[FanFic] I'm just an Illusion

Coucou ^^ Alors, j'ai eu une idée de fanfic ce matin, et je n'ai pas résisté, même si j'ai déjà une fiction en cours, je vous poste le premier chapitre! Il fait un peu office de présentation. Dites moi ce que vous en pensez s'il vous plait
Ne vous inquiétez pas, je continue en même temps "I"m With You".
Merci d'avance


Joyce Parker était une jeune fille très jolie, la vingtaine, une silhouette toute fine, des cheveux ondulés, longs et bruns, les yeux d’un gris surprenant. A New York, la plupart des gens la connaissaient, tout simplement parce que c’était une des plus grandes journalistes, grâce à la rubrique féminine About UR life qu’elle tenait dans l’un des magazines les plus connus aux States : Vanity Fair. Elle répondait plus que catégoriquement aux questions que lui posaient les lectrices, qui la plupart du temps, lui demandaient des conseils sur leur vie amoureuse. Joyce était très honnête envers elles, comme par exemple le jour où, une lectrice désespérée, lui avait raconté que son mec était si protecteur qu’il ne la laissait même plus aller en soirée sans lui, lui avait demandé quoi fairz. Joyce lui avait dit tout simplement de lui faire comprendre qu’elle avait beau être en couple avec lui, elle était libre d’aller où elle le voulait, et que s’il était trop bête pour comprendre qu’une fille a besoin de s’amuser, elle n’avait plus qu’à le lâcher ! La jeune fille, un mois plus tard, l’a remercié en lui disant que maintenant, elle profitait beaucoup plus, et c’était trouvé un autre mec moins lourd.
Bref, côté boulot, Joyce était vraiment au top. Sa vie sentimentale ? On ne pouvait pas dire qu’elle sortait avec quelqu’un en particulier. Ca changeait. Souvent. Mais ça ne la dérangeait pas. Pour le moment, elle était bien comme ça, et quand il lui viendrait l’envie de se caser officiellement, elle le ferait. Mais ça n’était pas l’une de ses priorités pour le moment. Ce qui lui tenait le plus à cœur c’était son boulot, et c’est tout.

En ce doux matin de Juin, elle sortit de son appartement, ou plutôt duplex, qui se trouvait en plein cœur de NY. Elle portait une veste en cuir noir, un jean délavé, un t-shirt beige tout simple et des talons compensés. Elle était toujours très bien habillée. D'un côté, elle adorait la mode, ce qui se voyait, mais elle portait toujours des vêtements bien à elle, qui la différenciés des icônes de la mode classiques. Son chauffeur de taxi habituel était déjà garé devant chez elle, et l’attendait, une clope à la main. Elle le salua, et s’installa dans le véhicule. Elle avait beaucoup de chose à faire aujourd’hui, et espérait pouvoir tout faire, ce qui était toujours très difficile étant donné l’emploi du temps qu’elle avait. Elle sortit son BlackBerry et regarda attentivement tous les rendez-vous qu’elle avait.

Elle sortit du taxi en remerciant son chauffeur, et pénétra dans le grand bâtiment que constituait le magazine Vanity Fair. Dès qu’elle fut dans le hall, une multitude de personnes la saluèrent, sans même qu’elle se souvienne de qui il s’agissait. Elle se contentait de hocher la tête en leur souriant rapidement, mais ne s’arrêtait pas. Elle prit l’ascenseur, appuya sur le bouton « 15 », quand une personne bloqua le système automatique des portes, et rentra dans l’ascenseur. Il s’agissait d’un homme, brun, les yeux marron, un joli sourire. Il devait avoir plus de trente ans, mais pas encore la quarantaine, pensa Joyce en l’observant. Avant qu’il descende de l’ascenseur, elle vit qu’il s’arrêtait au onzième : l’étage de Julia Portman, la rédactrice en chef de Vanity Fair. C’était une femme très autoritaire, qui se faisait extrêmement respecter. Elle avait beau avoir la soixantaine, elle était toujours aussi classe, même avec les cheveux d’un blanc éclatant. Joyce l’admirait beaucoup.

Joyce laissa échapper un soupir en s’installant à son bureau, et alluma son ordinateur. Son assistante n’était pas encore là, ce qui l’agaça. Son bureau était vraiment spacieux. Il était séparé en deux : un espace où trônait son bureau et celui de son assistance, tous deux près de la grande baie vitrée qui laissait voir tout New York, et un deuxième espace, pour
recevoir les gens, avec au centre une table basse, et deux canapés noirs en cuirs qui l’encadraient.

La journaliste émit un sifflement mécontent quand Lola, son assistante, pénétra dans le bureau. Celle-ci affichait une mine désolée, voire terrifiée. Elle n’avait pas complètement tort de prendre cette tête là, connaissant sa supérieure qui était dotée d’un tempérament impatient, et qui s’énervait très vite. Cette fois ci, contrairement à d’autres jours, Joyce ne lui fit aucune remarque, la saluant d’un sourire. Lola parut très étonnée, et lui sourit à son tour, mais peut-être de façon un peu exagérée. Joyce n’y fit pas attention. Elle consulta les mails des lectrices, et ouvrit la bouche instinctivement quand elle vit le nombre de mails qu’elle avait reçu. Il y en avait tellement ! Elle s’apprêtait à mettre en place les questions qu’elle allait publier cette semaine, quand le téléphone de son bureau se mit à sonner. Lola répondit pour elle :

-Bureau de Joyce Parker, je vous écoute ? Oh, bonjour madame Portman, oui bien sûr, je vous la passe, dit-elle avant d’ajouter à l’intention de Joyce : sur la 3.

Celle-ci sauta littéralement sur son téléphone, et répondit d’une voix très assurée :

-Bonjour madame Portman. Vous avez besoin de moi ? Que… Comment ça ? Oui je comprends très bien mais… Oui mais… Bon. D’accord, j’attends votre appel.

Joyce raccrocha fermement le combiné, et sortit de ses gonds :

-Lola, tu te rends compte un peu ? Julia veut me supprimer ma rubrique pour le prochain numéro, pour cause de « numéro spécial » s'énerva-t-elle tout en mimant des guillemets. Non mais franchement, elle ne pouvait pas supprimer la rubrique à la con de Chelsey, non non, il a fallut que ça soit la mienne ! Je n’y crois pas ! C’est n’importe quoi, quelles conneries !

Après cette longue tirade prononcée à toute vitesse, Joyce alla s’affaler sur le canapé, laissant sa chaise de bureau tourner très vite, suite à son départ. Son assistance la fixait, ne sachant que dire, et étant un peu effrayée de ce qu’elle venait de voir. Celle-ci ne voulait pas que les foudres de Joyce lui retombent dessus.

-Qu’en penses-tu, toi ? lui demanda celle-ci, d’un air désespérée.
-Eh bien… Je ne trouve pas ça normal du tout.
-PAS CA NORMAL ? C’est plus qu’anormal tu veux dire, c’est du foutage de gueule ! Non mais franchement, j’hallucine. Je vais aller régler ça, moi, je te le dis, Lola!
-Oui c’est injuste, votre rubrique est vraiment géniale, contrairement à celle de Chelsey, qui se contente de dire quel rouge à lèvres porte Rihanna, où quelle bouteille de jus d’orange achète Lilly Allen…

-Merci Lola, tu es adorable, la remercia Joyce tout en se levant.
-Si vous voulez que je fasse quoi que ce soit… proposa Lola.
-Oui, j’aimerais savoir pourquoi c’est MA rubrique qui a été supprimée, s’il te plait.
-D’accord, je fais ça tout de…
-Et aussi que je sache POURQUOI on fait un numéro spécial. Parce que c’est bien gentil, mais on ne me dit rien à moi !
-Ok, je m’en occ…
-Et si ma rubrique est définitivement supprimée, j’exige avoir au moins quelque chose à rédiger.
-Bien. Autre chose ? demanda l’assistante en notant au fur et à mesure sur un bout de papier.
-Oui. Je voudrais savoir quand se déroulera le défilé de Dior, la nouvelle collection.
-Très bien, je m’occupe de tout ça Joyce !
-Merci Lola. Tu es un ange ! la remercia Joyce.

La journaliste lui fit un sourire étincelant, et sortit sur le balcon avec son paquet de cigarettes à la main. Ce n’était que le début de la semaine, et elle avait déjà un imprévu. Mais elle savait que cela aller s’arranger. En tous cas, elle ferait tout pour y remédier.

intéressant, très intéressant.
j'attends la suite pour savoir qui était le mec dans l'ascenseur et le sujet du n° spécial (ça doit avoir un lien je pense)..suspense...suspense
*

Merci d'être venue lire

mais de rien
en plus je trouve que tu écris très bien

J'aime bien également ^^ Le numéro spécial, l'homme dans l'ascenseur...Je suppose que ça a un lien avec les TH? Ou pas...
Je découvrirai au prochain chapitre^^

Héhé encore une histoire qui me plaît beaucoup. J'attend la suite

Mouahaha Violette ça me rassure de voir que toi aussi tu n'as pas attendu d'avoir terminé ta 1ere fiction pour entamer une autre .
En tout cas le départ est aussi bien que pour la première, alors NEXT quoi !!

Sweeney a écrit:

Mouahaha Violette ça me rassure de voir que toi aussi tu n'as pas attendu d'avoir terminé ta 1ere fiction pour entamer une autre .

Ben en fait, figure toi que j'avais hésité à poster sachant que j'avais déjà l'autre fic en cours, puis quand j'ai vu que tu avais posté la tienne, je me suis lancée! ^^

Sweeney a écrit:

En tout cas le départ est aussi bien que pour la première, alors NEXT quoi !!

Merciii

J'aime!
ca me rapelle un certain film ça...

CloW' a écrit:

J'aime!
ca me rapelle un certain film ça...

Le diable s'habille en prada? ^^

Exactement!

J'avoue que je me suis pas mal inspiré du film pour l'environnement (enfin "environnement"... tu vois ce que je veux dire xD)
Bref je vous mets le chapitre 2 en espérant qu'il plaise! Merci encore de me lire
Bisous!!
P.S: désolée pour la mise en page mais je ne suis pas chez moi donc j'ai pas trop le temps de modifier tout ça :s




Le guitariste se réveilla avec difficulté ce matin là. En effet, il n’avait presque pas dormi : il était allé en boîte, avait ramené une fille, et avait presque fait une nuit blanche. Les rayons du soleil, bien que les stores de sa chambre d’hôtel soient fermés, parvenaient à se glisser dans sa chambre, et à l’empêcher d’ouvrir ses yeux endormis. Il se les frotta doucement, inspira une grande bouffée d’air, et releva la tête. Il mit longtemps à comprendre qu’il se trouvait à NY ce matin, et observa la chambre. Les tons blancs et marrons lui donnaient la nausée. Tout avait l’air si parfait ! Les armoires parfaitement cirées, les fenêtres si nettoyées qu’elles en paraissaient transparentes, et les pots de fleurs rouges à quelques endroits de la pièce. Les seuls détails qui montraient que cette pièce n’était pas si bien rangée que ça, étaient sans aucun doutes les habits éparpillés un peu partout dans la pièce. Tom sourit en les voyants, mais se rappela qu’il avait oublié quelque chose d’important à faire. Il secoua la tête en pensant à quel point il avait été bête. Il se tourna vers la jeune fille qui se trouvait à côté de lui, et, sans aucune pitié, lui lança pour la réveiller :

-Bon t’es mignonne mais va falloir que tu bouges.

La fille ne réagit pas. Elle dormait toujours. Ce qui agaça Tom profondément. Il fut obligé de se lever à cause d’elle, et cela ne lui plaisait pas du tout. Il marmonna un « quelle conne ! » en attrapant les vêtements de la concernée. Il eut un petit sourire sadique tout en lui lançant ses affaires à la figure. La fille fit un petit grognement d’agacement, et Tom leva les yeux au ciel, exaspéré. Elle finit par ouvrir les yeux.

-Qu’est-ce qu’y a ? lui demanda-t-elle en baillant.

-Ben va falloir que tu te casses, dit-il simplement.

-Pourquoi ? fit-elle naïvement.

-Ben écoute on va faire simple : c’est ma chambre d’hôtel. Donc si je veux que tu te casses, t’as pas à demander pourquoi. Tu le fais et c’est tout.

Elle ouvrit des yeux plus que consternés, et commença à s’habiller doucement.

-Tu te presses un peu non ?! s’impatienta-t-il.

Elle jeta sur lui un regard plus que noir. L’effet qu’il eut n’était certainement pas celui que la jeune fille avait prévu, car le guitariste lui lança un sourire moqueur.

-Tu peux me lancer tous les regards que tu veux chérie, je crois qu’on me les a déjà tous fait… Dommage pour toi, ajouta-t-il après un court silence.

Elle se leva, attrapa son sac fermement, et ajouta avant de claquer la porte :

-Pauvre con !

Tom sourit de nouveau, et se fit tomber sur le lit moelleux. Il ferma les yeux, et se mit à rêvasser. Il pensait à la tournée qui s’était achevée au mois d’avril. Une nostalgie le prit alors, et il se mit à penser à tous les moments marrants du Tour. Celui où Bill avait oublié les paroles de Geisterfahrer, ou encore le moment où son jumeau s’était cassé la figure. Bon, ce dernier souvenir lui rappela le moment où lui-même avait failli tomber, mais, même si devant les autres il faisait le fier et ne se moquait jamais de lui-même, il sourit et se mit à rire tout seul. Il ouvrit de nouveau les yeux et contempla le plafond blanc de la pièce. Il continuait de sourire, ce dernier ne pouvant le lâcher après tous les moments qu’il s’était remémoré.

Après s’être douché, Tom mit son bonnet, ses lunettes de soleil, sortit de sa chambre et prit l’ascenseur pour aller prendre son petit-déjeuner. Quand l’ascenseur s’arrêta, celui-ci s’ouvrit sur une jolie jeune fille, brune, les yeux rivés sur son téléphone portable. Il lui dit bonjour pour qu’elle daigne lever ses yeux vers lui, et lui esquissa un magnifique sourire. Celle-ci le lui rendit avec plaisir. Tom lui aurait bien tapé la discute s’il n’était pas aussi fatigué, et se détesta lui-même d’avoir ramené une fille aussi moyenne hier, alors que celle qui était juste à côté de lui était magnifique. Mais il n’avait pas assez de courage pour lui proposer de boire un verre ou autre. S’il l’a recroisé dans la soirée, peut-être changerait-il d’avis, et puis ça serait plus rapide que de faire connaissance avant. Cela ne l’intéressé pas du tout. Il lui fit néanmoins un sourire quand ils sortirent de l’ascenseur, et se dirigea vers la salle de déjeuner. Il commanda un croissant et un café, et se mit à réfléchir à la journée qui l’attendait.

-Hey ! fit une voix qu’il aurait pu reconnaître entre milles, bien dormi ?

Tom leva la tête vers son jumeau, et lui sourit. Il hocha la tête négativement, et but une gorgée de son café.

-Je t’avais dit de ne pas la ramener, le sermonna son frère.

Bill le fixait d’un regard insistant, de ses yeux noisette. Son regard semblait lire dans celui de son frère, comme s’il le décrypté. Il attendit que Tom réponde, mais en vain.

-Après, tu es non seulement crevé, mais la pauvre fille…

Il marqua une pause, pour voir si son frère portait une quelconque marque de culpabilité sur son visage, mais ça n’était pas le cas.

-Tu sais, je l’ai croisé. Elle n’était pas dans un très bon état…

-C’est sur, elle a beaucoup servi cette nuit, plaisanta son frère en un sourire moqueur.

-Tu es vraiment irrespectueux, Tom, le sermonna Bill en affichant une mine choquée.

-Une trainée comme elle ne mérite aucun respect, lui répondit-il.

-Une femme, quoi qu’elle ait fait, mérite le respect. D’ailleurs je ne vois pas pourquoi tu la traites de « trainée », ajouta Bill tout en mimant des guillemets.

-Ben écoute, elle a couché avec moi, alors que je ne l’ai rencontré qu’hier.

-Oui, sauf que j’ai discuté avec elle ce matin et…

-Tu as discuté avec elle ?! s’étonna son frère.

-Oui, et c’est une fan, donc…

-Donc elle a cru que Tom Kaulitz allait vivre la plus belle histoire d’amour qui soit avec elle, et qu’il allait arrêter ses coups d’un soir, acheva Tom.

Bill le mitrailla du regard, l’air vraiment fâché. En effet, son jumeau détestait qu’il se comporte comme ça avec les filles. Elles étaient si « fragiles », comme il le disait si souvent. Bill n’avait pas du tout la même façon de penser que Tom, c’était sûr. Mais ce dernier avait l’habitude que son frère le sermonne, à chaque fois qu’il se servait d’une fille. Autant dire que c’était tout le temps. Bill continua à lui faire la moral jusqu’au moment où Gustav arriva, il revenait de son footing. Il s’installa avec un croissant dans une main, une tasse de chocolat dans l’autre, et leur dit en souriant :

-Bonjours les Kaulitz !

-Bonjour gus, lui répondit Bill. Tu as bien dormi, contrairement à Tom je suppose ?

-Oui super, lui dit Gustav. J’adore courir à NY ! En plus il fait plutôt beau ce matin !

-Super je vais pouvoir aller faire les magasins, se réjouit Bill en avalant une gorgée de son café.

Ils continuèrent de manger en silence, chacun plongé dans leur pensée. Tom se demandait ce qu’il allait faire. Peut-être faire un tour au magasin d’Audi, puis quelques magasins.

-Bonjour mes petits ! s’exclama une voix enjouée.

C’était celle de David Jost. Il avait l’air ravi, et Tom se demanda ce qui le rendait si joyeux. Il allait lui poser la question, mais David s’empressa de leur expliquer :

-Vous savez d’où je viens ?

-Non mais tu vas nous le dire ? répondit Bill, impatient de savoir.

-D’un rendez-vous avec Julia Portman.

-Qui c’est celle là ? demanda Tom tout en mâchant son croissant d’une façon pas très belle à voir.

-La directrice de Vanity Fair ! s’excita Bill tout en se levant et en tapant des mains comme un enfant. Et donc ?

-Et donc… Elle veut vous consacrer une bonne partie de son prochain numéro !

Bill explosa de joie, et prit David dans ses bras. Gustav avait l’air content, et ne s’arrêtait pas de sourir. Quant à Tom, il n’en avait disons… Absolument rien à faire. Il ne connaissait pas cette « Julia Port truc », et pour lui, Vanity Fair était un magazine comme un autre. Bill se tourna vers son frère, et prit un air accablé.

-Quoi ? ronchonna Tom en voyant le regard accusateur de son jumeau.

-Tu n’es pas content ?! s’étonna Bill.

-Ben c’est un magazine comme un autre, s’expliqua-t-il.

-Non c’est Vanity Fair, le contredit son frère. Et en plus, c’est un des magazines les plus connus de NY ! Ca va nous faire un ENORME coup de pub, tu ne te rends pas compte !

Tom réfléchit à ce que venait de lui dire Bill, et s’avoua, intérieurement bien sûr, que ce qu’il disait n’était pas faux, et que ça allait beaucoup apporter au groupe.

-Et quand est-ce qu’on est censé donner une interview ? demanda Gustav.

-Demain, répondit Jost. Par contre, il y aura deux parties vous concernant : une qui parlera du groupe, et une autre qui parlera de vos débuts dans le mannequinat.

-Et Georg et moi, on pourra s’en aller après l’interview concernant le groupe ?

-Oui, oui, bien sur Gus ! le rassura David. J’ai vraiment hâte, vous ne pouvez pas imaginer !

SUIIITE ! Tom est affreux

on a envie de lui donner des claques
j'aime

Lol j'essaye de vous écrire une suite bienôt!!
Bisous les filles

Mais faut que quelqu'un le dresse le petit Tom
Axia, pareil la première chose que je me suis dit c'est "il mérite de ces claques !"
Merci Violette de prendre le temps d'écrire des fic alors que t'es en vacances

J'aime beaucoup, suiiiite !!

Hey ! Je viens de lire ces deux premiers chapitres, et j'aime beaucoup !!
Par contre, j'avoue que l'image que tu donnes de Tom est horrible , mais c'est drole xD

Suite !!!

j'aime beaucoup moi aussi...
tom est vraiment afreux...!!! loool

suite?

Pas co depuis Décembre.. A archiver?

Ouep