[demandes spéciales] Fanfictions complètes mises en ordre

Bon, alors comme je n'écris jamais une fic d'un coup, les demandes sont souvent toues mélangées et entrecoupée de comment'z..je mets donc ici l'intégrale des fics! ^^Enjoy!

Awwww et puis zut, c'est tout a fait inutile..quelqu'un peu supprimer ce topic? Oo

Banni Messages : 12465 Points : 18469 Date d'inscription : 30/07/2007

non moi ça m'allait lol
ça sera plus clair de toute façon j'allais te le proposer...
si tu n'as pas le temps je m'en chargerais ^^

Awww bah sit tu peux faire ca ce serais super fin de te part, parce que je suis en train d'en écrire 3 ou 4 en même temps alors jai pas vraiment le temps! ^^ MErci!

---I just love ton avatar! [demandes spéciales] Fanfictions complètes mises en ordre Bave

[demandes spéciales] Fanfictions complètes mises en ordre Bave

Banni Messages : 12465 Points : 18469 Date d'inscription : 30/07/2007

je ferais ça prochainement alors... [demandes spéciales] Fanfictions complètes mises en ordre -p

Merci Maman Marmotte! =) ILD! [demandes spéciales] Fanfictions complètes mises en ordre Coeur

Banni Messages : 12465 Points : 18469 Date d'inscription : 30/07/2007

Pluie d'étoile fillantes
Clow'chette et Bill

Le pluie tombait, des cordes de pluies, des sceaux de pluie, des torrents de pluie. Clow'chette feuilletait, seule, le journal de la veille, lourde de peine. Hier, son petit ami l'avait plaquée et elle ne voulait qu'une chose, disparaitre de la surface de la terre. Elle se rappela les paroles de sa Lillie sur le fo'.."Ya rien comme de la crème glacée", ou quelque chose comme ca. Clow' se tourna vers le frigo..c'est vrai qu'une bonne glace au café lui calmerait la cervelle.

Elle ouvrit la porte du frigo et, comble du malheur, tomba nez à nez avec le vide du pot. Vivement le nouveau service de livraison du magasin. La jeune fille saisi le combiné et composa le numéro de l'épicerie, commanda sa crème glacée et se recoucha sur le canapé moelleux.

*Ding Dong*

Sans grand enthousiasme, les yeux encore mouillés, Clow' ouvrit la porte au livreur. Le livreur. Beau, grand, maigre mais attrocement sexy. Des traits féminins, mais délicieusement doux, un sourire de démon, un regard d'ange. Le livreur. Le beau livreur au petit étiquette sur la poche de chemise indiquant son nom aussi merveilleusement attirant que ses mains. Le livreur. Bill.

--S'cusez M'dame, but j'ai votre ice cream qui fond la, fait chaud dehors.

--Owww merci, euh..Bill c'est ca?

--C'prononce BiLLLLLL, but t'es tellement cute que j'vas t'pardonner.

Il pencha un peu la tête, fixant ses yeux rougis.

--Tu fake ou t'as pleurer babe? Mmm..j'me demande ben quel trou de cul t'as fait versé des larmes, pis jle saurai ptêtre jamais, but si j'peux faire de quoi pour t'aider..

--Un french ca aiderait..

**Ohhh non, yai pas dit ca...!!!**

Bill laissa tomber la crème glacée par terre et saisi Clow'chette par les hanches. Arrogant, il se pourlèchait les lèvres, comme pour tenter de les rendre un tantinet plus douces.

--Tu voulais babe??

Son souffle se coupa. Haletante, elle tenta de se détachée de Bill, mais sans espoir; son corps même refuse d'obéir. D'un coup si sec qu'il en fut presque brutal, leurs lèvres se collèrent une contre l'autre. Sans même y être invité, Bill la poussa dans la maison et se laissa tomber sur le canapé qu'il trouva à tâton.

****

Clow'chette se réveilla au millieu de la nuit, blottie dans les bras d'un homme. Surprise, elle leva les yeux, et failli faire une crise cardiaque quand elle réalisa...que c'était le livreur!! Insomniaque, il ne dormait pas et regardait le ciel à travers la vitrine du salon.

--Watch ben ca babe, c'est une pluie d'étoiles filantes. Watch ben, c'est presque aussi beau que toi quand tu dors..

PouttePoutte alias Ellie le 28.11.2009

Banni Messages : 12465 Points : 18469 Date d'inscription : 30/07/2007

The Day whe becomed One Person..

pour Clow

Bill regardait stupidement le prêtre, incapable de dire mot. Son coeur semblait vouloir exploser encore et encore, il semblait vouloir prendre ses jambes à son cou, semblait vouloir se morfondre dans les bras de sa moitié. Il en avait marre d'attendre. Depuis le début des préparatifs, il n'avait presque pas eu le temps de chouchouter sa clow'chette, alors que c'est ce qu'il aurait principalement du faire!!

Les gens se turent simultanément. Le silence écrasa l'audience comme un marteau, et l'organiste pianota quelques notes connues et égales. Bill osa un regard vers l'entrée. Elle était là..

Dans sa magnifique robe blanche piquée de diamants roses. Ses longs cheveux étaient relevés en une monture vertigineuse, délicieusement bouclée. Du bouquet de fleurs exotiques émanait un parfum tendre et sucré semblable au parfum de sa peau satinée et découverte aux épaules. Bill demeura estomaqué devant autant de beauté.

Elle arriva enfin à sa hauteur et entrelaca ses doigts dans les siens. Ses yeux ressemblaient à la nuit. Noirs, mais parsemés d'étoiles merveilleuses et brillantes, chaudes et exaltantes de douceur.

Bla bla bla...Bill n'écoutait plus le pauvre prêtre qui tentait désespérément de cacher sa jalousie et son regret ; une si jolie femme avait le don de faire regretter leur profession aux prêtres cathos...

-Oui je le veux...

--Mais.. Monsieur Bill je n'ai pas fini mon..

--Ton blabla est inutile. Je dis oui je le veux, donne moi ma bague, j'ai une femme à qui faire découvrir le monde.

Clow'chette failli exploser de rire devant l'hilarité devant la situation ; Bill, presque au bord de la baverie, s'astinant avec le prêtre honteux et enragé. Bon..pour un grand romantique, Bill n'accordait pas bien d'importance au grandes cérémonies...

Sans demander son reste, Bill la souleva dans les airs et la transporta dans la limousine mise à leur disposition.

--Bon, on commence par où? Thaiti ou Cuba?

PouttePoutte le 28.11.2009

Banni Messages : 12465 Points : 18469 Date d'inscription : 30/07/2007

La fille qui refusait de me beccoter

pour Roxyie alias Roxane, alias Beauté

Le soleil de plomb semblait vouloir tuer les gens. Il fesait si chaud, si chaud, si chaud, que même la chaleur suffoquait. Tom enfila son maillot de bain et fila vers la piscine de l'hôtel. Personne. Il plongea dans la piscine et fit quelque longueurs pour se rafraichir. L'eau fraiche touchant sa peau brûlante lui fit le plus grand bien, mais la présence soudaine d'un bikini dans son champ de vision lui enleva tout gout de fraicheur.

******

Roxane ne fit pas attention au jeune homme bien bronzé qui se baignait tranquillement dans la piscine. Il pouvait bien se noyer s'il le voulait, elle était tellement en rogne que même une bombe atomique ne ferais pas plus de dégats que sa colère si quelqu'un osait lui parler.

Elle se garnit d'une épaisse couche d'écran solaire à la noix de coco et se coucha sur la chaise longue, espérant se calmer en souffrant d'une insolation. Roxane se remmémora la source de sa colère ; un malin voleur de coeur qui avait osé baiser sa meilleure amie. Et sa meilleure amie qui avait osé baiser son copain.

Fulminante, sur le point d'éclater sous la pression de la rage, elle se roula sur sa chaise et se coucha sur le ventre, mettant bien en vue, malgré elle, son mignon petit derrière (Hum..pas de comment svp )

****
Tom senti bouillir l'eau autour de lui. Pas question de laisser cette proie dormir tranquille. Joueur, il lui lanca de l'eau. La réation fut immédiate.

--Laisse l'eau dans la piscine mon ??$%?#$%#$? ou j'te noie!!!

Roxy se recoucha, cette fois sur le dos. Elle referma ses yeux, mais ne trouva pas le calme, et encore moins le trouble. Ces yeux joueurs..tendres..presque affamés la chicotaient. Pour ne plus entendre son rire moqueur, cette invitation au jeu, elle enfonca les écouteurs de son Mp3 dans ses oreilles et mis le volume à fond.

****

Frustré par le refus catégorique de la demoiselle, Tom sorti de la piscine. Personne ne pouvait résister à son charme. Personne. Elle ne ferait pas exeption. Sur de lui, il vint s'asseoir sur sa chaise longue.

--Alors, on fait la moue aujourd'hui beauté?

Relevant ses lunettes, Roxane le fixa un instant puis ajouta:

--Appelle moi "beauté" une deuuxième fois et je t'arrache la langue.

Tom perdait peu à peu patiente. Il ne l'avait jamais rencontrée, il ne la verrait plus jamais, pas question de ne pas y laisser sa marque. Il viendrait au but de sa résistance, il le savait. Fort de ses nombreuses heures au gym, il la souleva dans les airs sous une pluie de protestations et la balanca dans la psicine avant de s'y jeter lui aussi.

--Espèce de ?Y%$?$%?#. Si je t'attrape! Viens ici!! TOUT DE SUITE!

Il se laissa flotter jusqu'elle et se fondit à sa peau.

--Ch'ui assez près là? Tu veux que je vienne plus près avant que tu ne m'attrape?

Rozane voulu lui attraper la gorge et l'étripper, mais son regard, son toucher la fit abondonner sa garde.

--t'as un nom?

--Apelle moi N'homme beauté...

PouttePoutte le 28.11.2009

Le chat retombe sur ses pattes..et Roxye retombe sur Tom! XD

Il fesait toujours le même soleil de plomb. Ils étaient encore dans la même piscine. Tom avait toujours ce même regard dévorant auquel elle semblait tranquillement soumise. Roxye avait toujours cette même envie de le repousser et de l'envoyer se faire prendre par le diable. Ellie avait toujours le même cerveau déjanté...

Tom glissa ses mains presque fines le longs de la courbe de son dos. Ses doigts s'enroulèrent autour de l'attache de son bikini, jouant grossièrement avec le noeud. Sa bouche frôla celle de sa victime qui lui mordit presque les lèvres.

--Non mais tu va me lâcher salaud? Ch'ui pas ton jouet!

Elle le repoussa. Erreur. Les mains du voyou emportèrent avec elles son soutien gorge. Rouge de honte, Roxye se cacha de ses mains et lui lanca son regard le plus meutrier.

--Rend moi sa tout de suite voleur!

--Rohh..ce que t'es méchante...Si tu as si froid sans ton maillot j'peux te réchauffer.

Sans attendre qu'elle se laisse amadouer, Tom saisi ses cuisses et enroula les jambes de sa proie autour de ses hanches, prennant bien soin de presser son membre bien réveillé contre elle. Il écarta les bras de Roxye, dévoilant sa poitrine où il blotti son visage. Au bord d'un orgasme bien attendu, il ferma les yeux, dégustant sa victoire.

--Contente là..je ne vois rien! dit-il, moqueur.

Xianne ne répondit rien. Elle le sentait, dur comme le roc, raide comme un piquet de tente neuf sur lequel elle n'avait pas encore frappé. À bien y songer, il n'était pas si moche se malade mental. Il n'était pas si rude, en fait il était presque doux une fois contenté. Il n'était pas si repoussant ce salaud. En fait..il lui plaisait bien..arrogant..dur à cuire..entrepreneur..pas gêné..musclé à souhait..

Elle laissa tomber ses bras sur les épaules de Tom et se laissa aller à un petit bisoux anodin, sans aucun sous-entendu, qu'elle déposa sur son front brûlant. Il chercha sa bouche le long de son cou, la trouve non loin de son menton et y resta accroché. Finie. Elle était finie. Il l'avait dans son piège...

PouttePoutte 29.11.2009

Tom la porta jusqu'à sa chambre, l'autre bout de l'hôtel. Les passants indignés détournaient le regard pour ne pas voir la jeune femme qui se laissait trimballer à demi-nue, et les passants en manque dévoraient le "couple" des yeux. Mille et un envieux..

Le lit avait beau être à coté de la porte, il était terriblement loin.S'y rendre fut interminablement long pour les 2 jeunes gens, qui tentaient désespérement d'enlever leurs maillots sans séparer leurs bouches unies dans un baiser passionné et langoureux. Enfin arrivé à destination, Tom se laissa lourdement tomber sur le lit moelleux, Roxye couchée sur lui.

--Avec ou sans lub? réussi-t-il à formuler entre deux échanges de bave.

--Sans..

--Hum...répondit-il en laissant ses mains vagabonder sur le corps de sa maitresse. Pas besoin on dirait...

PouttePoutte le 29.11.09

Banni Messages : 12465 Points : 18469 Date d'inscription : 30/07/2007

La neige était chaude...
pour Georgelicious

Journée merveilleuse. Pas question de rester couché comme les deux twins, descandants de marmottes! Georg enfila les skis, brancha son ipod dans ses oreilles et parti en randonnée. Le soleil brillait de mille feux, les arbres semblaient tellement plus verts ce matin là...si verts que Georg se trompa de chemin. Smart....

Environ une heure plus tard, le randonneur remarqua une légère pente dans la piste. Il se dit que se devait être normal, vu la tempête de hier. Mais, la situation pris une tournure bien différente quelques mètres plus loin. La pente devint beaucoup plus raide et Georg perdit le contrôle de ses skis...

*PAN!!!*

Il s'assomma contre un arbre.

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Wolvetherine se promenait depuis un bout, seule et contente de l'être. Sa fin de semaine entre "amies" avec Poutte avait vraiment mal tourné et les deux filles s'entretuaient presque.

--Tom est MON fantasme!

--Et alors, je m'en fou! Le mien c'est Georg!!

--Je m'en fou que tu t'en foutte! Je suis en rogne alors frappe moi! Donne moi une raison de vouloir tuer quelqu'un!

--Et si j'en ai pas envie??

--WRAAAAAAAAA!!!!

Wolvetherine se laissa glisser sur la neige un bon moment. Elle regarda les arbres, droits et verts..silencieux...dont un qui qui présentait une tache de rouge, et un corps inanimé.

Un corps inanimé? Du sang??

Elle se précipita à la rescousse du pauvre type qui reposait, inconscient, dans la neige. Elle s'agenouilla à côté de l'homme...Georg de Tokio Hotel? Brick le retourna...une entaille sillait son front, mais il respirait. Vraiment pas habile en premier soin, elle tenta un bouche-à-bouche inutile. Malheur..il se réveilla.

--Beuh..Tu fais quoi là?

Elle recula rapidement, surprise et gênée.

--S'cuse..je..tu..tu étais blessé..j"ai cru que tu respirais pas..

--'Cest vrai que maintenant que tu le dis j'ai mal au crâne *série de jurons*

Il aggripa sa tête à deux mains, le souffle court.

--Minute..j'vais..j'vais t'aider.

--Apelle..apelle des secours..

Brick sorti son cell et composa le numéro du chalet. Poutte ne répondit pas, boudée. Brick recomposa le numéro jusqu'à ce que sa pile tombe raide morte. Elle réalisa alors sa bêtise..

--Euh....oups!

Georg, les yeux presque cachés par sa douce chevelure brune, la fixa droit dans les yeux. Une étincelle traversa son regard.

--T'es mignone tu sais? Il se tu un instant. Ne t'en veux pas..ca nous donne plus de temps pour discuter.

Elle senti son coeur chavirer. Non, c'était le froid, elle hallucinait. Il se releva sur ses coudes et tâta sa plaie.

--C'est pas profond, fais pas cette tête. Quoi? Le sang te rend malade?

--Heu nana..minute que je nettois ca..

Elle saisie une poignée de neige et la fit fondre dans sa main pour mouiller sa manche. Doucement, Brick nettoya le front de Georg. Celui-ci ferma les yeux, profitant du contact.

--Scoop du jour: Georg Listing amoureux..

--Humm?

Leurs yeux se mélangèrent. Coup de foudre instantané..

--Hey..la neige est chaude aujourd'hui...

Il saisi ses joues plaquant sa bouche sur celle de son héroine...

The end! ^^

Brick lu et relu le petit memo laissé par Poutte.

"Je vais manger une glace en fantasmant sur Tom. Bebye"
"p.-s: De retour..au alentours de jamais".

Quelle nièseuse! Elle venait de louper Georg la pauvre! tant pis pour elle.

Tout en gardant un oeil sur Georg qui sommeillait sur le canapé, Brick prépara du café et fis chauffer les muffins au caramel préparées la veille. Après un coup à la tête aussi fort, le pauvre bassiste avait besoin d'un remontant.

Le tout sur un petit plateau de bambou, la jeune femme vint s'asseoir dans le fauteuil, près du dormeur. Une serviette humide sur le front, Georg semblait en forme, malgré la coupure sur sa tête. Il ouvrit les yeux alors que Brick se levait pour partir. Il posa son regard sur elle, presque fasciné par son visage de poupée.

--Tu vas où?

--Euh bah nul part. J'allais me chercher une cuillère. T'as faim?

--Je mangerais bien un autre coup à la tête, si tu t'attends de me refaire le bouche à bouche après.

Bon ok, il déraillait. Il avait recu un côup énorme à la tête et il déraillait. Pas d'autre explications possible.

--Tu dis?

Georg ne répondit pas, se contentant de faire comme s'il s'éttoufait.

--Docteur s'en vient..crève pas boulet!

PouttePoutte le 29.11.09

Banni Messages : 12465 Points : 18469 Date d'inscription : 30/07/2007

Les canards du parc

pour Clow

La fontaine du parc sifflait doucement. Les jets d'eau fascinaient la petite Pheobee qui, assise dans la fontaine, tentait d'attraper le liquide en mouvement. Le vent chaud de l'été courait lentement, pas pressé, fesant onduler sur son passage les cheveux de Clow'chette qui attendait son mari, parti avec Gaëlle au magasin chercher du pain pour les canards, au bord de la fontaine.

Pheobee se mit à pleurer, incapable d'attraper les jets d'eau. Boudeuse, elle cacha ses yeux derrière ses petits poings et fit la moue. "Méchants jouets", semblait-elle dire dans son silence. La maman se pencha et trempa sa main dans l'eau. Mimant un poisson, elle chatouilla le bébé qui oublia la bouderie pour rire aux éclats.

Un second éclat de rires se fit entendre. À l'entrée du parc, Gaëlle émiettait le pain pour que les "cayards" ne s'étouffent pas. Sa casquette "Berlin vous salut, bande de nouilles!" enfoncée sur le crâne, Bill ressemblait presque, précisons bien le "presque", à un homme normal, au chic type qu'on croise tous les jours. En plus mignon disons. Chic type est bien mais bon...

Clow'chette le regarda marcher vers elle, comme il le fesait toujours, avec une démarche quasi féminine, mais délicieusement virile. La main de sa fille dans la sienne, il était le stéréotype vivant du papa parfait, un emblème de la paternité. L'emblème de la parfaite perfection.

L'eau que lui lanca Pheobee la sortie de sa contemplation. Blonde et frisée, pomettes roses bonbon, petite bouche en coeur, sa fille ressemblait davantage à une poupée de porcelaine qu'à un humain. Rondellettement parlant par contre, elle était bien humaine. Goinfre comme son papa, y'avait pas à dire. Quand elle vit sa grande soeur arrivé avec du pain, son appétit se réveilla d'un coup.

--Mimiam Bebé!! Mimiam bebé! gazouilla-t-elle en tendant les bras vers la bouffe.

la suite plus tard je suis occupée dsl, visite surprise..-_- vive la parenté..

--Non BeeBee, c'est pour les cayards! Faut pas manger ye pain!

Bill laissa à Gaëlle le soin d'expliquer à sa soeur ce qu,était un cayard et comment le nourir. Il pris place à côté de sa fée et passa son bras autour de ses épaules. Bien collé contre sa belle, il regarda les cayards se poser sur le petit bassin artificiel. En deux temps trois mouvements, l'ainée était déja au bord de l'eau à lancer des miettes au animaux.

--Plus elle vieillit, plus elle te ressemble Bill.

--Boff...elle ressemble à sa grand mère maternelle je trouve. Même yeux bruns noirs, même forme du visage, même nez, répondit-il, rêveur. Il réalisa ce qu'il disait et ajouta: En plus beau par contre. Kristine est horrible.

Clow' pouffa. Même après deux ans, Bill n'avait toujours pas oublié son échoeurante belle mère.

--Bill, tu y pense encore, à Keylla.

L'interpelé resta silencieux un instant. Il voudrait bien oublier, mais Gaëlle lui ressemblait tant. Après Poutte, (Ok..je dois bien me donner un rôle un jour! XD) Elle avait été son seul amour. Comment oublier..comment? Il voulait bien savoir...

--Souvent. J'vais être honnête, j'y pense souvent. Gaëlle est son image sans l'ombre, j'ai pas le choix. Et avant que tu me le demande, non je ne t'aime pas parce tu es sa cousine et que je pourrais voir en toi une quelquonce ressemblance, ne vas pas croire de telles sornettes stp. Tu sais très bien que Keylla ne valait plus rien pour moi à la fin. Tu le sais très bien..enfin j'espère...

Clow'chette pris Pheobee sur ses genoux et se blotti contre Bill. Oui, elle le savait qu'il l'aimait. Elle ne le savait que trop bien. La magnifique petite fille dont il était si fière était la preuve vivante qu'il l'aimait sans borne. Mais être deuxième demeurait une source de questions existentielles irrépondables.

--Ne sois pas si nostalgique ma fée. Allez viens, ya les cayards du parc qui attendent qu'on leur lance du pain...

Bill lui tendit la main, ainsi que son plus doux sourire. Clow'chette se leva avec lui et mêla ses doigts à ceux de son époux. Questions existentielles résolues.

The end ^^

PouttePoutte 29.11.09

Banni Messages : 12465 Points : 18469 Date d'inscription : 30/07/2007

Le "big bang!"

pour Marmotte

Nelly (ton nom est bien Nelly hein?) roulait sur la highway depuis 20 bonnes minutes. La tempête de neige ne cessait de gagner en vigeur, et tout ce qu'elle pouvait voir était les phares du conducteur en face d'elle. Inquiète, elle aurait voulu téléphoner à al maison, mais son cell ne captait aucun signal radio. Rageuse, frigorifiée et angoissée, Nelly se contentait de suivre sagement la voiture.

Son guide dérapa alors sans prévenir (ben..comment aurait-il pu prévenir?? XD). Marmotte tenta de l'esquiver, de freiner, mais rien à y faire, l'inévitable se produisit ; elle fonca à toute allure dedans.

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Le choc fut brutal. Il fallut pourtant 10 secondes à Tom pour reprendre ses esprits. À bout de souffle, sous le choc, il sorti de son (on va dire un jeep) Jeep et marcha tant bien que mal vers l'arrière du véhicule. Tom en était certain: quelqu'un lui avait botter le derrière. Priant pour s'être trompé, le jeune homme cru mourir en voyant la petite familliale écrasée contre le derrière de sa voiture.

" Bon sang...faîtes qu'ils soient toujours en vie...pensa-t-il, ébranlé. m*rde..je les ai peutêtre tués.."

Il cogna contre la vitre côté conducteur pour essayer de signaler sa présence à l'extérieur.

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À moitié assomée, Nelly cru entendre une voix et des "toc toc" contre sa vitre. Perdue et somnolante, elle ouvrit la porte, quitte à tomber sur un assassin. Dehors se tenait un merveilleux jeune homme.

-Vous allez bien madame?

Tom examina le..LA conductrice. m*rde, il venait de toucher le gros lot. Vëtue d'une mince veste d'été, elle devait probablement mourir de froid (mobile plus que parfait pour la serrer contre lui...), elle semblait complètement désorienter, et par dessus le marché..elle était sublime. Son petit cerveau de coureur de jupon fonctionnnait à toute allure. Elle se tourna vers lui et, tremblante, lui adressa faiblement la parole.

--Ouais..je crois que ca va..mais jai froid...

Son petit manteau ne fesait pas le poids contre la tempête hivernale. Puisqu'il n'avait pratiquement pas neigé de l'hiver et qu'elle travaillait àl'interieur, Nelly n'avait pas pris la peine de se vêtir chaudement. Tom, en bon gentlemen, pardon : en bon coureur, s'empressa de retirer son menteau pour en recouvrir la douce demoisellle.

--Venez avec moi, mon chauffage fonctionne encore et...et ben..pas le votre. En plus vous allez mourir d'ennui toute seule.

Le froid était si glacant que Marmotte ne refusa pas l'offre. Tom la souleva et la porta jusqu'au Jeep. Bien emmitouflée dans son menteau, sa nouvelle proie ne semblait pas mal à l'aise pour un once.

Tom s'installa sur la banquette arrière, s'enroulant lui aussi dans son survêtement. Il serra Nelly dans ses bras, prenant bien soin de presser le visage de la jeune femme contre ses pectoraux..assez parfaits merci.

--S'cusez pour la..la position peu..comment dirais-je..peu commode..mais fait froid et.. Z'avez un nom?

--Nelly. Je me nomme Nelly. Et pour la "position peu commode", moi j'chui pas trop mal à l'aise. T'as raison..fait froid.

--T'Es bien dans mes bras alors..Lyly.

--Et toi, t'as un nom?

Tom éclata de rire.

--Omg, rare sont ceux qui me posent cette question. D'hab' on me reconnait. Je suis Tom. Tom Kaulitz.

Marmotte ne connaissait que trop bien ce fantasme sur patte, guitariste de son (ben on va dire..) groupe préféré. Bien qu'elle eu envie de lui sauter au cou en hurlant "PAS VRAI?? OMG!! OMG!! TOMM!! OMFGGG!!!OMFG!!", elle se blotti un peu plus contre lui, soudaiment TRÈS à l'aise. Il sentait le swiss army, son parfum masculin (on va encore dire..) préféré. Marmotte se supris alors à bailler, même à somnoler!

--Fatiguée Lyly?

--Mmmoui..j'arrive du boulot...

Tom réfléchit un instant.

--T'es pas la super top modèle du casino par hasard? Ben oui, c'est toi ca, cheveux noirs à faire rêver, yeux à faire baver, visage de poupée mannequin, beauté suprême, c'est toi ca!!

Intimidée par le torrent de compliments, elle se contenta de rougir.

"Wouhh la...t'es toute seule au millieu d'un trou perdu, collée contre TOM KAULITZ, il te trouve divinement belle..fait quelque chose,,dit quelque chose Marmotte! Parle!!"

--Tu sais poupée, on va probablement passer le reste de nos jours ici..ya jamais l'ombre de l'ombre d'un chat ici...faudrait penser à passer le temps..

Reste de leurs jours? Impossible. Toute bonen chose à une fin. Mais, l'idée de tuer le temps n'est pas mauvaise...

PouttePoutte 02.12.09

Banni Messages : 12465 Points : 18469 Date d'inscription : 30/07/2007

What??? What???
pour ToOkio-HoOtelL alias Lou

Bill regarda la jeune fille qui passait la porte. Elle était mignone certes, mais rien d'extraordinaire selon lui. Il ne se gêna pas pour le faire remarquer.

--Euh..écoute jeune fille, c'est peut être pas très galant de ma part..mais t'es pas assez mignone pour être celle que j'Attends. On m'a dit qu'elel est une top modèle...

Loù explosa. Elle aggripa Bill par le chandail et le repprocha d'elle. Son visage à deux centimètres du sien, elle se retint de lui cracher au visage.

--Ben écoute moi M.tête enflée. JE suis Loù, et si tu voulais une top modèle, ben je suis désolé de te décevoir. MAis sache que les top modèles, elles sont aussi vides d'âme qu'un manche à balais. Pas moi. J'ai mis tout mon coeur dans ce maudit poème, jai mis tout ce que je ressentais pour toi. Tu crois qu'un corps vide et plastifié aurait pu écrire ca? Après avoir supposément eu le coup de foudre pour moi, c'est ainsi que tu m'acceuiles?? Et tu ose te proclamer romantique, en quête du grand amour? Tu devrais avoir honte sale prétentieux, tu devrais avoir honte à en pleurer!!

Elle le poussa contre le mur et sorti du loft en claquant la porte. Recroquevillé à côté du fauteil, Bill réalisa à quel point elle disait vrai. Il n'avait rêver qu'à la beauté qu'on lui avait décrite, il n'avait même pas envisager le fait qu'elle puisse être son âme soeur. Il avait fini..par penser comme Tom...Mortifié par ses 4 vérités, il éclata en slanglots.

Loù demeura un moment silencieuse, l'oreille collée contre la porte du loft. L'autre côté, Bill pleurait à s'en fendre les yeux. Elle aurait bien voulu le consoler, le serrer dans es bras, mais il l'avait brûlée au saint vif et la seule pensée de le prendre en pitié lui donnait la nausée. La jeune fille se laissa glisser sur le sol et éclat elle fondit elle aussi en larmes.

Trois jours auparavant, Loù avait débarquer à Berlin pour la finale du concours "Who's gonna Be Bill's next girlfriend??" . LA dernière épreuve consistait à lui écrire un poème de trois pages ayant pour thème ; Bill comparé à la ville de Berlin. Ému aux larmes par son texte, le directeur du show l'avait élu comme gagnante et l'avait introduit à Bill. Le pauvre bonhomme avait du la décrire excessivement, vu la mine déconfite de Bill. Au fond, ce n'était qu'une monney-game. Bill ne l'avait jamais aimée. Il n'était qu'un salaud, un voleur, un gratte sou qui ne rêvait qu'à s'enrichir. Prétentieux, arrogant, aveugle. Le portrait de son frère tiens!

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Les yeux rougis, Bill sorti du loft pour prendre l'air, décidé à retrouver cette douce jeune fille qu'il avait brisée. PAs question de la laisser errer dans Berlin, juste par qu'il avait été trop superficiel. Qu'elle ne fut pas sa surprise de trouver Loù, en pleurs, assise contre la porte. Il se laissa tomber sur ses genoux, à ses côtés et la serra dans ses bras.

-Je suis désolé Louloune, vraiment désolé. T'As raison, chui un mec pourri, chui aveugle. Pardonne moi Louloune, pardonne moi, jte demande pardon. Pardon.

Loù posa son front contre celui de Bill, plongeant ses yeux dans les siens.

-T'es pas pourri Bill, voyons. Pleurs plus d'accord. Je t'aime.

French kiss.

The end.

Au pieds!!

Lo marchait tranquillement dans le parc avec son chien, Buttersmart. Comme toutes les fois où elle s'y promenait, le parc était d'un vide quasi cimetièresque. Pas une miette de gens. Son baladeur a fond dans les oreilles, Lo marchait donc dans le parc...

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Bill marchait tranquillement dans le parc avec le chien de Tom, Scotty. D'hab, il ne s"en occupait pas, mais Tom avait contracté la H1N1 et était prisonnier de son lit. Au moins, Xianne et MArmotte risquait leurs vies pour lui tenir compagnie. Groupies...XD

Il fesait sombre, l'ambiance était cimetieresque, pas une miette de gens..

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Buttersmart se mit à aboyer. Lo tenta de le faire taire, mais le chien continuait de grogner en tirant sur la laisse. Le maitre tenait du mieux qu'il pouvait son bout de la corde, mais elle lui glissa des mains et Buttersmart parti en courant.

--Buttersmart! Au pieds!

Le chien ne l;'écouta même pas et sauta sur Bill qui venait de tourner le croche.

--HELP! TAKE THIS HORRIBLE THING AWAY FROM ME!! THIS IS...HELLPPPPPPP!!!

Lo accouru à la rescousse du pauvre type qui se débattait. Elle envoya son chien promener et aida Bill à se relever. Il ne semblait pas savoir parler francais, elle se tordit donc suffisament l'accent pour lui tiendre à peu prés ce language:

--Ca va?

Bill se releva tant bien que mal en gardant du mieux qu'il pouvait son équilibre. Le pauvre, il était secoué. On se fait pas lécher le visage par un chien en furie tout les soirs! Il pris appui sur la main qu'elle lui tendait.

Une main toute douce, toute chaude..tellement..hors de ce monde...

*Coup de foudre*

--Tu es?

--Apelle moi Lolo..réponit-elle en rougissant. Toi?

--Bill...tu..merci..le chien..tu..fais quoi demain? bredouilla-t-il.

--Je..probablement une autre promenade avec Buttersmart...T'as du.du make up éparpillé sur la joue la..minute je nettoie...

D'un revers de manche, elle essuya l'ombre à paupière coulée sur le visage du bel étrangé. Il posa sa main contre celle de sa nouvelle connaisance et enlaca ses doigts dans les siens. Électrisés, ils diminuèrent l'espace entre leurs visages jusqu'à cloncure mon histoire dans un baiser langoureusement timide...

The end..

PouttePoutte 03.12.09 et le 04.12.09

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Au snackbar chez Odré

pour clow

Cloe'chette examina son visage dans le miroir. Pas un cheveux ne dépassait, pas un bouton d'acné n'enlaidissait sa peau, pas un seul poil microscopique ne sortait de son nez. Vérification de dernière minute: ok, déodorant efficace. Elle respira profondément, évacuant le stress. Fallait être parfaite là ; premier rendez vous avec l'ex chanteur de Tokio hotel, ce type parfait qu'elle avait rencontré au snackbar chez Odré. Comme il le lui avait demandé, elle avait enfilé ses joggings et des espadrilles, nouer ses cheveux en une queue de cheval et n'avait mis aucun maquillage. Quel tour allait-il lui jouer?

Un 'kink kink!" résonna dans l'entrée. Elle le reconnu ; le fameux bruit de canard du klaxon de la bagnole de Bill. Clow'chette vérifia encore ses cheveux, même s'ils étaient parfaits. Sans se presser, elle enfila ses chussures de sport et sorti dehors.

"KIIINK KIIIIIIIIINK!! KIIINKKK!! KIIIIIIIIIINKKK!!"

--J'arrive!

Une casquette "Berlin vous salut, bande de nouilles!" enfoncée sur le crâne, en joggings lui aussi, Bill l'attendait en klaxonnant dans sa vielle volkwagens. Rouillée, accidentée et caprisieuse, cette feraille démontrait à quel point il en avait marre du luxe...et à quel point il aimait les cayards!

Clow'chette se laissa tomber sur le siège passager, soulevant un nuage de poussières.

--"tousse" Klaxonne pas comme ca! Ma coloc dort!

--Bah..au moins elle sait que je suis là, répondit-il simplement en se penchant pour l'embrasser furtivement.

Elle avait beau ne l'avoir vu que deux ou trois fois, la jeune (on va dire) journaliste-romancière se sentait terriblement à l'aise avec lui. Confiant peu importe ce qu'il fesait, Bill dégageait une espèce d'aura de bonheur et de confiance. Elle avait beau le regarder encore et encore, il lui était impossible de voir en cet homme l'ex chanteur du groupe international Tokio Hotel. Devenu peintre, photographe et designer de mode à temps perdu, Bill n'était plus le même. Avec deux ou trois kilos de plus, deux ou trois heure de sommeil de plus par nuits, moins de stress, il avait retrouvé l'éclat pétillant des yeux de son enfance.

*La liberté change les gens..songea -t-elle.*

Bill se stationna devant le snack bar chez Odré. Devant la mine surprise de sa douce, il se sentit obligé d'expliquer ce lieu "farfelu" pour un premier date.

--Il y a des gens qui aiment avancer..et d'autres qui aime revenir aux sources..on avait passé une si belle soirée..Et puis..ils font les meilleures sandwiches au homard du monde entier!

Clow'chette éclata de rire. c'était bien les plans de Bill ca!! XD

Le snackbar était vide, mais l'ambiance était d'une douceur à ramasser à la pelle. Au fond, la table 33 était ornée de chandelles. La table sous la fenêtre d'où ils avaient regardé les chutes toute la nuit.."la source du snackbar chez Odré"

--Ow..mais j'peux être chou si je veux..

Un gros câlin lui servit de réponse. Oui, il était chou, il était plus que chou ; il était chou-fleur!! Seul un véritable artiste aurait pu transformé un snack en resto 5 étoiles. Et lui..il était plus qu'artiste..il était..il était...romantiquement artiste...

--Je sais que leur tourtière est délicieuse, mais n'en abuse pas..garde une petite place pour le dessert.

--Le dessert? Depuis quand ya des desserts ici?

Dans un sourire coquin, Bill ne lui offrit qu'un vague

--Tu verras..c'est une surprise..

To be romanticly continued..

PouttePoutte 05.12.09

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Back to begin...

pour Cammy alias Camille (soeur de Clow)

Le dj dormait sur ses cds..des slows..toujours des chansons langoureuses et lentes..sans aucun beat. Mon dieux je vais m'endormir. Jamais vu une dance aussi plate! Mon seul tue-temps est de regarder le pauvre type qui french toutes les filles qui lui passent sous le nez. Tombeur...mais pathétique. Le mec de Keytlhin, la meneuse de claques ultra-tendance, fille à papa hautaine et parfaite.

Un mec vient s'asseoir avec moi. Probablement un autre déprimé qui me confond avec la psy de l'école. Après une douzaine de bierres on se ressemble elle et moi.

--Il me dégoute. Une honte vivante!

Ouep...j'ai deviné juste.

--Ouais je sais..la honte..répondis-je sans vraiment écouter.

--Sérieux, regarde le se faire toutes les filles du bahut. Non mais m*rde il va attraper l'herpès à frencher toutes les truies possibles..

Oh...ca commence à être moins ennuyeux.

--Je sais..dégoutant. Et dire que Keythlin accepte ca.

--Normal, elle se tappe tous les mecs..ajouta-t-il, d'un ton rageur comme s'il voulait cracher ses moys sur quelqu'un.

Les soirées "dance" du bahut ont toujours été mornes et...mornes. C'Est la première fois de ma vie que je prends plaisir à demeurer assise ses mes fesses et à rire des gens. Pas dans mes habitudes, mais drôlement divertissent.

--Tu le connais, ce Tom?
--Mon frère..yerk!
-Ton frère? HAHAAH!!! Sérieux? J'aurais jamais deviné!!
--Parce que je ne ressemble pas à Bill, parce que je suis plus beau, plus sexy, plus social et plus..beaucoup plus beau que lui. J'ai préciser que je suis beau?

Je me retourne. Tom est là, accoudé au dossier de ma chaise. Arrogant comme c'est pas permis, il fume en face des profs qui surveillent et écrase ses magots contre la table. Je regrette mon choix de vêtements...son regard matte un peu trop mon décolleté.

--Je savais pas que tu parlais aux filles Bill!
--Tais toi donc et arrête de m'empester avec tes cigarettes! Tu sais que je fume plus!

Ce type fait vraiment, non mais vraiment pitié...Mais au fond..il est presque cute..

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PouttePoutte 05.12.09

BAck to begin...(suite)

*Il est presque charmant avec ses manières de badboy. Il a un petit quelque chose de craquant, un je-ne-sais-quoi. Il est...différent des mecs que j'ai l'habitude de cotoyer..*

Je me surprends à chercher des raisons de le trouver mignon. Assis sur son divin derrière, il fume comme une cheminée et m'A l'air..songeur..

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*Elle est presque charmante avec ses manières de bonne fille. Elle a un petit quelque chose de craquant, à savoir quoi. Elle est un peu...différente des filles que j'ai l'habitude de chasser..*

Je me surprends à chercher des raisons de la trouver attirante. Assise sur sa jambe repliée (tout une jambe de déesse merci!) elle sirote angéliquement son thé glacée. Mais..depuis quand ais-je besoin de 'une raisons pour vouloir une fille?

Cette fois, c'est différent..terriblement différent. Cette Camille n'a manifestement pas envie de ce que j'ai l'habitude d'offrir..ou de prendre. Mais, non je déraille! Aucune fille ne sort du lot; un regard et ca fond! Pas de 2e choix..

Non, elle ne fondra pas..c'est écrit dans la lumière réflétant dans la prunelle de ses yeux. Mystérieuse, comme si je devais apprendre à la connaitre pour en tirer son plein potentiel. Belle à un point où je me sens obliger de la mériter..

Mais..comment mérite-on une fille? Oo

To be continued...

PouttePoutte 08.12.09

Back to begin (minific pour Mimille..3e partie)

Tom est officiellement dans la lune et Bill bouille comme de l'Eau à 300 degré celsius. Fraternité? Yah rigth! Oo

Je me lève et prend mon menteau dans le vestiaire. Encore uen soirée dansante affreusement ennuyeuse..De l'ennui en quantité industrielle. On ne m'y prendra plus!

La lune est pleine et le vent est froid ; sinistre tableau complété par la musique assourdie. Mon mince survêtement d'été me semble alors être un très mauvais choix vestimentaire..je grelotte!

--Rentre voyons! Il fait moins mille ici, tu ve geler debout M'mille!

C'est pas possible..haaan il m'A suivie!

--Rooh Tom je déteste ce genre de soirée! Vays-y toi si ca t'amuse.

--C'est bien moins plaisant quand t'es pas la..

Doux comme je ne l'imaginais pas, il dépose la nappe de table qui lui sers de veste sur mes épaules. Elle sent la cigarette et mon parfum pour homme préféré. Il glisse ses doigts entre les miens et me traine dans le parking.

--Viens alors, je vais te ramener...

Ohh non! Si tu penses que je vais goûter ta banquette arrière toi, tu blasphèmes! T_T

To be continued...

PouttePoutte 09.12.09

**************

Back to begin

Tom sors un trousseau de clés de sa poche et appuie sur le démarreur à distance.

--Tu viens? me demande-t-il en me tendant la main.

--J'habite à l'autre bout de la ville, gaspille pas ton essence.

Il me lance un regard étonné comme pour dire : t'es débile ou quoi? Fils de riche, gaspiller ne fait pas parti de son vocabulaire.

--Voyons dont, gaspiller mon essence. Arrête de trouver des excuses, je vais finir par penser que t'as peur de moi!

*Moi? Peur de lui? Il est complétement timbré ce type! *

--Ok, si tu insistes j'arrive.

Sa voiture est magnifique, genre le luxe du luxe. Seul moyen de la différencier de celle dun fonctionnaire du gouvernement ; elle est remplie de comdons qui trainent partout, elle pue la cigarette et une mini-femme toute nue sert de décoration sur le rétroviseur. Mais..c'Est assez propre je dirais..Oo

Le trajet fut long, voir pénible. Emmitouflée dans sa veste, je n'ai pratiquement pas dit un mot, et lui non plus. Seule la douce mélodie piano-violon qui émanait du radio nous épargnait le supplice du silence. Hey minute..piano? Oo c'est vraiment pas le type rock"n"roll que j'imaginait..

Il est beau Tom, au volant de sa Audi. Son bras musclé tendu vers la roue, ses doigts enlacés autour du caoutchouc, tout sur lui semble destiné à câliner. Il est sérieux, sans être grave, silencieux sans être accablant. doux..presque apaisant. Une présence calme et rassurante. Son bras libre se dépose sur l'accoudoir où le mien est déja posé.

--Oh pardon..

--Non sa va..

Mais..pourquoi ais-je dis ca? Si, tu m'emmerde, pousse toi ta peau me gave!

Sa main rencontre la mienne et la serre avec tendresse. Il est doux tiens..ca me gave plus tant que ca..

Ma maison est là, au bout de la rue. Plus on avance, moins j'ai envie de rentrer. Mais bon, Tom se garre et descend. Galant, il m'ouvre la portière.

--Merci, lui dis je.

--Awww..ben..j'voulais pas qu'tu la claques trop fort..le prix pour les faires réparer les portes..

Il détourne les yeux et rougis. Ben sur qu'il s'en fait pour sa porte! Polie, je me sens stupide de le laisser partir sans lui offrir quelque chose en remerciment.

--Tu veux entrer, prendre un café?

Je m'attendais à ce qu'il me réponde un truc bidon style: non mais jte prendrais bien toi, mais il décline mon offre et embarque dans son auto. Je réalise que je porte encore sa veste. Je cogne sur la vitre.

--Hey minute, ta veste, la veux-t..

Pas le temps de finir ma phrase ; sa bouche bloque la mienne. Ses lèvres sont douces et tièdes, un peu sèches, mais c'est pas si mal.

Il me laisse là, toute seule, et repars sans demandé son reste, ou sa veste d'ailleurs.

Mais..quelque chose cloche..

Ce baiser..c'était pas un jeu ou une victoire..il était doux, romantique, un baiser romantique d'amoureux fou.

Je m'enroule un peu plus dans sa veste et je rentre à la maison. Curieuse, je fouille les poches. J'éclate en sanglot en y trouvant une photo de moi, accompagnée d'une longue lettre d'amour tracée avec douceur...signée Tom K.

The end.

PouttePoutte 17.12.09

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Montagne russe et roulette russe
pour roxyie

Je me sens comme la balle dans une roulette russe. Tête en haut, tête en bas. Je vais vomir. Tête en bas, tête en haut, non tiens je vais mourir. Trop vite, cette machine démoniaque va trop vite...Au lieu de fermer les yeux comme je devrais, je regarde droit devant. Voir la mort en face...comme tiendre une roulette russe...Je vais mourir!!!

---WAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!!!!!!!!!!!!

Hurler comme une folle m'apaise. Ca évacu la peur..Mais la j'ai beau hurler la mort, cette torture ne finit pas son infernale promenade..Mais pourquoi ais-je monté?

--WAAAAAAHHHH!!!! AWWWWWW!!!! WAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!

Alors que j'allais mourir, une main chaude se glisse dans la mienne. Tout en caressant le dos de ma main d'un pouce, ces doigts sauveurs me serrent les doigts tendrement. Bonté divine, quelqu'un est avec moi! Je ferme mes yeux, terriblement plus à l'aise. Peutêtre bien que je ne mourrai pas finalement...

L'immobilité soudaine du manège me tue. Mince! Je vais devoir regarder en face le porteur de cette main! LA honte!! Pire encore..je vais peut être devoir le remercier! Railleries en vue! Finalement, jai tombé sur la balle, fin de la partie de roulette russe!

Le préposé au montagne russe me détache. La grosse pièce de plastique noir prend le haut, ett quand j'apercois le type qui me serrait la main, moi je prends le bas!

Tom Kaulitz dans toute sa splendeur ; souriant, sexy, relax, tombeur et..sexy..J'ai dis qu'il était sexy?

m*rde! Son regard croisa le mien! Rouge de honte, je me retourne pour éviter la honte du siècle.

--Pas trop eu peur beauté?

--Mmmm..g'non...ch'va..

--Tu peux lâcher ma main maintenant beauté..je crois que la promende est finie..

QUOI?? Aww ben kin! J'étais pas assez humiliée, fallait que j'oublie de lâcher sa main..Full Folle tiens voilà! Voilà ce que je suis! Je détache vivement mes doigts de la douceur concretisée qui lui sert de main et me lève. Je bouette presque jusqu'à la poubelle la plus proche et m'y accroche fermement. Tom me fait trop d'effet ou cetet machine est vraiment diabolique. Aucune importance, le fait est que je me vomis le dedans du corps.

--Malade ma beauté?

En m'essuyant la bouche, je me retourne pour savoir d'où vient la voix. Il est là, toujours aussi sexy, me tendant de l'eau.

--Tiens, bois. Ca te fera du bien. ajouta-t-il en riant en bon vivant. Évite les montagnes russes à présent ma belle. Tu sais, ce truc c'est pire que les roulettes russes. La première fois, pas de trou vide, t'as peur à tout coup. Mais après tu verras..ca ira mieux.

Je vide la bouteille d'une traite et respire un bon coup.

--J'vais rentrer à la maison..j'vais vraiment être malade!

--Moi aussi je crois que je vais être malade..

Surprise, je le dévisage. Tom? Malade? Il déraille le pauvre, il est en pleine forme. Je suis blanche comme un fantôme alors qu'il est bien bronzé. Debout, alors que je suis pliée en deux. Rieur, alors que je me vomis l'Estomac!

--Toi? Malade? Tu pètes le feu!

--Arrête, tu vois bien que je faiblis!

Hein? Ok..c'est moi qui vois flou?

Il entoure mes hanches de ses bras et approche sa bouche fantasmonienne de mon oreille.

--Malade d'amour..t'as déja entendu?

Je sais pas où j'ai trouvé la force de dire ca, mais je l'ai dit!

--Tu peux m'expliquer ca dans un autre ronde de montagne russe??

Dernier tour de roulette russe. Un trou vide svp!

PouttePoutte 07.12.09

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pour tout le monde !!

Bill se laissa tomber dans le bain chaud. Il avait les nerfs à vif, le pouls à fond, les muscles endoloris. Il ne s'était jamais senté aussi nerveux. Jamais.

Hier soir, avant d'aller dormir, il était aller chercher son lecteur mp3 dans la chambre de Tom. Quand il était arrivé, Tom était étendu, la gorge nouée avec une taie d'oreiller, et ne respirait plus. Les docteurs avaient beau lui dire qu'il s"en sortirait, que la copine en furie serait incarcérée, Bill ne se sentait pas bien. Vraiment pas bien.

De l'eau jusqu'au nez, Bill tenta de relaxer. Il s'étendit du mieux qu'il pouvait dans sa baignoire et respira profondément l'odeur sucrée du bain moussant.

--Tu vas bien chéri?

Tout en glissant ses mains le long du torse de Bill, (Votre nom) blotti son visage contre celui de son petit copain. Joue contre joue, ils se soufflèrent quelques mots doux, le temps d'oublier Tom qui dormait à l'hopital...

PouttePoutte 07.12.09

Banni Messages : 12465 Points : 18469 Date d'inscription : 30/07/2007

Racine carrée de quatre = Ily

Pour Sabrinel (binel)

--J'en ai plus qu'assez! J'en ai MARRE des mecs!

Je hurle comme un singe et lance tout ce qui me tombe sous la main. Je déteste, non mais déteste être empêtrée dans ce genre de quintuple amoureux! Ma meilleure amie me téléphone. Sans grand enthousiasme, je réponds.

--'Lo..

--Aww! Binel! Comment ca va avec ton Gustav?

--M'en parle pas d'accord..

--Allez, toi raconte!

Ca me gave, mais ma best a le droit de tout savoir de cette histoire abracadabrante!

--Bon d'accord...tout a commencé au Decafpeople la semaine dernière..

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Le Decafpeople est bondé. Des petits, des gros, des vieux, des jeunes, la ville entière semble entassée dans le café #1 du coin. Dehors, il fait -1 000 000 *C, alors je me fraye un chemin vers le comptoir (pas question de rester dehors! T_T). À ma droite, deux pétards en perdition qui discute ménage en allemand et à ma gauche, une armoire à glace et une boule de beauté compactée. Well..la belle journée pour boire un café..O_^

Je commande un super latté double vanille avec crème de menthe sans sucre et paille pliante. Le type à la caisse me sers un de ces sourires qu'on voudrait lancer dans un champ de barbelé.

--Awww Binel! (Il regarde la catastrophe qui me sert de coiffure et grimace) Houuu..t'as fait quoi à ta tête? Oo

Je prends mon latté et le sirote en grognant. Qu'il aille chez le diable Steeve, avec ses questions à trois euros! Le pétard numéro un à ma droite enlève sa casquette et déploie sa crinière de dieu. Il se troune vers moi et me regarde l'air conpréhensif.

--J'te comprends choucroute! Les teintures ratées, je connais! Imagine, ca devait être rose vif!!

--Rosbif? Demandais-je, abasourdie. (J'ai sûrement mal compris!)

--Non! *Rires* Rose vif! Mais, t'as raison, ca donne rosbif! *Autre éclat de rire divin*

Le pauvre mec a raison. Ses cheveux sont couleur steak de boeuf mal cuit. Genre, le truc que mon père a cuisiné avant hier!

--Merci, dis je honnêtement. J'me sentais vraiment stupide là, mais tu me remontes le moral! Moi, c'est Sabrinel, t'as un nom ou tu t'apelles Rosbif?

--Tu peux m'Apeller Rosbif si tu veux, mais, je m'apelle Bill. Enchanté.

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--Et là, il me fait un baisemain! Oo

--Bill Kaulitz t'As fait un baisemain!?!

--Oww..mais je t'ai pas raconté la suite! Ca devient de plus en plus pas possible à croire!

--Allez, dit! Dit!

PouttePoutte 09.12.09

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Racine de 4 = Ily

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Les aiguilles de l'horloge s'amusent à tourner en rond et moi la tête me tourne. Il est beau, charmant, drôle, un brin philosophe et il pue l'Artiste né. En fait il pue pas vraiment..en fait il sent le parfum à 1000 euros le millilitre, ce n'est qu'une expression..

Au bout de..je dirais trois phrases, l'autre pétard ce décide à me parler. Encore plus charmant que le premier pétard, il m'offre un super latté double vanille avec crème de menthe sans sucre et paille pliante. Je le dévisage, étonnée.

--Tu t'es souvenu de ce que je bois? Oo

--Bah oui! J'prends toujours la même chose!

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--Tom bois toujours la même chose que toi? Oo

--Je te jure!

--Allez continu!

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Alors Tom Kaulitz m'offre un latté comme je les aime. Envoyant promener son frère, il s'asseoit à côté de moi et complimente mon bronzage.

--T'Es super bien bronzée tu sais Ninel..tu vas sous les lampes?

--Humm moui..une fois par mois je dirais..

En fait je n'y vais jamais..mais je discuterais caca de pou si ca me permettait de discuter avec LUI.

Nous jasions donc UV quand jai poussé l'audace jusqu'à lui demander comment il entretenait ses muscles.

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--PAs vrai?
--J'e jure, jlui ai demandé! Oo

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Tom se contenta de me rire en pleine face. C'est l'armoire à glace, prénommée Georg, qui me répondit.

--Owww moi j'aime bien l'escalade. Tu aimes?

--Oui J'adore (me casser la figure! Oo) C'Est tellement..vertigineux comme feeling les hauteurs! (Jai le vertige et je vomis )

Je délaisse donc M.UV-latté double pour discuter mur artificiel avec mon paquet de muscle.

Et là. comble de chance, il fallait que la boule de beauté compressée, baptisée Gustav, ait aussi eu uen crise d'appendice. Je change donc d'interlocuteur pour parler de mes *pas nombreuses* fractures.

Un après midi pour nimporte qu'elle fan..discuter en ami-amie avec les mecs de Th..mais mieux encore!!

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--Quoi? Quoi? Dit moi dit moi! Oo

La suite un peu plus tard...^^

PouttePoutte 12.12.09

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Racine de 4= i love you

Je quitte le décafpeople vers 16 heures, après un milliards de latté et 200 mille changement de discussion. Vers 17 heures, Gustav me rapelle pour m'inviter au cinéma. Il adorerait discuter encore un peu avec moi. et là, il me balance une phrase bombe et je fonds.

--Tu sais, ya qu'avec toi que je me sente à l'aise de discuter.

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--Pas sérieuse?

-Oui!!

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Je me prépare pour aller voir Gus quand le téléphone sonne. Bill.

-Salut Binel..je sais que c'est un ptit peu tot pour te balancer ca mais..je..tu..euh..c'est un ti peu compliqué..Tu crois au coup de foudre? [sérénade a ne plus finir] Je..je t'aime Binel..

Et d'autres truc romantiquo-dramatiques du genre..ok..je fais quoi maintenant? Je lui brise le coeur? Oo Meilleure idée svp..ca serais pas de refus!

Je lui dis donc que je suis malade et racroche. Avec tous les lattés que jai bu, c'est potable comme excuse.

Téléphone sonne encore. Tom cette fois ci.

--Bonjour mon ange..hum..tu sais..t'es la première pour qui je..je ressens réellement quelque chose..

AWWWW!!! m*rde!!!!

--[Autre mensonge débile que jai oublié]

Je racroche..bon tient manque plus que Georg! Téléphone sonne.

--Allo.

--Aww salut ma ninel! C'Est Moi Georg.

LA POISSE! JE SUIS DAMNÉE!!

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--Les 4? Les 4 rien que pour toi? Tu déconne Sab! Oo

--Non jte jure! Je t'ai pas dit le pire encore! Depuis une semaine, je suis déchirée entre les 4 plus beaux hommes du monde. Le midi avec un, l'aprèm avec l'autre, le soir avec le 3e et ensuite je dors chez le dernier. L'enfer!

--Et tu vas faire quoi?

--Demandé 3 clones au labo du coin..

--Non sérieux?

--Je sais vraiment pas..

--Yen a qui ont tout dans la vie..

--Owww tu sais..tout c'est comme..trop!

The end! ^^

PouttePoutte 13.12.09

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Orage trouble fête ne trouble point mes sentiments...Beauté.

pour Roxyie

Il faisait doux et chaud. L'Air était sec, brûlant, et le vent frais qui courait sur la Seine (dsl si ya faute) rafrachissait les navigateurs. Dans son bateau mouche, Xianne se baladait alègrement, aussi légère que son embarcation. Habituellement, elle promenait les touristes, mais ce matin d'été lui semblait trop parfait pour être partagé avec des inconnus rouspèteurs. Le soleil se pavanait dans le ciel, aussi jaune que les repousses de SA chevelure noire..LUI..ENCORE LUI..que fesait-il encore dans ses pensées? Oo

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Au bord du fleuve, Tom sirotait tranquillement son whisky en discutant job avec son ptit frère. L'été s'annoncait bien pour eux, leur nouvelle entreprise de tatouages fesant fureur. Hey ho..qui ne veux pas se faire scarifié la peau par les twinz de Th? Pour célébrer les profits, les jumeaux s'était procuré une maison de vacance sur le bord de la Seine..en France..chez ELLE. Confortablement allongé dans sa chaise pliante, son verre de whisky en parfaite équillibre sur son torse, Tom se fesait bronzé en songeant à sa beauté..sa beauté qu'il n'avait pas revue depuis son escapade à Lyon. Malgré toutes ses tentatives pour l'oublier, Tom n'avait jamais pu arracher ce magnifique visage de son esprit pervers.

--Hey Tom! R'garde..t'crois qu'c'est normal ce nuage?

Noir et imposant, un énorme nuage tourbillonant comme une toupie avancait effectivement dans le ciel céruléen, cachant peu à peu le soleil d'été.

--Hum..fit Tom. Moi s'am dit rien de bon. Viens, on rentre.Au diable mon bronzage.

Sur ces mots, des vents violents se mirent à souffler, emportants les casquettes et les parasols. Sur le fleuve, les petits bateau mouches semblaient prisonniers. La pluie s'abbatit subitement sur la Seine, drue et froide. La force du vent redoubla alors que le soleil disparaissait presque totalement derrière l'immense masse nuageuse. Au milleu du cours d'Eau, une embarcation chavira.

Le cri de mort poussé par une Xianne qui manquait de se noyer résonna jusqu'au creux des entrailles du guitariste. Il reconnaissait cette voix, ce cri. Il avait déja entendu cette voix murmurer, crier, rager, pleurer..Xianne..Sa beauté!!

Tom se précipita au bord de l'eau, juste à temps pour la voir tomber dans les vagues. Ballotée par le courant, elle n'avait aucune chance ; elle ne savait pas nager.

Sans réfléchir, Tom se jeta à l'eau. Si elle devait y passer, il y resterait aussi.

PouttePoutte 14.12.09

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Orage trouble fête

l'eau froide lui déchirait les entrailles. Il manquait d'air, ses poumons brûlaient dans sa poitrine, mais c'était hors de question de la laisser tomber. Son coeur battait à tout rompre ; et S'il était déja torp tard pour Roxyie? Il devait absolument la sauver, non..pas elle..elle ne devait pas mourir. Il se souvint de sa voix si douce, sa peau si chaude, son regard...non..tout sauf la perdre.

Entre les vagues, il entrevit quelque chose qui bougeait puisant dans es dernières forces, ton donna un dernier coup de bras et sorti la tête hors de l'Eau. À moins de deux mètres de lui, Xianne se débattait comme une folle, toussant à s'en cracher les poumons ; un peu plus et elle se noyait.

--Beauté!!

Xianne se retourna et le vit nager vers elle. Sans même songer à réfléchir, elle se laissa flotter jusqu'à lui et s'accrocha à son cou en toussant, à bout de souffle. En respirant le bonheur de la retrouver, Tom batta des pieds pour les maintenir hors de l'eau.

--Shut..calme toi..shut..je suis là..shut..

des éclairs fondaient le ciel déja tourmenté par le tonnerre. Le vent agitait la Seine au point de transformé le fleuve en un enfer liquide.

Tom balanca légèrement des pieds pour essayer de les ramener à la berge. En se laissant à moitié flotter, il essayait de calmer la pauvre Xianne qui paniquait et pleurait comme une madelaine. Le visage enfoui dans son cou, accroché à ses épaules, elle ne respirait que par saccade et tremblait comme une feuille. Normal, vu la température de l'eau. Tom n'avait plus rien à perdre, ce débattre étant inutile ; le courant le maintenait sur place et l'orage semblait tenace. Il cessa de battre des bras et enlaca plutot Xianne pour la réconforter. Glissant une main dans son dos et l'autre derrière sa tête, il lui parsema une dizaine de bisoux un peu partout sur le visage et dans le cou, le temps de la calmer.

Par miracle, elle se calma. Ses larmes se tarrirent et elle semblait même..songeuse.

--Pk Tom..Pk t'as risqué ta vie...

Tom ne répondit rien. Il se contenta d'approcher son visage du sien.

--Tu m'As dit de t'oublier, mais j'ai jamais pu..fit -il contre sa bouche. Jamais. Il s'est pas passé une journée sans que je pense à toi. J'aurais tout donner pour que tu reviennes. Il se tu un instant et fixa l'eau qui les martyrisait. S'il fat que j'me nois pour te ravoir dans mes bras..alors soi.

Touchée, Xianne glissa une main congelée dans la chevelure de Tom. Les doux cheveux blonds se faufilèrent entre ses doigts, ces cheveux blonds si doux qu'il n'avait plus jamais teints ou tressés pour elle. Sa beauté qui aimait tant jouer avec..

--Ca fesait un bout que t'avais pas fait ca, lui souffla Tom qui, les yeux fermés, profitait au maximum du toucher de sa Xianne.

--Ca me manquait..répondit elle en riant.

Un rayon de soleil éclaira soudainement le fleuve. Trop occupés à se refaire la cours, les baigneurs n'avaient même pas remarqué que le calme était revenu.

--Ca te dirais un bain chaud pour te réchauffé ma beauté?

--"te"? "nous" tu veux dire..

PouttePoutte 17.12.09

Banni Messages : 12465 Points : 18469 Date d'inscription : 30/07/2007

Mayday (part one) Fic pour Titi Kaulitz

Par le hublot froid et embué, Bill regardait Berlin rétrécir et petit à petit, disparaitre dans le lointain. Encore une fois, il quittait son pays, se déracinait pour aller chanter ses rangaines à des filles stupides qui ne comprendraient encore rien de sa réelle souffrance. Encore une fois, il quittait la tranquillité de son foyer pour aller se faire bombardé de questions et de flashs, de rumeurs. Encore une fois, il quittait sa vie pour jouer les pantins là où il ne voulait pas être. S'il l'aurait pu, Bill se serait jeter en bas de cet avion mais Tom lui en aurait voulu toute sa vie et l'aurais boudé une fois dans l'Autre Monde.

Bill se mit à rire tout seul. Tom le boudder dans l'Autre Monde! La belle idiotie. Et dire qu'on disait de lui qu'il était un poète inspiré. Ouhhh...

--S'cusez.

Une petite vois gênée le sorti de sa torpeur. Il se retourna pour voir une jeune fille, à moitié cachée sous son menteau, entortillée par la timiditée, debout à côté de son siège.

--Ca dérange si je m'asseois là? Zavez l'Air songeur, veux pas vous déranger, mais ya plus place alors..

--Awww ben non, ranchonna Bill. Dérange moi voyons, ne te gêne pas. De toute façon, qui va s'en plaindre?

Il détacha son regard mauvais et fatigué de Titi qui pris sagement place à ses côtés. En tentant tant bien que mal de ne faire aucun bruit, elle sorti son lecteur MP3 et se brancha, sans mettre le volume trop fort. Pas question d'énerver ce types! Il allait la balancer dehors! Pour tuer le temps, elle sorti son petit cahier et griffonna un petit dessin. Devant les yeux de Bill qui, par curiosité la fixait du regard, un petit Bill caricaturé pris vie.

--Tu dessines? demanda-t-il à sa jeune voisine, question de détendre l'Atmosphère. (Hey..fallait qu'il se fasse pardonné son "galant" accueil! )

--Heu..ben..pas beaucoup..un peu..ca arrive.

--C'Est joli.

--Merci..dit -elle sourdement, rouge comme 15 tomates.

Bill s'ordonna de fermer sa grande trappe et se remit à sa contemplation sinistre du monde extérieur (behind is wall!) Sans savoir pourquoi, Bill détestait se sentir intimidant, et voir cette fille rougir pour une remarque aussi anodine le fit sortir de ses gongs. Ok, d'accord, il ne lui adresserait plus la parole. (Boudeux va )

Un poids se fit sentir sur son épaule. Une respiration chatouilla son cou trop exposé au vent ( le vent qu'il y avait dehors hein, on s'entend qu'il vente pas dans l'avion ). Chaude, une tête s'accota contre le peu de lui qu'il ne barricadait pas sous son regard meutrier. Bill tourna les yeux sans tourné la tête.

Titi s'était endormie.

La tempe contre l'épaule de Bill, le visage à demi enfoui dans ses cheveux noirs, elle dormait, abondonnée, comme s'ils se connaissaient depuis toujours. N'importe qui l'aurait réveillée pour lui dire de se tasser, mais elle était si candidement mignone que Bill n'en eu pas la force..au contraire..il se surprit à aimer son contact apaisant.

Pour une fois depuis trop longtemps, il se sentait..complet. Il avait quelqu'un à calîner pour dormir, il avait une présence à aimer. Il avait un parfum à respirer, une chaleur pour le réchauffer. Il n'était plus seul..pour un petit moment.

I am by your side
Just 4 a little while

We'll make it if we try..

Bill entendit sa musique dans le ipod de Titi...mais ce n'était plus sa voix, mais celle de sa belle au bois dormant...

To be continued

PouttePoutte 22.12.09

Banni Messages : 12465 Points : 18469 Date d'inscription : 30/07/2007

Pour toi ma Wolvetherine préférée!
pour Georgolicious

Bercy, Berceau de l'amour

Brick cru mourir. Après ce spectacle merveilleux, magique, transpoteur, après 2 heures à regarder Georg jouer de la basse comme un dieu, après l'avoir vu se jeter dans la foule, elle avait enfin la chance de le toucher du bout des doigts. Elle avait..m*rde elle avait les mains directement sur ses fesses. Rooohh la classe! Sans se gêner (qui allait la punir de tout facon? oO), elle tripotta généreusement le cul divinement ferme de son fantasme numéro un et inséra dans la poche de son pantalon son "arme fatale"...

Pov Georg

Je reste debout et je tourne en rond, même si je suis plus qu'épuisé après un tel spectacle. Le fauteil semble invitant, mais jai peur d'effacer la sensation de ses mains si je pose mon cul sur le coussin...Je les sens encore ses doigts..ses doigts de fée..des doigts..magiques. J'en veux encore..et ca se voit m*rde! Couché MiniGoerg! Jai dit, DODO! Inutile de me battre avec..de un c'est moi #2, donc rien dans la tête. De deux, on veut la même chose alors pourquoi le faire taire..?

Quelques fans entrent dans la loge. Le rituel habituel ; Bill qui cherche "la connexion", Tom qui beccote toutes celles que Bill fini toujours par rejeter (non mais c'est quoi le trip de chercher une fille à l'aveuglette dans une foule?) Gus qui morronne dans son coin..Mais ce soir, moi je rigole pas. Je LA VEUX.

Et juste elle, elle et ses doigts...

Sans demander mon reste, je laisse les fans au "bons" soins de Tom et je pars dans le bus, me couche dans mon lit, sur le ventre, et ferme les yeux. Huummm..comment elle fesait encore? C'était un peu comme ca..*essaie de se faire le même traitement que celui de Brick..* Et m*rde! En roulant dans le lit, jai fini par me jeter en bas.

--?%$?$%?&$$%?$

Bon ok..je vous évite les détails. Humiliation...

Mince, j'me suis cogné le derrière contre le coin du lit. Ouch! En me frottant la fesse pour taire le pincement, je ressens une légère bosse...non! Pas celle d'en avant, ya quelque chose dans ma poche arrière. Un papier..curieux,me souvient pas de l'avoir mis là..Je le déplie.

Je veux incruster mon coeur de la douceur de ta peau

Je veux sclupter dans mon âme, l'empreinte de tes doigts si chauds

Je veux tatouer mes yeux du reflet de ton visage

Vivre ainsi jusqu'à ma mort, l'euphorie de ce mirage...

Tu est la tempête qui m'aura fait faire naufrage...

Tu es mon ange, mon soleil, me porteras tu sur ton dos?

Call moi..9275420351 (# à la guess)

Katherine B. (B pour boulet! XD)

Pas de questions, pas de chichis, j'empoigne le téléphone et compose le numéro. Mais euh..je vais dire quoi? Salut, viens me masser les fesses? Non, se serait rire d'elle. De toute facon, c'est même pas ce que je veux..ces mots..je veux l'entendre les dire...

La sonnerie résonne dans l'appareil. Une voix..

--Salut! Cimetière à l'appareil, comment voulez vous êtres enterré?

--Euh..pardon..je crois que jai composé le mauvais numéro..chui pas encore mort voyez vous..

--HAHAHA!! C'est une blague, c'est moi, Katherine. Z'êtes?

--Awww heu..Gorge.

--T'as pas l'air certain de ton propre nom...oO

--Humm ben c'est qu'à l'américaine il se pronnonce pas de la même façon alors..

--...

--sa va? (m*rde, jai dit quoi?)

--comment il se prononce ton nom alors?

--Ben Georg.

--...*on entend que sa respiration* OMFG!! J'étais certaine que tu rapellerais pas..

--Avec des mots comme les tiens? Désolé mais je fond...on se voit au ciné à 23 h?

--Euh...ok..*quasi morte*

--Te love! Bisoux!

Je raccroche. Ouff..jai l'impression d'avoir couru un marathon. 23h..c'est dans 15 minutes! m*rde!!

POV brick

--Te love!

Il raccroche.

Il m'a dit "te love"...je suis hystérique, je cours, je cri, je câline tout le monde..m*rde! JE VAIS VOIR GEORG! JUSTE À MOI À 23 H.. 23 h..minute..c'est dans un quart d'heure! oO AWWWWW!!!

To be continued..

PouttePoutte 30.12.09

Banni Messages : 12465 Points : 18469 Date d'inscription : 30/07/2007

Pour Manelle ...

Trois, deux, un.....hey, tu pars déja?

Je déteste la course à pieds. Plus haïr courir que moi, faut vraiment être emputé des jambes. Juste à la vue de chaussures de sports, mes chevilles enflent et j'ai des crampes. En plus, je hais être moite de sueur et j'abhore les cheveux ébouriffés. Mais ce jour là, j'ai fais un sprint, un merveilleux sprint, un majestueux sprint. Et j'ai même pas eu honte de me pété la gueule en marchant sur mon lacet. Il m'a rattrapée à temps...

Il a quoi, 5 ans de plus que moi. Il est grand, mince, avec des muscles fins et bien dessinés. C'est le coureur élite de notre école. C'est le chanteur du plus connu groupe de l'humanité. C'est Bill. Bill Kaulitz. B.Kue pour les intimes. (donc, toutes les filles du lycées prient le soir pour que Bill leur disent ; apelle moi B.Kue.)

S'il est de 5 ans mon ainé et qu'il est dans ma classe, c'est parce que justement il est chanteur et donc il a redoublé au moins 3 fois sa terminale. Un rien-dans-le-crâne selon les profs, mais pour n'importe qui qui peut discuter avec, c'est un poète qui n'a vraiment pas besoin des profs pour épeller anticonstitutionellement.

Mais bon, ces détails là, c'est rien. Ca vaut rien. Parce que le jour où ma maison a pris feu, il était pas chanteur, il était pas coureur, il était même pas un homme. S'était un héro.

flash Back

Juillet. Il fait beau, mais je reste à l'interieur ; Bill fait son jogging matinal, donc toutes les nanas du quartier ont le nez plaqué à la fenêtre de leur chambre. Pas question d'être dehors, il fait si chaud quand il passe près de nous qu'on risque de mourir brûlées vives.

Le Facteur, roi du blabla, l'arrête un moment pour savoir si sa mère a eu des enfants, si le ciel est encore en dessus de nos têtes, si la terre est ronde, l'oeuf ou la poule...etc...Soudain, j'ai vraiment chaud, et pas parce que Bill se gratte le cou non, parce que ya pas mal de fumée dans la maison ; l'alarme à feu se mets à sonner.

Je vois mes parents dehors, en train de demander qu'on apelle les pompiers. Je suis prisonnière de ma chambre, la poignée est si chaude que je me brûle les paumes et les flammes se mettent vite à lécher ma porte. J'ouvre ma fenêtre et cri au secours. Ma mère panique, mon père hurle...Bill? Mon dieu que fait-il. Il est entré dans la maison m*rde! oO

Il défonce ma porte, me prend dans ses bras, me ramène dehors. Je reste cromponnée à lui, autant par peur du feu que par peur qu'on me l'enlève. Il est doux..très doux... Il me dépose par terre et s'en va. Non, j'veux pas. Ma mère me serre dans ses bras, mais moi ca me rassure pas. Je cri son nom et m'élance derrière lui. Je marche sur le lacet de mes chaussures-pantoufles, et je me serrais pété la gueule s'il ne m'avait pas ratrapée.

--MErci..merci beaucoup...

--bah derien Manelle. Ca aurait été du gaspillage de te laisser là, une si jolie fille. On se fait une bouffe quand tu iras mieux?

fin flash back

Bill, c'est un chanteur. Bill, c'est un coureur d'élite. Bill, c'est maintenant aussi un pompier volontaire. Et par dessus tout, Bill c'est mon copain. Le plus merveilleux des copains.

PouttePoutte 02.01.10

Banni Messages : 12465 Points : 18469 Date d'inscription : 30/07/2007

Et je te dessine un mouton....

pour Cammy alias Camille

Pov Tom

On peut comparer ma vie à un livre que j'ai lu et relu des milliers de fois : le petit prince. Ja'dore cette histoire. Touchante, extravagante, elle fait pleurer et réfléchir ; deux verbes que je ne sais pas plus conjuguer que pratiquer. Lire ce roman me transporte là où je ne vais jamais et où je ne laisse personne aller. Un petit recoin enfoui dans les confins de mon âme. Mon coeur.

Faire la liste des comparaisons possibles est devenu mon passe temps. J'en fais tout les jours, au point où on me surnomme le Grand prince et que les fans m'emvoient en masse des dessins de moutons...

Mais je ne me sens pas comme le petit prince. Je me sens comme cette rose fragile et prétentieuse dont s'occupait le prince. Je me sens comme la petite planète qui éclate, écrasée par les baobads, je me sens comme le buveur qui se soule à la journée, je suis comme l'homme d'affaire, j'en prends trop pour acquis. Comem le roi, je me prends pour une autre. Comme l'allumeur de reverbère je travaille trop. Mais surtout, surtout..je suis dans le désert.,..

MA vie..enfin..elle ÉTait comme ce conte..Jusqu'à ce que comme le renard je me laisse apprivoiser...

La jeune hôtesse...Camille. Avec ses cheveux bruns et sa voix tendre qui me demande : une autre oreiller monsieur Kaulitz? Un café Monsieur? Une autre serviette monsieur? Il manque du savon dans la chambre de Monsieur!

Owwww oui ses cheveux..des filaments de soie qui me laisse si rêveur que j'ai fais la gaffe de lui demander de rester dormir avec moi (prétextant un horrible mal de gorge). J'imagine que ca doit être mieux que le paradis, vois son reflet dans des yeux si merveilleux..dans ses yeux de diamants qui voient directement ce que je n'ai jamais montrer, ni à moi ni à personne...

Hier, avant de partir encore une fois, (parce que je viens dormir ici tous les jeudis, samedis , dimanches et lundi ; quand elle travaille), j'ai trouvé assez de courage pour lui demander si elle voulait venir manger quelque chose (moi tiens, ca se cuisine bien un Tom! ) et elle m'a dit...

--Monsieur le petit prince..je termine demain à 13h..alors si vous pourriez venir me prendre à 13h et demi, dès 14h je commencerai à être heureuse...

Alors ca y est, ce soir j'ai rendez vous avec l'hôtesse du Ritz...Venir me prendre à 1h et demi... Te prendre? Volontier! Minitom? NOON! Va te cacher toi! (t'es une surprise!) J'ai chaud, je transpire, je fais les cents pas et je me ronge les ongles (habitude volée à Camille). Moi, j'aurai les boules jusqu'à 3h30. Et dès 4h je commencerai à être réellement heureux! Parce que je sens que je vais ENCORE perdre l'usage de la parole (déja que je parle pas un damné mot francais!)

Pov Camille

Je répare un peu ma monture haute, je rajuste ma robe, retouche mon maquillage...à 13h et demi...il sera là à 13h et demi..rien qu'à moi, rien que lui...le romantique Monsieur Kaulitz...

--Camille! T'es amoureuse ou quoi?

Ma patronne est pas contente du tout. Je flâne, je traîne, je suis vraiment dans la lune. Et elle, elle a une dent contre moi depuis le soir où Tom s'est acharné à m'Avoir une heure complète de pause pour aller "pisciner" avec lui...puis 2 autres pour aller voir un film..puis 2 autres pour aller manger quelque chose..puis toute la nuit parce qu'il avait mal à la gorge.

Il est là, il s'en vient, avec son éternel chapeau de gangster et ses lunettes noires..

Il attrape ma main (la sienne est toute moite..) et dépose ses mes doigts un tout petit bisoux timide..

--Vous venez?

--Bah oui j'arrive...

The end! =)

PouttePoutte 22.01.10

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Le gout du vent

pour Georglicious

Je me laisse tomber à plat ventre contre l'herbe mouillée. La pluie coule sur mon visage et son parfum unique m'enivre. Un parfum frais, doux et sucré, comme de la glace qui fond contre sa langue l'hiver, quand on sucotte des glacons dans un igloo parce qu'on a trop chaud dans notre habit de neige. Un parfum d'air libre...

Mais je suis enchainée, dans un délire indescriptible. Tuez moi ou je le fais moi même. Attachez moi je tombe. On m'arrache les entrailles. On me brûle les veins et mon sang ne coule plus, si ce n'est que du trou béant quand on a fait dans ma poitrine en s'y plongeant la main pour saisir mon coeur et le lancer à bout de bras.

Le vent s'en mêle, me congèle pour me faire trembler, mais je tremble déja suffisamment.Je suis vide, si vide, que l'air poussé par la force de la nature s'infiltre dans mon corps et devient le sang que j'ai perdu...je suis un nuage, je flotte, je suis une bulle d'air et de souffrance...

je ferme les yeux...je la vois, la mort, elle arrive....elle arrive en même temps que la balle qu'il m'a tirée, cet homme même en qui j'aurais cru au point de donner ma vie...tiens en parlant de vie....

--NON! Kaythie!

Je l'Avais pas vu arriver celui là. À genoux à mes côtés, il palpe mon cou à la recherche d'un quelconque signe de vie, mais fouille moi mon ange..je suis plus là...

Il me soulève et me serre dans ses bras. Je sens son souffle contre mon front..une goutte d'eau chaude parmi la bruine froide...une larme...

-Je t'avais dit Kaythiie....je t'avais dit mon ange qu'il était fou...qu'il fallait pas...mon dieu pourquoi tu ne m'as pas cru....je t'en pris ne pars pas...

Le ton se veut colèrique, mais se casse en des sanglots incontrolables. Ses mots me font plus mal que mes trippes...

Je savais..au fond de moi je savais que tu viendrais à mon secours...

--Je sais pas..mais je te crois maintenant.

Il calle son visage contre le mien et ma bouche se retrouve au chaud contre ses yeux...ses larmes ont l'odeur de la pluie...le gout du vent....

The end....=)

PouttePoutte 27.01.10

Banni Messages : 12465 Points : 18469 Date d'inscription : 30/07/2007

Alors pour toi Thia:

(je t'invente un nom pour la fic ok. Ton nom de famille est désormais..Cornwell! )

~~Dre Cornwell demandée en salle 2.~~

Dre Cornwell demandée dans mes bras.

--Dre Cornwell, la petite Dannie Dinn a besoin qu'on change ses pensements et il faut une nouvelle dose de pénniciline à Barbara Wilgo. ::--Déja fait.

--Dre Cornwell, on a besoin de vous, Jordan de respire presque plus. :: --Je sais, je l'ai examiné ce matin. J'ai demandé au Dr Steve de s'en occuper.

--Dre Cornwell? :: --Quoi?

Dans son sarau bleu clair à motif de nuage, le nouvel assistant de Cynthia Cornwell semblait aussi chétif qu'un brin d'herbe. Blanc comme un linge, mais rayonnant de santé, le Dr Kaulitz semblait sur le point d'exploser.

--On m'a dit que du bien de vous. C'est un honneur de travailler avec une pédiatre de renom comme vous Mme Cornwell. Je suis Bill, Bill Kaulitz, pédiatre et spécialiste en neurologie (total guess, c'est le premier nom qui m'A passé par la tête!)

--Awww, de vous aussi on ne dit que du bien. Enchantée Docteur.

Elle lui tendit la main par politesse, s'attendant à ce qu'il la serre comme n'importe qui, mais Bill s'inclina pour lui faire un baise main.

Pour un chic type, c'était un CHIC type.

--Bon venez, je vais vous présenter au gosses.

Cynthia guida Bill à travers le labyrinthe que formaient les couloirs de l'hôpital jusqu'à la salle de pédiatrie où, dans des lits en rang d'oignon, reposait une trentaine d'enfants à la santé plus au moins précaire, tous endormis ou jouant tranquillement. Cetains avaient un bras bandé ou une jambe dans le plâtre, certains plus mal en point avaient des brûlures plus ou moins graves. Bill fut surpris de voir autant d'enfant dans la même salle.

--C'Est pas dangereux de mettre autant de patiens ensemble?

--Quand ils sont atteints de virus contagieux, oui c'est dangereux. Mais ceux ci se porte à merveille exepté leurs blessures. Ceux qui ont des maladies plus graves ont leurs propres chambres.

--Awww d'accord...

--Ils sont plus heureux ensembles..ca les désennui.

--J'imagine.

Les enfants semblèrent adorer Bill. La plupart le serrèrent dans leurs bras, les plus courageux lui fesait un bisoux et Megan, la jeune artiste du groupe, lui fit un dessin représentant un chat vert dans un arbre violet. À l'heure du repas, le docteur aida les infirmières à donner les plateaux et donna même la beccée à bébé Fanny, brûlée au 2e degré à plusieurs endroits. L'entendre gazouillée entre chaque bouchée de purée de légumes fit légèrement rosir le teint naturellement livide de Bill, ce que les infirmières de manquèrent pas de remarquer. Plusieures d'entre elles tombèrent littérallement sous le charme de ce pédiatre si attentionné et doux..et beau par dessus tout!

Mais, à leur plus grand désespoir, une fois le dos du Dre Cornwell tourné, ce n'est que pour elle que le docteur Kaulitz n'avait d'yeux...

To be continued...=)

PouttePoutte 27.01.10

*****************

Dre Cornwell demandée dans mes bras!

Spécialisé en neurologie, Dr Kaulitz s'était avéré très utile lorsqu'une jeune patiente accidentée arriva à l'hôpital Sainte Yacinthe (il existe pas, mais c'est un joli nom!). Davine, âgée de 13 ans, ne pouvait plus marcher après qu'un choc à la tête avait affecté son cerveau et coupé le contact avec ses jambes. Après plus de deux mois de travail acharné, Bill avait réussi à faire augmenter les connections nerveuses et les réflexes, et Davine (qu'un surnommait Davy la blonde à Bill) avait fait, devant les yeux pleins d'eau et de fierté des autres docteurs et de ses parents, 3 petits pas bien alignés. Aussi petit ce geste fut il, l'effort neccessité et toutes les heures de travail et de soins consacrées à sa réussite en fesant littérallement un exploit surhumain. Et à la grande joie du pédiatre neurologiste, il semblait avoir ouvert une petite place pour lui dans le coeur de la docteur Cynthia Cornwell.

Ainsi, un soir de janvier, Cornwell cogna à la porte du bureau, la porte tapissée de photos où on voyait à peine l'écriteau ' Dr Kaulitz, pédiatre neurologiste'. Sans attendre qu'on l'y invite, elle poussa l'oeuvre d'art et entra dans la pièce faiblement éclairée. Entre sa tasse de café refroidit et son ordinateur, la tête de Bill reposait sur un tas de paprasse, visiblement épuisée par les heures passées à penser et réfléchir.

--Vous avez été formidable Mr. Kaulitz, mais même les superhéros dorment de temps en temps, dit elle en caressant du bout des doigts la nuque de son assistant miraculeux.

--Pas envie...ronchonna-t-il dans son demi sommeil.

Cynthia le saisi par la taille et le souleva (hey, elle est docteur donc elle est forte!) et le déposa sur le canapé sous la fenêtre, où s'assoyaient chaque jour des parents désespérés qui priaient le docteur de guérir leur enfant, et qui revenaient plus tard en larmes le remercier de ses soins prodigieux qui avaient sauvé leur progéniture. Une fois sa tête posée contre l'accoudoir, Bill grogna un peu puis sombra dans un sommeil plus profond encore que son amour pour les enfants.

--Bonne nuit monsieur Kaulitz, dit elle en le recouvrant de la doudouce-gobe-chagrin qu'il gardait toujours en cas d'extrême trsistesse chez ses patients.

Elle déposa sa bouche contre le front de son colègue et se releva. Elle fit a peine un pas avant que les bras de Bill ne se referment sur ses hanches et la fasse basculer sur le canapé en cuir, complètement couchée sur Bill.

--Sa va pas la tête? C'est plutôt...indiscret comme position!

--Mouais..mais c'est confortable. B'nuit.

Et il se rendormi, visiblement exténué par ses heures supplémentaires démentielles et son overdose de caféine. Il vivait à l'hôpital, tout le monde le disait. Peut importe l'heure, si on cherchait Kaulitz, il était à Sainte Yacinthe!

Même si elle ne se le serait même pas avoué dans ses rêves, Cynthia était plutot à son aise, somnolante dans les bras de Bill. Son visage enfoui dans son cou, leurs jambes enlacés sous la doudouce pelucheuse, elle se sentait en sécurité et au chaud, à sa place. .....À sa place...sa fesait longtemps ca, qu'elle ne s'était senti chez elle. Elle passait si peu de temps au chalet de ses parents, elle ne rentrait presque jamais à son appart et les rares soirées qu'elle avait passé chez son ex mari s'étaient terminées en dispute conjuguale. Oubliant les heures, les malades, les pensements, les piqurures, elle s'endormi enfin dans les bras réconfortant du docteur préféré des américains. (ou les belges, ou les francais, ou les australiens peu importe où tu habite! XD)

---Dre Cornwell! Vite! Faut vous réveiller! Le coeur d'Adrien ne bat plus!

Awww m*rde....(elle était trop bien, fallait pas la réveiller!)

To be continued!

PouttePoutte 20.01.10

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