[Fanfic] Elle n'avait pas de nom...

Continue.....J'adore

Dans le van, je contiens ma peine. De la peine mêlée à de la colère et à un goût intense d’incompréhension. Je ne comprenais pas. Pourquoi refuser de me reparler… Pourquoi refuser l’aide que je lui donnais… Je ne savais pas quoi ressentir pour elle. Elle était étrange, assez étrange pour qu’en si peu de temps, je m’attache à elle. Et elle me manquait déjà. Ses bras, je les sentais encore cramponnés au mien, comme pour empêcher un départ qui serait forcé de toute façon.
Je plongeais mon regard dans le vide, le mot encore coincé entre mes doigts. Ces 4 mots, ces quelques lettres, suffisantes pour exprimer un océan de sentiments…
A cet instant précis, je me sentais poète à nouveau. Comme si l’inspiration qui m’avait fuit en même temps que le sommeil revenait quand la tristesse se joignait à moi.
J’allais me mettre à l’œuvre, quand le naturel de mon frère reprit une fois de plus le dessus sur lui-même.
_Eh Bill, n’empêche, j’avais raison. Elles te brisent toutes le cœur.
A cet instant précis, j’éclatai. Et je me surpris moi-même en ne hurlant pas. Au contraire, j’étais tellement énervé que je murmurais.
_Tom. Sois gentil. Essaie de dire, ne serait-ce qu’une fois, une chose intelligente.
_T’as même plus le sens de l’humour.
Je le fixai avec mépris.
_Ton sens de l’humour… Non je ne l’ai pas. Et j’en suis heureux.
J’allais l’insulter quand je me retins en concluant par un « pauvre type » tellement méprisant que Tom se tut.
Le voyage s’acheva dans le silence. Je serrais toujours ce bout de papier dans ma main. Je regardais le vague, espérant voir un visage familier, mais non, rien. Juste la route. Le gris de l’hiver. Des gouttes de pluie s’abattaient sur ma vitre. Et je repensais à cette fille qui était tellement malheureuse qu’elle m’avait rendu triste pour un bout de temps. Déchirer mon numéro, personne ne l’aurait fait. Et pourtant, elle…

Oorghh !

Cette fille me fait penser a un livre de SF que j'ai lus...


Super, continue !

... l'a fait j'aime ... encore plus..

C'est super! Bien que ce chapitre est plutôt un paragraphe xD (si moi, je publie un chapitre de moins 6 pages word, je me fais tuer par mes lecteurs xD! D'ailleurs, je peux pas faire des chaps très courts..A part quand c'est voulu xD)
Suite?

=D ich liebe ^^

suite !!

vite la suite on adore !!

vite la suite on adore !!

vite la suite on adore !!

Evite les triples (double) posts...

^^ j'aime bien! suite! ^^

dsl on la pa fé expres on a eu un bug dordi !! XD

L’inspiration ne me viendra donc jamais… Tom et Georg se racontent des histoires qui les font pouffer de rire, Gustav est avec son mp3, je m’ennuie, et ne trouve rien à écrire. Ecrire, autant que je sorte ce projet de mon esprit. Les idées partent en courant, alors qu’elles ne sont pas arrivées. Et si je faisais une chanson sur cette inspiration inexistante ? Hm, non. Trop facile. Je cherche le défi. Hm, je perçois une source, une idée. J’allais porter mon stylo à mon calepin quand…
_Ah mince !!!
Tom venait de crier, avait fait peur au conducteur, et à mon idée par la même occasion.
_Bon frangin, qu’est-ce qui se passe encore ?
_J’ai oublié ma casquette fétiche dans le studio de la salle de concert quand on signait le contrat !!
_Bon c’est bon, c’est rien. Répondis-je l’air blasé.
Tom ouvrit de grands yeux et renchérit.
_Eh oh Bill, c’est pas n’importe quelle casquette, c’est ma casquette fétiche.
Gustav se mêla au débat.
_Ah ouais c’est sûr, attacher tant d’importance à un objet, il n’y a que toi pour le faire.
Finalement, suite à la chouinade de mon frère, on a fini par faire demi-tour. Encore de la voiture, toujours de la voiture.
Le ciel est gris, la route est grise, les voitures sont grises… Parfois je me demande pourquoi la Terre, c’est la « planète bleue » et pas la « planète grise ». Enfin, que de questions bizarres…
Tom fait de l’hypertension, il gesticule depuis tout à l’heure. On lui demande pourquoi, il nous répond « ma casquette ». Je crains fort que l’estime que j’ai pour mon frère soit basse, ou même inexistante. Ce type est atteint je crois…
Nous voilà arrivés. Je ne voulais pas descendre de voiture. J’étais blotti dans mon siège, entre mon calepin, mon crayon et mon mp3. Mais pour que
Tom descende, il fallait que j’en fasse de même.
Je suis descendu et Tom est parti en courant vers le bâtiment. Je me dégourdis les jambes un instant. Je me retournai soudainement… et… elle était toujours sous l’arbre. Mais plus seule cette fois. Une autre fille était sous l’arbre aussi. Elles souriaient toutes les deux. Ca m’a fait bizarre d’ailleurs. Les larmes qui coulaient tout à l’heure sur ses joues étaient désormais des éclats de rire. Mais quand elle m’aperçut, son regard se figea, ses lèvres se refroidirent, et elle baissa les yeux vers le sol. Son amie la regarda avec un regard étrange, puis me regarda moi. Et là son regard
se figea aussi. Elle interrogea l’autre. « L’autre »… Je ne connais pas son prénom, il m’est donc impossible de l’appeler autrement.
Je m’approchai d’elles. Tom arriva alors, sa casquette à la main. Je n’avais pas le temps de leur adresser la parole.
Je repris un bout de papier, écrivis dessus, et lui tendis. Encore mon numéro.
_Cette fois, tâche de ne pas le glisser dans ma poche. Ok ?
Elle ne répondit pas. La fille à côté n’avait pas bougé. Les yeux et la bouche grand ouverts.
Je remontai dans le van. De loin, j’entendis son amie lui dire :
_T’as des choses à me raconter je crois.
_Non. Pas envie de raconter ma vie.
Pour une fois, j’avais donné mon numéro personnel. Je ne fais jamais ça.
Je mis un casque sur mes oreilles, laissant ainsi les bêtises que racontait Georg pour lui, mon frère, et Gus. Et je m’isolais dans mon petit monde.
Je passais en boucle Placebo, et la voix androgyne de Brian Molko.
20 years, Protect me, The song to say goodbye…
Le regard dans le vague, je ne pense plus rien, n’écris plus rien, et ce texte là que vous êtes en train de lire, il ne sert à rien. Les heures ont passé. Je suis désormais à l’hôtel. C’était trop bien rangé pour moi, alors j’ai retourné trois valises sur le tapis et inondé la cabine de douche : et oui, j’aime le désordre. J’étais allongé sur mon lit, une bouteille de coca dans la main, quand mon téléphone sonna.
_Allo Bill ?
Une voix que je ne connaissais pas venait de prononcer ces mots.
_Qui est-ce ?
_Je suis celle qui était sous l’arbre tout à l’heure, avec cette autre fille que tu connais. Je suis ravie de te parler.
Elle me parlait en riant.
_Ah euh… Pourquoi je ne parle pas avec la fille en question ? Celle à qui j’ai donné le numéro ?
_Elle n’en voulait pas, elle m’a laissé le recopier. Sympa non ?
_Euh…
_Bah t’es pas bavard !! Moi c’est Eva.
_Eva ?
_Bah ouais, Eva.
J’ai connu une Eva, mais c’était un autre personnage, dans une autre histoire.
_Bon écoute Eva, je dois te laisser. Répétition. Salut !
Sans qu’elle ne puisse protester, j’avais raccroché, et fermé mon portable. Voilà ou avait atterri mon numéro : dans le portable d’une inconnue. Et elle, si elle ne veut vraiment plus me voir, je n’insisterai pas.

la suite

Suiiiite plizzzzzzzzz! trop bien ^^!

o.O ze veux la chuite! ^^

Rien a redire

Just: Chuiite ^^

c'est tro bien vite vite la suite tro impatiente ! :

La suite vite !! :--)

J'aime ce remix de ce que t'avais trouvé au college... suite

j'aodre trop!!
elle fait vraiment nimporte quoi l'"autre"!!!

oué suittteeee

Beuuuuuuuuuuuuh camouuuuuuuuuuuu

C'est trop biien