Messages : 4752 Points : 8303 Date d'inscription : 01/03/2009
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Sujet: [Interview] Viva.de [Sept.09] Mer 2 Sep 2009 - 17:24
Première partie de l'interview du groupe pour la chaine Viva :
Traduction en francais effectuée par tokio alia:
Citation :
Viva : Nous allons parler de votre nouvel album « humanoid » dont la sortie est prévue pour le 2 octobre. Vous avez travaillé dessus pendant un an. Alors maintenant que préférez vous le plus dans le résultat final ? Tom : Ehhh, qu’est ce qu’on préfère le plus ? Hehhh, c’est une question difficile. En réalité, j’aime tout l’album. – rire- Bill : J’aime le nouveau son en général. L’album a un nouveau style qui domine toutes les chansons. C’est ce que j’avais tant voulu, donc je suis très heureux quand j’écoute les chansons. Je suis très satisfait. Et d’ailleurs, c’est vrai que l’album en entier est génial. On a travaillé dessus pendant un an. Au début, on avait beaucoup de chansons, on n’a pas juste écrit 13 ou 14 chansons pour l’album, on en a beaucoup essayé, puis nous avons fais notre choix.
Viva : Vous parlez d’un nouveau son, comment le décrirez-vous ? Tom : C’est dur à décrire, mais le fait est que pour le premier album : on s’est beaucoup concentré sur nos propres instruments : guitare ; basse et batterie. A cause de ca, nous avons toujours eu un genre de *straight rock-sound *. Cette fois, nous n’avons pas utilisé que nos instruments, mais aussi beaucoup de sons électriques, on a beaucoup travaillé avec des synthétiseurs, on peut dire que notre genre musical a évolué. Il y’a toujours beaucoup de guitare, plusieurs personnes reconnaitront « Tokio Hotel ».
Viva : Votre nouveau concept en entier semble être très futuriste, comme votre page d’accueil et la couverture de « Automatic ». Qu’est ce qui vous a inspiré ? Bill : Je dois dire que c’est venu tout seul. Quand tu enregistres une chanson, tu te fais tout le temps une sorte d’image visuelle d’elle. Tu peux imaginer à quoi son clip ressemblera. On n’a pas vraiment essayé de créé un concept, c’est juste venu avec le temps. Nous n’avions pas prévu ce concept, et nous n’avons pas écrit de chansons sur ce thème ou autre. Tout est venu pendant la production de l’album. Rien n’était prévu.
Viva : Les paroles parlent de science-fiction aussi ? Bill : Oui, mais nous ne sommes pas des fans de science-fiction. Je ne connais pas grand-chose sur la science-fiction. –rire-. Mais ce style nous a toujours accompagnés durant l’écriture des paroles. Il y’avait toujours des mots qui me faisaient pensé à ces choses- des choses qui n’existent pas sur la planète. Comme bien sûr le nom de l’album «humanoid ».
Viva : Le titre du nouvel album « humanoid ». Avez-vous choisi ce nom spécialement parce qu’il est le même dans toutes les langues ? Tom : Oui, c’est la même chose avec « Tokio Hotel ». Il n’y a pas besoin de traduire le titre, parce que c’est exactement le même dans toutes les langues. Ca se prononce juste un peu différemment. Mais c’était très important pour nous de choisir un nom qui est le même partout, parce que pour les albums précédents c’était difficile vu que leurs noms étaient « Scream » et « room 483 ». C’est bien que maintenant on est le même nom.
Viva : Allez-vous l’enregistrer en anglais aussi ? Tous : C’est déjà fais. Bill : Oui, on a produis 2 albums, un en allemand et un en anglais. C’est la première fois qu’on fait comme ca. Pour l’album précédent, nous avions choisi nos chansons préférées et nous les avions traduites. Cette fois nous avons enregistré en allemand et en anglais en même temps. Ça a représenté beaucoup de travail, un an. On a tout traduis et enregistré en 2 langues. Et c’est durant la production qu’on s’est rendu compte de tout le travail que ça représentait de faire quelque chose en 2 langues différentes. Les clips seront en 2 langues aussi, donc ça nécessite beaucoup de temps. Mais on voulait vraiment faire les choses comme ca, on ne voulait pas faire l’un sans l’autre. Donc on a choisi de faire les 2 en même temps.
Viva : Est-ce que ce n’est pas plus difficile de chanter a propos de vos sentiments en anglais (langue qui n’est pas votre langue natale) ? Bill : Au début c’était vraiment très dur et effrayant pour moi. Mais là nous retournons à notre point de départ (avec Devilish). On a commencé avec l’allemand et l’anglais. Et ca fait bientôt 10 ans qu’on est ensemble ! –rire- Au début, on traduisait nos paroles de l’allemand à l’anglais avec l’aide de nos professeurs, mais ca restait de mauvaises traductions. Maintenant, j’y suis totalement habitué, je ne serais pas capable de choisir entre une version allemande ou anglaise d’une chanson. Il n’y a aucune version que je n’aime pas chanter, j’aime les 2.
Traduction en anglais :
Spoiler:
Viva : Now we're gonna talk about your new album, "Humanoid", will be released October 2nd. You've been working a year on it, now what do you like the most of the end result?
Tom: Ehhh, what do we like the most? Hehh, that is a difficult question. Actually I like the whole result. -laugh-
Bill: I just like the whole new sound. The album has a sound wich is kinda new, it dominates in the whole album - all of the songs. That is what i really wanted and it makes me happy when I listen to the songs. I'm very satisfied about that. And besides, yeah, the whole album is great, we've been working on it for a year. We had a lot of songs, we didn't just write 13 or 14 songs to put them on the track. No, we tried a lot, deleted a lot. I think that's good.
Viva : So you're talking about a 'new sound', how would you describe it?
Tom: Its hard to describe, but the fact is; for the first albums we concentrated a lot on our own instruments :guitar, bass and drums. Because of that we always had a kinda straight rock-sound. Now we didn't only record our own instruments, there is a lot of electric stuff on it, we worked a lot with synthesizers. So you can say, our soundworld has grown. It became athmosperic. There are still a lot of guitars in it, so people will still recognise 'Tokio Hotel'.
Viva: A highter level?
Tom: Yes.
Viva: The whole concept seems to be very futuristic, like your Homepage and the cover of 'Automatic'. Where did you get inspired?
Bill: I have to say that everything just developped by itself. When you're recording a song you always have a kind of visual image of it. You can imagine how the videoclip would look like. We didn't try to just create a real concept, it just came with the time. So we didn't plan the concept and wrote songs to that theme or something. Everything came during the production of the album. With time things came by and so we shooted the clip. You only know a visual image of it, so nothing was planned.
Viva : Are the lyrics in science-fiction-style too?
Bill: Yes, but we really aren't science-fiction fans or something. I don't know much of it. -laugh-. But the style always accompanied us during writing the lyrics. There were always words wich made me think of it -things that don't exist here on the planet. And of course "Humanoid", the name of the album. That things always were in our thoughs.
Viva: The titel of the new album is "Humanoid". Did you especially choose for a name wich works in a lot of languages?
Tom: Yes, the cool thing about it , that is in fact the cool thing about "Tokio Hotel" , is that everything is the same. There is no need for a translation of the title, because it is exactly the same. It's only pronounced a little different. But it was important for us to choose a name wich is everywhere the same. For the past albums it was difficult, because the one's name was "Scream", other "Room 483". It's cool that now we have the same name.
Viva: Are you going to record the record in English too?
All: We already did. Bill: Yes, so we produced two albums, German and English. It's the first time we did it like this. For the past record, we picked our favourite songs to translate. This time we recorded English and German at the same time. That was a lot of work, a year. We translated everything and recorded in two languages. And it was during the production we became to know how many work it really was to do things in two different languages. The video's will be in two languages too, so that things need a lot of time. But we really wanted to do it that way, we really don't want to do the one thing without the other. We fully decided to do things in two languages.
Viva: Is it more difficult to sing about your feelings in English, wich is not your native?
Bill: In the beginning it was really hard and weird for me. But now we return to the point we started. ( With Devilish ). We started with German and English -and we are allmost 10 years together! *laughs* - In the beginning we had German lyrics too, wich we translated to English. Our teachers did help with it, but that was such a bad translation, and such bad lyrics. But principal the two languages were our start.
Now I am totally used to it, I wouldn't be able to choose between an English or a German version of a song. There isn't any version I don't like to sing, I like both.
Dernière édition par sahar-th le Jeu 3 Sep 2009 - 17:10, édité 5 fois
sabrinel
Messages : 1412 Points : 3028 Date d'inscription : 03/04/2009
Viva : Nous allons parler de votre nouvel album « humanoid » dont la sortie est prévue pour le 2 octobre. Vous avez travaillé dessus pendant un an. Alors maintenant que préférez vous le plus dans le résultat final ? Tom : Ehhh, qu’est ce qu’on préfère le plus ? Hehhh, c’est une question difficile. En réalité, j’aime tout l’album. – rire- Bill : J’aime le nouveau son en général. L’album a un nouveau style qui domine toutes les chansons. C’est ce que j’avais tant voulu, donc je suis très heureux quand j’écoute les chansons. Je suis très satisfait. Et d’ailleurs, c’est vrai que l’album en entier est génial. On a travaillé dessus pendant un an. Au début, on avait beaucoup de chansons, on n’a pas juste écrit 13 ou 14 chansons pour l’album, on en a beaucoup essayé, puis nous avons fais notre choix.
Viva : Vous parlez d’un nouveau son, comment le décrirez-vous ? Tom : C’est dur à décrire, mais le fait est que pour le premier album : on s’est beaucoup concentré sur nos propres instruments : guitare ; basse et batterie. A cause de ca, nous avons toujours eu un genre de * straight rock-sound *. Cette fois, nous n’avons pas utilisé que nos instruments, mais aussi beaucoup de sons électriques, on a beaucoup travaillé avec des synthétiseurs, on peut dire que notre genre musical a évolué. Il y’a toujours beaucoup de guitare, plusieurs personnes reconnaitront « Tokio Hotel ».
Viva : Votre nouveau concept en entier semble être très futuriste, comme vote page d’accueil et la couverture de « Automatic ». Qu’est ce qui vous a inspiré ? Bill : Je dois dire que c’est venu tout seul. Quand tu enregistres une chanson, tu te fais tout le temps une sorte d’image visuelle d’elle. Tu peux imaginer à quoi son clip ressemblera. On n’a pas vraiment essayé de créé un concept, c’est juste venu avec le temps. Nous n’avions pas prévu ce concept, et nous n’avons pas écrit de chansons sur ce thème ou autre. Tout est venu pendant la production de l’album. Rien n’était prévu.
Viva : Les paroles parlent de science-fiction aussi ? Bill : Oui, mais nous ne sommes pas des fans de science-fiction. Je ne connais pas grand-chose sur la science-fiction. –rire-. Mais ce style nous a toujours accompagnés durant l’écriture des paroles. Il y’avait toujours des mots qui me faisaient pensé à ces choses- des choses qui n’existent pas sur la planète. Comme bien sûr le nom de l’album « humanoid ».
Viva : Le titre du nouvel album « humanoid ». Avez-vous choisi ce nom spécialement parce qu’il est le même dans toutes les langues ? Tom : Oui, c’est la même chose avec « Tokio Hotel ». Il n’y a pas besoin de traduire le titre, parce que c’est exactement le même dans toutes les langues. Ca se prononce juste un peu différemment. Mais c’était très important pour nous de choisir un nom qui est le même partout, parce que pour les albums précédents c’était difficile vu que leurs noms étaient « Scream » et « room 483 ». C’est bien que maintenant on est le même nom.
Viva : Allez-vous l’enregistrer en anglais aussi ? Tous : C’est déjà fais. Bill : Oui, on a produis 2 albums, un en allemand et un en anglais. C’est la première fois qu’on fait comme ca. Pour l’album précédent, nous avions choisi nos chansons préférées et nous les avions traduites. Cette fois nous avons enregistré en allemand et en anglais en même temps. Ca a représenté beaucoup de travail, un an. On a tout traduis et enregistré en 2 langues. Et c’est durant la production qu’on s’est rendu compte de tout le travail que ca représentait de faire quelque chose en 2 langues différentes. Les clips seront en 2 langues aussi, donc ca nécessite beaucoup de temps. Mais on voulait vraiment faire les choses comme ca, on ne voulait pas faire l’un sans l’autre. Donc on a choisi de faire les 2 en même temps.
Viva : Est-ce que ce n’est pas plus difficile de chanter a propos de vos sentiments en anglais (langue qui n’est pas votre langue natale) ? Bill : Au début c’était vraiment très dur et effrayant pour moi. Mais là nous retournons à notre point de départ (avec Devilish). On a commencé avec l’allemand et l’anglais. Et ca fait bientôt 10 ans qu’on est ensemble ! –rire- Au début, on traduisait nos paroles de l’allemand à l’anglais avec l’aide de nos professeurs, mais ca restait de mauvaises traductions. Maintenant, j’y suis totalement habitué, je ne serais pas capable de choisir entre une version allemande ou anglaise d’une chanson. Il n’y a aucune version que je n’aime pas chanter, j’aime les 2.
Traduction effectuée par tokio alia pour http://www.tokiohotel-live.com/ [b]
laboulette
Messages : 1415 Points : 1819 Date d'inscription : 04/06/2008
Âge : 30 Localisation : Dans ma maison avec Tom !!mdr
bon sang, je suis carrément captivée par Bill là *.*. moi qui l'avais complètement boudé ces derniers temps... avec les épaules dégagées comme ça, c'est dingue comment il a l'air encore plus féminin... à chaque fois j'me dis qu'il peut pas faire plus, et il trouve toujours un truc . P*tain mais à 2:34, comment il se remonte le truc là, on dirait qu'il se touche les seins, qu'il remet son soutif ou je ne sais quoi >_<' et c'est fou comme côte à côte comme ça on dirait un couple ^^'
ça fait trop plaisir de les voir rire, sourire, parler normalement ils font carrément posés dans cette interview, j'aime beaucoup... m*rde dans la 2eme partie j'aimerais trop savoir ce que dit le mec pour que Bill rit bizarrement comme ça... ^^'
mdr la vid de leurs clips préférés, Bill qui s'improvise présentateur, c'est cool, ça lui va super bien ^^'
merci pour ces vidéos Sahar
[EDIT:] oups désolée pour mon double post, j'avais complètement zappé mon premier message! x.x (vu qu'entre temps j'ai regardé les vids ;P)
MARMOTTE Banni
Messages : 12465 Points : 18469 Date d'inscription : 30/07/2007
et puis ils parlent encore de Coldplay! Et Fix you c'est justement ma préférée!! :DD je viens d'ailleurs de m'écouter le CD dans mon bain, et puis je vais les voir lundi au Parc des Princes!!!
joulanar
Messages : 3 Points : 11 Date d'inscription : 04/09/2009
Viva : And talking about science fiction, how do you guys imagine the future? Bill: I hope there will be a lot of … (do anybody knows what he is saying?) in the future, because I’m a big fan of it. Tom: I would like flying cars. Bill: Right! Flying cars and robots managing around, that would be cool. Georg: And a beamer would be nice. Bill: Yeah! Certainly beaming, because we all hate it to fly (in airplanes) and we loose a lot of time with it. So when anybody exposes something like that, I would be the first to try it. Tom: I would like to have aliens here on the planet. Bill: Me too! Tom: And who already found one? Gustav: Not me. Georg & Bill: Me neither. Viva: Nobody has. (: And are there some things you fear for the future? Bill: I’m sorry? Viva: Are there some things you fear for the future? Bill: Ehm . *is thinking* Yes, maybe that al lot of things get done by machines and nothing’s left for humans. That would be really sad, so we really have to pay attention to that. Human things just have to stay, for example when you go in the shop and there are only robots, no machines. That would be not so nice. Tom: But it would be cool when you could have a robot that do all things for you. Of course such things always have negative sides. Georg: And in your bed? Would be cool too *laughs* Tom: Yes of course * laughs* Viva: Eh yeah indeed. *wtf.* So, in the time between the last album and this new one, a lot of things happened. You guys got succes in foreign countries, did that make it easier to you? Or did you feel a lot more pressure because of that? Bill: Of course now there is a pressure. When you’re writing a lyric you think ” Holy shit, so many people will hear this, now I have to write a song that thousands of people will hear. ” That makes me nervous. But besides we used the succes, we recorded our album in cool studios, with cool technics. That are positive things you can use. You definetly should not think too much of all the people that will hear my song, but that’s very hard. You always know a lot of people will talk about it and some people will hate and trample it. Tom: but the pressure really got higher. Bill: Yeah. Viva: So your it was easier to work with in your mind: “Nobody knows me and nobody is expecting anything”. Bill: Yes that is more calmly. Then there was no time pressure. There was nobody that says ” So guys you have to finish that album quickly! “. Here our record company did. In the end it was us who made the deadline, because we just couldn’t find the end. We never had the idea that it was done and perfect. We always wanted to make it more perfect and bether. Somebody had to tell us ” Hold on, the record is finished yet, you cannot do anything anymore on it.” Otherwise it never ends, I never have the idea that it’s perfect. And before you’re going to finish you just go crazy again and we wanted to change some things. Tom: Yes, so it was us who made the deadline. We said to our record company; ” Okey, let’s plan it for October. ” In that way we knew how many time we got left. Viva: Bill, you say, a lot of people will hate it and trample it into the ground. That’s always when people have succes, there are a lot of critics too. How do you deal with it? Bill: I have to say, for us that isn’t something new. When Me and Tom were 9 and went out of the city, there were always people that hated us. I think it’s normal when right now I’m sitting with a camera right here, not everybody likes it. Tom: To be honest, if somebody has critics to us or not, I don’t care. I never took comments like that serious. Bill: Yes, we have to thank that people because they made people talking about us. It would be worse when there was no one talking about us. Besides most of the time we just laugh about it. And of course it’s great that there are still people who like us.
Translation thanks to Nele483 on YouTube. Traduction effectuée par Sidlina pour www.tokiohotel-live.com
Viva : Et en ce qui concerne la science fiction, comment imaginez-vous le futur ? Bill : J’espère qu’il y aura beaucoup de progrès technique dans le futur car j’en suis un grand fan. Tom : J’aimerais des voitures volantes. Bill : Oui ! Des voitures volantes et des robots un peu partout, ça serait cool. Georg : Et un téléportateur, ça serait sympa. Bill : Ouais ! Pouvoir se téléporter, car nous détestons tous prendre l’avion et nous perdons beaucoup de temps à cause de ça. Donc si un jour quelqu’un propose quelque chose de ce genre, je serai le premier à l’essayer. Tom : J’aimerais qu’il y ait des aliènes sur Terre. Bill : Moi aussi ! Tom : Et qui en a déjà trouvé ? Gustav : Pas moi. Georg et Bill : Moi non plus. Viva : Personne en fait. Et y a-t-il des choses que vous craignez pour le futur ? Bill : Pardon ? Viva : Y a-t-il des choses que vous craignez pour le futur ? Bill : Hum… (réfléchit) Oui, peut-être que beaucoup de choses soient faites par des machines et qu’il ne reste plus rien pour les humains. Ce serait vraiment triste, il faut donc que l’on fasse attention à ça. Il doit rester des choses humaines, par exemple si en allant dans un magasin vous ne trouvez plus que des robots et des machines, ça ne serait pas génial. Tom : Mais ça serait cool d’avoir un robot qui fait tout à ta place. Bien sûr, de telles choses ont aussi un côté négatif. Georg : Et dans ton lit ? Ca serait cool aussi ! mdr Tom : Oui c’est sûr ! mdr Viva : Ah oui en effet. Et sinon, entre votre ancien album et le nouveau, beaucoup de choses se sont passées. Vous avez eu du succès à l’étranger, est-ce que ça a rendu les choses plus faciles pour vous ? Ou au contraire, avez-vous ressenti davantage de pression à cause de ça ? Bill : Bien sûr que l’on a la pression. Quand tu écris des paroles, tu te dis « Oh m*rde, il y a tellement de gens qui vont entendre ça, maintenant il faut que j’écrive une chanson que des milliers de personnes vont écouter ». Ca me rend nerveux. Mais à côté de ça, nous avons pu nous servir de notre succès ; nous avons pu enregistrer dans des studios super sympas, avec des techniques intéressantes. Ce sont des choses positives que l’on peut utiliser. Il faut essayer de ne pas trop penser à toutes les personnes qui vont entendre nos chansons, mais c’est très dur. On sait très bien que beaucoup de gens vont en parler, et certains vont détester et critiquer notre travail. Tom : Mais la pression est vraiment monté d’un cran. Bill : Ouais. Viva : Donc pour vous, ça serait plus facile de travailler en vous disant : « Personne ne me connaît et personne n’attend rien de moi. » Bill : Oui on serait plus tranquille. Dans ce cas là, il n’y aurait pas de pression sur le temps, personne ne vous dirait « Bon les gars, vous devez vite finir cet album !». Là, c’est ce qu’a fait notre maison de disque. Au final, c’est nous qui avons imposé les dates buttoirs car on n’en voyait pas le bout. On n’a jamais pensé que c’était fini et que c’était parfait. On a voulu continuer de l’améliorer. Quelqu’un a dû nous dire « C’est bon, l’enregistrement est terminé maintenant, vous ne pouvez plus travailler dessus. » Autrement, ça ne se serait jamais fini car je n’ai jamais l’impression que c’est parfait. Et avant d’avoir fini, on devenait fou car on voulait changer certaines choses. Tom : Oui et c’est donc nous qui avons fixé les dates. Nous avons dit à notre maison de disque : « Ok, on planifie ça pour octobre. » De cette façon, on savait combien de temps il nous restait. Viva : Bill, tu as dit que beaucoup de gens allaient détester l’album et le critiquer. Cela arrive tout le temps aux gens qui ont du succès, ils reçoivent aussi beaucoup de critiques. Comment est-ce que tu arrives à gérer ça ? Bill : Il faut dire que pour nous, ça n’est pas nouveau. Quand Tom et moi avions 9 ans et que l’on sortait de notre ville, il y avait toujours des gens qui nous détestaient. Je pense que c’est normal alors qu’en ce moment même, je me trouve ici, assis en face d’une caméra, cela ne plaît pas à tout le monde. Tom : Pour être honnête, je m’en fiche de savoir si quelqu’un me critique ou pas. Je ne prends jamais ce genre de commentaire au sérieux. Bill : Oui, il faudrait que l’on remercie ces personnes car elles font parler de nous en fait. Ca serait pire si personne ne parlait de nous. Mais de toute façon, la plupart du temps, on rit tout simplement de cela. Et bien sûr c’est génial de savoir qu’il y a toujours des gens qui nous aiment.
partie 3 :
Retranscription en anglais par THnetwork .
En anglais dans le spoiler .
Spoiler:
Citation :
PT 3: translation by BKth4e R: But you had these spectulary performance…i believe at the VMA’s…with the water T and B: No…it was at the EMA’s R: Yeah, EMA’s. I have the feeling, that this was some kind of breaking point in your carrier. Because many people, who did not have you on their mind…suddenly said, wow what was this? Do you feel the same…do you draw self-esteem from this day? B: Well i have to say..these are moments on the stage, even if people start to boo…these are moments, from which you don’t get nervous or scared…you rather get more power .you really feel motivated to make a good performance. The EMA’s were a big deal for us. Of course we knew, that it was going to rain on the stage…We had thought about it and thought it out. We were excited about the reaction. But at least, we are very satisfied with the performance and happy that it worked out and proud of it. Of course this is a point in our carrier, you never forget. This stays forever…and if i watch it or see pictures…yeah..it was truely a cool performance. R: Do you have the feeling, people from different countries spot on you in a different way than in Germany? B: Ja…in some way it looks like.. such strange people who hate us so much and would love to kill us…they are in every country. It is automatic…first Fan…first hater. T. But…honestly you are never completly aware of how people in different countries spot on you. You only get a piece of it…even in Germany we don’t know 100%.. we only get a fraction from what people know about us. B. and…in some countries, we have been much older. In some countries…Tom and I have been already 18 years old, when our first single appeared. At that moment, for most of them…age does not play a role anymore. They listen at once to the music and do not focus on the age.. I believe…and i can understand…some have problems with the age…because who really wants to admit, that you love music from 15 years old idiots. Nobody wants this..and you can understand it. So from that point of view….it is different…but in every country there are haters. R: Well. for example in sweden…i have the feeling…your T-Shirt have been rather sold in punk-stores in difference to here…people seem to spot on you in a different way. B: Ja… T: Ja..it varies from country to country… but as i said, we get only little pieces of it.. At first..we don’t speak the language from the countries, where we are succesful…and we don’t get what people write about us…the reporting is always important…and everybody has a different view…who knows what somebody write about us in an italian newspaper…i have no clue R: And where are the most hysterical fans? T: Well, you have to say it was throughout positiv. The cool thing was…that we had already fans in every country. The fans made it easier for us..to get the attention to be succesful. Because it is truely difficult for a german band…It is indeed not the same, if you are successful in France…that the Italians start also to report about you. It is always the same…you start from scratch. Because the whole record-companies and reporters always say…a german band…it is not in our interest and they will never be successful. So our fans made it easier for us…it did not matter which country we visted…from the begining the fans were there and it has grown. From the begining there were support. It was really everywhere very positiv R: But you can not specify where the most hysterical fans are? B: No…i could not specify one country. In every country they have been special moments, special expierences…when you think…wow..that was bad..today it has been very tough T: Where realy a hysterical fan-reaction happend, was for example in mexico on the first day. We went there, because we had a signing session … B. It is very often a true surprise. You never think about the fact, that you could be succesful in these countries. We have never been there, never visited the country and then you arrive, get off the plane and suddenly you see , thousands of people are waiting for you at the airport…or you do your first perfomance …and they are quite a lot of fans. You never think about that…ok…in some way you knew it…but you never expect it to be so huge. There are moments you realy get a surprise. But in the end…you have such expierences in every country
Translation thanks to th_cult on LiveJournal. Traduction effectuée par SweetiPie pour www.tokiohotel-live .com
R : Mais il y a eu cette prestation spectaculaire… aux VMA je crois… avec l’eau…
Bill et Tom : C’était aux EMA.
J : Ah oui, les EMA. J’ai l’impression que c’était en quelque sorte un tournant dans votre carrière. Parce que tout d’un coup, plein de gens qui ne vous connaissaient pas bien se sont dit « wooh, qu’est-ce que c’était que ça ? » [*rires*]. Avez-vous cette impression, est-ce que cette expérience vous a permis de prendre de l’assurance ?
Bill : Eh bien à vrai dire… Ce sont des moments sur scène, même lorsque les gens commencent à vous huer… ce sont des moments où on ne se sent plus du tout nerveux ni effrayé, au contraire, on se sent plus forts. Ça nous motive vraiment pour faire une bonne prestation. Les EMA représentaient beaucoup pour nous. Bien sûr, on savait qu’il allait pleuvoir sur scène… On y avait beaucoup réfléchi et on avait bien préparé le truc. On avait hâte de voir les réactions. Mais en tout cas, on est très satisfaits et fiers de la prestation et heureux que ça ait marché. Evidemment c’est un moment important de notre carrière, on ne l’oubliera jamais. Ça reste gravé… Et si ça m’arrive de la regarder à nouveau ou de voir des photos… oui, c’était vraiment une bonne prestation.
R : Avez-vous l’impression que dans d’autres pays les gens vous regardent différemment que les gens en Allemagne ?
B : Oui… d’une certaine manière, il semblerait que… il y a des gens vraiment extrêmes qui nous détestent tellement et aimeraient nous tuer… on retrouve ça dans chaque pays. C’est automatique [lol ^^] : premier fan, premier anti.
Tom : Mais cela dit, on ne peut jamais avoir totalement conscience de la façon dont les gens vous considèrent dans les autres pays. On n’en a qu’un aperçu. Même en Allemagne on ne peut pas savoir à 100%. On n’a qu’une vision partielle de ce que les gens savent de nous.
B : Et dans certains pays, on était déjà beaucoup plus grands. Dans certains pays, Tom et moi avions déjà 18 ans quand notre premier single est sorti. A ce moment-là, pour la plupart, l’âge n’a plus d’importance. Ils écoutent avant tout la musique et ne se préoccupent pas de l’âge… Je crois, et je peux le comprendre, que certains ont un problème avec l’âge. Parce que honnêtement, qui voudrait admettre qu’il aime la musique d’idiots de 15 ans… Personne. Et on peut le comprendre. Donc, de ce point de vue-là, c’est différent. Mais dans tous les pays il y a des antis.
R : Par exemple en Suède, il me semble que vos T-shirts ont été commercialisés plutôt dans des boutiques punks [*rires*], contrairement à ici. Les gens semblent vous voir différemment.
B : Oui…
T : Oui… Cela varie selon chaque pays. Mais comme j’ai dit, on n’en a que des aperçus. Déjà, on ne parle pas les langues des pays où on a du succès. Et on ne sait pas ce que les gens écrivent sur nous. Les reportages sont toujours importants. Et chacun a une vision différente. Qui sait ce que telle personne écrit de nous dans tel magazine italien ? J’en ai aucune idée.
R : Et où se trouvent les fans les plus hystériques ?
T : Eh bien, ça a toujours été positif. Ce qui est cool c’est qu’on avait déjà des fans dans chaque pays. Les fans nous ont facilité les choses… pour capter l’attention permettant le succès. Parce que c’est réellement différent pour un groupe allemand. Ce n’est vraiment pas la même chose, d’avoir du succès en France, puis que les Italiens commencent aussi à parler de vous… C’est toujours pareil : on part de zéro. Parce que toutes les maisons de disques et les journalistes disent toujours… un groupe allemand… ça n’entre pas dans nos intérêts et ça ne marchera jamais. Donc nos fans nous ont facilité la tâche. Peu importe le pays… depuis le début, les fans étaient là et le phénomène s’est amplifié. Dès le départ le soutien était là. C’était très positif vraiment partout.
R : Mais vous ne pouvez pas préciser où se trouvent les fans les plus hystériques ? [il y tient à sa question ! >.<]
B : Non… je ne peux pas préciser. Chaque pays a ses moments particuliers, ses expériences particulières… quand on y pense… wooh… c’était terrible… aujourd’hui ça a été très dur.
T : Là où on a vraiment eu une réaction hystérique de fans, par exemple, était à notre premier jour au Mexique. On était là-bas pour une séance d’autographes.
B : Très souvent, c’est une vraie surprise. On n’y pense jamais, qu’on pourrait avoir du succès dans ces pays-là. On n’y a jamais mis les pieds, on n’a jamais visité le pays, et soudain on arrive, on descend de l’avion et là il y a des milliers de gens qui nous attendent à l’aéroport… Ou aussi, quand on fait notre première prestation quelque part et qu’il y a déjà pas mal de fans. On n’y pense jamais… Certes, quelque part on le sait… mais on ne s’attend jamais à ce que ce soit aussi énorme. Par moments on est vraiment surpris. Mais en fin de compte… on vit ce genre d’expérience dans chaque pays.
Dernière édition par MARMOTTE le Mer 16 Sep 2009 - 1:22, édité 12 fois
MARMOTTE Banni
Messages : 12465 Points : 18469 Date d'inscription : 30/07/2007
Retranscription en anglais par THnetwork . thanks to th_cult on LiveJournal. pour les partie 4 et 5. Merci !!!
En anglais dans le spoiler
Spoiler:
Citation :
R: And you are basically always followed everywhere, are under extreme public scrutiny, sometimes write 1000 autograph in a row and things like that – do you sometimes get the feeling that it’s too much for you? B: Yes, that happens sometimes. There are days where you think: Today I cannot go in front of a camera, today I cannot hold my face into some camera again and today I also don’t want to and I don’t feel like it. That does happen. On some days, you curse it, that you have are so much under public scrutiny. When you just want to go somewhere, that’s not possible. We can’t just decide spontaneously that we want to go out there and eat some ice-cream or something. Basically the whole year, or everything you do, is always planned and organized, and there’s no room for spontaneous decisions. So there are moments when you think “I can’t go on” or “I don’t want this any more”. But then on the other hand you want to make new music again, and then you stand on a stage again in front of thousands of fans and think “I have the most awesome life possible”. There are both kinds of moments. But there definitely comes the time, as with everybody, when you curse it. R: And do you have strategies to cope with it, with stress or pressure? How do you distract yourselves? B: Basically, you return to the people who knew you long before the career – family, friends and so on. People who don’t talk with you about it at all, and for whom TH doesn’t matter at all. Who simply see something totally different. And it’s good to have these people, to see old friends and to spend time with your family. That’s basically the only thing you can do. T: Apart from that, a formula against stress, so that we feel all great or so, doesn’t exist. When we have stress, we feel terrible, and we’re down and need everyday lots of coffee and energy drinks and… B: But we spend lots of time with our dogs.. T: Dogs are… B: Dogs definitely make you extremely happy. I couldn’t imagine a life without my dogs. They cheer you up when you have stress. No matter how tired you are or how terrible you look or whether you are exhausted – they are always happy and are, like… T:…unconditional. B: Unconditional. R: Do you also take them with you on tour? T: We try to. Of course it’s always pretty difficult. There is no such thing as an “animal airline”. I think it would cool if someday there would be an animal airline B: That must happen! T: It must. Apart from that, it’s difficult to fly with dogs, esp. with big dogs. It’s a bit better with small ones. But we try to manage it as often as possible. B: When we’re traveling with the tour bus, we have a dog with us… but when we’re flying, it usually doesn’t work. R: What kind of dogs do you have? B: We have two big ones… T: Exactly. Two big ones, a German Shorthaired Pointer and a Doberman-Labrador mix, and two little dogs, two Dackels [Dachshunds]. B: Yeah. They’re all “saved”, btw. . That’s why it’s such a strange combination. People always ask “Huh? Did you choose those?” – we saved all of them. The first one, e.g., the Labrador mix, is from the animal shelter, also the German Shorthaired and all of them, they’re all basically saved from the animal shelter, that’s why it’s a bit of a strange combination, concerning the breeds. R: And where are they when you aren’t there? When you’re in Mexico e.g.? B: Then they’re with our parents. We have a big estate and they run around outside all the time. I could imagine to have, like, a dog farm some day, where you have 30-40 dogs running around your estate all the time… T: Yeah. R: And how is it when you come from Mexico or NY or LA, which is even more amazing, back home to Magdeburg? What kind of feeling is that? B: Well, Tom and I don’t really go back there. We haven’t been there for a long time… T: But you have to say that it sounds always so awesome when you come from a metropolis and go back to a little town: We don’t see very much from the Metropolis nor the little town. The airports look basically the same everywhere and hotels are the same crap everywhere *laughs*, and you don’t really… there’s no big difference whether you’re in a big or a small town, because we don’t see much from the city itself. B: Usually, you don’t see much. Unless you have a free day. If I could choose a place to live, it definitely wouldn’t be Magdeburg, so… Ge: Now, wait a second… B: Ok, these two, Georg and Gustav, still live in Magdeburg and they enjoy it. R: Why do you like it? What do you associate with Magdeburg? Ge: We just grew up there, both of us. Our families are there, all our friends are there, and, um… it’s a bit different with Bill and Tom. You were always moving house, from one place to another… B: I had never… Tom and I never had this feeling to be at home, this connection with any town. To me it never did matter where I was and who was living around me, but rather, with what kind of people I’m hanging out and whether my family is there. Whenever the people I like are there I feel at home. So it never really played a role… T: But let us not forget about the beautiful architecture of Magdeburg *laughs* Ge: The phat party scene… They raise hell every single night… R: I only know the zoo there… T: That’s not bad, either… Ge: The zoo? Wasn’t it renovated just now? R: It’s being renovated massively right now. I was there recently, it’s one big construction site. Ge: But just now it was re-opened. Gu: Yesterday they re-opened it. R: Ah, the one building! The other one not yet, they’re still building one new one. Ge: Are they? B: Oh, Magdeburgers among themselves… you can meet up afterwards. Ge: You know the place?! R: I know the zoo. I’ve been there a couple of times, because I always drive by. T: Couldn’t we play a concert, at the re-opening? Ge: In the monkey house, for example. T: Yeah, in the monkey house… B: That would be cool. R: I think they would definitely like that. If you propose it to them, imagine what they’d say, how happy they’d be!
Traduction effectuée par FanTH2006 et Marmotte pour www.tokiohotel-live.com
R: Vous êtes toujours suivis partout, constamment sous le feu des projecteurs, vous écrivez parfois 1000 autographes d’affilée et des choses comme ça ! Avez-vous parfois le sentiment que s'en est trop pour vous?
B: Oui, cela arrive parfois. Il y a des jours où vous pensez: aujourd'hui : je ne peux pas aller en face d’une caméra, aujourd'hui : je ne veux pas être pris en photo et aujourd'hui : je ne veux pas et je ne me sens pas d'humeur à ça . Ça arrive! Certains jours, vous en avez marre d’être toujours épié. Lorsque vous voulez juste aller quelque part,et que ça n'est pas possible. Nous ne pouvons pas décider spontanément d’aller quelque part et de manger une glace ou autre chose. Au fond, tout le long de l'année, tout ce que vous faites, est toujours planifié et organisé, et il n'y a pas de place pour les décisions spontanées. Il y a donc des moments où vous pensez: « Je ne peux pas continuer» ou "Je ne veux plus faire ça". Mais alors, d’un autre côté tu veux continuer à créer de nouvelles musiques, et alors là, tu te tiens debout sur scène à nouveau, devant des milliers de fans et puis tu penses: «J'ai la vie la plus géniale qui soit". Alors on passe par ses deux types de sentiments, Mais ça vient avec le temps certainement, comme avec les gens, quand on saura gérer.
R: Et avez-vous des remèdes pour y faire face, le stress ou la pression? Comment vous changez vous les idées?B: En fait, vous retournez auprès des personnes qui vous ont connu avant tout ça, c'est à dire la famille, les amis etc. Les gens qui ne vous en parlent pas du tout, et pour qui TH n’est pas important non plus. Ceux qui tout simplement, voient les choses complètement différemment. Et il est bon d'avoir ces personnes-là, de voir de vieux pots et de passer du temps avec votre famille. C'est à peu près la seule chose que vous pouvez faire.
T: En dehors de cela, une formule contre le stress, pour qu‘on se sente bien, on en a pas. Quand on est stressés, on est exécrables et on est pas en forme alors on a besoin tout les jours de beaucoup de café et de boissons énergétiques et ...
B: Mais nous passons beaucoup de temps avec nos chiens ..
T: Les chiens sont ...
B: Les chiens vous rendent sans aucun doute heureux. Je ne pourrais pas m’imaginer vivre sans mes chiens. Ils vous remontent le moral quand vous êtes stressé. Peu importe que tu sois fatigué ou que tu ressembles à rien ou alors que tu sois complètement crevé, ils sont toujours heureux et sont comme ...
T: ... inconditionnelle. ( leur amour reste le même!)
B: inconditionnel.
R: Mais vous ne pouvez pas les prendre avec vous en tournée?
T: Nous essayons . Bien sûr, c'est toujours assez difficile. Il n'existe pas de telle chose comme une compagnie aérienne "animal". Je pense qu'il serait cool si un jour il y aurait une compagnie d'animaux
B: Ça doit arriver!
T: Il le faut. En dehors de cela, il est difficile de voyager avec des chiens, et en particulier avec de gros chiens. C'est un peu mieux avec les petits. Mais nous essayons de se débrouiller aussi souvent que possible.
B: Quand nous voyageons dans le bus de tournée, nous avons un chien avec nous ... mais quand nous prenons l‘avion, ça n‘est pas toujours possible.
R: Quel genre de chiens avez-vous?
B: Nous en avons deux gros ...
T: Exactement. Deux gros, un braque allemand et un doberman-Labrador mélangeé, et deux petits chiens, deux teckels.
B: Oui. Ils ont tous été «sauvés»... Voilà pourquoi c’est une drôle d’association (d'avoir des gros et des petits chiens ensemble) Les gens me demandent toujours :«Hein? Avez-vous choisi ceux-là? "- Nous les avons sauvés. Le premièr, par exemple, le ‘faux’ labrador, vient du refuge des animaux et pareil pour le braque allemand. Chacun d'eux ont tous pratiquement été récupérés au refuge pour animaux, voilà pourquoi on a tant de races mélangées.
R: Et où sont-ils quand vous n'êtes pas là? Lorsque vous êtes au Mexique par exemple?B: Alors, ils sont avec nos parents. Nous avons une grande propriété, et ils courent à l'extérieur tout le temps. Je ne pouvais pas imaginer avoir, comme, un élevage de chiens, un jour, où vous avez 30-40 chiens se promènent sur votre propriété tout le temps ...
T: Ouais.
R: Et qu’est-ce que ça vous fait quand vous revenez du Mexique, de New York ou même de Los Angeles, (ce qui est encore plus incroyable!), et que vous retournez dans votre maison à Magdeburg? Qu'est-ce que ça fait? B: Eh bien, Tom et moi on est pas vraiment retournés là bas! On y est pas allés depuis un bon moment d‘ailleurs…
T : Mais on doit dire que c’est toujours génial de retourner dans une petite ville lorsque l’on revient d’une grande métropole… On ne voit pas vraiment la métropole en elle-même, pas plus que la petite d’ailleurs *rires*. Les aéroports sont partout les mêmes et les hôtels ont la même m*rde partout ! *rires* et vous ne pouvez pas vraiment… ça ne fait pas une grande différence que tu sois dans une grande ou une petite ville, par ce que tu ne vois pas grand-chose de la ville elle-même… B : Habituellement, tu vois rien. A moins d’avoir un jour de repos. Si je devais choisir où vivre, je ne choisirais certainement pas Magdebourg, alors… Georg : non, attend une minute… B : ok, eux deux, Georg et Gustav, vivent encore à Magdebourg, et ils adorent ça.
R : Pourquoi cette ville vous plait ? A quoi associez-vous Magdebourg ? G : on a juste tous grandi là-bas. Nos familles sont là, tous nos copains sont là, et, euh, c’est un peu différent de Bill et Tom. Tu changeais déménageait souvent d’une ville à l’autre. B : je n’ai jamais eu… Tom et moi n’avons jamais eu ce sentiment d’ « être à la maison », ce sentiment qui vous lie à une ville. Pour moi, peu m’importe l’endroit et les gens autour, du moment où, j’ai autour de moi : ma famille. A chaque fois que j’ai les gens que j’aime près de moi, je me sens à la maison. Donc, ça n’a jamais vraiment joué un rôle… T : Laisse-nous, ne pas regretter la magnifique architecture de Magdebourg *rires* ! Georg : … le monde des phat party, c'était d'enfer tous les soirs! R : oh, je ne connais que le zoo là bas T : c’est pas mal, soit Georg : Le Zoo ? Il ne vient pas d’être rénové ces jours-ci ? R : il est en phase de grandes rénovations maintenant. J’y suis allée dernièrement, c’est en construction. Georg ; Mais là, maintenant il a réouvert. Gustav : Oui il a été réouvert mercredi. R : ah le premier building !l’autre pas encore, ils sont en train d’en construire un nouveau. Georg : Bah….c’est vrai ? B : oh les magdeburgers parmi eux-mêmes. You can meet up ensuite Georg: Tu connais? R : je connais le zoo, j’y suis allée plusieurs fois, car on m’y a obligé. T : On pourrait pas faire un concert pour sa réouverture ? Georg : Là où il y a les singes par exemple. T : oui, là… B : ça serait super ! R : je pense qu’ils adoreraient, c’est sûr ! Si vous le leur proposiez, imaginez ce qu’ils diraient, et combien ils seraient ravis…
Dernière édition par MARMOTTE le Jeu 10 Sep 2009 - 1:53, édité 6 fois
MARMOTTE Banni
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R: Is it true that Jay Z invited you to dinner? T: Hm… I don’t think that Jay Z paid, to be honest. B: Yeah, I don’t really know… T: I don’t know who invited whom. B: He was at one of our concerts. But we didn’t know beforehand, it was more of a spontaneous thing, we didn’t know that he would be there. We just learned of it shortly before. And, yeah, afterwards we all went to eat something together. But I don’t know who invited whom. T: I think the record label paid. B: Yeah, I think so, too. R: And in situations like these, do you feel equal – or do you still feel a bit “small”? B: You don’t really think about it. Sure, sometimes you’re nervous when you meet other people, but you don’t think about it. In the end, you just have a normal conversation… You don’t really think about it. When you remember how many records he has sold… but you don’t do that in that moment. R: And of all the people you’ve met, who has impressed you most? Is it possible to say that? Ge: I personally have always been most impressed by Tom. T: Yeah… but of course, that would be setting the bar a bit high… But I have to say, for me personally, … Jay Z was nice… B: A highlight. T: … to meet him. George hasn’t met his idol yet, it’s still David Hasselhoff. Ge: Yeah, but… um… T: He hasn’t had the chance to meet him in person yet. And apart from that, it’s always just these fleeting… B: …encounters. T: …encounters. Like, at EMAs or VMAs, you meet everybody from Britney Spears to whomever else there is… I mean, everybody is there. But it’s, like, you see them in the corridor, and you say “Hi” quickly, and then everybody has his own appointments, and there isn’t much time for much conversation or to get to really know somebody. So, hard to say… but dinner with Jay Z was a pleasant evening. R: Pleasant evening. Cool. So… you’d like to meet David Hasselhoff… whom would you like to meet? T: I’d like to meet Jessica Alba. Ge: Really? That’s a new one… B: I can’t really think of somebody I’d like to meet… Ah, wait: I’d like to meet Steven Tyler. T: Him I’d also like to meet. I’d also like to meet Aerosmith. B: Yeah, I’d like to meet Aerosmith. T: Whom would you like to meet? Gu: I think I’d like to meet Steve Jobs. R: Somebody far from the music scene for a change… Gu: Just to let him tell some stories about his life. R: Ok, Steve Jobs… And whom would you love to give a talking-to? B: Ohhh…. T: Whoa… there would be quite a few… Ge: there would be quite a few… T: But we can’t talk about that here. B: But it aren’t public persons, I think. T: Nah, there are some in the public… B: Yeah?! Then have a go, Tom. T: No, no… I’m not allowed to tell that here. But there definitely are some… Ge: …special friends. T: But we don’t want to go into that. R: No politician or something like that? T: Politician? Ge: Among others… T: Yeah? B: Are politicians on this list for you? T: For me, it wouldn’t be politicians in the first place. Ge: Ok, for me neither. But… they would deserve a talking-to. R: Journalists? B: Oh yes. T: Oh, there would be quite a few journalists… Ge: I didn’t even think of journalistst! T: There would be quite a few journalists. But, I mean… you often just let it go. I mean, sometimes there are situations where you could give them a talking-to, but… B: Some journalists we gave a talking-to. T: With journalists, we did that. But there are, like, other collegues whom you’d love to tell som things… but one just doesn’t do it. Usually, you try to be nice. R: Just too well-behaved… B/T: Yeah T: One has to say, we’re very friendly, in my opinion, aren’t we? Ge: At times, too friendly. T: Yeah. There are other collegues who aren’t as nice. R: I can confirm that. R: And with all these awards, is there on that stands out? B: I think the VMA is something very special. One is extremely proud of that. It was one of these moments – and I know everybody says this all day long – but we really didn’t expect that, really to 0%. That came as a complete surprise. And that was a moment you don’t forget. T: And apart from that, of course all VIVA/MTV – awards . B: Yes . T: Comet… actually, how many do we have? Comets? Ge: Dunno… T: We have a lot of Comets. B: A lot. Ge: 8? [woman in background: I think so...] Ge: 9? T: 9, 10, 11? Something like that? T: Anyways, we have lots of Comets. The Comet for example was our first award. You have to say, that was our first music award we won. And apart from that, of course the first EMA, that’s also something special, and VMA… it really are VIVA and MTV awards that always are extremely important. For you have to say… VIVA and MTV… we are friends of this… they are, like, the last music channels that still are around. Although generally they could play a bit more music. But that are generally the big music events: VMAs, EMAs – we always like to go to these events. R: And is there an award that you’d still like to win? T: Um… Grammys, I’d say. B: Yeah, a Grammy. *laughs* Of course, that’s ridiculous, but in the end, that’s what every musician wants. So that would be one very, very remote goal. R: Or an Oscar. B: Yeah, an Oscar would be awesome. Ge: For best soundtrack. B/T: Right! R: And whom would you like to give an award to? And what for? B: Whom would I like to give an award to… T: I’d like to give one to Bill, for “Unsexiest Woman”. B: Yeah?! I think I already did win that one. T: Did you? But I’d still like to give it especially to you. B: Ok, that’s sweet. Ge: As a special category… T: And apart from that… Ge: To my mommy… T: For…?! Ge: Best mommy of… B: For the good food, or what? Ge: Yeah. R: And what can one give you to make you happy? B: Long sleep. And my own bed. If I could, I’d pack my own bed and take it with me everywhere. Because that is real luxury. To sleep in your own bed, and to sleep long… Thing is, I always have to get up with an alarm clock. Even if I go to bed at midnight, and have to wake up at 4 pm, I still have to set an alarm clock. I don’t wake up at 4pm just like that. I think if I wouldn’t set an alarm clock, then someday I won’t wake up any more, I think. Ge: That would be dreadful. Imagine you forget it some day… B: I hope there’ll at least be some dog that wakes me up… T: Alarm clocks. I hate alarm clock. B: Yeah… but own bed and long sleep. Yeah. R: Very important prerequisites. And what’s your goal for the new album? Do you have one? B: Basically, what we want is to do a world tour. That’s a dream of us to someday tour around the whole world. Apart from that… T: Tokyo, some day… B: Exactly. But apart from that, we haven’t that big goals. Because, if it goes as before, then we’d be more than happy. T: Let me just say: Also with the music awards. If it would go an as it has so far, that would also be totally ok. We’re completely happy with the previous albums, and everything went completely above all our expectations, and if it remains only remotely like that, we’d be absolutely happy. But we’d definitely like to go to Tokyo. R: That’s the long-term goal. Or are there even more long-term goals? T: Of course, our long-term goal is to bring out 10 more successful albums. But the next goals are Tokyo, and to play a really phat tour.
Translation thanks to th_cult on LiveJournal. pour les partie 4 et 5. Merci !!! Trad effectuée par TokioAlia pour www.tokiohotel-live.com
R : Est-ce vrai que Jay Z vous a invité à dîner ? T : Hm …Pour être honnête, je ne pense pas que c’est Jay Z qui a payé B : Ouais, je ne sais pas vraiment … T : Je ne sais pas qui a invité qui. B : Il était à l’un de nos concerts, mais nous ne savions pas à l’avance qu’il serait là. On l’a su juste avant le concert. Et oui, ensuite, nous somme allés manger ensemble, mais je ne sais pas qui c’est qui a invité. T : Je pense que c’est la maison de disques qui a payé. B : C’est ce que je pense aussi. R : Et dans de telles situations, vous vous sentez pareilles ou un petit peu inférieurs ? B : Tu ne pense pas vraiment à ça, c’est sûr que des fois, tu te sens nerveux quand tu dois rencontrer d’autres stars, mais à la fin, c’est juste une conversation normale … Peut-être que tu y penses un peu quand tu te souviens du nombre de disques qu’il a vendu … mais pas au moment où tu es avec lui . R : Et parmi toutes les stars que vous avez rencontré, vous pourriez nous dire qui vous a le plus impressionné ? Ge : Personnellement, j’ai toujours été très impressionné par Tom. T : Ouais … Tu as placé la barre un peu haut … Mais je dois dire que en ce qui me concerne, Jay Z était vraiment cool ... B : Le sommet. T : … de le rencontrer. Georg n’a toujours pas rencontré son idole « David Hasselhoff ». Ge : Oui, mais …um… T : Il n’a toujours pas eu la chance de le rencontrer en personne. A part ca, c’est toujours des rencontres … Bill : …rapides. Tom : …rapides. Comme aux EMA’s ou VMA’s, tu rencontres tout le monde, de Britney Spears à n’importe quelle star présente là-bas … Je veux dire, tout le monde est présent. Mais c’est genre vous les voyez dans le couloir, et vous leur lancer un salut rapide, et après tout le monde a ses propres rendez-vous, et il n’y a pas assez de temps pour faire plus ample connaissance. C’est dur à expliquer, mais le dîner avec Jay Z était une agréable soirée. R : Agréable soirée…Cool… Alors… vous souhaitez rencontrer David Hasselhoff …Qui d’autre aimeriez-vous rencontrer ? T : J’aimerais rencontrer Jessica Alba. Ge : Vraiment ? C’est un nouveau … B : Je ne peux pas vraiment penser à quelqu’un que j’aimerais rencontrer… Ah si : J’aimerais rencontrer Steven Tyler. T : J’aimerais bien le rencontrer aussi. Ainsi que Aerosmith. B : Oui, j’aimerais les rencontrer aussi. R : Qui aimerez-vous rencontrer ? Gu : Je pense que j’aimerais rencontrer Steven Jobs. R : Quelqu’un qui est loin du monde de la musique pour changer… Gu : Juste pour le laisser me raconter des histoires a propos de sa vie. R : Ok, Steve Jobs …Et qui aimeriez-vous réprimander? B : Ohhh … T : Oh… Il y’aurait un bon nombre… Ge : Il y’aurait un bon nombre… T : Mais nous ne pouvons pas parler de ça ici. B : Mais je pense que ne sont pas des personnes célèbres T : Si, il y’en a quelques uns célèbres… B : Vraiment ? Alors tente le coup ! T : Non, non … On ne me permet pas d’en parler ici. Mais il y’a certainement quelques … Ge: …Amis spéciaux. T: Mais on ne veut pas entrer dans ce jeux R: Aucun politicien ou quelque-chose comme ca ? T : Politiciens ? Ge : Parmi d’autres… T : Ah ouais ? B : Il y’a des politiciens dans ta liste ? T : Pour moi, le premiere de la liste n’est pas un politicien. Ge : Pour moi non plus, mais ils méritent de qu’on leur passe un savon. R : Des journalistes ? B : Oh oui. T : Oui, il y’a un bon nombre de journalistes … Ge : Je n’ai jamais pensé à un journaliste ! T : Il y’a un bon nombre de journalistes. Mais je veux dire …. Souvent tu laisses passer. Je veux dire, des fois il y’a des situations où tu devrais vraiment leur passer un savon, mais … B : Il y’a certains journalistes que nous avons réprimandé. T : Avec les journalistes, on a déjà fais ça. Mais il y’a comme, quelques collègues à qui on aimerait dire des choses… Mais on ne le fait pas. Habituellement, on essaie d’être agréables. R : Trop obéissants … T/B : Ouais. T : A mon avis, nous sommes très sympathiques, non ? Ge : Des fois, trop même. T : Oui. Il y’a des collègues qui ne sont pas aussi sympas. R : Je peux confirmer ça. R : Et parmi tous les prix que vous avez remporté, lequel se distingue des autres ? T : Je pense que le prix des VMA’s est très spécial. On en est extrêmement fières. C’était l’un de ces moments – On ne s’attendait vraiment pas à ça (je sais que tout le monde répète ca) mais nous ne pensions vraiment pas le remporter. Ce fut un moment inoubliable. T : Et a part ce prix, il y’a bien sûr toutes les récompenses MTV ou VIVA. B : Oui. T : Les comet … Actuellement, combien avons-nous reçus de comet ? Ge : J’sais pas … T : On a beaucoup de comet. B : Beaucoup. Ge : 8 ? Ge : 9 ? T : 9, 10,11 ? Un truc comme ça ? T : De toutes les manières, nous avons beaucoup de comet. Le prix comet par exemple a été notre premier prix, la première récompense que nous avons gagné. Et il y’a aussi le premier prix EMA, il est très spécial …, et le VMA… Il y’a aussi les prix VIVA et MTV qui sont toujours aussi importants. Je dois dire que…. Nous somme amis avec VIVA et MTV. Ce sont pratiquement les dernières chaines de musique à exister. Quoi que ils pourraient essayer de mettre un peu plus de musique. Mais il y’a généralement de grands événements musicaux auquel nous adorons aller. R : Et y’aurait-il un prix particulier que vous aimeriez remporter ? T : Um… Un Grammy. B : Ouais un grammy. * rire*. Bien sûr, c’est ridicule, mais en fin de compte, c’est ce que tout musicien aimerait remporter. Donc ce serait un objectif… à très long terme. R : Ou un oscar. B : Oui, un oscar serait génial. Ge : Pour la meilleur B.O. B/T : C’est ça ! R : Et à qui aimeriez-vous remettre un prix ? Et un prix pour quoi ? B : J’aimerais remettre un prix à … T : J’aimerais en donner un à bill, pour « La femme la moins sexy ». B : Ah ouais ? Je pense avoir déjà remporté ce prix. T : Vraiment ? Mais je voudrais te le donner quand même. B : Ok, c’est sympa. Ge : Dans une catégorie spéciale … T : Et à part ce prix-là … Ge : à ma maman … T : Pour ?! Ge : Meilleure maman de … B : Pour la bonne bouffe ou quoi ? Ge : Oui. R : Et que peut-on vous donner qui vous fera plaisir ? B : Un long sommeil. Et mon propre lit. Si je le pouvais, j’aurais emporté mon lit partout avec moi. Parce que c’est un vrai luxe de dormir longtemps et dans son propre lit… Il y’a aussi le fait que je dois toujours me réveiller avec l’alarme du réveil. Même si je me couche à minuit, et que je dois me réveiller à 16h, je dois quand même mettre mon réveil. Je ne me réveille pas à 16h juste comme ça. Je pense que si un jour je ne règle pas mon alarme, je ne me réveillerais plus … Ge : Ce serait terrible. Imagine si tu oubliais de le mettre un jour … B : J’espère qu’il y’aura toujours un de mes chiens pour me réveiller … T : Je déteste les réveils. B : Sinon bah oui mon propre lit et un long sommeil seraient parfait. R : Et quel est votre objectif pour le nouvel album ? Vous en avez un ? B : Essentiellement, c’est de faire une tournée mondiale. C’est notre rêve de faire une tournée dans le monde entier. A part ça … T : Aller à Tokyo un jour… B : Exactement. Mais à part ca, on n’a pas de grand objectif. Parce que si la tournée se déroule comme celle d’avant, on serait très heureux. T : Laissez moi vous dire qu’on aimerait aussi un music awards, et que ca aille aussi loin que la derniere fois, cava être vraiment bien .On est tout à fait satisfait du precedent album, et tout a dépassé nos attentes, et si ca se passait juste aussi bien que la derniere fois, on serait vraiment heureux. Mais on aimerait vraiment pouvoir aller a Tokyo. R: Ca c’est votre objectif à long terme. Ou bien y’a t-il un objectif à encore plus à long-terme que celui-çi? T: Bien sûr, notre objectif à long-terme est d’enregistrer encore 10 albums à succès. Mais l’objectif suivant est Tokyo, et de jouer une grande tournée.
Dernière édition par MARMOTTE le Jeu 10 Sep 2009 - 1:49, édité 3 fois