l’hôpital pour enfants. Dès que l’un d’eux me répondait d’une voix désolée que Peter avait quitté l’hôpital ce matin même, je rappelais de nouveau, jurant contre l’incompétence du personnel. Je raccrochais, je rappelais, je raccrochais, je rappelais. Jusqu’à connaitre le numéro par cœur.

Et puis, quand mon esprit a fait le tour de toutes les échappatoires possibles et qu’au fond, j’ai bien sentis que je me mentais à moi-même, alors j’ai du faire face à la réalité. S’est alors installée une peur qui m’a attrapé tout entier et qui m’a précipité au fond d’un gouffre. Elle m’a englouti comme pour me noyer, me promettant que plus jamais je ne verrai les étoiles briller dans le ciel, que plus jamais je ne verrai le jour ce lever.

Mon âme a crié se jour-la. Crier à s’en faire sauter les cordes vocales, et à se faire exploser les tympans. Mes yeux ont souffert. Souffert du liquide salé qui me brulait les paupières. Mon esprit s’est torturé. J’ai mutilé ma conscience de remords et de souvenirs.

Pour rien. Ca ne l’a pas fait revenir.



Il s’appelait Peter. Il avait 12 ans. Il était atteint de la leucémie.



Apres avoir taché la moquette du Plaza Athénée de mes pleurs, et avoir frappé les murs de soie jaune de ma colère, ma respiration s’est calmée. Je ne sais pas combien de temps ça m’a pris. Peut-être des heures, peut-être toute la nuit.

Lentement j’ai relevé la tête, et j’ai foncé dans la salle de bain en évitant soigneusement de regarder mon visage rongé par le désespoir dans le miroir. J’ai enlevé mes vêtements en quatrième vitesse, et je suis entré dans la douche. Je ne sais pas pour quoi j’ai fais ça, mais j’en avais besoin. J’ai frotté mon corps avec du savon pour en enlever toute trace de souvenir. Pour que la sensation de la mort posée sur ma peau me quitte, avant qu’elle ne s’incruste en moi et me dévore. J’ai voulu effacer le passé. Alors j’ai frotté mon corps avec du savon jusqu’à ce que ma peau devienne rouge et me brule. Jusqu’à ce que je ne puisse plus la toucher sans gémir. J’ai voulu balayer la torture, mais ça n’a servit à rien.

Ca ne l’a pas fait revenir.





Les hommes déposèrent la petite boite devant l’autel. Le prêtre s’approcha du micro, celui de gauche, et prononça quelques mots mais je ne l’écoutais pas, mon esprit était déconnecté. Il parlait de Peter comme s’il le connaissait, comme s’il le regrettait. Moi, je me souvenais du jour où j’avais appris son existence comme si c’était hier…







« 16 septembre 2008 - Hambourg



Bill mangeait son croissant tout en lisant le journal et Gustav était plongé dans la contemplation de son café, lorsque la porte de la petite cuisine contiguë au studio s’ouvrit, laissant place à un Georg encore ensommeillé.



Moi : p*tain t’as vu ta gueule ce matin !

Gustav (sans lever les yeux de son café) : Il a la même que hier, et la même que demain…

Moi : C’est bien ça tout le fond du problème. Quand il arrivera enfin à mettre une fille dans son lit, elle poussera un hurlement déchirant et appellera la police lorsqu’elle se réveillera à coté d’un zombie pareil. Si elle ne fait pas un arrêt cardiaque avant…

Georg : J’ai la même tronche que toi, alors ta gueule.

Moi : Dans ce cas, tu devrais être canon !

Georg leva les yeux au ciel mais ne put s’empêcher de sourire. A ce moment-là, Bill manqua s’étouffer avec son croissant.

Bill (en nous tendant le journal) : Hé regardez ça !

Moi : Quoi ? Ils parlent de moi ? Les fans m’ont encore élu comme « le mec le plus sexy de l’année » ?

Bill : N’importe quoi ! Et puis d’ailleurs, c’est moi qu’elles avaient élu !

Moi : Oh mais quelle mauvaise foi ! J’étais le numéro 1, et toi le numéro 2, petit frère. Comme toujours d’ailleurs…

Bill s’apprêtait à protester lorsque Georg mis à cours à notre échange.

Georg : Vous n’en avez pas marre tout les deux !

Il tendit la mais pour se saisir du journal, mais je fus plus rapide que lui et le lui arrachais au vol avec un sourire triomphant.

Moi : Moi d’abord. Honneur aux personnes les plus importantes…

Bill : C’est moi le leader je te rappelle.

Moi : On t’a nommé leader pour avoir la paix, et que tu arrêtes de nous cassez les oreilles avec ca, mais ce n’est qu’un titre. Ici, tout le monde sait que c’est moi le chef.

Bill commença à monter sur ses grands chevaux, mais je l’écoutais plus, trop absorbé par ma lecture.





« Il est malade mais il a un rêve : Tokio Hotel

Depuis 2005, Peter est l’un des plus grands fans du nouveau groupe allemand appelé « Tokio Hotel ». Le groupe se compose d’une bande de quatre jeunes garçons (Bill (18), Tom (18), Georg (19), et Gustav (19)) au look excentrique qui provoque l’hystérie des pré-pubères sur leur passage. Certains parents commencent même à s’inquiéter de l’influence du groupe sur leur progéniture : « Ma fille de 11 ans ne pensent plus qu’à eux, n’a plus qu’eux les mots « Tokio Hotel » à la bouche. Elle m’a même avoué l’autre jour ne vivre que pour eux et pour leur musique… » nous confie une mère, à Berlin.

Cependant, la vague de ce nouveau boys band au son rock tout droit sorti d’un garage, ne semble pas toucher que les jeunes filles. En effet, notre équipe a fait la connaissance d’un jeune fan, Peter, atteint de la leucémie. Ce garçon n’a que ce groupe en tête, et son plus grand rêve serait de pouvoir avoir la chance d’assister à l’un de leur concert. Cependant, les parents du jeune garçon consacrent toutes leurs économies au traitement de leur enfant, et se trouvent donc dans l’impossibilité de payer le billet d’entrée ainsi que le transport.
Mais Peter, n’a pas renoncé pour si peu. Il a pris contact avec de nombreux forums sur le net, et a demandé à chaque fan de lui envoyé au moins une photo d’un concert de Tokio Hotel. Les forums ont fait circuler le message, et une véritable chaine s’est construite. Peter a reçu des centaines de photos du monde entier de tous les concerts donnés par le groupe, qu’il a ensuite collées sur les murs de sa chambre d’hôpital, au grand déplaisir du personnel soignant.
Peter : « C’est un peu comme si chaque jour était un concert pour moi. Ma chambre est remplie de leurs photos, et je n’ai qu’à ouvrir les yeux pour rêver. Ils me permettent de tenir, de me battre contre la maladie et de me rappeler de vivre chaque seconde de ma vie. Ils sont une véritable source d’énergie pour moi. J’espère un jour avoir l’occasion de les rencontrer. Au moins pour les remercier de tout ce qu’ils ont fait pour moi, les remercier d’avoir rallumé des étoiles dans mes yeux, même les jours d’orage. ».
Et bien, nous espérons que son souhait sera entendu… »










Oui, en effet, son souhait avait été entendu et même exaucé.

David avait pris contact avec les parents de Peter et avec l’hôpital sur notre demande. Et puis, un jour, sans qu’il n’est été prévenu le moins du monde, nous avons débarqué dans sa chambre. Je revois encore parfaitement son expression ce jour-là.

Seuls ses parents et le personnel médical avait été mis dans la confidence. Une infirmière venait de lui faire passer des examens, et elle lui avait annoncé en partant que des amis étaient venus pour le voir.

Lorsque nous avons poussé la porte de sa chambre, il s’est redressé sur son lit, curieux de découvrir l’identité de ses visiteurs.

Ce jour-là, je reçu le plus beau cadeau qu’un fan pouvait m’offrir : de la joie débordante, du bonheur à l’état pur.

Lorsqu’il nous a vu tout les quatre dans cette petite pièce d’hôpital ses yeux se sont écarquillés de surprise. Il est resté bouche bée quelques secondes, le temps de réaliser qu’il ne rêvait pas, puis un sourire éclatant de bien-être s’est formé sur son visage. Je n’avais jamais vu un tel sourire. Parfois, Bill arrive à sourire de cette manière, mais là, c’était encore plus franc et naturel. C’était un sourire d’enfant, voila tout.

C’est tout son être qui exprimait sa joie, et pas uniquement ses lèvres. Ses yeux pétillaient de bonheur, on entendait presque son cœur jouer une course contre la montre et on pouvait deviner un éclat de plaisir sur chaque parcelle de sa peau. Tout son corps était en émoi, et il le laissait paraitre avec la simplicité des enfants.



Et alors, d’un seul coup, il a sauté de son lit et il s’est mis à courir partout dans la chambre, sautant en tout sens, chantant à tue tête l’une de nos premières chansons, notre hymne autant que la sienne : Leb Die Sekunde.

Devant tout le vacarme produit par ce seul petit individu haut comme trois pommes, les infirmières sont accourues pour le recoucher. Il ne fallait pas qu’il se fatigue. Mais à peine avaient-elles réussi à le remettre dans son lit, que Peter se relevait et recommençait à sauter dans la pièce comme s’il venait de gagner au loto. Comme si on lui avait annoncé qu’il allait guérir…

Nous, nous étions pris d’un fou rire incontrôlable face à la réaction du jeune garçon, ce qui ne facilita pas la tâche des infirmières. Finalement, elles durent le menacer de nous jeter dehors s’il n’arrivait pas à se tenir tranquille.



Nous passâmes l’une de plus belle après-midi de notre existence.

Peter nous posa de nombreuses questions sur nous, notre travail, nos tournées, notre vie. Il nous montra chacune des photos qu’il avait accrochées sur tous les murs de sa chambre d’hôpital. Pour chacune d’entre elles, il avait été capable de nous donner la date du concert, la ville où nous l’avions joué, ainsi que la chanson que nous y avions interprétée.

Il nous avait également parlé de lui et de sa maladie.



C’est à partir de ce jour là finalement que ma vie a commencé à changer. Sans m’en rendre compte, c’est depuis notre rencontre que c’est enchainé tout un cheminement dans ma tête.

Il m’a surpris ce gosse là.

Il parlait de la maladie comme aucun adulte n’en aurait été capable. Il abordait le sujet sans tabou, sans euphémisme. Il n’en voulait à personne, c’était un fait voilà tout. Un défi à relever.

Je ne me souviens pas l’avoir entendu se plaindre ou dire qu’il était fatigué. Il vivait comme tout le monde, il ne souhaitait aucun traitement de faveur, aucune compassion, aucune pitié.

La seule chose qu’il voulait c’était « vaincre cette p*tain de maladie ». Il voulait en finir pour lui mais également pour tous les autres. Il voulait guérir pour aider ensuite la médecine et trouver un traitement contre la leucémie. Ne plus laisser cette conne entrer dans la vie de familles et les détruire à petit feu comme une flamme consume un livre.



Je ne sais pas combien de fois il nous a remercié. Remercier pour l’avoir secouru malgré nous. Il s’est accroché à nous comme on s’accroche à une bouée de sauvetage. Il s’est cramponné, décidé à ne pas abandonner, nous plongeant sans le savoir dans son combat aussi. Il s’est laissé aller à corps perdu dans nos chansons. On lui a servi de moteur alors que sa vie s’écroulait. Ses ailes s’étaient brisées, il tombait en chute libre, la tête la première, et sans le savoir on s’est trouvé sur son passage, et on l’a rattrapé au vol. Avec nous, il a tenté de faire repousser ses ailes. En vain. Mais ce n’était pas prévisible.

Je ne sais pas combien de fois il nous a remercié, mais ce que je sais c’est que moi je n’ai pas pensé à le faire. Il m’a apporté bien plus que de nombreuses personnes que j’ai croisées sur ma route, il m’a montré un nouveau chemin, une nouvelle manière de vivre, et à aucun moment, je n’ai pensé à lui dire ce mot si simple, qui représente pourtant tellement de choses. A aucun moment, l’idée de lui souffler un petit « merci » ne m’a effleuré…





Et puis après cette première rencontre, on a gardé le contact. Au début, on lui écrivait au nom de tout le groupe, et ensuite, au bout de plusieurs mois, je lui ai écrit à mon nom. Il me parlait de lui, de son quotidien à l’hôpital ; je lui tenais une sorte de journal de nos vies sur les routes et en studio, lui racontant des anecdotes sur nous et notre succes story.

Au fil du temps, je suis devenu son confident, celui à qui il pouvait exposer ses peurs et ses doutes, et lui, il est devenu mon ami, mon petit frère.

J’aimerais pouvoir lui écrire encore aujourd’hui, et qu’il me puisse me lire toujours.





Les derniers échos de la voix du prêtre résonnèrent dans l’édifice. Il s’éloigna du micro et revint se placer derrière l’autel de marbre.

La mère de Peter se leva, pris la place du prêtre et commença à parler d’une voix enrouée comme si les mots avaient du mal à sortir de sa gorge, comme si chaque son lui demandait un effort surhumain…







14 janvier 2010 - Bremen



« Les doigts de Peter glissèrent sur les cordes de la guitare, finissant d’un dernier accord la mélodie d’une de nos dernière chanson : Noise.

Il releva la tête vers moi, un sourire jusqu’aux oreilles, les yeux pétillants de malice. Il était assis sur son lit d’hôpital, et moi sur une petite chaise blanche tout près de lui.



Moi : Super ! Tu vois, je t’avais dit qu’avec un peu d’entrainement tu y arriverais !

Peter : Oui, mais tu es quand même le meilleur…

Moi : Ah ça, je ne te le fais pas dire ! Mais attend un peu… Il ne te manquerait pourtant pas grand-chose…



Délicatement, comme si c’était l’objet le plus précieux que je possédais, j’ôtais ma casquette de rappeur de ma tête, enlevais celle de Peter, et la lui enfonçait sur le crane. Je la redressai légèrement pour ne pas qu’elle lui tombe devant les yeux, et l’observais satisfait.



Moi : Tu es drôlement plus cool comme ça !

Il me sourit mais baissa les yeux vers ses mains. Quelque chose n’allait pas… Du bout des doigts, je lui pris le menton, le forçant à croiser mon regard.

Moi : Tu sais que tu peux tout dire à grand frère Tom.

Il y eut un silence.

Peter (d’une toute petite voix): … Comment tu fais avec… enfin… avec les filles ?

Je ne pus m’empêcher d’éclater de rire, ce qui accentua d’autant plus sa gêne.

Moi (après avoir retrouvé mon sérieux): Tu parle au spécialiste là ! Hum… Laisse-moi deviner… Tu as trouvé une jolie fille, mais tu ne sais pas comment lui dire que tu l’aimes… C’est bien cela ?

Peter hocha la tête.

Moi : Bon, je t’avouerai que l’amour ce n’est pas trop mon rayon. Moi je suis plus branché histoires d’un soir. Bill s’y connait mieux que moi dans ce domaine. Mais grâce à lui, j’ai pas mal appris… même si je ne mets pas trop ses conseils en pratique.

Je lui adressais un clin d’œil auquel il répondit par un sourire.

Moi : Joue la carte du grand romantique. Tu vas la voir et tu l’as complimente, lui dit qu’elle est belle, drôle, et que tu tiens beaucoup à elle. Écris-lui un poème !

Peter : Non… non, je ne peux pas.

Moi : Pourquoi ? T’as la trouille ? Ah non, pas toi ! Tu te bats tout les jours contre la maladie, et tu te laisse arrêter par une simple fille ?

Peter secoua la tête en signe d’affirmation. Je réfléchis en instant, et commençais à chantonner, en fixant le mur de photos devant moi.

Moi: There are days when you feel so small and you know you could be so tall, you think you got no choice. Look at the earth, look what we do, here and now, we need you. Silence can destroy. Get up and raise your voice…

J’insistais bien sur ces derniers mots.

Peter : Tu es vraiment cruel. Tu sous-entends que je n’applique pas vos chansons et mes valeurs ?

J’hochais la tête à l’affirmative, un grand sourire sur les lèvres… »







Il l’avait fait finalement. Il était bien allé la voir cette fameuse fille.

Bon, je dois reconnaitre que j’avais quand même du recourir au chantage. En effet, la tournée « Welcome To Humanoid City » approchant à grand pas, avec le groupe nous avions évidemment décidé d’offrir à Peter son premier concert… mais à condition seulement qu’il aille exprimer ses sentiments à l’élue de son cœur.

C’était peut-être un peu sadique, mais ça a marché. Et pour contredire mes paroles selon lesquelles il était un trouillard, il l’avait même embrassé. Il suivait décidément bien mes traces, ce petit bonhomme.



Chaque fois où David nous accordait une journée off et où j’étais en Allemagne, je m’arrangeais pour aller jusqu’à Bremen afin de passer quelques heures avec lui, et je lui donnais souvent quelques cours de guitare. Je dois dire qu’il progressait d’ailleurs drôlement vite !



Mais le 29 avril 2010, Peter s’était éteint et jamais ces journées passaient à l’hôpital ne se reproduiront.

Jamais il ne reviendra.

Jamais je ne reverrai ses yeux briller.

Jamais plus je n’entendrai son rire, cet éclat de bonheur qui savait panser mes blessures.



Peter ne vivra plus jamais.



Il n’ira pas à l’université. Il ne se marie pas, et n’aura pas d’enfant. Toutes les choses qui semblent banales et ordinaires pour la plupart des gens, Peter ne les vivra pas.

Il ne pleura plus, il ne rigolera plus. Son cœur ne souffrira jamais d’avoir trop aimé. Il n’aura jamais fait l’amour. Il n’aura jamais connu cette sensation, ce moment qui réunit deux êtres que pourtant tout oppose comme s’ils ne formaient qu’une seule entité, un même corps. Il n’aimera jamais à en mourir. Il ne donnera jamais la vie. Il ne vieillira plus.

Sa vie s’est arrêtée à 12 ans, alors que la mienne m’est entièrement ouverte, à l’aube de mes 20 ans.



Avant lui, je n’avais jamais perdu de proches.

Avant Peter, la mort me semblait être une de ces choses qui n’arrivent qu’aux autres mais jamais à soi, comme si une force invisible nous en protégeait. Un peu comme les maladies ou les accidents.

Mais depuis ce fameux jour d’avril, j’ai réalisé que la mort était toujours là, quelque part à attendre, comme si elle flottait autour de nous et que nous ne serions pas épargnés.

Depuis ce jour, j’ai réalisé à quel point certaines personnes de mon entourage m’étaient nécessaires pour vivre. Et cela, à commencer par Bill.

Jamais je ne serais capable de vivre sans lui. Cette réalité m’est apparue comme un choc, une gifle que je me suis prise en pleine figure. Bill était mon bonheur en même temps que ma plus grande faiblesse. C’était mon jumeau, mon autre, mon âme sœur. Et si nos destins un jour déviaient l’un de l’autre, je savais que je ne pourrais jamais m’en remettre. C’était comme demander à un aveugle de marcher sans canne blanche, à une ampoule de s’allumer sans électricité, ou à une voiture de rouler sans pétrole. C’était exactement cela. Bill était mon pétrole personnel, ma raison de vivre.



Mon double du sentir mon angoisse à coté de moi car il me jeta un coup d’œil furtif, et pressa légèrement mon bras de sa main, afin de me faire comprendre qu’il était là. Pour l’instant.



Parce qu’un jour, Bill partirait aussi. Comme Peter, sans rien dire, il s’éloignera comme pour faire un grand voyage. Un voyage sans retour.

Il n’aura pas besoin de prendre de bagages, il n’aura pas besoin de souffrir, il n’aura pas besoin de nous prévenir. Il s’en ira un jour, comme moi je m’en irai aussi, et comme vous, vous vous en irez aussi.

On nait puis on meurt. On commence et on termine notre vie par les deux plus grands mystères de l’existence.

L’essentiel ensuite ce n’est pas d’exister, mais de vivre.







01 Septembre 2010 - Hambourg



« Ce jour compta parmi les plus fabuleux de toute mon existence. Bill et moi avions réalisé un de nos plus grands rêves d’enfant : louer un parc d’attraction pour nous seuls à l’occasion de notre vingtième anniversaire. Enfin… « Seuls » pas vraiment puisque nous avions invité toute notre famille ainsi que bon nombre d’amis. Bien évidemment, Peter faisait partie de la fête…



Moi : Tu es sur de vouloir monter la dedans ?

Bill : Quoi ? Le grand Tom Kaulitz aurait-il peur des montagnes russes ?

Un sourire narquois s’étalait sur son visage.

Moi : Alors là, n’importe quoi ! Bien sur que non que je n’ai pas peur…

Bill : A peine ouais… J’espère que tu as amené un slip de rechange petit frère, parce que tu n’y échapperas pas. Peter ne demande que de tester cette attraction avec toi depuis qu’on est arrivé !

Un ravalant un soupir, je pris mon courage à deux mains et me tournais vers l’intéressé.

Moi : Alors, prêt champion ?



Sur ces mots, Peter courra à toute allure vers le manège et nous le suivîmes, moi devant et le reste du groupe derrière.

Arrivés devant l’objet de mon angoisse, un vigile nous aida à nous asseoir dans le wagon de torture, et je pris place malgré moi au premier rang aux côtés de Peter.

Apres avoir attaché ma ceinture de sécurité, je me contorsionnais dans le petit espace afin de l’aider à boucler la sienne.



Peter : Ca ne set à rien de s’attacher tu sais…

Moi : Bien sûr que si ! Il ne faudrait pas que tu t’envoles quand même !

Il plongea son regard dans le mien.

Peter : On s’envolera tous un jour Tom. Et je serai le premier à partir.

Je l’observais en silence, une boule coincée au creux de ma gorge. J’avais du mal à respirer.

Il poursuivit.

Peter : Je sens bien que les médecins ont trop peur de m’avouer la vérité. Mais je le sais moi. Je le sais que je vais mourir Tom.

J’inspirai calmement.

Moi : Et alors ? Moi aussi je vais mourir.

Une lueur étrange brillait dans son regard. Une lueur adulte, dénuée d’innocence.

Peter : J’ai peur Tom.

Moi aussi j’avais peur, terriblement peur. Mais je ne lui en dit rien.

Moi : Tu te souviens de ce que je t’ai appris ?

Il y eut un bref silence.

Peter : Vivre chaque seconde comme si c’était le dernier jour.



Le wagon commença à avancer lentement pour se mettre en position. Nous restâmes silencieux, le cœur battant à tout rompre dans l’attente du départ. Il y eut un bruit sourd et nous fûmes projetés contre nos sièges tandis que l’air nous fouettait le visage. Nous avions décollé.

Doucement, je sentie une petite main se saisir de la mienne et serrer très fort mes doigts comme pour se raccrocher à moi, pour rester un peu sur Terre et retarder l’heure du prochain voyage. Ses petits doigts serraient la vie, tentant de l’emprisonner.

Et je crus entendre, au cours de ce moment où la vitesse fait battre votre cœur à cent à l’heure et où le monde autour n’existe plus, un petit « merci » soufflé quelque part dans la nuit… mais je n’étais pas sur. »





Une fine larme d’argent coula lentement de mes yeux jusqu’à rejoindre mes lèvres. Je me tournais vers Bill qui me fixait de ses yeux noisette tandis que son visage était marqué par de grandes raies noires, signe de son maquillage dilué par le chagrin…
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MARMOTTE
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MessageSujet: Re: [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer   [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer EmptyMar 6 Juil 2010 - 0:34

petit rappel, ça fait pas de mal ^^

Citation :

[concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer D 1. Respect des consignes : sur 5 points

Est ce que l'histoire est bien en rapport avec l'image ?
Est ce que le texte fait bien entre 1000 et 5000 mots ?

[concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer D 2. Lisibilité : sur 5 points

Orthographe, ponctuation, style d'écriture...
Est ce que le texte est agréable et facile à lire ?
Est ce qu'il y a bien un début, un élément perturbateur, le développement de l'intrigue et une vraie fin qui finit l'histoire ?

[concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer D 3. Crédibilité et cohérence : sur 5 points

Est ce que l'histoire est globalement cohérente et crédible ?
Est ce que les personnages (membres de Tokio Hotel) sont proches des originaux dans leurs comportements, apparences... ?

[concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer D 4. Originalité de l'intrigue : sur 5 points

Est ce que l'histoire est originale et intéressante ?

[concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer D 5. Avis général : sur 5 points

appréciation globale de l'histoire.


Vous donnez donc une note entre 1 et 5 pour chaque critère.
(1 étant la note la plus basse, et 5 étant la note la plus haute.)

"L'avis général" (le point N°5) comptera double!

Ainsi, on arrivera à une note sur 30.

Lorsque l'on aura les notes de tout le monde, on fera une moyenne.
On ne peut pas noter son propre texte.


[concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer Fete L'OS ayant la plus haute note remportera le concours [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer Fete

********************************************************

Voilà, maintenant, je vous laisse poster vos notes dans chaque topic, vous avez jusqu'au lundi 2 août pour noter...

Enjoy ^^ [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer Fier


[concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer D [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer D Dans chaque topic créé pour l'OS d'une participante, les membres qui veulent voter devront détailler leur note comme ceci :

Citation :
1) Respect des consignes : je mets un 4/5

2) Lisibilité : je mets un 3/5

3) Crédibilité / Cohérence : je mets un 5/5

4) Originalité de l'intrigue : je mets un 5/5

5) Avis général : 4/5
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Maya

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MessageSujet: Re: [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer   [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer EmptyMar 6 Juil 2010 - 18:46

1. Respect des consignes : sur 5 points

Comme d'hab 5/5

2. Lisibilité : sur 5 points

Alors là, le discours théâtral j'ai horreur de ça, vraiment, donc je mets 3/5.

3. Crédibilité et cohérence : sur 5 points

Bon l'histoire ça va, j'ai pas grand chose à dire donc allez 5/5.

4. Originalité de l'intrigue : sur 5 points

Originale ? Si on veut. Intéressante, pas vraiment, je développerais dans l'avis. 3/5.

5. Avis général : sur 5 points

Donc j'ai pas détaillé beaucoup dans les autres critères car je vais tout dire ici. Je n'ai pas tellement aimé cet OS. Tout ce qui tourne autour de la mort, ça m'emballe pas plus que ça. Le discours théâtral m'a pas du tout donné envie de continuer. Le point de vue de Tom je sais pas, trop gavant à certains moments, j'ai survolé quelques paragraphes... Donc là désolée mais j'ai pas du tout accroché à cet OS, donc 1/5.

Note finale : 18/30
(Je risque de passer pour une méchante et insatisfaite :honte: )
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emilie36963

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MessageSujet: Re: [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer   [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer EmptyMar 6 Juil 2010 - 20:51

Je l'ai lu à midi, je me suis laissée le temps de la réflexion, donc je me lance...

1. Respect des consignes : 4,5/5
L'image est intégrée même si l'histoire ne tourne pas autour de celle ci. Le nombre de mots maximum est un peu dépassé, mais c'est un détail.

2. Lisibilité : 2,5/5
J'ai trouvé l'histoire mal structurée, un peu bordélique en fait. Après, l'orthographe est correcte, les tournures de phrase se tiennent.

3. Crédibilité et cohérence : 3/5
J'ai du mal à imaginer que Tom pourrait autant s'attacher à un gamin malade, ou alors il aurait fallu d'avantage expliquer pourquoi il s'est tant attaché. A travers les dialogues, les personnages me semblaient loin des vrais TH. Puis je trouve que le Tom de l'histoire tombe trop dans les clichés.

4. Originalité de l'intrigue : 3/5
Il y a une idée originale, comme dans tous les OS en fait. On sent qu'il y a des tentatives à plusieurs passages du texte de mettre du suspense, de donner un rythme, de soutenir une intrigue, mais l'auteur n'y arrive pas tout à fait, c'est dommage.

5. Avis général : 3,25/5
Je n'aime pas trop les histoires tristes, surtout lorsqu'il n'y a aucun élément vraiment positif auquel se rattacher, qu'on ne fait que sombrer encore et encore. J'ai trouvé l'histoire trop longue, il ne se passe pas grand chose en fait, on s'ennuie. L'auteur aurait pu raccourcir à 1 000 mots en coupant des morceaux inutiles et aurait ainsi fait gagner du temps à ses lecteurs. Sinon la qualité d'écriture n'est pas mauvaise, on sent qu'il y a une volonté de bien faire, que la personne s'est appliquée. Peut être faudrait-il que l'auteur fasse un plan avant de se mettre à écrire, pour mieux structurer son texte la prochaine fois et aller à l'essentiel.

Note finale : 19,5/30 (on peut arrondir à 20 si les demis points ne sont pas acceptés)
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MessageSujet: Re: [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer   [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer EmptyMer 7 Juil 2010 - 8:50

Dur d'etre juge ! Allez, je me lance.
1. Respect des consignes :
Je mets 5/5. Image bien intégrée.

2. Lisibilité :
Je mets 3/5.
L'histoire est agréable à lire mais entre un texte bien espacé et trop espacé, il y a une limite (ce n'est pas méchant ^^). Je trouve qu'il y a un peu trop d'espace, on ne sais pas trop pourquoi.

3. Crédibilité et cohérence :
Je mets 3.5/5
En fait, c'est le personnage de Tom qui me dérange un peu. Dans la réelle vie, je me demande si Tom serait si attaché à Peter, comme l'a dit Emilie. Je vois plus Bill dans ce role. Sinon, l'histoire reste bonne. =)


4. Originalité de l'intrigue :
Je mets 4/5
OS assez originale. Interessante mais ce n'est pas une histoire prenante.


5. Avis général :
3,5/5
En fait, je pense que c'est le coté triste de l'OS qui ne m'a pas plus. Je ne suis pas adepte de ce genre d'histoire. Pas de point positif, d'espoir, de joie, vraiment une histoire sombre du début à la fin. Sinon, l'auteur a une bonne qualité d'expression. C'est bien écrit.


Note finale : 22.5/30
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MessageSujet: Re: [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer   [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer EmptyMer 7 Juil 2010 - 10:44

1. Respect des consignes : 4,5/5.
Je n'ai pas tres bien compris le moment ou l'histoire a un lien avec l'image.

2. Lisibilité : 3/5.
J'aime beaucoup le style d'écriture mais je me sentais perdue à certain endroit.

3. Crédibilité et cohérence : 3,5/5.
Tom est bien rentré dans son personnage qu'il montre aux journalistes. (je suis le meilleur de groupe, je vanne les autres...) Mais je pense que plusieurs enfants dans le monde sont victimes d'une maladie et fan de TH donc ça ça me paraissait pas tres réaliste.

4. Originalité de l'intrigue : 4/5.
J'ai troivé original, tout simplement.

5. Avis général : 3,5/5.
L'idée est bonne mais je trouve le récit embrouillé pas tres clair. L'écriture m'a plus.

Note finale: 22/30.
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MessageSujet: Re: [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer   [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer EmptyMer 7 Juil 2010 - 14:12

1. Respect des consignes : 5/5

Comme pour les autres, l'idée de l'histoire par rapport à l'image est bonne.

2. Lisibilité : 3/5

Le texte est bien aéré donc agréable à lire par contre le dialogue thatral tres peu pour moi. Contrairement aux autres OS j'ai noté quelques fautes d'orthographe, dommage.

3. Crédibilité et cohérence : 4.5/5

L'histoire me parait crédible, le groupe s'attache à l'enfant apres avoir lu l'article cependant j'aurai plus choisi Bill ou Gustav en tant qu'attache principale. D'un autre coté on connait que le Tom des médias, alors Why Not ?!

4. Originalité de l'intrigue : 5/5

Oui l'histoire est originale, pas d'histoire à l'eau de rose, ça change !

5. Avis général : 4/5

L'idée est bonne, l'histoire touchante. Je reprocherai juste la longueur et le seul point de vue de Tom qui fait que j'ai quelque peu décroché à certains passages. Dans l'ensemble l'OS m'a plu !

Note Finale : 25.5/30
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MessageSujet: Re: [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer   [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer EmptyMer 7 Juil 2010 - 16:04

1. Respect des consignes : 4 sur 5 points

Texte bien en rapport avec l'image. Mais apparemment le texte dépasse un peu.


2. Lisibilité : 3 sur 5 points

Quelques fautes d'orthographes.
Oui le texte est facile a lire et très aéré peut etre trop ?
Pour ce qui est du développement, non y'a aucune intrigue car on connait la fin des le début.

3. Crédibilité et cohérence : 2 sur 5 points

Cohérente et crédible. Là je vais être vraiment dur parce que non.
Pour faire ce genre de choses, s'intéresser à un gamin malade et passer du temps avec lui, un gamin qu'à la base ils ne connaissaient pas, il faut avoir une sorte de générosité et d'humanité qui pour moi n'est pas donné à tout le monde et pas à Tom.
Sinon quand les membres du groupe sont ensemble oui je trouve ca crédible.


4. Originalité de l'intrigue : 4 sur 5 points

Je pense pas que des os ou fics de ce genre court les rues dans ce sens je trouve ça original, intéressant beaucoup moins.

5. Avis général : 3 sur 5 points

C'est trop lourd, trop redondant pour moi. on ramène tout à la tristesse. L'auteur aurait du développer, les blagues, les fous rires, ca manque de gaité. Et la tristesse de Bill qui se rajoute en plus.
Vraiment ca fait de trop.

Note finale: 19/30

Désolée d'être si dure.
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axia

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MessageSujet: Re: [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer   [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer EmptyMar 13 Juil 2010 - 17:31

1) Respect des consignes : 4/5
5300 mots ça dépasse

2) Lisibilité :2.5/5
la conjugaison n'est vraiment pas ton fort : entre le passé simple (c'est -ai et pas -ais avec je; "il courra" ?????), certains participes passés (du/dû...) ... c'est beaucoup trop:-1pt
ortho: de (trop) nombreuse fautes également (tu ne connais pas les accents circonflexes?) :-1pt (ton correcteur orthographique était en grève ???)
C'est assez embrouillé avec les flash back/retour au présent (j'ai bien compris que ce qui était en italique c'était du passé mais des fois c'est assez confus qd mm). pourquoi as-tu écrit Hambourg à la française mais Bremen à l'allemande? saute un peu - de lignes (ce n'est plus "aéré" là, c'est "dilué"):-1pt

+0.5pt de bonus car tu as fait l'effort de mettre ton récit au passé qd d'autres se sont contentés du présent


3) Crédibilité / Cohérence :3.5/5
le parc d'attraction c'était en 2009, t'as écrit 2010!! (je pense que tu le sais mais bon)
ça me parait bizarre que Tom lui apprenne la chanson en anglais et pas en allemand vu qu'ils sont allemands ts les 2. le caractère de Tom est un peu surprenant (enfin bon, je ne connais de lui que ce que la caméra veut bien ns montrer hein... ) , ce n'est pas inimaginable non plus mais on n'y croit pas trop.

4) Originalité de l'intrigue : 4/5
ça change

5) Avis général : 6/10
les flash-back c'est bien mais il faut être hyper rigoureux, là c'était mal fait et ça donne une histoire un peu "emmêlée" ( il fallait peut etre remettre des dates ou faire des séparations je sais pas).j'ai bcp aimé les passages avec les GG et les conseils de "l'oncle Tom" au sujet des filles :=):
Tu n'as pas réussi à me faire "plonger" ds ton histoire, dommage car il y a de bonnes idées.

Total: 20/30
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Marmowt'
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MessageSujet: Re: [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer   [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer EmptyMer 14 Juil 2010 - 10:49

Respect des consignes : 4/5
Je l'avais lu hier soir sur mon portable et l'image ressemblait vraiment a rien quand je l'avais vu xD Là, en effet, je vois mieux et constate qu'elle a été très bien intégré. Mais apparement le nombre de mots est depassé, dommage.

Lisibilité : 2,5/5
Le système italique est une bonne idée ( même si quand je l'ai lu, y avait pas d'italique, et je m'y suis très bien retrouvé )
Par contre, je trouve qu'il y avait un peu trop d'espaces, ca frenait beaucoup la lecture et l'interrompait.
Le discours théatrale, je hais ça. Ca donne l'impression que les moments de dialogues sont baclés, contrairement au reste du texte, dommage.
Des affreuses fautes d'ortographes qui m'ont agressé les yeux xD comme par exemple " Ma fille n'a qu'eux ce mot à la bouche " [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer
Et le 01 septembre 2010 à Hambourg est assez troublant [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer 63282 Bon après on comprend qu'il s'agissait du de 2009, mais sur le coup je comprenais rien et me disais que Peter avait résusité [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer Honte

Crédibilité/Cohérence : 3,5/5

Même si Bill a une meilleure tête pour faire ce rôle, je trouve que Tom pourrait très bien être proche d'un enfant comme ça. Après tout, on le connaît qu'à travers les médias donc bon...
Par contre, qu'il trouve autant de temps pour aller le voir. Encore qu'il lui écrive des lettres, je dis pas, mais allez le voir à l'hôpital et tout...
Être proche à ce point de Peter, ça manque de crédibilité je trouve, dans la mesure où il y a plein d'autre enfants dans le même caS.
Ah, et manque de cohérence avec le fameux 01 septembre 2010 [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer 63282

Originalité de l'intrigue : 4/5
Déjà lu une fic dans le même genre. Ca reste original, et il y a de la recherche autour de la photo, mais là c'est assez..."dur" à lire.

Avis général : 6/10
J'aime bien le système des flashback et tout, mais dans la mesure ou dès le départ, on apprend la mort de Peter, j'avais perdu un peu l'envie de lire la suite en fait. C'est un peu '"lourd" à lire, certaines passages auraient pu être coupés ( et on serait rentrées dans le nombre justes de mots [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer -3 ). Mais je trouve l'écriture très belle, dans l'ensemble, j'ai quand même apprecié la lire.

Note générale : 20/30
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Diana

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MessageSujet: Re: [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer   [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer EmptyLun 26 Juil 2010 - 18:14

1) Respect des consignes : 4/5
L'image est assez bien intégrée, mais ce n'est pas parfait non plus.

2) Lisibilité : 3/5
Il y a pas mal de fautes de conjuguaisons et d'orthographes et j'ai eu un peu de mal à m'y retrouver au début avec les flash back...

3) Crédibilité et cohérence : 3/5
Je trouve que le comportement de Tom est assez excessif par rapport au fait qu'il s'attache à ce point à cet enfant, qu'il maintient une correspondance et devient ami avec. J'ai du mal à l'imaginer faire ça si un jour les TH se rendent dans un hôpital pour rencontrer un(e) fan malade. Je pense qu'il éprouverait de la pitié et de la compassion, mais pas qu'il s'investirait pour autant.
Sinon l'image que tu donnes des TH quand ils sont entre eux est conforme à la réalité.

4) Originalité de l'intrigue : 3/5
L'intrigue est plutôt simple et elle est présentée dès le début, par conséquent il n'y a pas de suspense. On découvre juste la relation entre Tom et Peter. Cependant j'aime la morale de l'histoire qui reprend l'idée de vivre chaque seconde comme les TH la décrivent dans leur chanson.

5) Avis général : 3,5/5
Je trouve que cette OS possède une atmosphère beaucoup trop noire. C'est vraiment triste. Néanmoins tu fais passer beaucoup d'émotions et cela rend l'histoire très touchante. Et ce qui me plaît le plus, c'est la reflexion que tu imposes au lecteur par rapport à la vie et a la mort.

Note finale : 20/30 et non 20.5/30
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MessageSujet: Re: [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer   [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer EmptyMar 27 Juil 2010 - 20:09

[concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer D 1. Respect des consignes : 5/5 points

Consignes respectées :-)

[concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer D 2. Lisibilité : 2/5 points

C'est un détail, mais je n'ai pas du tout aimé la police d'écriture :malade: est l'italique est parfois mal-utilisé (pour l'article de journal ok, mais sinon ?)

Le texte est plutôt agréable à lire, on voit que l'auteur a fait un effort au niveau du style d'écriture. Mais c'est dommage que les dialogues soient écrit de manière théâtrale, ça gâche un peu le récit je trouve.

[concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer D 3. Crédibilité et cohérence : 4/5 points

Histoire cohérente et assez crédible mais pas trop : David Jost aurait-il vraiment organisé une rencontre entre un gamin malade fan de TH et le groupe ? j'en doute ^^

Les personnages sont fidèles :=):

[concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer D 4. Originalité de l'intrigue : 4/5 points

L'histoire est originale, ça change des histoires d'amour. J'ai bien aimé mais ça reste tout de même classique, le coup de l'enfant malade qui se lie d'amitié puis qui meurt (désolé d'écrire comme ça, vous devez me prendre pour un monstre... ^^).


[concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer D 5. Avis général : 3.5/5 points
J'ai bien aimé, c'est une belle nouvelle. Juste dommage pour la police d'écriture :dehors:

Et j'ai trop aimé le passage avec le journal xD j'imagine tellement bien ^^

Note : 3.5*2 + 4+4+2+5 = 22/30
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MessageSujet: Re: [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer   [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer EmptyMar 27 Juil 2010 - 22:25

1. Respect des consignes : sur 5 points
5/5. Image bien intégrée.


2. Lisibilité : sur 5 points
3/5
Trop de fautes d'orthographes, et le mode d'écriture est bizarre.

3. Crédibilité et cohérence : sur 5 points
3/5
Moui... Que le groupe prenne du temps pour un enfant... Je n'en suis pas convaincue.

4. Originalité de l'intrigue : sur 5 points
Je mets 4,5/5.
J'aime beaucoup les histoires tristes comme ça, et c'est très attachant d'imaginer Tom frère poule comme cela, on ressent bien ses sentiments à travers les rétrospectives.

5. Avis général : sur 5 points
Je mets 3,5/5
je me suis assez forcée à lire jusqu'au bout...

Note finale : 22/30 et non 22.5/30
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MessageSujet: Re: [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer   [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer EmptyDim 12 Sep 2010 - 0:07

AUTEUR / TITIKAULITZ

à confirmer Titikaulitz, s'il te plait... [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer Ange
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MessageSujet: Re: [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer   [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer EmptyJeu 16 Sep 2010 - 1:37

il manque l'avis de Vai et de Nina...

note finale : 21/30 après corrections
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MessageSujet: Re: [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer   [concours OS JUILLET 10] OS n°3 / Une rencontre peut tout changer Empty

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