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 [@] ParisMatch : Faut-il prendre les stars au mot ?

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MessageSujet: [@] ParisMatch : Faut-il prendre les stars au mot ?   [@] ParisMatch : Faut-il prendre les stars au mot ? EmptyDim 13 Juin 2010 - 19:10

Dimanche 6 juin 2010
Citation :
C’est officiel depuis peu, Ricky
Martin est un chanteur gay. Gay, on s’en doutait. Chanteur, on avait
presque oublié. Mais en révélant sur son blog, en mars, son secret (de
polichinelle), l’interprète du fort lointain «Un, Dos, Tres» a remédié à
la situation : avec son coming out, ça a twitté, ça a facebooké, ça a
buzzé. On est loin d’un George Michael pincé en 1998 avec un monsieur
dans des toilettes publiques. Loin aussi d’un Bill Kaulitz, chanteur des
Tokio Hotel, qui, en 2007, dérape sur le Net un soir de cuite et
balance à ses groupies prépubères son homosexualité (message vite
supprimé, pour pas les fâcher).
Révéler son identité sexuelle a
désormais tout d’une stratégie de communication : organisée, préméditée,
parfois frontale. Une recette largement utilisée par les services
promotionnels des maisons de disques américaines, mais pas seulement.
Lorsque Emmanuel Moire, le chanteur du «Roi Soleil» sans album ni
tournée à promouvoir, confie l’an dernier son homosexualité au magazine
«Têtu», on s’interroge un peu. «Il était peut-être dans un creux de
communication à ce moment-là, mais, s’il avait été en promo, on le lui
aurait aussi reproché, argumente Gilles Wullus, directeur de la
rédaction de “Têtu”. Le coming out reste avant tout un acte unique et
important dans une vie, même si, dans le cas d’un artiste, il y a
toujours des enjeux économiques.»
                                                   Des enjeux tels que «la surenchère de
l’intime est partout, comme l’explique Virginie Spies, analyste des
médias. Quand une star raconte sa vie sexuelle, elle est sûre de faire
parler. Là, il s’agit de sexualités qui ne sont pas totalement
acceptées, donc ça exacerbe d’autant plus l’attention du
public.»
Certains s’y adonnent d’ailleurs avec une grâce assez déroutante. Comme
cette «star», qui devait dévoiler le 5 mai son homosexualité. Reprise
partout, cette annonce a affolé durant des semaines le Web et les
rédactions des magazines people.
                       
                       
                       
                       Une surenchère de l’intime où
l’important est de créer le buzz



                                                   Qui donc ? Britney ? Brad ? Non, Chely.
Chely Wright, obscure chanteuse de country texane qui se voyait déjà
écouler son album par camions. Dans cette course effrénée aux
révélations, quelques irréductibles continuent de laisser planer le
doute : une technique un rien plus chic mais tout aussi efficace. Mylène
Farmer, grande prêtresse du genre et icône gay, a toujours joué sur
l’ambiguïté sexuelle. George Clooney, lui, adore répondre aux
journalistes, hilare, que oui, il est gay – déclenchant alors des
tempêtes interplanétaires. Mais, depuis deux ou trois ans, la tendance
lourde est de ruer dans les brancards. Et le dernier cri, c’est de se
dire bi. On ne sait plus trop comment tout ça a commencé : par le baiser
échangé entre Madonna et Britney Spears en 2003 aux MTV Music Awards ?
Pas sûr, car la bisexualité sulfureuse de la madone ne date pas d’hier.
C’est
plutôt du côté de Lindsay Lohan qu’il faut regarder. Quand la starlette
se retrouve en mai 2008 au bras de Sam Ronson, DJ... et femme de son
état, la bisexualité est officiellement consacrée nouvelle branchitude
du moment. De quoi faire passer les stars hétéros pour de vieilles
choses ringardes. Dans la foulée, tout le monde s’y met, surtout les
filles. La même année, Katy Perry inonde les radios d’un «I Kissed a
Girl» fort explicite. Début 2009, Lily Allen s’empresse de raconter ses
ébats avec «des jumelles lesbiennes de San Diego». Pendant que Pink,
Fergie et Angelina Jolie nous rappellent leurs folies passées, les
petites nouvelles, elles, en font leur actualité – Lady Gaga, Ke$ha ou
encore Megan Fox. «Mettre sa bisexualité en avant, poursuit Virginie
Spies, c’est pour une star la possibilité de fuir le banal et de
maintenir l’intérêt.» Une mode qui a le mérite de faire évoluer (un peu)
les mentalités. Car au final, l’heure est au principe d’égalité : homo,
bi, hétéro pseudo libéré ou roi de l’ambiguïté, qu’importe. Pourvu
qu’on en parle.
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http://www.parismatch.com/People-Match/Spectacles/Actu/Faut-il-prendre-les-stars-au-mot-191187/
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