| | [DE @] Les Tokio Hotel ont-ils besoin de l'argent de nos impôts ? - welt.de | |
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Messages : 8859 Points : 7670 Date d'inscription : 04/11/2006
| Sujet: [DE @] Les Tokio Hotel ont-ils besoin de l'argent de nos impôts ? - welt.de Dim 9 Oct 2011 - 20:13 | |
| - Citation :
- Welt.de
Les Tokio Hotel ont-ils besoin de l'argent de nos impôts ?
Un nouveau document révèle pour quels projets musicaux l'Etat verse des subventions
Les deux limousines noires Mercedes S500 roulent lentement, l'une derrière l'autre, sur le parking à l'arrière de la salle. Le moteur est encore en marche, des hommes allemands et japonais vêtus de costumes sombres attendent déjà, se rapprochent. L'entourage des stars. Les quatre musiciens descendent, Georg et Gustav de la première voiture, Bill et Tom de la seconde. Tokio Hotel. Les fans crient leurs noms. Bill hoche la tête et dit : « Bonjour. » Le groupe disparait ensuite par l'entrée des artistes.
A l'intérieur, dans le « Akasaka Blitz » qui peut accueillir jusqu'à 1500 personnes, le groupe joue quelques chansons, puis est interviewé par un interprète japonais sur scène. Il demande en allemand : « Vous vous amusez ? » Bill, qui porte une veste en cuir noire avec des clous sur les épaules, dit : « Nous nous amusons beaucoup. » Tom dit : « Nous avons pensé toute la journée aux belles femmes que nous allions voir. » Bill ajoute : « Je dois dire : elles sont un peu timides – mais personnellement, je trouve ça vraiment mignon. »
Voici à quel point la musique financée par l'Etat en Allemagne peut être belle.
Au mois de décembre dernier, le groupe pour adolescents Tokio Hotel a joué à Tokyo pour la première fois, dans la ville qui leur a donnés leur nom. Peu avant, ils étaient encore en tournée en Amérique du Sud, après plus de six millions de disques vendus, le groupe a des fans dans le monde entier. Ils sont considérés comme le groupe ayant le plus de succès, commercialement parlant, en Europe. Mais du point de vue du gouvernement fédéral, les Tokio Hotel restent malgré tout une institution culturelle qui se doit d'être soutenue financièrement. Dans le cadre d'un « financement direct des projets du Ministère des Affaires Étrangères », l'Allemagne a financé le concert de décembre à Tokyo, déboursant 25 738 euros pour l'occasion. Raison : le Ministère des Affaires Étrangères promeut « dans certains cas des projets artistiques de manière directe, lorsque les considérations politiques et le contenu des projets parlent en leur faveur. »
Avec le même raisonnement, encore plus d'argent est déboursé pour la concurrence de Tokio Hotel. Deux concerts du groupe Toten Hosen par exemple, qui a vendu autour de 22 millions d'albums jusqu'ici, et qui s'est parfaitement débrouillé seul pour atteindre la gloire, ont été financés par l'Etat l'année dernière. Pour les deux performances à Taschkent, en Ouzbékistan, et à Almaty, au Kazakhstan, le Ministère a dépensé la somme de 68 793 euros.
Annonce Combien d'argent l'Etat allemand donne pour la promotion de la musique, où va cet argent, et pourquoi ces dépenses ? Ces questions ont fait l'objet d'une enquête officielle de la part du SPD au Bundestag, contre l'union CDU-FDP, présidée entre autres par le chef du parti Frank-Walter Steinmeier, aidé porte-parole du Ministère de la Culture Siegmund Ehrmann. Le gouvernement a maintenant répondu, dans un document de 58 pages, que le « monde » avance aujourd'hui. C'est la première fois que la promotion de la musique par l'Etat est entièrement présentée et résumée de la sorte. Cependant, le document nous laisse malheureusement perplexe.
La réponse contient un cafouillis de subventions pour des institutions, des projets longs, courts, grands ou modestes, des investissements pour des groupes de musique ou des associations très rentables, et une juxtaposition de tous les aspects du pouvoir gouvernemental : en plus du Ministre de la Culture, on retrouve aussi les Ministres de la Famille, de l'Education, de l'Economie, de la Défense, du Budget et des Affaires Étrangères, tous impliqués dans la promotion de la musique. Quelque chose de bizarre, ce n'est absolument pas le Ministre de la Culture qui coordonne ces activités. « Un accord entre les Ministres est à la base de tout ceci, » est-il écrit dans le document.
Il y a cependant un gros problème : il n'y a aucune réponse à la question de savoir d'après quels critères le gouvernement se décide à propos du partage des subventions. La promotion de la musique est toutefois une affaire de länder et de communes. Ils doivent veiller à ce que les salles d'opéra puissent avoir assez de violonistes, que les chœurs aient une salle pour répéter, etc. Le gouvernement fédéral n'intervient que si une institution musicale a « une pertinence pour l'Etat. » En d'autres termes, les gros projets phares. Mais comment on les identifie, le gouvernement ne fait aucun commentaire à ce sujet. C'est juste que la « pertinence pour l'Etat » devrait « en tout cas être concrétisée et ne peut se laisser généraliser au vu de la diversité des cas. » En pratique, cela signifie que : le festival européen de la musique d'église de Schwäbisch-Gmünd, ou l'association de musique baroque allemande reçoivent des fonds du gouvernement fédéral et sont donc considérés comme « pertinent pour l'Etat », mais pas l'orchestre philarmonique de Berlin.
Au total, d'après ce que dit le document, le gouvernement a déboursé, pour la promotion de la musique en 2011, autour de 44 197 000 euros. Cette somme est le fruit de paiements sur le long terme (tels que les virements annuels pour le Festival de Bayreuth) et les financements de projets individuels. Le Rundfunk Orchester et le Chöre Berlin GmbH (ROC) ont été les plus gros bénéficiaires de ces subventions. On retrouve en-dessous la société des quatre ensembles publics berlinois. Le ROC constitue, avec environ 11,9 millions d'euros, un quart du financement total de la part du gouvernement. Le réseau Neue Musik se classe derrière avec 4,15 millions d'euros. Puis suit l'initiative « Un instrument pour chaque enfant » avec 3,5 millions d'euros et le Conseil de la Musique allemand avec trois millions d'euros. Est-ce trop ? Est-ce trop peu ? 384 000 euros pour la musique amateur sont-ils exagérés ou peu ? Et qu'en est-il des 75 000 euros pour le soutien de haut niveau de l'orchestre philarmonique allemand pour jeunes ou des 31 000 euros pour la salle Händel-Haus ? Le dilemme est clair : la plupart de ces institutions ont de bonnes intentions. Et pour les amateurs de cultures, chaque euro dépensé pour l'art est considéré comme un euro dépensé intelligemment. Malgré cela, il est surprenant que le gouvernement puisse designer des critères de manière objective pour leur générosité financière, et non sur demande d'opposition.
Et dans le document, on retrouve aux côtés de Tokio Hotel et des Toten Hosen encore d'autres noms intrigants : dans la rubrique « Financement de la musique populaire (professionnelle) », 75 000 euros ont été débloques comme « fonds d'amorçage » pour l'Echo Jazz. L'Echo Jazz a été décerné pour la première fois en 2010. L'industrie du disque décerne ce prix afin de remettre la musique jazz au gout du jour. Le gouvernement fédéral a également contribué à l'organisation des lobbys musicaux des länder pour financer des évènements professionnels. Une constellation pour le moins douteuse.
La cour fédérale est actuellement occupée avec le festival de Bayreuth – peut-être qu'elle devrait un jour se pencher sur l'ensemble de la musique allemande également.
Traduction de Hollywood pour ATH. - Article original en allemand:
Ein neues Papier enthüllt, für welche Musikprojekte der Staat Zuschüsse zahlt
Die zwei schwarzen Mercedes-S500-Limousinen fahren gemächlich hintereinander auf den Parkplatz an der Hinterseite des Clubs. Sie halten mit laufendem Motor, deutsche und japanische Männer in dunklen Anzügen warten schon, treten näher. Die Entourage der Stars. Die vier jungen Musiker steigen aus, Georg und Gustav aus dem vorderen Wagen, Bill und Tom aus dem hinteren. Tokio Hotel. Fans rufen ihre Namen. Bill winkt und sagt: "Hello." Dann verschwindet der Tross im Künstlereingang.
Drinnen, im "Akasaka Blitz" mit Platz für 1500 Menschen, spielt die deutsche Band ein paar Songs und wird dann von einem japanischen Dolmetscher auf der Bühne interviewt. Er fragt auf Deutsch: "Habt ihr Spaß?" Bill, der eine schwarze Lederjacke mit Eisenstacheln auf den Schultern trägt, sagt: "Wir haben total Spaß." Tom sagt: "Wir schwärmen den ganzen Tag von den wunderschönen Frauen." Bill ergänzt: "Ich muss sagen: So ein bisschen schüchtern - was ich persönlich aber ganz süß finde."
So schön kann staatliche Musikförderung aus Deutschland sein.
Im vergangenen Dezember hat die Teenie-Band Tokio Hotel zum ersten Mal in Tokio gespielt, der Stadt, die ihr den Namen gab. Kurz davor waren sie noch auf großer Südamerika-Tour gewesen, nach mehr als sechs Millionen verkauften Platten hat die Gruppe Fans in aller Welt. Sie gilt als eine der kommerziell erfolgreichsten Bands Europas. Doch aus Sicht der Bundesregierung handelt es sich bei Tokio Hotel offenbar trotzdem um eine Kulturinstitution, die der Steuerzahler unterstützen muss. Im Rahmen einer "direkten Projektförderung des Auswärtigen Amtes" hat Deutschland den Auftritt in Tokio vom Dezember jedenfalls mit 25 738 Euro bezuschusst. Begründung: Das Auswärtige Amt fördere "in Einzelfällen auch Kunstprojekte direkt, wenn außenpolitische Erwägungen und auch das Projektvolumen dafür sprechen".
Mit derselben Argumentation werden bei der Konkurrenz von Tokio Hotel übrigens noch ganz andere Preise gezahlt. Zwei Konzerte der Toten Hosen zum Beispiel, die mit etwa 22 Millionen verkauften Tonträgern bisher auch ganz gut allein über die Runden gekommen sind, wurden im vergangenen Jahr ebenfalls staatlich gefördert. Für die beiden Auftritte im usbekischen Taschkent und im kasachischen Almaty bewilligte das Auswärtige Amt 68 793 Euro.
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Wie viel Geld gibt der deutsche Staat für die Förderung von Musik aus, wofür gibt er es aus, und warum tut er es? Diese Fragen waren Gegenstand einer Großen Anfrage der SPD-Fraktion im Bundestag an die schwarz-gelbe Koalition, vorgelegt unter anderem von Fraktionschef Frank-Walter Steinmeier, ausgearbeitet vom kulturpolitischen Sprecher Siegmund Ehrmann. Die Regierung hat jetzt geantwortet, in einem 58-seitigen Schreiben, das der "Welt" vorab vorliegt. Federführend war die für Bundeskultur zuständige Behörde von Kulturstaatsminister Bernd Neumann (CDU). Es ist das erste Mal, dass die bundesdeutsche Musikförderung vollständig zusammengefasst und dargestellt wird. Doch leider macht das Papier ziemlich ratlos.
Die Antwort enthält ein Gewirr von Zuschüssen für Institutionen, Groß- und Klein-, Lang- und Kurzprojekten, Zuwendungen für höchst profitable Gruppen und Verbände und ein Über- und Nebeneinander von Zuständigkeiten: Neben dem Kulturstaatsminister geben nämlich auch noch die Bundesministerien für Familie, Bildung, Wirtschaft, Verteidigung und das Auswärtige Amt Geld für Musikförderung aus. Eine Oberaufsicht fehlt, der Kulturstaatsminister koordiniert diese Aktivitäten auch nicht. "Eine Abstimmung zwischen den Ressorts erfolgt in der Regel anlassbezogen", heißt es im Papier.
Das größte Problem ist aber: Nirgendwo wird die Frage beantwortet, nach welchen Kriterien die Bundesregierung über die Verteilung des Geldsegens entscheidet. Musikförderung ist eigentlich Sache der Länder und Kommunen. Sie müssen zusehen, dass die Opernhäuser genug Geiger einstellen können, Laienchöre irgendwo proben können und so weiter. Der Bund wird nur tätig, wenn eine Musikinstitution "gesamtstaatliche Relevanz" hat. Also sozusagen bei Leuchtturm-Projekten. Doch wie man die erkennt, dazu macht die Regierung keine Angaben. Es heißt nur lapidar, die "gesamtstaatliche Relevanz" müsse "in jedem Fall konkretisiert werden und lässt sich angesichts der Vielfalt der Sachverhalte nicht verallgemeinern". In der Praxis bedeutet das: Das Europäische Kirchenmusikfestival Schwäbisch-Gmünd oder der Verein Mitteldeutsche Barockmusik bekommen Geld vom Bund und gelten demnach als "gesamtstaatlich relevant", die Berliner Philharmoniker nicht.
Insgesamt, so heißt es im Papier, hat die Bundesregierung für die Musikförderung im Jahr 2010 rund 44 197 000 Euro ausgegeben. Diese Summe setzt sich zusammen aus langfristigen Zahlungen (etwa die jährlichen Überweisungen an die Bayreuther Festspiele) und projektbezogenen Einzelförderungen. Spitzenempfänger war die Rundfunk Orchester und Chöre Berlin GmbH (ROC). Dahinter verbirgt sich die Trägergesellschaft der vier öffentlich-rechtlichen Berliner Klangkörper. Die ROC erhielt mit rund 11,9 Millionen Euro etwa ein Viertel der gesamten bundesdeutschen Musikförderung. Dahinter rangiert das Netzwerk Neue Musik mit 4,15 Millionen Euro. Es folgen die Initiative "Jedem Kind ein Instrument" mit knapp 3,5 Millionen Euro und der Deutsche Musikrat mit gut drei Millionen Euro. Ist das alles zu viel? Ist das zu wenig? Sind 384 000 Euro für die Laienmusik üppig oder knauserig? Wie steht es mit den 75 000 Euro zur Spitzenförderung der Jungen Deutschen Philharmonie oder den 31 000 Euro für das Händel-Haus Halle? Das Dilemma ist klar: Die meisten Posten mögen gute Gründe haben. Und überhaupt gilt unter Kulturliebhabern jeder Euro, der für Kunst ausgegeben wird, grundsätzlich als ein guter Euro. Trotzdem ist es erstaunlich, dass die Bundesregierung keine objektiven, überprüfbaren Kriterien für ihre Großzügigkeit benennen kann, auch nicht auf Oppositionsanfrage.
Und so finden sich in dem Papier neben Tokio Hotel und den Toten Hosen noch andere verblüffende Namen: Unter der Rubrik "Förderungen der (professionellen) populären Musik" werden zum Beispiel 75 000 Euro als "einmalige Anschubfinanzierung" für den Echo Jazz aufgeführt. Der Jazz-Echo wurde 2010 zum ersten Mal verliehen. Die Plattenindustrie vergibt den Preis, um ihre Jazz-Absätze aufzupolieren. Veranstalter ist der Bundesverband Musikindustrie. Die Bundesregierung hat also der obersten Musiklobby-Organisation des Landes bei der Finanzierung einer Promo-Veranstaltung geholfen. Eine zumindest fragwürdige Konstellation.
Der Bundesrechnungshof hat sich gerade erst mit den Bayreuther Festspielen beschäftigt - vielleicht wird er sich eines Tages auch die deutsche Musikförderung als Ganzes ansehen müssen.
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| | | Fur_Immer_Alien
Messages : 7404 Points : 9092 Date d'inscription : 23/12/2008
Âge : 29 Localisation : Au pays des ... cauchemars ?!
| Sujet: Re: [DE @] Les Tokio Hotel ont-ils besoin de l'argent de nos impôts ? - welt.de Lun 10 Oct 2011 - 13:28 | |
| Je l'ai lu en travers du coup j'ai pas tout compris Faudra que je le relise tranquillement ^^ Merci | |
| | | meliane
Messages : 5744 Points : 9506 Date d'inscription : 19/08/2010
| Sujet: Re: [DE @] Les Tokio Hotel ont-ils besoin de l'argent de nos impôts ? - welt.de Lun 10 Oct 2011 - 14:14 | |
| J'ai eu du mal à comprendre ce texte qui d'abord était long à lire, m'avait l'air un peu trop complexe et aussi politique, bref j'avais laissé tomber. Du coup je ne sais pas si TH à besoin de cette rémunération supplémentaire, je crois qu'ils gagnent déjà très largement bien leur vie avec la vente des albums, les singles, les concerts, les goodies. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: [DE @] Les Tokio Hotel ont-ils besoin de l'argent de nos impôts ? - welt.de Lun 10 Oct 2011 - 15:00 | |
| Il ne s'agit pas réellement d'une rémunération supplémentaire, c'est simplement que le gouvernement allemand a subventionné leur 1er voyage au Japon en Décembre, dans un projet de partenariat Japon/Allemagne, comme dit dans le texte... - Citation :
- Dans le cadre d'un « financement direct des projets du Ministère des Affaires Étrangères »,
- Citation :
- Combien d'argent l'Etat allemand donne pour la promotion de la musique,...
Je trouve que c'est une bonne chose, que ce soit ou non pour TH et l'Allemagne. Que les gouvernements et les politiques soutiennent ce genre d'actions en faveur de l'exportation culturelle telles que la musique ou le cinéma, ou jenesaisquoi... |
| | | meliane
Messages : 5744 Points : 9506 Date d'inscription : 19/08/2010
| Sujet: Re: [DE @] Les Tokio Hotel ont-ils besoin de l'argent de nos impôts ? - welt.de Lun 10 Oct 2011 - 15:21 | |
| Ah oui bé dans ce cas c'est une bonne chose. | |
| | | emilie36963
Messages : 6119 Points : 8106 Date d'inscription : 15/07/2008
Âge : 40 Localisation : Strasbourg
| Sujet: Re: [DE @] Les Tokio Hotel ont-ils besoin de l'argent de nos impôts ? - welt.de Lun 10 Oct 2011 - 21:22 | |
| - bobbynette86 a écrit:
- Je trouve que c'est une bonne chose, que ce soit ou non pour TH et l'Allemagne. Que les gouvernements et les politiques soutiennent ce genre d'actions en faveur de l'exportation culturelle telles que la musique ou le cinéma, ou jenesaisquoi...
Je ne suis pas d'accord Je veux dire que si cet argent tombait du ciel, et qu'ils voulaient l'utiliser pour promouvoir la culture, ok, super. Mais cet argent provient des impôts, un prélèvement obligatoire, auprès de personnes qui ne sont pas forcément fortunés et qui aimeraient peut être dépenser leur argent dans des choses plus utiles. Certes les sommes qu'ils citent sont dérisoires, surtout concernant TH : 25 000 euros !! C'est vraiment chercher la petite bête... Combien les membres du groupe paient-ils d'impôt ? Certainement beaucoup plus. Et si on y ajoute la somme de TVA perçue sur la vente de leurs albums et tout, l'Etat se fait bien plus de fric sur leur dos que le contraire, à mon humble avis. | |
| | | Mona
Messages : 205 Points : 250 Date d'inscription : 16/09/2011
Âge : 29
| Sujet: Re: [DE @] Les Tokio Hotel ont-ils besoin de l'argent de nos impôts ? - welt.de Lun 10 Oct 2011 - 21:34 | |
| Je pense que c'est une bonne initiative du gouvernement...mais enfin le groupe n'en a pas besoin non? ...et si ça tend à provoquer des polémiques...je crois qu'ils devraient aller promouvoir d'autres groupes, et les TH continueraient à faire ce qu'ils ont toujours fait avec ou sans l'aide du gouvernement...non??...enfin c'est ce que je pense... --> Emilie...t'as pas tort...j'adhère assez sur l'idée que finalement le gouvernement tire son épingle du jeu, et tant qu'à faire payer aux gens des impôts pour mondialiser la culture allemande.. pourquoi ne pas aider des groupes prometteurs qui réellement ont du mal à se faire connaître... | |
| | | axia
Messages : 12119 Points : 20585 Date d'inscription : 11/02/2010
Âge : 43 Localisation : en haut à droite; près de leur pays ou bien à Perversland
| Sujet: Re: [DE @] Les Tokio Hotel ont-ils besoin de l'argent de nos impôts ? - welt.de Mar 11 Oct 2011 - 15:58 | |
| y a pas de quoi en faire un plat. une partie du budget de chaque Etat va au ministère de la Culture, que ce soit pour des musées, des films ou des concerts. en + là, c'était organisé par l'ambassade d'Allemagne non? si l'ambassadeur invite un artiste, il paye peut etre une partie de son voyage non? | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: [DE @] Les Tokio Hotel ont-ils besoin de l'argent de nos impôts ? - welt.de Mer 12 Oct 2011 - 16:21 | |
| - Citation :
- y a pas de quoi en faire un plat. une partie du budget de chaque Etat va
au ministère de la Culture, que ce soit pour des musées, des films ou des concerts Je suis tout à fait d'accord, pour moi c'est normal. Une société sans culture, c'est impossible, et la culture passe par la musique, notamment etrangère. Le titre de l'article est juste mal foutu, c'est ce qui amène un débat qui n'a pas lieu d'être. Evidemment qu'ils n"ont pas besoin de l'argent des contribuables, mais le fait est que cette promotion est une décision gouvernementale, et non une demande de leur part... |
| | | axia
Messages : 12119 Points : 20585 Date d'inscription : 11/02/2010
Âge : 43 Localisation : en haut à droite; près de leur pays ou bien à Perversland
| Sujet: Re: [DE @] Les Tokio Hotel ont-ils besoin de l'argent de nos impôts ? - welt.de Mer 12 Oct 2011 - 16:49 | |
| de tt façon, à mon avis, le concert a couté plus que 25000 euros. | |
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| Sujet: Re: [DE @] Les Tokio Hotel ont-ils besoin de l'argent de nos impôts ? - welt.de | |
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| | | | [DE @] Les Tokio Hotel ont-ils besoin de l'argent de nos impôts ? - welt.de | |
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