[FanFic inachevée ] The Unkown

Hey! Je me lance dans une fanfic', c'est ma première, j'éspaire qu'elle vous plaira. Bonne lecture <3

Chapitre.01____

P.D.V Manelle :

De nos jours, il est tellement difficile de garder une réputation. Cela peut être amusent de voir tous ces gens, même les hommes, avoir peur de nous. Non, cela n’est pas juste amusent, cela procure un bien fou. Voir tous ces gens trembler quand on leur adresse un simple regard. Les voir bégayer quand on leur adresse une simple parole. Se faire respecter. Mais il est très dur de garder cette image de soi avec les gens, d’être toujours à la hauteur. Dans un monde en pagaille, il ne faut pas baisser les yeux, même pas pour un instant, car en cet instant éphémère, tout peut basculer et on peut parfois se retrouver loin, très loin …

Depuis un bon moment déjà, la nostalgie s’est emparée de moi. Redeviendrais-je un jour celle que j’étais pendent si peu de temps ? Et si je pouvais revenir en arrière ? Changer mon passé ? Revivre les bons moments, ne serait-ce qu’une seule fois ? Ou effacer les pires ? Et si tout cela n’avait pas pris ce chemin là, serais-je devenue l’être que je suis maintenant ? Si j’aurais pue aider les personnes qui m’étaient chères peut-être seraient-elles devenues moins agressives envers moi aujourd’hui ? Et si je ne m’étais pas autant attachée à des personnes inaccessibles, peut-être cela aurait été moins dur pour moi. Tellement de questions dans ma tête et trop peu de chances pour que j’obtienne leurs réponses, pourquoi ? Parce qu’il est tout simplement impossible de revenir en arrière. Le présent n’est que le résultat des erreurs que j’ai fait dans le passé. Et si je choisissais de ne plus être ?

Je venais de me réveiller, après avoir passée la journée à rattraper mon sommeil. J’avais le corps comme perdu entre les plis de la couverture, perdu, comme mon état dans ce monde. La chambre était sombre, je devinais que le temps dehors n’était pas ensoleillé. Je tournis lentement la tête vers ma table de nuit pour savoir quelle heure indiquait le réveil. J’enlève les quelques boucles qui étaient sur mes yeux et lis sans très grand étonnement 16 heures 04. Après plusieurs hésitations, je me lève péniblement du lit, laissant tomber la moitié de ma couverture par terre. La première chose que je fais en étant debout est de me diriger vers la fenêtre. Le temps dehors était comme je l’avais deviné, avec un ciel couvert d’un beau manteau gris foncé, et quelques gouttes de pluies de temps en temps. J’aimais particulièrement ce temps-là. Je traversais chaque recoin de la maison, à la recherche de quelconque mouvement. D’après l’état impeccable dans lequel était la maison, et le silence qui régnait, je conclus qu’il n’y avait personne, ce qui dessina un large sourire sur mon visage. Je pris alors une douche vite-fait, enfila les vêtements qui m’étaient à portée de main puis me dirigea vers la cuisine. Je mis une casserole d’eau sur le feu. Puis, j’attendis que l’eau bouille pour pouvoir faire mon rituel : Une infusion aux fruits des bois. J’allume la radio et fais défiler les chaines avec lassitude. Toutes parlaient des mêmes choses, si peu intéressantes. Quand j’arrivais sur une des chaines qui ne m’était pas du tout inconnue, j’entendis des noms qui ne m’étaient pas inconnus non plus, ce qui me rappela qu’aujourd’hui n’est pas n’importe quel jour. J’écoute attentivement l’annonce de leur passage, puis sent mon cœur se serrer.

_ Flash Back

- Et c’est maintenant qu’ils se sont décidés à venir ?

- Manelle, je sais que c’est dur pour toi d’accepter sa, mais moi je les aime encore, et tu dois m’accompagner à l’interview, tu sais très bien combien sa compte à mes yeux, c’était de même pour toi il y a quelques mois, souviens-toi …

- Sara, il n’y a rien dont je dois me souvenir, ils ont quittés ma vie, définitivement.

- S’il te plait.

- Sa sera où et quand ?

- Dans exactement deux mois, le 21. L’interview se déroulera au même endroit où nous étions partis la fois dernière pour parler du groupe. L’émission commencera à 20 heures, et ont doit être présents vers 18 heures, 18 heures 30.

- Je serais là.

- Tu me le promets ?

- Ouais ouais.

- Promets-le-moi Manelle.

- Je te le promets, sur l’ancien amour que j’avais pour eux.

_ Fin du Flash Back

La sonnerie de mon téléphone m’avais décroché brusquement de mes pensées et m’avais fait sursauter par la même occasion. Il a toujours le don pour me faire peur ce petit être électronique, c’est fou. J’éteins la radio et cours vers ma chambre où je manque de tomber en m’ayant prise les pieds dans la couverture, je commence alors à rire en pensant que si ma mère aurait été là elle m’aurait dit que sa m’apprendra à laisser trainer mes affaires par terre. Je me jette alors sur mon lit et attrape mon portable juste à côté de l’oreiller, en chantonnant le refrain de ma sonnerie et en priant de ne pas me faire crier dessus. Je décroche.

- Ouais ?

- Ne me dis pas que tu viens de te réveiller …

Cette voix féminine familière n’était autre que celle de Sara, et elle avait deviné mon planning. Bon, sa commence bien, espérons que la suite ne sera pas plus terrible.

- Okay je ne te dis pas.

- Manelle ! Je ne sais même pas de quoi t’insulter là ! Ce n’est pas sérieux, tu le fais exprès ou quoi ? Tu dois te montrer ici avant deux heures maximum t’as oublié ?

- Non non je n’ai pas oublié, je serais là. Je gère.

- Eh bah t’a intérêt ma belle. A plus tard.

Et elle raccrocha, sans que je puisse rajouter une phrase, un mot. J’aurai voulue lui dire que je n’ai pas du tout envie de venir, mais je sais à quel point c’est importent pour elle et que si je la laisse tomber, elle ne me le pardonnera jamais, et quand je dis jamais ce n’est pas pour quelques jours ou quelques semaines, cela pourrait dépasser les années, je le sais. En plus que je le lui ai promis. En vérité, j’avais complètement oublié pour tout sa, j’ai passée une nuit blanche et là je manque encore de sommeil, si je m’étais souvenue que ce serait aujourd’hui, j’aurai dormis la nuit, pas le jour. Je me dégage violemment du bout de couverture qui était resté sur le lit et reviens à la cuisine. L’eau que j’avais oublié sur le feu était devenue bouillante comme jamais. Je verse prudemment le liquide dans une grande tasse et mis le sachet d’infusion. Comme à mon habitude, je reste focalisée quelques instants sur le sachet quand il laisse échapper une espèce de vapeur de couleur grenat dans l’eau. Puis, je traverse lentement le couloir menant au salon. Je mis un peu de musique et allume le chauffage, puis m’installe devant la fenêtre et me mit à siroter tranquillement mon thé.

It’s Tea Time.

L'histoire a l'air pas mal ^^
Suite s'il te plaît =)

Ma première lectrice :'D
La suite après la manifestation d'une autre lectrice, promis (:

Manifestation faite! ponds moi le reste!

Moi aussi j'aimerais la suite ! Ça a vraiment l'air bien ! Et j'aime bien comment c'est écrit ! [FanFic inachevée ] The Unkown Coeur

J'ai des lectrices :'D
Merci <3
Voici la suite:

Chapitre.O2____

P.D.V Bill :

Dans la vie, il faut faire des choix. Il y a ceux qui le font à temps, puis marchent droits. Il y a ceux qui le font à temps, et tombent. Et il y a ceux qui prennent beaucoup de temps pour choisir, c’est le choix qui les choisit, après, ils vivent avec, parce qu’ils y sont obligés, parce que justement, ils n’ont plus le choix. Qu’est-ce que je suis entrain de dire ? Rien, je passe le temps. Je réfléchis. Je fais des théories, fausses.

L’avion venait d’atterrir en Algérie. Le temps étaient pratiquement le même qu’en Allemagne, il faisait juste un peu moins froid, j’imagine que c’est parce que c’est un pays méditerranéen. Eh oui, peut-être que je suis une Superstar mais je ne suis pas con, et j’ai eu mon BAC. Nous passèrent par les douanes, réglèrent nos passeports, récupèrent nos valises et nous dirigèrent vers la sortie. Je regardai à droite, puis à gauche, rien. Où sont les fans ? Où sont les cris ? Où sont les larmes ? Je me retournai vers les autres, ils m’adressèrent un regard interrogateur et haussèrent les épaules. C’est sa les fans de l’Algérie ? Pourquoi on nous a saoulé pendent si longtemps pour qu’à la fin il n’y a personne pour nous accueillir ? Je fermis ma main et m’enfonçai les ongles dans la paume de ma main. Bill, gardes ton calme, il ne faut pas que tu t’énerves, ce n’est pas le moment de faire une crise, ils vont faire leur apparition au concert, ce n’est pas aussi grave que sa.

_ Flash Back

- Je leurs avait dit que c’était bien David Jost à l’appareil. Ils m’ont dit qu’ils devaient me parler au nom des fans d’Algérie.

- Algérie ? C’est où sa ?

- Tu ne sais pas où sa se trouve ? Shame on you Gustav !

- Parce que toi tu sais où sa se trouve Mr Tomi ?

- C’est sur la terre, pauvre con.

- C’est en Afrique, bande de crétins.

- Au nord, plus exactement.

- Ils m’avaient dit que les fans attendaient pendent longtemps, et que vous deviez vous montrer là-bas.

- Et qu’est-ce que tu leur as dit ?

- J’ai dit que j’allais les rappeler plus tard, je voulais vous en parler d’abord. J’accepte l’offre ?

- Bah on n’a rien à perdre, et puis on visitera une nouvelle ville.

- Sûr ?

- C’est nous les stars, et nous avons acceptés.

_ Fin du Flash Back

La voiture qui devait nous emmener à l’hôtel était arrivée. Le chauffeur nous proposa de faire une petite ballade de la ville avant de rentrer à l’hôtel. Nous refusèrent et lui dirent de reporter cela à plus tard, car on devait nous préparer avant l’interview à la radio. Il se contenta de hocher machinalement la tête sans rien dire. L’ambiance était calme, les autres ne disaient rien, ils regardaient par la fenêtre en silence. Le séjour prend un bon départ on dirait, et moi je commençais sérieusement à m’énerver.

Arrivés à l’hôtel, je descendis de la voiture en premier. Je pris le sac où il y avait mes affaires les plus importantes, comme mon ordinateur ou mon portable, par exemple. Puis je me dirigeai vers l’entrée. D’après la réception, l’hôtel ne devait pas être très luxueux, j’étais habité à mieux. Je regardai tout autour de moi, aucun fan en vue. Bordel si sa continue comme sa j’achète un billet et repart direct en Allemagne ! Je passai par la réception et pris les clés de ma chambre, puis pris l’ascenseur et monta au 4éme étage sans attendre les autres.

Je cherchai ma chambre dans tout l’étage. Elle n’était pas facile à trouver avec la construction qu’avait cet hôtel. Les couloirs étaient emmêlés comme pas possible. Quand je la trouvai, j’entra et jetai mon sac par terre, puis poussa violemment la porte pour qu’elle se ferme. Je débitais un flux d’insultes à n’en plus en finir. Qu’est-ce qui m’a pris de venir ici ? Je suis habitué à mieux, beaucoup mieux.

Quand soudain j’entendis frapper à la porte. Qu’est-ce qu’on me veut encore ? Je ne peux pas me reposer tranquille dans MA chambre ? Je l’ouvris, ce n’était autre que mon jumeau qui était venu. Je laissai la porte ouverte et me dirigea vers la fenêtre. Quand à lui, il pénétra dans la chambre et referma doucement la porte. Il s’assit sur le canapé et commença à jouer avec ses doigts.

- Tu te rends compte ?

- Bill, calmes-toi.

Il avait compris la raison de ma colère. Il était le seul à me comprendre, sans un mot, juste avec un regard. Mon jumeau, ma moitié, ma raison de vivre.

- Comment tu veux que je me calme ?

- N’oublis pas que c’est toi qui a accepté qu’on vienne ici.

- Oui, c’est vrai, j’ai commis une erreur et je regrette.

- Et puis, réfléchis un peu. Pas de fans qui nous suivent partout, pas de cris, pas de risques de croiser quelqu’un qui nous collera aux pieds, pas de paparazzis, pas de …

- T’es un géni Tom ! Le coupai-je.

- Je le savais sa, petit frère, trouve autre chose pour exprimer ton admiration envers moi. Et puis n’oubli pas que je suis plus grand que toi de 10 minutes.

- T’es obligé de me le redire à chaque fois ?

Et nous éclatèrent de rire à l’unisson. Sa « mission » accomplie, Tom se leva et s’éclipsa derrière la porte pour regagner sa chambre. C’est vrai que je n’y avais pas du tout pensé, je pourrais faire ce que je veux et dormir pendent toute la journée ! Si ce n’est pas beau sa, dormir, dormir et encore dormir. Après tout sa n’a pas que du mauvais d’être ici, au contraire, je commence à aimer cet endroit. Bon, il ne faut pas s’emporter trop loin non plus, pour l’instant, j’ai une interview à donner dans quelques heures et il faut que j’arrive là-bas au moins une heure avant le début de l’émission, il faudrait que je me prépare et que je m’en débarrasse, après sa

I’ll Sleep.

Génial ! Comme je l'ai dit, j'adore ta "manière" d'écrire ! [FanFic inachevée ] The Unkown Coeur

Bill qui s'énerve à peine après être descendu de l'avion ! xD
J'adore :
" Parce que toi tu sais où sa se trouve Mr Tomi ?

- C’est sur la terre, pauvre con." [FanFic inachevée ] The Unkown Rire

Vivement la suite ! [FanFic inachevée ] The Unkown P

J'ADORE

Vivement la suite !

Merci à toutes :'D
Juste un truc: Les premiers chapitres n'ont pas très l'air interessants, mais c'est juste pour vous "mettre dans le décor". J'éspaire que vous continuerez de lire et que vous serez patientes ^^

Chapitre.O3____

P.D.V Manelle :

Mon thé fini, je regardai une dernière fois à travers la fenêtre puis je me levai, éteint la musique et déposai la tasse que j’avais entre les mains dans la cuisine puis me dirigeai vers ma chambre. Je la rangeai vite-fait. Je commençai à rire en faisant mon lit, quand je m’étais souvenue que le matin même j’avais faillis tomber à cause de la couverture. Tête en l’air comme je suis. Après cela, j’ouvris mon armoire. Je ne cherchais pas quelque chose en particulier à mettre, je pris juste une tenue qui était bien pliée, repassée et rangée au fond. C’était celle que je devais mettre aujourd’hui.

_ Flash Back

- Je peux très bien choisir ma tenue toute seule, tu sais ?

- Je sais mais je sais aussi que tu va te fringuer n’importe comment et venir.

- Je me taperai la honte, pas toi. Je ne vois pas en quoi sa te dérange.

- Je veux que tu sois jolie, c’est tout.

- Et moi je te dis que je peux me faire jolie toute seule.

- Et moi je te dis que c’est moi qui décide. Tu va t’habiller comme JE veux.

Et je me mis à essayer tous mes hauts, tous mes jeans. Je rentrai et ressortais de la salle de bain, avec des styles et des vêtements différents à chaque fois, différentes couleurs, différentes formes, et elle trouvait toujours quelque chose qui n’allait pas. Elle tirait sauvagement mes vêtements de l’armoire, si elle trouvait quelque chose qui ne lui plaisait pas elle se contentait de le jeter par terre, parfois même elle jetait les plus beaux vêtements que j’avais, ce qui m’énervais plus qu’autre chose. C’était tout le temps soit le haut, soit le bas, soit les chaussures, soit les cheveux qui n’allaient pas. Elle répétait à chaque fois : « Qu’est-ce que tu ferais sans mon sens du style » alors que nous n’avions toujours pas trouvé LA tenue comme elle l’appelait. Et si j’avais le malheur de m’opposer à ce qu’elle me demandait de porter ou de faire, je pouvais m’attendre au pire.

- Oh, m … My … Goooooooood !

- C’est bon t’es contente là ?

- Fais un tour sur toi-même pour voir.

J’étais en face d’elle, j’obéissais à ce qu’elle disait sans riposter. Je fis un tour sur moi-même lentement, pour qu’elle voie si tout allait bien. Quand je me retrouvais une seconde fois en face d’elle, je vis un grand sourire illuminer son visage, je souris à mon tour, j’avais devinée que le supplice allait prendre fin à ce moment là.

- Tu es tout à fait sublime. Tu porteras sa.

_ Fin du Flash Back

Un sourire au coin se traça sur mon visage quand je me souvenais combien j’avais souffert ce jour-là. Ma chambre était devenue une espèce de bazar. J’enfilai donc péniblement mes vêtements et me mis devant le miroir de ma salle de bain pour me maquiller. Je n’arrivais toujours pas à croire que j’allais partir les voir, que j’allais être en face d’eux. J’en avais rêvée pendent tellement longtemps mais maintenant, rien que d’imaginer que je vais croiser leurs regards me dégoute. Je commençai à répéter plusieurs fois « je n’en ai pas envie » tout en me maquillant. C’est dans des moments comme ceux-là que les gens aimeraient disparaitre.

Quand soudain, j’entendais la sonnerie de mon téléphone retentir encore une fois, ce qui me fit sursauter. C’était la deuxième fois en même pas une heure, j’avais battue mon record. J’étais pratiquement sûre que c’était Kawtar qui appelait encore une fois, et je me rendis compte que j’avais raison quand j’avais lue son prénom sur l’écran de mon téléphone. Je décrochai :

- Je te rassure, je ne viens pas de me réveiller.

- Je le savais sa, patate. Tu me l’avais dit tout à l’heure. T’es où là ?

- A la maison.

- Elle est à la maison …

Elle parlait en même temps avec quelqu’un d’autre.

- C’est qui avec toi là ?

- Je suis à la radio, avec Sara. Hey ! Rend …

- Allô Manelle ?

- C’EST MON TELEPHONE !

- Manelle fais vite je supporte plus Kawtar.

- Oh la traitresse !

- J’arrive dans pas longtemps, juste le temps de sortir et prendre un taxi.

- Okay, on t’attend. Bisou.

Je finis de me maquiller, pris une veste et enfila mes bottines, puis sortis de la maison. Je traversai la rue à pas rapide, pour arriver à temps. Je regardai en même temps le ciel qui était couvert de nuages gris foncés. Décidément, j’adorais ce temps-là. Quand j’entendis derrière moi une voiture approcher, je me retournai, et j’avais de la chance car c’était exactement ce que je cherchai : un taxi. Je lui fis signe de se garer, y monta et lui dit de me conduire à la radio nationale. Il hocha la tête en silence.

De ma fenêtre, je voyais le temps défiler doucement, très lentement. Il commençait à pleuvoir, et les gouttes d’eau s’accumulaient de plus en plus sur la vitre. Je pensai. Réfléchissais. A quoi ? A ce qui allait arriver là-bas. Je ne savais pas du tout à quoi m’attendre. J’affichai un sourire au coin quand j’imaginais l’état dans lequel j’aurais été si j’étais encore fan. J’aurai perdu tout contrôle. Je me souvenais encore du jour où j’étais partie à la radio, 2ans et quelques mois en arrière, quand Sara n’en revenait toujours pas qu’on allait parler de Tokio Hotel. Pour nous, s’était quelque chose de très grand, un exploit. Je lui avais dit qu’un jour, si ils viendront ici, on fera une interview d’eux dans ce même endroit. Nous continuions de rêver éveillées. Pour elle, ce jour là devait être le jour le plus importent de sa vie, je le savais, car j’aurai ressentie la même chose si j’étais encore Fan. J’étais en route pour LE rêve, et cela ne me faisais aucun effet car ils ne faisaient plus partie de ma vie depuis longtemps. Et comme le disait l’une de mes chansons favorites, que je chantonnais en douce du siège arrière du taxi où je me trouvais :

« Today is gonna be the day that they're gonna throw it back to you.
By now you should've somehow realized what you gotta do.
I don't believe that anybody feels the way I do about you now.

Backbeat the word was on the street that the fire in your heart is out.
I'm sure you've heard it all before but you never really had a doubt.
I don't believe that anybody feels the way I do about you now. »

P.D.V Kawtar :

Je savais que Manelle allait venir contre sa volonté, qu’au fond elle venait juste pour nous faire plaisir, qu’elle préférait mourir plutôt que de venir ici, et j’étais très reconnaissante envers elle pour sa. Agir contre sa volonté pour une personne quelconque montre qu’elle compte énormément à nos yeux, et c’est un des plus beaux signes d’affection.

Mais j’avais mes raisons de la faire venir, et elles étaient simples : Sara connaissait Manelle avant moi, et elle savait mieux que personne ce que ressentait Manelle envers Tokio Hotel pendent sa période de « Fantitude », elle était convaincue qu’avec un petit d’aide, la flamme au fond d’elle allait se rallumer, ou du moins elle allait se rendre compte qu’elle ne s’était jamais éteinte.

En même temps, tout cela n’était qu’un théorème, peut-être qu’elle les avait réellement rayé de sa vie. Si cet aspect de « je ne suis plus fan » était un jeu, elle cachait bien son jeu et était très convaincante en tout cas.

- Donc, nous sommes bien d’accord : Pas un mot qui pourrait la blesser ou l’offenser.

J’attendis une réponse de sa part, mais elle se contenta de prendre son téléphone dans sa poche, elle regarda son écran, quelqu’un devait sûrement l’appeler. Elle décrocha et répondit brièvement :

« Ouais Manelle … Sérieux ? … J’arrive Patate. »

Elle sourit, cacha son téléphone dans sa poche et commença à courir dans le couloir en direction de la sortie, elle se retourna vers moi et me dit toute contente:

- Manelle est arrivée.

Banni Messages : 12465 Points : 18469 Date d'inscription : 30/07/2007

suite please

Dommage que cette fic soit abondonnée, pour une fois que c'est extra original ! Puis, TH en Algérie, haha ha laissez moi rire xD

je te rejoins dans l'originalité Kumi, pas trop dans l'écriture. ^^'
Il y a beaucoup trop de fautes d'orthographes, de conjugaisons et de grammaires. Ca gâche tout, c'est vraiment dommage :'(

Bah Manelle devait avoir 12 ans quand elle l'avait écrite ^^

Ah bah oui, sûrement. [FanFic inachevée ] The Unkown O

(en fait j'ai jamais eu de problème avec l'orthographe donc bon. J'suis pas trop trop tolérante là dessus, désolée. [FanFic inachevée ] The Unkown Ange

)