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 [@ DE] TH et autres bévues

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axia

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MessageSujet: [@ DE] TH et autres bévues   [@ DE] TH et autres bévues EmptySam 29 Oct 2011 - 12:18

source: http://www.faz.net/aktuell/wirtschaft/netzwirtschaft/rausch-und-reue-3-tokio-hotel-und-andere-pannen-1437491.html

L'article date de 2007. je sais pas pourquoi ça sort maintenant mais bon.

Citation :
La fusion des activités musicales de Bertelsmann (note axia: groupe de médias allemand possédant RTL Group...) et Sony a eu un début difficile. Le nouveau géant de la musique est en prises avec des pannes qu'il a lui-même créé, et non pas avec la concurrence, qui elle se réjouit car Sony-BMG perd les parts de marché. [...]

L'ironie de l'exemple de « Tokio Hotel » : Bertelsmann avait été le premier à créer le groupe de rock allemand, avant de les laisser tombé de façon abrupte. Tandis que les jeunes stars de Magdeburg préparaient il y a trois ans leur premier album, les managers de la plus grosse maison de médias d'Europe manigançaient leur fusion de leurs activités musicales de BMG avec celles de Sony. Après que le nouveau géant de la branche musicale, Sony-BMG, ait vu le jour, le chef européen Maarten Steinkamp a d'abord commencé par faire des coupes dans le budget. Sony-BMG fit le tri dans un grand nombre d'artistes.

Tout comme les stars déjà bien établies comme Udo Lindenberg, le combo des jeunes lycéens de l'Est très prometteurs devient aussi une victime de cette fusion en automne 2004. Soudain les avances usuelles pour les artistes paraissaient trop chères/élevées. Elles s'élevaient à un demi-million d'euros. Par la force des choses, les quatre musiciens cherchèrent une nouvelle firme. Au début de l'année 2005, le leader du marché mondial Universal Music les prit sous contrat. Aujourd'hui « Tokio Hotel » est l'un des groupes de jeunes allemands commercial les plus célèbres. Ce sont des idoles de jeunes, même en France, où la musique allemande est généralement laissée de côté. Pour le nouveau géant de la musique Sony-BMG, l'éviction de « Tokio Hotel » était une mauvaise décision énervante. [...]
Traduction par Gox pour Prinz16.skyrock.com, suite par Hollywood pour T-TH:
Citation :
« Grandir ensemble a été beaucoup plus difficile que nous le pensions »

La manière dont Bertelsmann et Sony ont abandonné leur deal qui valait des milliards, peut encore se voir comme un chef-d'œuvre. Cependant, pourquoi, après tant de négociations, la nouvelle entreprise connait un démarrage si difficile ? Une parte de la réponse : lorsque vous essayer d'utiliser les avantages de la fusion, les directeurs font des erreurs.

Cela n'a pas seulement supprimé 3000 des 8000 emplois ou fait partir des porteurs d'espoir comme « Tokio Hotel ». Le problème est plus profond : « Grandir ensemble a été beaucoup plus difficile que nous le pensions, » se souvient un expert de Bertelsmann. « Les grandes divergences de management » entre Bertelsmann et Sony font que, encore aujourd'hui, il reste à créer une équipe. Du point de vue des Allemands, les Japonais (note axia: Sony est japonais) agissent trop souvent de manière « centraliste et bureaucratique. » Les directeurs de Sony-BMG aussi reconnaissent qu'il a eu beaucoup de frictions aux Etats-Unis aussi, le marché musical le plus important au monde.

« Nous restons ici à rien faire pendant que Bertelsmann vend »

Chez Bertelsmann, il y a des signes clairs disant que l'intérêt pour les nouveaux marchés de la musique diminue. Les relations entre la direction à Gütersloh et la politique de management appliquée par Sony-BMG sont évidemment très tendues. Afin d'amasser des fonds pour autre choses, Bertelsmann a vendu, l'année dernière, ses affaires d'édition du musique qui ne font pas partie de Sony-BMG – justement à Universal Music. Chez Sony-BMG, cela n'a pas été bien reçu. « Nous restons ici à rien faire pendant que Bertelsmann vend ses affaires à notre principal concurrent. Merci beaucoup ! » s'énerve un employé.

[...]
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