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 [OS] Amour Mortel

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Moody-x

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MessageSujet: [OS] Amour Mortel   [OS] Amour Mortel EmptyLun 29 Avr 2013 - 19:42

PS: Je vous conseille de vous mettre dans l'ambiance de cet écrit avec cette chanson

Amour Mortel

Je me suis toujours demandé ce que mourir pouvait signifier. Est-ce un long sommeil? Est-ce qu'on souffre? Et la notion du paradis, qu'est-ce que cela pourrait être? Je peux vous répondre maintenant. Ce n'est qu'un long et paisible sommeil. Il n'y a plus de souffrance et mon seul paradis, c'est toi, Tom. Tu ne me vois plus, mais moi, je te vois. Je suis à tes côtés. Je vois toutes ces larmes couler sur tes joues qui te donnent un air enfantin. Cet air que j'adorais tant de mon vivant. Tu es habillé de noir aujourd'hui, un simple baggy noir, un haut large noir, celui que j'aimais tant te voler pour dormir avec. Et tes dreadlocks sagement mises dans ta casquette noire. Tu enfiles tes baskets, noires elles aussi. Tes larmes roulent sur tes joues sans s’arrêter. Tes lèvres pulpeuses et roses tremblent, tu sais j'aimais tellement les embrasser lorsque nous étions seuls dans ta chambre, tu te souviens ? Oui, je pense. Mais ça, c'était bien avant que Bill, ton stupide copain ne débarque dans ta p*tain de vie. Pourquoi a-t-il brisé notre histoire? Pourquoi a-t-il brisé mon bonheur ? Tant de questions que je me pose et qui ne seront jamais résolues. J'étais ta sœur, Tom, tu ne devais aimer que moi. Suis-je folle ? Peut-être un peu trop folle de toi. Je détestais Bill. Je te haïssais de l'aimer.

En parlant de ce Bill, le voilà qui entre dans ta chambre pour te prendre dans ses bras afin de calmer tes profonds sanglots. Il est aussi mince et svelte que je l'étais, androgyne jusqu'au bout des ongles. Tout ce que tu aimes chez lui, tout ce que tu aimais chez moi. Je grimace à cette vue que vous m'offrez. Lui, embrassant tes lèvres que tant de fois j'avais moi-même embrassées, dévorées, léchées, savourées. J'ai goûté toutes les bouches Tom, les plus minces, les plus épaisses, les plus douces, les plus charnues, les plus baveuses, les plus horribles qui soient. Mais celle que j'aimais parmi toutes, c'était la tienne. Leur goût sucré me manquera, leur douceur me manquera, ces perfections me manqueront. Et toi, comme un pauvre imbécile, à travers tes larmes tu savoures ses horribles lèvres. Comment fais-tu Tom, comment fais-tu ? Tu ne devais aimer que mes lèvres. Quelle horreur ce baiser échangé, faire ça devant mon âme vagabonde, tu devrais avoir honte Tom, tu n'as pas le droit, aujourd'hui, c'est mon jour.

Vous descendez ensuite pour rejoindre papa et maman. Vos visages sont meurtris par les larmes, vos yeux rouges et gonflés n'en peuvent plus. Je vous manque, n'est-ce pas ? Mais tout ça, papa, maman, c'est la faute de Tom. Tout est à cause de lui et de son ignorant de mec. Oh, maman, j'ai tellement de haine en moi, quelle faible je peux faire. Maman, ne pleure pas, je suis là, je vous surveille. Même si Tom est en tort, je resterais pour vous. Je sais que mon absence est insupportable, mais il paraît qu'on s'habitue à tout, même au pire. Vous ne m'oublierez pas, vous vous habituerez à mon absence.

Vous montez dans la voiture sans un seul bruit mis à part les reniflements. Tom, tu as mis tes belles lunettes noires, ça te donne un petit air de branleur, mais assez charmeur à mon goût. Je me souviens que lorsque j'étais triste, tu débarquais dans ma chambre vêtu d'un survêtement avec un gros bonnet sur tes dreadlocks puis, tu enfilais cette paire de lunette avant de te mettre à faire le gros, le rappeur du quartier, me faisant des doigts d'honneur: « Ouais le yo-yo ! La puissance ! Ça monte et ça descend ! » C'est tout ce qu'il fallait pour me faire rire. Tu savais t'y prendre pour me remonter le moral, même sans faire le clown. J'aimais tes câlins plus ou moins poussés, tes mains sur mes hanches qui se promenaient ensuite sur mes fesses légèrement rebondies. Oh, Tom, tu savais me rendre désirable et folle. C'était le bon vieux temps, j'espère que cela te manquera Tom, que je te manquerai.

Vous êtes arrivés à la chapelle, le corbillard arrive peu de temps après avec mon cercueil que l'on dépose au centre de l'édifice religieux. Mon âme se promène entre vous, je vois tes meilleurs amis Georg et Gustav qui tentent de te réconforter.

- « Tom... Calmes toi. Tu sais, là où elle est, elle doit être heureuse, peut-être même qu'elle n'est pas loin là », dit Georg d'une voix douce en te regardant alors que tu renifles une énième fois, essuyant tes larmes avec ce qu'il reste du mouchoir que maman t'avait donné auparavant.

Il n'avait pas tort Georg, il avait toujours raison. Je suis heureuse Tom, vraiment heureuse. Là où je suis, c'est comme sur Terre sauf que je vais rajeunir avant de redevenir un spermatozoïde dans les bourses de mon futur nouveau père. Cette vie que j'ai eue avec toi me manquera, j'en suis sûre, mais je ne pourrai plus y penser quand je serai dans le renouveau. Tu avances vers la salle, tu t'installes non loin de mon cercueil et tu jettes ce regard. Ce regard empli de tristesse et de haine. Oui, tu me hais Tom, mais c'est de bonne guerre. Tu te demandes comment cela a pu arriver, j'ai fait des erreurs Tom, beaucoup d'erreurs, je ne savais plus où fuir. La seule échappatoire était la mort. Tu trouves cela injuste, je sais Tom.

La cérémonie passe, les sanglots se font entendre, notamment de ta part, ton Bill répugnant te tient la main. Je n'aime pas Tom, cette main comme l'autre est à moi. Elle m'a touchée, elle m'a caressée la joue, le cou, les seins, le ventre, les bras, le dos, la chute de reins, les mains, les fesses, les cuisses et le sexe. Oh Tom, tu étais assez tactile et tu aimais me toucher avec beaucoup de tendresse. La cérémonie en mon honneur est finie, vous êtes là, dans ce sombre et froid cimetière, vous regardez mon cercueil descendre peu à peu dans ce trou six pieds sous terre. Tom, ne pleures pas, je suis heureuse, arrête de te fatiguer. Je te regarde tomber à genoux comme si tu ne supportais plus ma mort. Tu éclates en sanglots, hurlant toute ta douleur, tu martèles le sol jusqu'à t'en faire saigner. Georg arrive près de toi pour te calmer.

- « Tu la retrouveras, au paradis elle t'attendra. Tout le monde sait que sans elle ce sera dur. Tu as perdu ton issue, le seul remède à tes blessures. Il y a des choses que la vie n'explique pas. Il y a des êtres que la mort te prend et ne te rend pas. La vie s'acharne à faire de nous des incapables, ne cèdes pas, relève toi...» dit Georg d'une voix tremblante en te retenant.

Il a raison Georg, Tom, je t'attends mais pas pour l'éternité, rejoins moi au plus vite.

- « Par amour, par amour c'est tout ce qu'elle a su dire. » réponds-tu d'une voix froide en fixant Georg de tes yeux noirs de haine.

Oh oui, je le disais Tom. Par amour, je ferais tout pour toi, même mourir. J'étais malade de cette vie, je voulais juste hurler ma douleur, mais je ne suis pas aussi forte que toi. Je ne supportais plus la douleur et je n'arrivais pas à la faire partir. Il fallait que je fasse sortir cette douleur, cette souffrance, il fallait que tout s'arrête. Vois-moi comme une héroïne, Tom. Je suis morte pour toi. J'ai eu la chance de me tuer pour toi, de poser ce canon sur mes lèvres. Crois-moi, ça a été la plus belle sensation du monde, mieux que les nombreux orgasmes que tu as pu me donner. Je suis morte en pleurant de joie Tom, je pouvais enfin vivre. Je suis morte en regardant les étoiles. Une étoile s'est éteinte pour me laisser sa place. Tu lances enfin ta rose, cette rose rouge, ma fleur préférée. « Je t'aime » as-tu murmuré en la lançant sur mon cercueil de bois. Et puis tu es resté là, à regarder les fossoyeurs recouvrir ma tombe. Tu es droit comme un piquet, tes larmes roulent sur tes joues humides, ta main droite se pose à la place de ton cœur. « À jamais ma petite princesse, ton nom gravé en or dans mon cœur. Repose en paix et sois heureuse, c'est tout ce que je peux te souhaiter. »

Vous êtes enfin rentrés de mon enterrement, ma tombe est maintenant bien décorée de toutes ces fleurs. Vous n'avez plus la force de pleurer, toi, papa, maman. Bill est reparti après t'avoir une nouvelle fois réconforté. Tu es monté dans ma chambre. Je voulais que tu y entres. Rappelles-toi tout ces bons moments avec moi, ça te fait souffrir n'est-ce pas ? Oh, je le sens Tom. Tu t'installes sur mon lit et tu regardes ma chambre d'un air perdu, ça manque de moi, voilà ce que tu dis. Ton regard glisse sur nos photos, elles envahissent tous mes murs. Tu te rends maintenant compte d’à quel point je suis folle de toi? Une enveloppe est posée sur mon chevet, elle est parfumée avec mon parfum favori, celui que tu aimais tant. Mon âme s'installe doucement à tes côtés. Je te regarde ouvrir cette enveloppe, je savais que ta curiosité passerait au-dessus de ta peine. Je te connais par cœur Tom. Tu déplies lentement ma lettre, légèrement méfiant, ton visage te trahit. Ton cœur s'emballe, as-tu peur ? Mon esprit glissa doucement ses doigts sur ta joue rose et rebondie, tu frissonnes. Me sens-tu? Tu tournes ton visage vers moi, tu ne me vois pas mais tu as l'air intrigué. Il semble faire chaud dans ma chambre, alors pourquoi ce petit air froid d'un coup? C'est moi, Tom. C'est ce que tu te dis, et je te vois sourire, pour la première fois depuis ma mort. Tu te décides en fin à lire ma lettre.

Tom,
Mon bel amour, je sais que ta curiosité a pris le dessus. Comment je le sais ? J'ai rêvé tant de fois que tu lises cette lettre. Cette lettre où je te dévoile tout.
A l'heure qu'il est je dois être morte, peut-être même six pieds sous terre. J'ai peur que tu m'en veuilles, Tom. Il ne faut pas, j'ai fais ça pour toi. Tout à commencé le jour où tu as rencontré ce Bill, cet homme. Pourquoi m'as-tu fait ça Tom? J'avais tellement besoin de toi, je ne voulais que toi. Tu semblais avoir tout oublié Tom, tout de nous. Tu ne me parlais presque plus, tu ne passais plus tes nuits avec moi, surtout les nuits avec de l'orage, ces nuits où j'ai vraiment eu le plus peur. Tu n'avais pas le droit de me faire ça Tom. Tout oublier. J'avais tellement envie de hurler, j'essayais de dire quelque chose, mais personne n'entendait, même pas toi, mon frère, l'homme de ma vie. Et pourtant, il n'y avait que Georg qui remarquait ma chute. Je suis tellement effondrée, je suffoque, halète, essayant de remplir mes poumons de cet air qui s'en échappe. J'ai du mal à encaisser la douleur, c'est douloureux si tu savais, tout s'effondre en moi, je me sens lâchée et abandonnée à moi-même.


Georg avait toujours eu le don de lire en nous, il sentait quand ça n'allait pas. Il te l'avait dit Tom, je vous avais entendus, vous étiez dans ta chambre.

- « Tom, je m'inquiète pour ta sœur, elle devient de plus en plus maigre... Tu crois qu'elle va bien? » Demandait Georg d'une voix calme.
- « Mais oui, elle va bien Georg, ce n'est que passager. Elle est toujours heureuse et croque la vie à pleines dents. » Répondis-tu en souriant avec ton habituel sourire en coin.

Je croquais la vie à pleines dents, oui, mais bien avant que Bill arrive dans notre vie.

Je ne pouvais plus Tom, je n'en pouvais plus. Ton bonheur contre mon malheur, quelle souffrance. Le bonheur des uns fait le malheur des autres comme on dit. C'est là que j'ai commencé à sombrer dans la drogue. J'étais couchée sur le bord, j'étais accrochée par un fil comme une petite marionnette. Tom, j'avais si mal, j'aurais voulu tout reprendre à zéro. J'ai essayé de tenir bon, encore une fois mais plus rien n'avait d'importance. Et je suis encore tombée Tom, dès lors que je vous ai entrevus toi et Bill. Vous faisiez l'amour, c'était la goutte d'eau qui faisait déborder le vase Tom. Il n'avait pas le droit, saisir ton sexe durcit et fièrement dressé entre ses horribles lèvres, prendre goût. Tom, j'aimais te faire ça, j'aimais que tu gémisses mon prénom. Tu aimais que je te le fasse au matin pour calmer tes pulsions, pour calmer ton érection matinale. Je glissais mes lèvres à la perfection contre ton membre, sachant comment te faire perdre la tête. Je ne peux expliquer ce qui m'arrivait lorsque je voyais Bill à ma place, te voir jouir grâce à lui. Lui jouir grâce à toi, et moi, dans tout ça, qu'est-ce que j'étais pour toi Tom? Un simple jouet pour assouvir tes désirs animaux ? Je n'étais qu'un simple trou? Toi, à qui j'ai offert ma virginité, c'est comme ça que tu me remerciais? Je ne peux pas effacer les choses que j'ai faites pour toi, je ne peux pas. C'est tellement contre nature.
Tom, maintenant je dois être loin de toi. Je sais que tu me manqueras, et je pense que je te manquerai. Je t'ai aimé, je t'aime et je t'aimerai toujours d'un amour si indescriptible Tom. Ne prend pas mon acte comme un acte égoïste, je suis heureuse de mourir pour toi Tom. Ma vie pour la tienne. J'aimais la vie, tu aimais la mort, tu vivais pour moi, je suis morte pour toi. Ne sois pas triste Tom, là où je serai, je serai bien. Je serais toujours là, dans ton cœur, hanterai ta vie de mon âme vagabonde. Je te le promets. La nuit tombe Tom, il est l'heure pour moi. Je t'adresse mes dernières prières, mes dernières larmes, mon dernier baiser. J'irai dans le salon, je saisirai le revolver de papa, j'irai dehors, je m'allongerai dans l'herbe pour regarder les étoiles pour penser à toi, je vais mourir en pensant à toi.
Je t'aime Tom, ne l'oublie jamais, promet-le.
Ta petite sœur.


Je te regarde poser ma lettre, tes larmes roulent à nouveau sur tes joues. Je suis désolée Tom, le mal est fait maintenant, tu peux vivre en plein bonheur. Je te l'ai dit, jamais je ne serai loin de toi, là où tu iras, j'irai. Je t'accompagnerai partout. Ne pleures pas Tom. Mon ectoplasme se glisse autour de toi, tu frissonnes en relevant le visage à nouveau. Je sais que tu peux me sentir.

- « Oh ma belle princesse, pardonne-moi pour tout ce mal que j'ai pu te faire. Pourquoi n'ai-je rien vu? Tu me manques tellement, ton absence creuse un trou béant dans ma poitrine. Je te veux tellement au près de moi, que tu sois là afin que je te serre dans mes bras. Mon nez irait se nicher dans ton cou puis dans tes cheveux afin que je me délecte de ton odeur. » dis-tu en pleurant toutes les larmes de ton corps. « Cette déchirure me fait tellement mal, je n'ai jamais voulu te perdre, jamais. Si tu m'entends, je te pardonne pour tout. Je t'aime tellement, plus que ma propre vie. Tu as été, tu es et tu seras toujours la plus belle personne de ma vie, personne ne t'égalera, même pas Bill... » murmures-tu avant de sécher tes larmes.

Non loin de toi, il y a cette bague que tu m'avais offerte. Tu la porteras autour de ton cou, je le sais, en signe de ton amour pour moi.

- « On se retrouvera mon ange », murmura mon spectre dans le creux de ton oreille. « Je te le promets. »

Tu souris presque bêtement en ayant cru entendre cela. Plus rien ne sera plus jamais pareil, mais tu t'habitueras. Il est temps pour moi de traverser cette lumière blanche, ne t'en fais pas Tom, je serais toujours là malgré tout. Je t'aime, ne l'oublies jamais...
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EstelleTH

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MessageSujet: Re: [OS] Amour Mortel   [OS] Amour Mortel EmptyMar 30 Avr 2013 - 18:21

C'est si... Magnifique. :coeur: Snif 2
J'ai lu en écoutant la chanson et ça prend encore plus aux tripes... Je me sentais pas de lire un texte pareil avec une musique de Rihanna donc... J'ai opté pour ce que tu as conseillé et c'était juste magique ! :O C'est incroyable comme, juste avec ce petit OS, tu as réussie à nous transmettre un tas d'émotions.
Je crois que je la relirai, sincèrement, car j'ai beaucoup aimé. (À ne pas lire si vous êtes déjà déprimé.)
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MalisKaulitz

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MessageSujet: Re: [OS] Amour Mortel   [OS] Amour Mortel EmptyMar 30 Avr 2013 - 20:40

je viens de le lire en écoutant la musique et je peux te dire que le clavier est trempé de mes larmes, c'est si triste et beau en même temps :snif:
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Moody-x

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MessageSujet: Re: [OS] Amour Mortel   [OS] Amour Mortel EmptyJeu 2 Mai 2013 - 15:18

Hey les filles !

Merci pour vos commentaires qui me font sourire (malgré l'atmosphère de cet OS, qui en plus de ça est mon 1er !!)
So, désolée pour vos petites larmes, j'essaierai d'écrire d'autres OS un peu plus joyeux, promis ! (Enfin...)
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MessageSujet: Re: [OS] Amour Mortel   [OS] Amour Mortel Empty

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