[Fanfiction] Quatre Vérités

Ça fait plusieurs jours que je n’ai plus de lettre d’Élo, et je m’inquiète. Bill se moque de moi, car tous les jours je sors dans le couloir pour regarder dans notre boîte à mail. Mais il n’y a rien.
Lundi; je sors en boxeur trop pressé, mais il n’y a rien.
Mardi; cette fois j’ai mis un pantalon, mais toujours rien.
Mercredi; un t-shirt et des pantalons, rien.
Jeudi; J’ai pris la peine de prendre une douche pour laisser le temps au facteur d’arrivé. Mais lorsque j’ai regardé, il n’y avait rien.

Et puis aujourd’hui il fait un temps de chien et Bill m’oblige à sortir, faut dire que ça me ferait le plus grand des biens, mais je n’ai pas envie de rentrer mouiller de la tête au pied. Quoique j’ai besoin d’aire, l’air de l’appart m’étouffe, ne pas avoir des lettres d’Élo m’affecte comme jamais. Cette fois je suis décidé, je prends mon parapluie, mes clés et mon manteau, ouvre la porte.

Je reste figer dans le cadre de porte. Une jeune femme se tient devant moi, la tête basse, mouillée de la tête au pied. Son visage est envahi d’eau, ses cheveux lui colle au visage par le fait même ses vêtements aussi. Elle lève enfin les yeux vers les miens. Je ne sais pas qui est-elle, mais j’ai un doute. Un sourire s’affiche sur son doux visage.

- Désolé, je ne t’ai pas averti, mais je suis parti si vite de chez moi, que je n’ai pu faire autrement.
- Élo ?
- Oui c’est moi en chair et en os, tu permets que j’entre, je commence, à avoir vraiment froid.
- Oui bien sûr.

Elle est devant moi, comme un rêve, une irréalité. Mon cœur s’emballe comme à chaque fois que mes yeux regard avec attention ses lettres. Ses mots si réconfortants, mais cette fois sa voix percute mes oreilles, cette voix, si douce.

- Comment tu as fait pour trouver mon adresse.
- J’ai regardé l’adresse de tes lettres.

Elle dépose ses valises près de l’entrée. J’ai fermé la porte derrière elle, ses membres grelottent chaque fois qu’une gouttelette touche sa peau pour se retrouver sur le sol. C’est fois c’est elle qui a besoin de moi.

- Je suis bête, va prendre une douche et je vais aller passé tes vêtements au séchoir.
- Merci j’osais te le demander.
- Y’à pas de quoi, tu peux même dormir ici pour la nuit.
- Ça me ferait plaisir, car j’ai tout fait les hôtels dans le coin, soient ils étaient trop cher ou il ne restait plus de chambre.
- Je vais aller demander à Bill, je ne crois pas qu’il va dire non. En même temps je vais aller te chercher des vêtements propres.

Je m’exécute, dans ma chambre je prends un pantalon, un chandail et des boxeurs. Je ne sais pas pourquoi je ris, mais je trouve cette situation ridicule, pensant lorsque je la verrai dans mes vêtements. Je retourne dans le salon ou elle est en lui donnant les vêtements et lui montrant la salle de bain. Peu de temps après j’entends l’eau coulée. Je me dirige vers la chambre de Bill ou je cogne à sa porte. Il ne répond pas, mais je sais qu’il est là. J’entre doucement et le retrouve lisant un magazine des écouteurs à ses oreilles.

Je vais m’asseoir sur le lit puis il me remarque. Il enlève ses écouteurs.

- Ça va ?
- Oui, oui. Je voulais te demander si ça te dérange d’héberger quelqu’un se soir.
- Non, mais c’est qui.
- Élo. Tu sais celle des lettres.
- Je ne sais pas c’est qui…

Je n’ai jamais parlé d’Élo en réalité. Je ne sais même pas pourquoi. Par peur ? Je lui explique un peu qui elle est, et Bill accepte sans que je demande mon reste. Je sors de la chambre en même temps qu’Élo de la salle de bain. Comme je l’avais imaginé, elle semble perdue dans mes vêtements. Elle rit un peu en voyant ma tête et nos rires font un après quelques secondes. Comme dans ses lettres, elle semble si vraie. Nous allons dans le salon prendre un bon chocolat chaud et discuter.

Magnifique !
Deux mots : LA SUITE

=D Merci, la suite bientôt. Si vous me supplier hahah. lol

je t'en supplie par pitié la suite s'il te plait !!

On a fini par s’endormir sa tête accostée sur mon épaule. C’est fou comme une fille sent bon, c’est fou comme la chaleur d’une fille me manquait. J’ai entendu des pas s’approcher, j’ai ouvert les yeux pour voir Bill me regarder bizarrement. Son regard ma brûler la peau puis il est parti. Je me suis levé sans réveiller Élo et j’ai suivi Bill qui était rendu à sa chambre. Sa porte ouverte, il était dos à moi, mais je sentais que je devais rentrer. Il s’est retourné pour me faire face.

- Pourquoi ses lettres et maintenant elle est chez nous.
- J’avais besoin de parler.
- Pourquoi tu ne m’as pas parlé à moi.
- Je craignais que tu ne comprennes pas.
- Pourtant, j’ai compris en lisant tes lettres.
- Tu les as lus et pourquoi ?
- J’en ai marre de te voir comme mort.
- On s’était pourtant fixé des limites à infranchir et tu l’as fait.
- Je suis désolé Tom, mais j’en ai plus que marre de te voir comme ça.
- Et qu’est-tu veux que je fasse ? Que je saute en bas d’un pont ?
- Que tu me parles.
- J’n’ai pas besoin de parler.
- Pourquoi tu ne fais avec elle.
- Elle a un nom, et de toute façon, tu ne peux pas comprendre.

Il s’est approché de moi, il m’a regardé droit dans les yeux, il semblait si froid qu’un frisson m’a parcouru le dos.

- A quoi sa me sert d’être ton frère si tu ne te confies même pas à moi.
- Bill cesse tes enfantillages, j’avais besoin de parler à quelqu’un d’autre que toi.
- Bill l’enfant, veux que tu sortes de sa chambre, il a besoin de pensé.
- Bill arrête, pourquoi tu le prends si mal.
- Aller sort.
- Bill…
- Sort…

Je suis sorti sans un mot de plus. Pourquoi il réagit comme ça, je ne comprends pas. Qu’est qui a de mal à vouloir parler à quelqu’un d’autre. Je suis retourné au salon. Élo était réveillée.

- Je suis désolée.
- Ça va.
- Tom, ça va pas, je m’excuse d’avoir crée ça.
- Je te dis que ça va.
- De toute façon, faut que je parte.
- Pas toi aussi. Laisse-moi pas seul.
- Ça va aller.

Elle a pris ses vêtements secs, c’est changer. Debout près de l’entrée j’étais incapable de bouger. Elle a sorti de sa valise une lettre et me la donner.

- Parle à ton frère.

Elle m’a donné la lettre en déposant sur ma joue un baisé. J’étais incapable de lui dire de rester, de l’empêcher de partir. Lorsqu’elle se retourna pour fermer la porte, je l’empêchai de la fermer avec ma main.

- Promets-moi qu’on se reverra.
- Promis
- Promets-moi que mon frère me pardonnera.
- Promis.
- Promets-moi de ne jamais m’oublier.
- Promis.

J’alla près d’elle pour la prendre dans mes bras. Sentir une dernière fois son parfum, sentir sa peau contre la mienne, la sentir près de moi encore une fois.

- On continue à correspondre ?
- Oui bien sûr.

Elle se détacha de moi et puis ferma la porte derrière elle. Je suis resté devant la porte quelques minutes le temps de tout placé dans ma tête et je suis allé dans ma chambre. J’ai ouvert sa lettre.

« J’ai été là, je suis venue, et maintenant à toi de trouvé le bon chemin pour t’échapper de tes démons. J’ai été contente de te voir, et d’apprendre sur toi, tu es un jeune homme qui vaut la peine d’être connu, ta vie vaut la peine d’être vécu. Prends soin de toi.

Ta meilleure amie Élo. »

Pourquoi j’ai l’impression d’avoir un vide à l’intérieur de moi ? Elle va me manquer, elle me manque déjà. Je l’aime de tout mon cœur. C’est ma meilleure amie.

Lord Chuck a écrit:

Magnifique !
Deux mots : LA SUITE

Encore encore

**clap, clap, clap **

Haha c'est gentil *_*

Oonn, t'aura les prochaine suite à ton retour

Allez on a assez attendu !

Allleerrr stp !!!! :--)

Ça fait des jours, des semaines, des mois, que je n’ai plus de nouvelle d’Élo et ma vie ne se porte pas aussi bien qu’elle me la promit. Par contre tout c’est arranger avec Bill, je lui parle comme je le sens parfois beaucoup d’autre que quelques phrases. Le groupe à repris les concerts, mais par petite tournée. Nous avons deux-trois semaines chaque fois que nous partons pour une tournée de libre. Ce qui fait que c’est très reposant. Presque chaque concerts j’ai ma Élodie dans les mains et je joue, souvent je ferme les yeux pour sentir les cordes vibrer sous mes doigts, mon échappatoire même durant des concerts. Même si j’entends souvent plus les cris des fans que mon propre souffle. Mais c’est à la maison que je me sens mieux.

Ça fait deux jours que je ne suis pas sorti de mon lit, crevé, mais aussi pensif. Mon portable c’est mis à vibrer sur ma table de chevet, je n’avais pas très envie de répondre, mais au bout de moment, j’ai senti que c’était important.

- Hallo ?
- Désolée de te déranger Tom, c’est Élo.
- Et c’est maintenant que tu me donnes de tes nouvelles.
- Tu me dire mes quatre vérités après être venue me chercher au poste de police ?
- Au poste de police ? Qu’est que tu fais là ?
- J’ai des problèmes, viens me chercher s'il te plaît.

Je n’ai pas eu autre chose que de dire que j’arrivais. Je suis sorti de chez moi comme à mon habitude c’était pénible sortir le bout de mon nez dehors. Et je suis parti en direction du poste de police.

Arrivé à destination, j’ai été surpris de voir autant d’activité devant un poste de police. Je suis rentré par la porte principale. Élo était assise sur une chaise, tête basse, les mains croisées sur ses genoux ses valises à ses pieds. J’ai parlé à un agent qui m’a conduit à elle. Je me suis assis à côté d’elle, elle semblait absente, malgré son corps présent. Elle a tourné son visage vers moi et ma sautée au cou.

- C’est mon frère.
- Heu.
- Monsieur Kaulitz est-ce bien votre sœur ?
- Heu.
- Vous ne voyez pas notre aire de ressemblance.
Mais qu’est qu’elle disait, j’avais peine à croire que c’était ma Élo qui se trouvait près de moi, son corps tremblait comme une feuille dans mes mains. Elle était blanche comme un drap, et ses vêtements salent et déchirer l’avantageait très peu.

- Oui c’est ma sœur.

J’avais menti à un agent, ce n’était pas la première fois que je mentais, à vrai dire je mentais souvent, étant jeune, mais à un agent c’est beaucoup plus difficile qu’à sa mère.

- Et bien puis-je vous voir quelques minutes pour signer quelques papiers?
- Bien sûr monsieur l’agent.

On s’est dirigés vers un bureau ou il est passé derrière pour s’asseoir sur sa chaise. J’ai fait de même avec la chaise près de moi.

- Je n’irai pas par quatre chemins. Votre ‘supposée’ sœur, je ne suis pas dupe, je sais bien que ce ne l’est pas, c’est droguer et puis c’est retrouvé sans abri pour se retrouver ici. Vous êtes prêt à la prendre en charge, sinon elle ira en désintox.

J’arrivais peine à croire qu’il me parlait de ma meilleure amie, celle avec qui j’ai correspondu pendant des mois et qui me déconseillait de prendre de la drogue qui malgré l’avait fait pour elle. J’ai détourné mon regard vers elle, elle semblait si perdue, se berçant d’avant à derrière sur sa chaise. Regardant le sol comme seul reperds. Je regardai de nouveau l’agent.

- Je la prends en charge.

Comment je vais dire ça à Bill moi ? Il va me tuer. Mais je dois bien ça à Élo. Elle m’a sauvé de ma vie un peu, j’dois faire pareil pour elle, au moins pour quelques mois. Je sens que ses prochains mois seront difficiles. Pour une fois je ne vais pas me soucier que de mon bien-être.

Je suis désoler, j'ai pas énormément le temps c'est temps-ci, donc j'ai pas pu faire le chapitre 10, même si celui-ci c'est le chapitre 8 =) Bref. Voilà.

Près de la maison, Élo marche difficilement et regarde toujours au sol. Elle semble perdue à plusieurs reprises. Je n’arrive pas à croire qu’elle est comme ça, devant moi, comme un enfant qui a perdu ses parents. Lorsqu’on a monté les marches, j’ai dû mettre un bras autour de sa taille pour être sur qu’elle ne se laisserait pas tomber. À l’intérieur, elle a continué à errer jusqu’à ma chambre. Je l’ai suivi de près, lorsqu’elle est rentrée dans ma chambre elle est allée direct au lit et c’est couché. Mais ne fermait pas les yeux pour autant elle regardait le plafond, elle semblait évité mon regard. Je suis allé la rejoindre doucement et puis à sa hauteur elle a déposé sa tête sur mon épaule. Pas un mot on c’est échangé durant des minutes, minutes qui était insupportables pour moi, j’avais l’impression que si je bougeais elle allait tomber en poussière. Un soupir rompit le silence.

- Je suis désolée Tom.
- Ça va.
- Non, ça ne va pas, je suis désolée.
- Tu n’as pas à t’excuser.
- Ferme-la et accepte mes excuses j’ai besoin de m’excuser.
- …
- Je suis désolée que tu me voies comme ça, je n’ai pas pu m’empêcher d’agir comme ça.
- Tu peux m’expliquer.
- J’n’ai pas pu m’empêcher d’en prendre.
- Tu veux prendre une douche.

Qu’est que je suis con. Elle tourne le regard vers moi et je crois qu’elle comprend que je ne suis pas prêt d’entendre ce qu’elle a à dire. Mais je sais qu’elle en a besoin. Je détourne le regard assez rapidement bien trop lâche.

- Pendant que tu prendras ta douche, je vais faire du ménage dans mes tiroirs pour que tu aies de la place.
- Merci.

Elle a pris des vêtements dans une de ses valises que j’ai transportées et amenées dans la chambre et puis c’est dirigé vers la salle de bain. Je me suis levé, pris ses valises et les ais mis sur mon lit, et je les ais vidé pour mettre ses vêtements dans mes tiroirs vides. Lorsque je suis arrivé dans le fond de sa valise j’ai remarqué trois petits sachets de poudre. Je les ai pris et les ai cachés sous mon lit, ne trouvant nulle part où les mettre. Puis je suis allé cogner à la chambre de Bill, n’ayant pas de réponse je l’ouvris, il n’était pas là. J’ai pris le téléphone fixe et j’ai composé son numéro. Sa boîte vocale.

« Bill, c’est Tom si tu entends se message ne sois pas inquiet, mais lorsque tu rentras à la maison ne sois pas surpris si tu vois un étranger. J’espère que tu rentres bientôt. Tom »

Je suis retourné me couché dans mon lit, somnolant un peu les yeux clos j’ai entendu quelqu’un rentrer dans ma chambre, les draps de mon lit se sont secouer et puis silence. Respiration. Silence. Respiration. J’ai ouvert les yeux pour découvrir une Élo toute tranquille sous les couettes dormant paisiblement. J’ai fait de même.

- Tom… Tom ?

En entendant mon nom, je me suis réveillé en sursaut pensant que Élo m’appelait, mais elle avait toujours les yeux fermés un sourire pendu aux lèvres. Je me suis levé distraitement et me dirigea vers le bruit. Bill dans l’entrer un peu perturbé.

- Tom ça va, j’ai reçu ton message.
- Chuut ! Tu vas la réveiller.
- Mais qui ?
- Élo.
- Qu’est qu’elle fait chez nous?
- Elle a des problèmes.
- Et puis ?
- Je lui devais bien ça.
- Si tu le dis.
- On va l’héberger quelques jours…
- Pourquoi cette phrase en suspend ?
- Enfaîte, peut-être plusieurs semaines.
- Et puis quoi encore ?
- Peut-être des mois ?
- Tom ! Franchement ! On n’est pas un hôtel ici !
- Pourtant, notre nom de groupe l’indique.
- Très drôle. Tu as pensé au groupe ?
- Mais ses problèmes sont beaucoup plus importants qu’un groupe.
- Pas pour moi !
- Et si c’était moi qui me droguais, t’aurais la même réaction ?
- Elle…Elle se …Drogue ?
- Non elle vénère le Pape. Oui elle se drogue et puis je ne veux pas qu’elle détruise sa vie.
- Tom… Tu sais que ce n’est pas de tout repos, s’occuper d’une personne comme ça, t’imagines quand elle sera en manque combien qu’elle t’en fera voir de toutes les couleurs. Les mots que vous vous échangiez n’était rien comparer a se qui t’attends.
- Je m’en fou.
- Tu es trop un gentil garçon.
- Merci bien !
- Ça peut devenir un défaut.
- Je ne veux pas la laisser dans la rue.
- Elle n’aurait pas été dans la rue.
- Bill cette discussion ne serre à rien, car ma décision est déjà prise.
- Et je n’ai aucun commentaire à dire sur ça ?
- Exact.
- Et bien tu me trouveras dans ma chambre.
- D’accord.

Il est parti direction sa chambre et moi de la mienne. J’arrivais pas à croire qu’une fille est dans mon lit, et puis que je n’ai même pas envie de lui sauté dessus, j’ai simplement le goût de lui caresser les cheveux, de lui dire dans le creux de l’oreille que tout ira bien, de la serrer contre moi, encore et encore. Je me suis déshabillé, ne restant qu’en boxeur et je suis rentré en dessous des draps. Pendant quelques minutes, j’ai regardé le plafond puis j’ai entendu les draps bouger et un bras c’est posé sur mon torse, une tête sur mon épaule. Sentir son odeur me fit rapidement somnoler pour retrouver les bras de Morphée.

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huhu je sais, pas tappé.

J'aime beaucoup !

Ahhh merci pour la suite !!!!!!!

danke shön ^^

Mais t'est sadique :O
Tu nous fait te supplier xD
Kamilla-Kaulitz a dit :

Citation :

Ahhh merci pour la suite !!!!!!!

danke shön ^^

Danke schön

rooo ça va j'lai écrit en triple vitesse

( ah ptin l'excuse bidon )

nan sérieux normalement je sais comment ça s'écrit =)

Mais sinon, oui, suite !!!

Kamilla-Kaulitz a écrit:

rooo ça va j'lai écrit en triple vitesse

( ah ptin l'excuse bidon )

nan sérieux normalement je sais comment ça s'écrit =)

Mais sinon, oui, suite !!!

Ahh ! Nàn mais tu sais c'est pas grave faut pas en avoir honte Mdr

Argh nan maiis j'aii pas hOnte X'P

Quand elle viiens la suiiteuuuuhhh ?????

je suis une nouvelle lectrice j'adore
une suite stp?