L'autre fic et probablement la derniere que je posterais ici ^^! Dépressif(ve)s passaient votre chemin mdr!
Disclaimer : Bill Kaulitz ne m’appartient pas (dommage xD) !
Pairing : Aucun !
Rating : K
Contexte : Cette fanfic ce déroule maintenant !
¤ Un, deux, trois, quatre...et moi ¤
1 jour comme celui-ci…
Il y a des jours où nous sommes totalement déprimés. La flamme de vie s’est éteinte à un moment et nous n’avons pas envie de la rallumer. Nos yeux s’embuent quand on se met à réfléchir à « pourquoi sommes nous déprimés ». S’embuent d’envie, de tristesse pour atténuer légèrement cette réalité. Cette réalité qui fait mal, qui déchire et qui donne envie de se cacher sous sa couette, comme le ferait un enfant face à un cauchemar. Sauf que…Ce cauchemar, nous le vivons. Il défile devant nos yeux, dansant, allant et venant sans que nous puissions l’arrêter. Notre gorge se serre et une larme dévale tranquillement notre joue.
Dans ce lit, qui nous paraît immense pour un seul être humain, nous cherchons cette chaleur. Cette étrange douceur qui nous rassure mais qui semble insaisissable à cet instant.
Et une autre larme va rejoindre la première.
2 larmes unies…
Dans cette chambre inconnue, je me perd. Mon corps n’en fait qu’à sa tête. Collision avec un sol moquetté, des mains et des jambes tremblantes, n’ayant pas la volonté de m’aider à me relever. Un air glacial empli mes poumons, et 1, 2…
3 cris silencieux…
Un cœur qui tape fort. Tellement fort qu’il va finir par me laisser un trou dans la poitrine. Il veut sortir, et partir en quête de sa moitié. Moitié comme dans les comtes de fée. Moitié plus moitié égale un. Un tout formé par deux personnes singulières. Sentiments les unissant. Amour toujours.
Secrets partagés, nos têtes sur le même oreiller. Corps entrelacés.
J’aimerais aimer. Voir mes sens s’enflammer. Vivre tellement fort que mes yeux reflèteraient le ciel étoilé.
Chut, ce sont mes rêves cachés.
4 coups sur ma porte…
Se relever difficilement, et à la manière d’Atlas, tenter de ne pas finir écraser. Ecraser par de sombres pensées. Souvenirs hantés.
Mains hésitantes essuyant un reste de larmes. Quelques secondes pour recomposer un masque, fermer les portes de mon âme en verrouillant le marron de mes yeux.
Bill ?
Oui, c’est moi. Enfin, j’essaie d’être moi. Mais à quel ‘moi’ dois-je me fier ? ‘Moi’ public, ‘moi’ intime. Pression sur moi. Que dois-je choisir ?
Et lorsque je déverrouille cette porte, mon masque est en place.
Ca y est, le jeu commence.
N’oublier pas de baisser le rideau à la fin. Il ne faudrait pas que vous vous doutiez de ce qu’il se passe dans le secret des coulisses. Encore un mystère, comme celui qui se cache au revers de ma médaille.
...Ende...