Messages : 12119 Points : 20585 Date d'inscription : 11/02/2010
Âge : 43 Localisation : en haut à droite; près de leur pays ou bien à Perversland
Sujet: [vid 2006] one night in tokio/schrei live Jeu 8 Aoû 2013 - 16:21
bonus qui se trouve sur le dvd du schrei-live. ça ne nous rajeunit pas (la vid n'est pas nouvelle mais j'ai pas trouvé le topic ) trad fr en spoiler pour ceux qui n'ont pas le dvd
Une nuit à Tokio
Spoiler:
Fans : J’aime Tokio Hotel…Je t’aime… Bill, t’es génial. On t’aime. Continue comme ça !
Staff : vous jouez à guichets fermés devant presque 12 000 personnes. Tom : 12000 Bill : 12000
Bill : on est tous super nerveux avant les concerts. Ça ne va pas en s’arrangeant, c’est de pire en pire. Et je suis hyper nerveux.
Tom : je dois jouer l’intro tout seul. Je vois toute la foule, puis je me mets à contrôler si ma guitare fonctionne. Et mes jambes commencent à trembler. Non, ça ne va pas du tout… Mais dès les 1er accords, la glace est brisée. Et c’est parti.
Bill : on a souvent la chair de poule. Moi j’arrive plus tard sur scène. Mais j’entends bien les cris de la foule, et comme ça commence, avec toutes les lumières. C’est fou.
Georg : quand on est sur scène, c’est un peu… c’est comme un autre monde. C’est comme si tu appuies sur un bouton, et puis tu ne te concentres plus que sur ça et tu fais ton truc. Tu joues tout simplement. Je ne vois plus rien autour. Je lis les banderoles, mais après je ne m’en souviens plus parce que j’ai tant d’adrénaline dans le corps. Il y a tout ce bonheur qui se déverse dans ton corps, c’est de la folie.
Gustav : je ne sais pas, mais quand je suis sur scène … je suis dans mon élément. Une salle où 5000 personnes ne crient que pour toi, je n’en aurais jamais rêvé.
Georg : directement à l’hôtel Tom : combien de temps jusqu’à l’hôtel ? Staff : une heure. Même pas. ¾ d’heure. 40 minutes. Tom : oh, mon iPod n’est pas chargé.
Bill : le contact avec les fans, c’est dur. Je dois dire qu’on y passe du temps. Lorsqu’on arrive quelque part, on est toujours pressé mais on veut bien leur écrire un mot, ou faire des photos, parce que je dois dire que nos fans sont si fidèles… Ils attendent si longtemps. Gus : j’essaie toujours d’être en contact avec eux. Par exemple, si des fans sont devant l’hôtel pour un autographe, pour moi, de m’arrêter un moment et de leur signer un autographe, c’est normal.
Tom : ceux qui travaillent le plus et gagent tout le fric, ils ont la plus petite chambre. Regarde, les chambres des autres sont bien plus grandes. Ouais, que dalle ! Cameraman : c’est vrai en plus …
Bill : la baignoire c’est le pompon. Elle est si petite, c’est vraiment un « Tokio Hotel » pour des gens tout petits. Les autres ont des lits simples. J’ai besoin d’un lit double, parce que je travaille si dur que j’ai besoin de bien m‘allonger dans mon lit. J’ai besoin de beaucoup de place.
Saki : ça aussi, ça fait partie de nos tâches quotidiennes. Transporter 26 valises tous les jours. 4 fois par jour. En arrivant à l’hôtel en partant, en arrivant au concert, en sortant du concert. Bill : quelle tâche Tom : on se lève le matin, souvent entre 8 et 11h, ça dépend du prochain concert. Après on part en minibus et on continue souvent à dormir. On arrive vers 15h30 dans la salle de concret. A 16h, c’est le soundcheck. Puis c’est l’ouverture des portes. Nous on mange un morceau. Backstage, on est occupés, on donne des interviews etc…
Georg : brr, il fait froid. Tom : vous voyez que ça va !4 Schrei
Tom : je dois dire que nos fans sont vraiment très spéciaux. Peu importe où l’on joue, que ce soit à un gala ringard ou à un de nos concerts. Ils sont toujours là. On accède au backstage que si l'on gagne un « Meet and Great » et souvent, c’est tiré au sort. Là on peut avoir la chance d’aller en backstage. Georg : mais une heure avant le concert, le calme revient, on n’est qu’entre nous, pour nous concentrer, nous échauffer … la règle d’or chez nous, c’est d’être dans les backstage ½ heure avant le concert, parce que sinon, on croit que ça nous porte malheur. Pendant le concert, j’en ai deux [basses], sauf si une corde casse. Toutes les 2 sont des Sandberg, les meilleures basses. Celle-là c’est juste pour m’échauffer. Tom : elle est cool pas vrai ? Regarde les contours… Cam : sur quelle guitare joues-tu ? Tom : une Gibson, Gibson Custom. Staff: je voulais vous donner ça. Si vous voulez grignoter… bon appétit. Gus : On arrive quelque part et une équipe nous accompagne, ils montent et démontent tout, ils font un linecheck. C’est vraiment agréable et avant ce n’était pas le cas, c’étaient nos parents qui portaient la batterie, les amplis et les guitares. Le micro, Bill le portait dans sa poche.
partie 2
Spoiler:
unendlichkeit Bill : je n’ai pas de clic… t’as un clic ?
Bill : c’est comme une fusion. D’abord il y a 2 fronts, le groupe et le public, puis à la fin, on ne fait qu’un. Ça devient comme un… On ne s’en rend pas compte, le temps passe tellement vite. C’est un drôle de sentiment qu’on ne peut pas vraiment décrire. Le meilleur qu’on puisse avoir, en fait.
Tom : sortir dans la rue, c’est vraiment difficile. Quand on le fait, on se camoufle. Je cache mes cheveux. Je ne veux pas en dire plus, sinon on va me reconnaître ! Je hais l’avion. Et par ce temps ! Sans fenêtre ! Je panique. S’il y a des turbulences, je me flingue ! Cam : tu veux qu’on accroche une photo avec un soleil ? Tom : ce serait bien. Bill : j’ai dû me lever à 8h. Les autres ont fait la fête hier soir, mais pas moi, car je devais me lever à 8 heures, pour que le succès continue. Bien sûr, ça ne tient qu’à l’excellent chanteur, et à mon physique de rêve … Georg est d’accord.
Tom : le tapis rouge n’est rien à côté du concert. Georg : je pense plutôt à après. Tom : moi aussi. Georg : c’est vraiment… j’ai vraiment le trac.
Tom : oui ? Georg : c’est la qu’on vend le plus Bill : on tourne, on va vers le tapis rouge, toute la presse attend. Dommage qu’il n’y ait pas beaucoup de fans.
Georg : à la cérémonie de l’Echo [2006], les fans faisaient la queue jusqu’au tapis rouge. Mais ça ne faisait qu’un mètre de large. Il n’y avait pas beaucoup de place, on est passés devant les fans. On n’a pas pu revenir sur nos pas, et ils étaient là depuis 8h la veille. On était vraiment désolés. Bill : il n’y avait que nos fans à nous. Je n’en ai pas vu d’autres. Il y avait une telle foule, plus que je ne pensais.
Rette mich
Gus : ce sont de très beaux moments, quand on est récompensé pour ce qu’on fait, et que l’on sait qu’on a le soutien des fans. Vraiment, c’est une bonne expérience.
Georg : ça va toujours plus haut et plus loin, c’est comme une fusée qui est partie toute seule, et on a encore du carburant on verra où ça nous mène. Je ne sais pas. Je serais trop content si on pouvait continuer toute notre vie… oui.
Bill : une toute dernière fois…pour ce soir. Tous ensemble. DDM
Bill : depuis que je suis petit, j’ai toujours voulu monter sur scène et chanter. Si je pouvais continuer comme ça toute ma vie et en vivre, ce serait génial. C’est le rêve de ma vie. Georg : je voudrais encore remercier nos fans qui nous donnent tant d’énergie, tous les jours, à nos concerts, je voudrais juste dire que vous êtes les meilleurs.