[Fanfiction] Quatre Vérités

Les gens pensent, mais pourquoi ils pensent, ils sont constamment en train de se poser les mêmes questions, est-ce que ce jean me grossit les fesses, est-ce que cette coupe me fait bien. Mais moi je suis fatigué de les entres se posés des questions tellement superficiel. Je me demande même si l’humain ne profite pas de sa vie. Me reprochant toujours de profiter de la mienne, j’vous ai rien demandé bande de con. J’ai l’impression de me mentir à moi-même, me censurer, mais pourquoi ? Pour eux, pour avoir bonne impressionne. Mais j’men fou d’eux j’peux vivre ma vie sans eux. Même si on me dit le contraire. J’me sens épier là plus part du temps lorsque que je sors, et pour bien paraître je souri, mais tous se qui me passe dans la tête c’est de leur foutre mon poing à la figure. Je ne suis pas du genre agressif, mais j’ai besoin d’espace. Que je n’ai pas malheureusement.

- Tom ?
- Il est absent pour le moment laisser un message après le bip sonore.

J’entends mon frère soupirer l’autre coté de la porte, on est chez nous, notre chez nous vrai, pas de parent, pas de groupie, notre appartement auquel on à rêver toute notre vie, et puis je suis cloîtré et j’en sors que pour manger et aller au petit coin. Je le comprends, qu’il soit désespéré par mon comportement, mais j’ai besoin de soufflé. J’n’aurai jamais cru dire ça un jour, mais j’aimerai bien ne plus être célèbre, dormir, manger, m’amuser sans avoir mon visage dans un magazine à potin. Moi Tom Kaulitz, aimerai une vie calme. C’est drôle à dire, que j’me le répète plusieurs fois comme pour me convaincre. C’est tellement étrange de pensé que je n’aurai pas de fan à mes pieds qui feraient bien tous se que je le demanderai si je voulais. Ces fans qui pleurent lorsqu’elles touchent mon épaule en gueulant comme des poules qu’on égorge. À bien n’y penser, j’trouve ça pathétique, que j’me mets à rire ironiquement. J’aimerai bien quelqu’un qui me comprenne. J’entends Bill frapper de nouveau à ma porte. Pourtant la porte n’ai pas barré, il sait qu’il y a une limite qu’on ne franchi n’y l’un ni l’autre.

- Je sors. Je reviens dans quelques heures.
- D’accord.

J’men fou il peut bien partir voir une prostituer sa me passerai un mètre par-dessus la tête. J’me sens mal de parler comme ça de mon frère. Mon petit frère de quelque minute qui m’appuie quand j’en ai besoin et je fais de même avec lui. Mais je ne sais pas, j’men fou un peu du va et viens qu’il fait dans la maison. J’me lève enfin de mon lit, je suis sûre que si je me lève ma marque sera toujours là. Et puis je me dirige vers mon ordinateur portable. Je visite des sites, des sites de nous, des blogs, ou carrément des sites de vente. Je me détends ça me permet de pensé à autre chose, qu’on appelle vie. Ma vie en l’occurrence. Quelque chose me tape dans l’œil. Une jolie guitare décorée par les soins de la personne qui la vend, j’ne comprends pas vraiment pourquoi elle veut la vendre parce que personnellement elle est superbe. Vu le prix j’me dis que à la place de fantasmer sur cette belle guitare, de l’acheter pour la mettre dans ma collection. J’vais chercher ma carte de crédit et fais la demande pour l’acheter. Puis quelques minutes plus tard un pop-up s’ouvre et me dit que je suis le grand gagnant. Cette belle guitare va être à moi dans quelques semaines. Et encore une fois ma marche de crédit va en prendre un coup. J’éteins le portable et puis j’vais me recouché à la même place, et la même position, j’me demande bien pourquoi j’ai pas de torticolis comment je suis placé. Puis je ferme les yeux, c’est blanc, vide, ennuyant, j’m’endors.

Si t'aime pas tu es pas obliger de dire suite J'ai déjà écrit la suite. Mais j'préfère avoir d'autre avis, si j'dois continuer ou pas.

Je me sent presque obliger maintenant . Je sens que ma fanfic va pas être très apprécier. Mais sa me défoule Patiente un peu, mais je peux t'envoyer la suite par mp

aller la suite sa a l'air bien pour le moment je veux savoir qu'est qu'il a Tom dans ton histoire stp aller la suite

Il à pas grand chose, il aime pas sa vie. =)

Je vais encore attendre, mais inquiété vous pas, le chapitre deux est déjà fait, ainsi que le 3 et le 4 =)

J'vais continuer...

p*tain, j’me suis encore réveillé à cause de mon réveil. J’me demande bien pourquoi j’l’ai mis cette fois, j’essaye de pensé, mais mon réveil matin me dérange dans mes pensés. Je le prends d’une main et le lance de toutes mes forces. C’est le quatrième que Bill m’achète en deux semaines. Je ne suis pas tellement conscient de ma force et souvent ces pauvres réveils se retrouvent en mille morceaux à terre. Comme les précédents le réveil fracasse le mur et tombe à terre en mille morceaux. Bon enfin c’est calme je peux penser. Pourquoi j’avais mis mon alarme. Et puis ça me frappe comme Bill qui cogne à la porte au même moment.

- Ça va Tom ? C’était quoi le bruit.
- Le même qu’à chaque fois.
- Encore !? Quand tu vas comprendre que les murs n’aiment pas les réveils matin.

Il essaye d’être drôle, je l’entends rire l’autre côté de la porte, mais moi je n’ai pas envie de rire, alors je ne réponds rien et j’attends qu’il parte. J’entends ses pas s’éloigner et je me lève, je m’habille et je vais à la salle de bain. Je me regarde dans la glace. Bon Dieu qu’est que je fais, je suis tout pâle on pourrait presque croire que je suis alcoolique ou drogué. Ça me déprime. Je me passe de l’eau sur le visage et sors après avoir fait mon besoin matinal. Je me lave les mains dans la cuisine et me fais cuire des toasts. Je n’ai pas tellement faim, mais ça fait plaisir à Bill me voir manger. Je mange mes toasts tartiner de beure d’arachide, je n’aime pas ça mais on à rien d’autre comme c’est mon tour d’aller faire le marché, il n’y a rien dans le frigo. Et habituellement Bill fait le marché à ma place. Mais cette fois, j’crois que j’vais être obligé d’y aller. Je sens le regard de Bill sur moi, j’détourne le regard pour le regarder à mon tour.

- Quoi ?
- Quoi, quoi ?
- Pourquoi tu me regardes comme ça ?
- J’trouve ça dommage de te voir comme ça, ta l’air mort.
- Ouais pis ?
- Rien, laisse tombé. Alors aujourd’hui tu fais quoi ?

C’est en repensant à tout à l’heure, ce qui m’a frappé en même temps que Bill, c’est aujourd’hui que j’vais recevoir la belle guitare, j’ai tellement hâte que j’aie le cœur qui palpite rien qu’en y pensant. J’ai surtout hâte de gratter les cordes, je vais sûrement devoir les changer à cause du transport, mais j’ai juste ça dans mes tiroirs des cordes de guitare. Je souris bêtement, ça me rend de bonne humeur, et j’imagine que Bill est plus que content. Enfin, il a un sourire de ma part, il se dit peut-être que je suis assez de bonne humeur pour aller faire le marché.

- Je reçois une magnifique guitare aujourd’hui.
- Quoi !?
- T’inquiète pas, elle n’était pas si chère.
- Combien ?
- Je te dis qu’elle n’était pas chère.
- Ouais c’est ça ta payé avec quoi ?
- Ma carte de crédit, avec quoi d’autre ?
- p*tain Tom.

Ça y est, il est en colère et je ne comprends même pas pourquoi. Ce n’est qu’une petite guitare.

aller la suite stppppp

Pour vous faire plaisir =)



Il ne ma pas regarder du reste du déjeuner. Je me suis senti un peu mal de l’avoir faché, mais c’est dans ma nature c’est temps ci. Il a fini sont déjeuner puis il est parti faire le marché. Encore une fois je m’en sors. Je retourne à ma chambre et fait les cents pas avant d’entendre quelqu’un cogné à la porte d’entrer. Ça ne peut pas être Bill, il à les clés, à moins qu’il les a encore oublier. Je sors de ma chambre, me dirige vers la porte et l’ouvre à la volé. J’ai dû faire peur au livreur qui à fait un bond de deux mètre. Il me regarde un peu méchamment vu le sursaut que je lui ai infligé et il me tend un papier.

- Vous êtes bien Tom Kaulitz ?
- Oui c’est moi.
- Signé ici, puis ici.
- D’accord.

Je m’exécute, me rappelant les autographes que j’ai signés pour faire plaisir à des fans. Je n’ai jamais bien compris pourquoi j’devais écrire mon nom sur un simple bout de papier. Qu’est qui est si important dans cela ? Après chose faite il me tend un énorme colis, et une lettre. À peine le colis dans l’appart que je m’empresse de l’ouvrir. La magnifique guitare qui me fait rêver depuis des jours est enfin arrivée. Elle est tout point comme je pensais. Ses lignes raffiné, sa couleur rouge presque sang et les motifs que la personne à précieusement peint à la main. Une œuvre unique, et je l’ai dans mes mains. Je passe la ganse sur mon épaule et fait vibrer les cordes sous mes doigts. Je cours presque à ma chambre pour aller la brancher à mon amplis, encore une fois je fais vibrer les cordes et un son grave mais mélodieux vient percuter les murs de ma chambre. J’ai le sourire dans le visage comme un gamin le matin de noël. J’entends la porte d’entrer s’ouvrir et se refermer, mais je m’en fou, je continue ma petite mélodie sur cette magnifique guitare. J’entends les pas de Bill qui s’approche, trop presser de tester ma guitare que je n’ai pas refermé ma porte derrière moi. La tête de Bill, le sourire aux lèvres entre dans ma chambre.

- Wow elle est magnifique, pour se point je suis content que tu l’as acheté.
- Tu crois que je me sens comment ? J’ai le cœur qui s’emballe à chaque fois qu’une corde frissonne.
- Wow, si tu pouvais être aussi joyeux dans la vie de tout les jours.
- Qu’est que tu veux dire par là ?

J’arrête de jouer, il m’a vexé, qu’est que je fais de pas correct. Il remarque mon désarroi et fixe ses yeux dans les miens. On reste suspendu l’un à l’autre plusieurs secondes.

- Tien tu as oublié cette lettre sur la table.
- Aller dit se que tu as sur le cœur ?
- Laisse tombé.

Il lance la lettre sur mon lit et s’apprête à partir, le pied à l’extérieur de ma chambre je lui cris aux oreilles.

- DIT ! ALLER DIT !

Je me reconnais plus, il a raison je ne suis plus le même, je n’ai jamais crié sur mon frère. Je n’ai jamais fait de la peine à mon frère, et encore moins le mettre en colère contre moi, mais qu’est qui m’arrive, pourquoi j’ai le cœur meurtrie ? Je comprends rien, il ferme la porte derrière lui, comprend que je suis perdu et je l’entends ranger le marché. Je m’assois sur mon lit perdu dans mes pensé fixant mon mur du fond. Plusieurs secondes se passe sans que je ne réagis, je pense mais beaucoup trop selon moi. Ma main touche cette lettre mystérieuse, puis mon regard suit. Qu’est qu’elle peut contenir. Je ne sais même pas de qui elle est.

Pas toute suite

oué aller stp la suite je veux savoir ce que contient la lettre et quelle sera la réaction de Tom en la lisant parce que sa changera surment quelque chose ... donc fin bref aller la suite stpp

J’ai enfin ouvert la lettre. Comme je m’en attendais, il y avait des cordes de guitare, mais aussi une lettre de l’artiste.

« J’ai peine à croire que Tom Kaulitz, le Tom Kaulitz à entre ses mains ma guitare. Elle a tellement une signification à mes yeux. Son son grave, mais tellement mélodieux a mes oreilles, ses belles hanches c’est quasiment une belle beauté pour moi, enfin si on peut dire. L’artiste qui à conçu la guitare me la légué à sa mort, et j’ai décidé de mettre ma touche personnelle. Comme je suis bête je t’écris comme ça sans te dire qui je suis, peut-être même tu t’en fou. »

Cette personne à totalement raison je m’en fou, je m’en fou que cette guitare à un esprit, je m’en fou carrément d’elle, mais mes yeux continus à lire la lettre.

« Et bien voilà, mon nom est Élodie, mais tout le monde m’appelle Élo*. J’ai à peine mes 18 ans, je suis enfin majeure, et puis comme je suis nulle à la guitare j’ai décidé de la vendre à quelqu’un qui en profitera plus que moi. Et en plus, ça me fait un peu d’argent. J’espère qu’elle te plaît. Surtout que je connais ton groupe et ça me fait énormément plaisir. »

Je continue à lire, les phrases, les mots, les paragraphes comme si les mots coulaient dans mon esprit. Ça façon d’écrire comme si j’étais à coté d’elle me fascine, j’ai qu’une envie lui réécrire pour lui dire combien j’aime cette guitare.

« Bonne chance dans ton groupe, et j’espère que ma guitare aura une âme dans tes mains. Merci.

Affectueusement, Élodie. »

Un sourire enlumine mon visage. Je m’imagine déjà la scène devant ma lettre dans sa boîte à mail. Elle sautera de joie que je lui ai répondue. Je m’empresse de prendre un crayon et un papier pour écrire une minuscule lettre.

« Merci pour la guitare, j’adore son son. Magnifique, et ce n’ai pas seulement le son, se que tu as fait sur la guitare embellie vraiment cette beauté. Tu as tellement raison comment tu l’as décris. Elle me suivra partout à présent. Je suis content de l’avoir trouvé. »

Plus les mots sortaient de ma tête plus, j’avais envie d’écrire. Écrire ce que je vis, ce qui se passe dans ma tête.

« Mais je n’ai pas envie de parler d’elle, mais de moi, j’espère que cela ne t’ennuiera pas et que tu prendras goût à mes malheurs. J’ai absolument besoin de parler, et puis mon frère ne comprendra pas, il adore tellement sa popularité, mais moi je la déteste. Je ne suis pas bien dans ma peau. Comment expliquer ça à quelqu’un qui ne comprend pas? J’ai envie de m’enterrer dans la terre le plus profonde que je peux. J’ai envie même de mourir parfois pour avoir un nouveau commencement. Je n’ai plus envie de me prendre la tête. »

J’arrête d’écrire, j’ai sérieusement envie de tout effacer. Parce que je ne comprends pourquoi j’écris ce genre de chose à une pure inconnue. Mais c’est peine perdue mon crayon s’agite voulant exprimer se que je ne suis pas capable de dire haut et fort.

« Je suis en détresse et personne ne s’en rend compte, je ne comprends pas pourquoi je devrai le crier haut et fort. Pourquoi je ne suis pas heureux comme mon frère. Pourtant les premières années tout allait bien. Mais maintenant j’ai l’impression d’être un robot qui fait tout ce qu’on lui dit. J’ai mal. Trop mal. Je ne veux pas que tu crois que je veux me suicider c’est très loin dans mon esprit, mais j’ai besoin de parler à quelqu’un et tu es là, alors voilà. Répond moi, ou pas, mais déjà là, je me sens un peu mieux.

Tom. »

Je l’a plis, la met dans une enveloppe et je vais dans la cuisine pour la déposé sur la table. Il est tard et les lumières sont fermées, je dépose un post-it sur la lettre.

« S'il te plaît si tu pouvais aller la poster sa me ferai plaisir. Merci. »

Je retourne dans ma chambre, me couche dans mon lit comme ça chaque soir. C’est noir, vide, serin, mais mes démons me traquent encore.

* Sans commentaire.

hey la suite stp elle est belle cette suite alors continue s'il te plait

C’est bizarre, ça fait plusieurs semaine qu’on à pas été en tournée. Supposément pour reposé le groupe, mais je sais bien que c’est à cause de moi. En parlant de moi, je corresponds officiellement avec Élo. On s’envoie des lettres au moins une fois par semaine. Ça me fait vraiment du bien, parler de mes problèmes, je passe un peu pour le mec qui raconte ses problèmes sans se soucier des autres, mais j’men fou. Et elle aussi ça tombe bien. Ce qui est cool c’est que ce n’est pas une de ses groupies. Sinon j’aurai jeté ses lettres les uns après les autres. Au bout d’un moment elle aurait surement compris. Mais ce n’est pas le cas, elle est super compréhensive. Elle m’écoute même si on s’écrit. Elle est douce dans ses lettres comme si elle savait que j’en ai besoin. Mais qu’est que je raconte elle le sait que j’ai besoin de ses douces lettres.

Le temps passe, et c’est un vrai fouillis dans ma tête, mais grâce aux lettres d’Élo, je me sens mieux, un peu libéré d’un fardeau. Je sors très peu de l’appart, de peur de recevoir mes problèmes en pleine figure. Je joue, je joue mes peines sur sa guitare, j’ai même décidé de la nommé Élodie, ce n’est pas vraiment un problème car j’adore se prénom. De plus elle fait comme Élo, elle me libère.

Dans mon lit, la guitare posté sur mon abdomen je gratte doucement les cordes. Parfois je m’endors doucement. Je rêve, plutôt je cauchemarde, je me vois tombé de haut sans rien pouvoir m’accrocher à quelques choses. Je cris mais personne ne m’entend. J’entends des personnes parler de moi, mais il ne m’entend pas. Il m’arrive de pleurer, de voir mes amis pleurer mais je n’arrive pas à les touchés. C’est avant de me réveiller que je réalise qu’ils sont devant ma tombe à me pleurer. Lorsque je me réveille, les larmes me sont venue aux yeux, je l’ai essuie toujours rapidement honteux d’avoir pleuré. Dans ses moments, j’écris à Élo tous se que je ressens. Elle me répond souvent de me laisser aller, que dans ma chambre personne est là pour me juger. Elle à raison. J’ai l’impression parfois qu’elle n’est pas réel, qu’elle est dans mon imagination et que bientôt elle disparaitra puis tout mes problèmes referont surface. J’ai même plusieurs fois pensé à prendre de la drogue, je lui en ai parlé et elle m’a tous simplement répondu que ça ne vaut pas la peine, j’aurai un autre problème sur les épaules. Elle à raison. Mais pourquoi j’ai l’impression de rester en suspend ? Je ne suis même pas capable de parler de mes problèmes à mon propre frère, à mon jumeau. Mais j’en suis incapable. Je ne veux pas son regard sur moi, un regard de pitié. Je me sentirai encore plus mal, de lui faire mal avec mes problèmes. Élo est définitivement ma roue de secours.

Hey! sais bizarre en dirais que jai deja vue se chapitre quelque part? NAH!" imposssible!

suite ! X D

aller la suite stp elle est toujorus aussi extra ta fic