[FanFic] I'm with You

Coucou tout le monde^^ Alors j'ai décidé d'écrire une fiction avec les TH. Ce n'est pas la première que j'écris. J'espère que celle-ci vous plaira, l'idée m'est venue dans la soirée, et j'ai eu tout de suite l'idée de commencer ma fiction ici. Merci à ceux qui viendront me lire, en espérant que ça vous plaise, voici le premier chapitre, qui pourrait un peu faire office de prologue, étant donné qu'il est très court. Enfin, je vous laisse lire...

P.S: le titre de la fiction m'a été inspiré par la chanson I'm with You d'Avril Lavigne. Je la trouve vraiment belle, et les paroles sont super touchantes.

Wouaw^^

j'aime bien

Suite

suite

Merci les filles Je vais essayer de mettre la suite avant ce soir, car à 15h je pars en vacs...

Moi aussi j'aime bien ! C'est intriguant ! Suite

J'aime! suite!

Voilà enfin le chapitre 2! Il n'y a pas encore beaucoup d'action, mais il faut bien que j'introduise un peu l'histoire! Vous inquietez pas, ça va bientot bouger!

Oh j'adore !!! Sérieux tu as un style qui est très agréable à lire, très fluide ^^
On rentre direct dans l'histoire !

Suite ! =DD

j aime vraimentton style d'ecriture
et l'histoire et prenante
suite

Merci beaucoup les filles =D

Pourquoi quand c'est bien on trouve toujours ça trop court ? XD.

Merci les filles, ça me fait super plaisir que ma fic vous plaise déjà, alors qu'il n'y a pas beaucoup d'action, pour le moment
Voici le chapitre 3, ne vous inquietez pas, tout va commencer au chapitre 4



-Joss... allez réveille toi...
J'ouvre difficilement les yeux, et aperçoit le visage de ma soeur, qui devient de plus en plus net. Je me frotte les yeux, et regarde autour de moi. Nous sommes toujours dans l'avion, et nous sommes à l'arrêt.... J'en déduis alors que nous sommes arrivés! Je me lève et tente d'attraper nos deux valises, qui sont parfaitement calées. Tout en m'énervant contre moi même de les avoir si bien rangées, je tire sur la première. Alors que celle-ci allait faire une chute mémorable, deux mains empoignent la valise. Je me tourne et mon regard s'arrête sur un jeune homme, d'une vingtaine d'année, qui tient fièrement ma valise. Il n'est pas très grand, mais a un visage si mignon! Celui-ci reste pourtant impassible, il a l'air plutôt timide. Je le remercie de m'avoir aidé, et nous nous en allons.
- Je te vois venir, toi, me menace Lou.
- Quoi? Lui dis-je, tout en la fixant d'un air perplexe.
- Si tu commences déjà à tomber sous le charme d'un inconnu... commence-t-elle.
Je lève les yeux au ciel, et me concentre pour trouver la sortie. Je ne mets pas de temps à la repérer, et accélère le pas. Nous prenons l'un des taxis qui était déjà garé devant l'aéroport, et partons. Je sors mon MP3 et écoute Paper Planes, de MIA. Cette chanson me fait planer dès que je l'écoute. J'observe l'autoroute, qui se transforme vite en immeubles londoniens. J'admire la ville, la musique dans les oreilles. Je souris. J'aime tellement cette ville!
La voiture s’arrête, doucement. Je souffle un bon coup, et sors de la voiture. J’empoigne ma valise fermement et aide Lou avec la sienne. Mes yeux s’arrêtent instinctivement sur le Big Ben, qui me parait vraiment immense, maintenant que je suis à ses pieds ! Les gens marchent, très énergiquement, ils ont tous l’air très pressé. De ce côté-là, ça ne me change pas tellement de Paris, vu que les gens sont tout aussi stressés !
-Miss ? M’interpelle une voix.
Je me tourne légèrement, et voit que c’est le chauffeur de taxi. Je m’excuse mille fois de l’avoir fait attendre, et le paye. J’en aurais payé des taxis, aujourd’hui ! J’attrape mon portable dans le gros « bordel » de mon sac, et compose le numéro de mon père. Une sonnerie, deux…
-Les filles ! crit une voix à quelques mètres.
Je pose mon regard sur mon père, qui sourit tout en courant vers nous. Je n’arrive tellement pas à lui sourire, que je finis pas lui faire un espèce de rictus pas très beau à voir, qui, vu la tête qu’il avait fait en retour, signifiait « oh m*rde encore lui ». Il nous fait la bise, et propose de nous porter nos valises. Ma sœur accepte avec plaisir, mais je décide de garder la mienne. Ca ne sert absolument à rien qu’il s’embête à porter deux valises. Et puis, vu la tête que je lui ai faite, il vaut mieux ne pas trop lui en demander. Nous marchons pendant une bonne dizaine de minutes, jusqu’à arriver sur une grande avenue. Je regarde les magnifiques portes londoniennes défiler sous mes yeux, jusqu’à ce qu’on s’arrête à une de celles-ci, de couleur rouge foncé. C’est la première fois que nous venons ici. L’an dernier, nous étions allées dans son appartement, mais il avait voulu changé au milieu de cette année, ce qui fait que je ne connais absolument pas cette maison.
Nous entrons, et arrivons sur une belle entrée : un escalier nous fait face, le salon à notre droite, et deux autres portes, que je suppose être la cuisine et, surement des toilettes. Mon père ne fait aucun commentaire, et décide de nous montrer notre chambre. Ou devrais-je dire, nos deux chambres. Elles sont toutes les deux très grandes, par rapport à ce que nous avons à Paris. Chacune a un lit double, un bureau, et un ordinateur. Je remercie mon père, il nous propose de manger, mais comme nous avons déjà cassé la croute dans l’avion, je décide d’aller me coucher. Alors que je réfléchis à ce que je vais pendant ce long séjour, une main timide frappe à ma porte.
-Je peux rentrer ? fait la petite voix de Lou.
-Oui.
Je la regarde s’approcher doucement, sur la pointe de ses petits pieds. Elle porte la chemise de nuit que je lui ai offerte à Noël. Elle est si mignonne ! Ses cheveux châtains tombent en cascade autour de son doux visage, ses yeux bleus foncés sont remplis de tristesse.
-J’arrive pas à dormir, bredouille-t-elle tout en s’asseyant sur le bord de mon lit. Est-ce que ça te dérange si je dors avec toi ?
Je lui fais non d’un signe de tête, et lui souris. Elle se glisse sous la couette, et bientôt, je sens le petit corps frêle de ma sœur collé au mien. Je la prends dans mes bras, consciente qu’elle est triste. Elle doit certainement penser à maman…
-Je suis avec toi, petite puce.

J'allais justement délibérément fair eun double post (je sais c'est pas bien >_<) pour te stimuler un peu pour que tu écrives la suite .. Et là tu l'as postée. Synchronisation . Bon ben vite, qu'on entre dans le vif du sujet :p !!

J'aime =)
Suite, suite !!! xD

Voilà je vous mets la suite! Elle est assez longue. Personnellement je ne suis pas satisfaite de ce chapitre, dites-moi votre avis...

Chapitre 4

Je me réveille doucement, prenant soin de ne pas faire trop de bruit, pour ne pas réveiller Lou. Je regarde l’heure : 8h56. Je soupire, me rendant compte que je n’ai pas dû dormir beaucoup. Je prépare les vêtements que je vais mettre aujourd’hui, et vais vers la douche de ma chambre, lentement. Je m’observe dans le miroir, et m’aperçois que j’ai une tête de déterrée… J’hausse les épaules, et rentre dans la douche. Je me fais couler de l’eau sur le visage, histoire de me réveiller un peu, et espérant ne plus avoir cette tête horrible que je viens de voir…

Après avoir fini de me doucher, coiffer, habiller, je descends pour petit déjeuner. J’entre dans la cuisine, pensant y trouver mon père, et hausse un sourcil, perplexe, en apercevant un morceau de papier qui trônait fièrement sur la table.

-« Je suis parti travailler. Je reviens ce soir, je vous embrasse. Christian. », il a tellement pas l’habitude de s’entendre appeler « papa » qu’il signe Christian, dis-je tout en mettant le papier à la poubelle.

Je me mets à fouiller les placards, et trouve rapidement mon bonheur : je me fais quelques toasts et un café au lait. Me rendant compte qu’il y avait une télé dans la cuisine aussi, je m’empare de la télécommande et l’allume. La présentatrice météo, anglaise bien sur, apparaît à l’écran. Il allait faire plutôt doux, aujourd’hui apparemment. Je me réjouis à cette idée, tout en finissant de manger.

Vers dix heures, après avoir traîné devant la télé, je me décide à monter voir si Lou est réveillée. Comme ce n’est pas le cas, je la réveille doucement. Elle commence à râler, se plaignant, que j’étais vraiment bête de la réveiller, et que si je ne sortais pas de la chambre, son pied allait atterrir directement dans mon derrière… Je suis tellement habituée que je la laisse râler, et la prévient que je vais lui préparer des toasts pour son petit déjeuner.

***

Nous sommes toutes les deux à la terrasse d’un café, il est déjà midi. Pendant que Lou me raconte le rêve qu’elle a fait cette nuit, je me tortille dans tous les sens. Non, je n’ai pas la bougeotte, c’est juste que je suis mal à l’aise. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’un gars me fixe depuis que nous sommes arrivées, et je n’ose même pas regarder qui c’est. Je sens seulement son regard posé sur moi depuis une bonne quinzaine de minutes, et ça commence sérieusement à m’agacer !

-Et là, j’avais plus ma guitare à la main, plus mon public adoré en train de m’acclamer… J’avais juste mon idiote de sœur devant mes yeux ! Tu te rends compte le rêve énorme que t’as détruit ?! Ohé, Joss, tu m’écoutes ou tu préfères continuer de gigoter dans tous les sens comme une imbécile ?

-Hein ? Ah oui, désolée de t’avoir réveillée !

Ma sœur me lance un regard noir, et je la comprends tout à fait. Je lui fais une mine désolée, et elle reprend la discussion. Après avoir hésité à plusieurs reprises, je risque un coup d’œil vers le gars qui m’observe depuis tout à l’heure. Cela ne dure que deux secondes, vu qu’il me fixe encore. Du peu de temps que j’ai pu le voir, il a les cheveux noirs, un bonnet blanc, et des lunettés de soleil énormes. En gros, je ne sais absolument pas s’il est mignon ou non, puisque je n’ai pas eu assez de temps pour le détailler !

-Tu voudrais pas qu’on aille manger ? me demande Lou d’un air affamé.
-Ben j’ai pas vraiment faim…

Voyant son regard qui commence déjà à se remplir de reproches, je reprends :

-Mais allons-y si tu veux !

Elle sourit, et nous nous levons. Pendant que je récupère mon sac, je glisse un dernier regard vers le type de tout à l’heure… Ce que je regrette tout de suite, voyant que celui-ci esquisse un magnifique sourire tout en continuant de me fixer. Je me dépêche de quitter le bar avec Lou, et nous allons manger.

***

Cet après-midi, nous n’avons fait que du shopping, avec Lou. Il est déjà 19 heures, et nous venons à peine de rentrer. Je vais m’allonger sur mon lit et réfléchis. Je me demande si mon père va rentrer, au moins pour manger. Son boulot est assez prenant, je le sais, puisqu’il est journaliste, mais il pourrait faire un effort… ! J’allume ma télé et commence à zapper.

Au bout d’une heure, j’entends la porte du rez-de-chaussée claquer. Je saute de mon lit, et descends les escaliers à toute vitesse. Mais je m’arrête bien vite en voyant que mon père n’est pas seul.

-Oh, ça c’est ma fille, Joss. Ne vous inquiétez pas elle est adorable, dit-il à l’intention de ses invités.

J’observe les quatre hommes que mon père a ramenés, et plante mon regard dans celui de mon père, étonnée.

-Joss, je te présente les Tokio Hotel, ils font un break pour prendre des vacances, et ils voulaient venir les passer à Londres incognito, c’est pourquoi ils vont rester ici. Je les connais depuis qu’ils ont commencé, et ils avaient besoin de quelqu’un de confiance… m’explique mon père.

Je n’arrive à articuler aucun mot. J’avais entendu parler de ce groupe, à Paris, mais je ne m’y étais jamais vraiment intéressée. Je les regarde, ils ont l’air gêné. Ayant conscience que je devais leur faire peur, à les regarder de la sorte, un faible « bonjour » sort de ma bouche.

-Bonjour, disent-ils tous en cœur en anglais.

Le plus grand des quatre avait l’air plutôt à l’aise, il avait les cheveux court, brossés en arrière. Celui qui est à côté de lui, est tout à fait son opposé. Les cheveux blonds, des lunettes noirs et il n’est pas bien grand, mais a un je ne sais quoi qui vous donne envie de le prendre dans vos bras. Le troisième est de taille moyenne, les cheveux lisses mi longs, et le dernier… Son sourire me dit quelque chose…

Le gars du bar… !

-Ca c’est Bill, Gustav, Georg et Tom, dit-il en me les montrant tour à tour. Ils restent deux mois, normalement, voire moins. Je compte sur toi pour les occuper, tu connais mieux la ville qu’eux, et moi je n’ai pas beaucoup le temps…

Alors comme ça j’allai devoir faire le guide. D’un côté, ça m’agace que mon père me les refile, d’un autre côté, ça allait m’occuper aussi. Après tout, passer un mois avec Lou, ça deviendrait peut-être un peu ennuyeux. J’hoche là tête, et leur sourit.

Mais arrête il est super bien ton chapitre !! Long tu dis ? Moi je l'ai trouvé trop court . Suite ma grande ^^

Mais oui c'est bien !! J'adore, je ne pensais pas du tout qu'elle allait les rencontrer comme ça !! ^^
Suite !!!!!!!!!!

Merciiii les filles

Voilà la suite! ^^
Maintenant, tous les dialogues en français son en italique, le reste en
anglais
!


Je me dirige vers la cuisine pour voir ce que je vais préparer à manger. Mon père a un diner d’affaires, ce qui fait que je vais devoir rester avec les quatre starlettes et ma sœur, seulement. Pendant que je prépare des gnocchis à poêler, j’entends ma sœur dévaler les escaliers, de la même façon que moi tout à l’heure, et s’arrêter d’un coup. Je souris, imaginant très bien la situation. Mais me rendant compte qu’elle n’a pas ouvert la bouche, je sors de la cuisine et fais un petit sourire en coin en voyant les quatre, ne sachant que dire à ma petite sœur. Finalement, je dis :

-Lou, je te présente les Tokio Hotel, ils vont rester pas mal de temps avec nous car ils font un break et voulaient passer des vacances à Londres incognito, c’est pour ça qu’ils ne sont pas allés à l’hôtel mais sont venus ici. C’est papa qui leur a proposé.

Ma sœur reste sans voix, et finit par faire un grand sourire ravi, ce qui m’étonne beaucoup.

-J’adore votre dernier album ! s’écrie-t-elle en leur faisant la bise tour à tour.
-Merci c’est gentil, la remercie Bill avec un sourire.
-Et sinon, vous faites un break pour longtemps ? leur demande-t-elle tout en les guidant vers le salon.

Je hausse les épaules et retourne dans la cuisine. Elle ne m’avait jamais dit qu’elle écoutait du Tokio Hotel, mais bon. Je n’ai jamais vraiment écouté ! Je me souviens juste d’une chanson, que je trouvais plutôt jolie… Ca parlait de la mousson…
Me rappelant alors de l’air, je commence à fredonner, toute seule.

-I’m staring at a broken door , nana na na nana na na…
-C’est la seule que tu connaisses ? dit une voix derrière moi, qui me fait presque lâcher la poêle que j’étais en train de déplacer.

Je me retourne et voit Tom sur le pas de la porte.

-Oui, enfin non, j’en connais une autre, là…
-Schrei ? propose-t-il.
-Oui, ça doit être ça !

Il sourit.

-Sinon, t’as quel âge ? S’informe-t-il.
-Je viens de faire 18 ans. Et toi ?
-20, me répond-il avec un sourire. On est désolé de s’incruster comme ça, le reste du groupe et moi, mais on était même pas au courant que vous étiez là…
-Ca ne m’étonne pas… marmonné-je, tout en vidant les gnocchis dans un plat.

Il me regarde, perplexe, et ne fais aucune remarque à propos de mon commentaire, se disant surement que ça ne le regardait pas.

-Tu veux que je t’aide, peut-être ? propose-t-il.
-Oui, apporte les assiettes s’il te plaît, elles sont dans le placard, tout à droite.

Il s’exécute, et sort six assiettes maladroitement. J’hausse un sourcil en le regardant. Il est si peu habitué à mettre la table ou quoi ? Il voit la tête que je fais et ajoute :

- Pas l’habitude, désolée…
-T’inquiète pas, je vais te la donner, l’habitude ! Lui
dis-je en riant.

Je sors de la cuisine et vais à la salle à manger, qui se trouve à côté du salon. Les autres sont en grande conversation avec ma sœur, et ça me fait plaisir de voir qu’elle s’entend bien avec eux, et qu’ils parlent anglais devant elle. Ma sœur et moi, nous parlons couramment l’anglais, car nous venons à Londres à chaque grandes vacances, sur une très longue durée. Donc on se débrouille plutôt bien…
Quand ils me voient arriver avec mon plat, ils se lèvent tous et s’approchent vers la table. Ils ont l’air plutôt gêné, ils ne savent pas où s’asseoir, tout ça…. Ce qui me rend mal à l’aise.

-Allez y, installez vous, les encouragé-je.

On s’assoit tous, et je commence à servir. Mais je m’aperçois que, cinq minutes plus tard, ils ont déjà tous fini leur plat. m*rde c’est vrai que ce sont des mecs…pensé-je.

-Désolée je crois que je n’ai pas vu assez grand, au niveau bouffe, m’excusé-je.

Ils plantent alors tous leur regard sur moi.

- Oui j’ai pas osé te le dire en voyant mon assiette, mais on est de vrais morfales, dit Bill timidement.

Ils approuvent tous en rigolant.

-Ok je vais aller chercher des pizzas alors, car on n’a plus rien là, dis-je tout en me levant.
-Tu veux que je t’accompagne ? me propose Gustav, se levant à son tour.
-Si tu veux, lui dis-je en lui souriant.

On sort tous les deux du salon et on se prépare à sortir. Dès qu’on pose un pied dehors, le froid nous saisit. Ou plutôt « me », car en regardant Gustav, ça n’a pas l’air de trop l’impressionner. Je l’observe discrètement. Il a l’air plutôt réservé.

-Vous venez de prendre votre break ou ça fait pas mal de temps ? lui demandé-je, histoire de combler le blanc qui s’installé.
-On l’a pris à la fin de notre dernière tournée, début Mai.
-Ah oui ! Je me souviens que j’avais vu des affiches publicitaires dans le métro pour votre tournée. C’était quoi le nom ?
-« Welcome To Humanoid City Tour », me dit-il.
-J’aime bien ce nom, ça donne envie d’en savoir plus, lui répondé-je, pensive.
-C’est gentil, me répond-il en m’adressant un petit sourire.

Nous arrivons à la pizzeria, et commandons.

VITE la suite !!

J'adore !!!
"Les quatre starlettes"... MDR xD

New lectrice

bah eh euh... et après les pizzas ???

Merci d'avoir lu Rox


Dès que nous sommes arrivés à la maison avec Gustav, tout le monde s’est jeté sur les pizzas. Résultat : on n’a même pas de reste ! Il est déjà 22 heures, et on est tous devant la télé. C’est une émission dans le genre nouvelle star qui passe. Bill n’arrête pas de critiquer les gens qui y passent, ce qui me fait rire. Il n’en aime aucun !

-Non mais regardez-moi ces effets qu’elle nous fait avec sa voix… On dirait un chameau ! se moque-t-il.
-Dis donc t’es pas très gentil, elle est plutôt canon, lui lance Tom.
-On s’en fou qu’elle soit canon si elle chante comme une… une… C’est tellement affreux que je peux même pas la qualifier de casserole ! se plaint Bill.

Ca ne fait qu’une soirée qu’ils sont là et pourtant, ils me font déjà beaucoup rire. Georg et Gustav ne parlent pas autant qu’eux, mais d’un côté c’est normal, ils parlent 24h/24h, donc c’est difficile d’en placer une ! Ma sœur n’arrête pas de rire, elle non plus. J’ai l’impression qu’elle se sent bien, et ça me fait plaisir. D’habitude, quand on vient chez mon père, on est tout le temps que toutes les deux, et on s’ennuie un peu… Alors que là, ça nous change !

-Ils sont tout le temps comme ça ? glissé-je à Gustav pendant que Tom est occupé à détailler le corps de « rêve » de la nana.

-Oh ça, va falloir vous y habituer, ils sont toujours aussi casse-couilles ! rigole Gustav.

Bill se tourne alors vers Gustav, d’un air qui se veut menaçant.

-Gus, arrête de nous dévaloriser, lui ordonne-t-il. Nous, au moins, on comble le vide avec nos disputes, se justifie-t-il au passage.
-Pff, évidemment on ne peut rien dire, vous êtes toujours là à piailler comme des gosses, se moque Georg.

A partir de cette remarque, un gros débat commence entre les Tokio Hotel, à propos des disputes des jumeaux. C’est vraiment très drôle à voir !

-Vous seriez tristes si on était plus là, bande de naze ! lance Tom.
-Pffouahaha, ça nous ferait plutôt des vacances ! lui répond Georg, ouais ça te dit Gus des vacances sans les twins Kaulitz ? OUVRONS LE CHAMPAGNE !

Gustav acquiesce, et ils continuent à s’engueuler.

-Olala vous pouvez pas vous taire, je veux écouter moi ! proteste Lou en pointant la télé du doigt.

D’un coup, ils se taisent tous et chuchotent entre eux pour savoir à qui est la faute. Ce qui provoque chez moi un fou rire incontrôlable. Ils me fixent tous d’un air ahuri.

-Hihi… Vos… Têtes ! dis-je tout en continuant de rire.
-Bon sang elle est aussi tarée que les twins, déclare Georg, consterné.
-Non elle est pas tarée, me défend ma sœur, c’est juste Joss. Elle se marre tout le temps pour rien, rajoute-t-elle amusée.

Je m’arrête finalement de rire, après que ma sœur m’ait lancé un regard noir parce qu’elle n’arrivait toujours pas à écouter l’émission. Bill continue encore de faire quelques commentaires, en critiquant aussi la tenue des candidats. Au bout d’une heure, je sens la fatigue m’emporter. Ne voulant pas m’endormir devant la télé, je dis à tout le monde que je monte me coucher.

-Déjà ? s’étonne Lou. Mais il n’est que 23 heures !

Je hausse les épaules, et fais la bise à tout le monde.

-Bonne nuit ! me crient-ils alors que je monte déjà les escaliers.

J’enfile un short et un t-shirt beaucoup trop grand pour moi, et me glisse dans mon lit. Mais je n’arrête pas de tourner, je n’arrive pas à trouver le sommeil. Je pense à tout ça. Aux Tokio Hotel. Ca me fait vraiment bizarre de penser qu’ils sont juste en bas. Curieuse, je sors de mon
lit et m’installe en face de mon PC. Je tape ces deux mots dans le moteur de recherche Google « Tokio Hotel ». Une tonne de résultats apparaissent alors. Wikipédia, des forums, des blogs, le site officiel. Je commence d’abord à lire la biographie de chacun des membres, et rit lorsque je remarque que sur l’un des blogs, Bill est dit très bavard pendant les interviews. « Et pas que… » pensé-je.
Alors que je parcours l’un des nombreux forums (http://www.tokiohotel-live.com/ ), un topic attire mon attention : « Tokio Hotel : en chute libre ? ». Je clique immédiatement dessus, et regarde l’article. Apparemment, leur dernière tournée c’était très mal passée.

Me rendant compte que ça faisait une heure que j’étais sur le PC, je le ferme et retourne dans mon lit, où je m’endors pratiquement instantanément.

next chapter miss

Vite la suite c'est trop bien !