[FanFic inachevée] Mon propre Sang

Merci =)

la suite !!! s'il te plait

la suite ! la suite !

Voila voila!
***

Chapitre 5

J’étais resté sur cette balançoire toute la soirée, sous la pluie. Il faisait nuit noire, lorsque j’avais enfin décidé de me lever et de me trouver un endroit où dormir. Il n’était pas question que j’aille à l’hôtel où étaient les autres, ni que je retourne chez moi. Je me voyais mal déclarer à ma mère « Désolé de rentrer seul au milieu de la nuit, mais j’ai presque tué mon frère hier, et j’ai pas envi d’aller à l’hôtel ». J’étais donc entré, quelques Kilomètres à la marche plus loin, dans un petit motel miteux. Il était plus ou moins 1h30 du matin, j’étais détrempé et le préposé me regardait étrangement. Je venais à peine de payer ma chambre que j’étais déjà couché, nu dans le lit, mes vêtements mouillés sur le sol à coté de moi.

Depuis 2 mois que sa dure. Je me réveille tout les matins dans un endroit différent, parfois dans la rue, parfois dans un hôtel de luxe. Depuis le temps, j’ai lu dans les journaux que mon frère s’était réveillé, et qu’ils me cherchaient partout. Mais je ne peux pas les voir, pas après ce que j’ai fait. Maintenant, ce n’est plus seulement d’avoir presque causé la mort de mon frère, c’est aussi d’être parti lâchement lorsqu’il avait besoin de moi.

Ce matin, je me suis réveillé dans un ruelle froide, complètement gelé. Pour un fois, je vois le soleil au travers des nuages. Sa me réconforte, de le voir. Je me suis levé avec un mal de hanche atroce, encore une fois. Elle me fait terriblement souffrir, mais je ne veux pas qu’elle guérisse, la douleur me fait me souvenir. Même si je voudrais oublier. Je sors de la ruelle, avec mon lourd sac noir remplis de vêtements et autres, en faisant attention de ne marcher sur rien qui me semble… louche, disons. Je ne sais pas qu’elle heure il est, probablement passé midi. Je dors toujours autant, heureusement, comme ça, j’ai mal moins longtemps.

Il paraît qu’ils ont annulé tout les concerts; un peu normal, il en manquait quand même deux sur quatre. D’après ce que j’ai lu, une dizaines de filles se sont suicidées, suite à l’accident et à ma « disparition ». Tout pour mieux me faire sentir, hein?

la suite !!!!!!!!!!!

la suite !!

J'adore de trop :coeur:

Suite!!!!

Maleika!
T'es Mon Idole!
C'est Trop Bonn!
Suitee!

suiiite!
comment tu t'appelles Maleika? val...?

Valérie =)
Et désolée, vous allez me détester, mais j'ai pas accès a mon fichier fanfic, donc je peux pas mettre la suite avant 2 semaines...
=/
(On se revoit vendredi dans 14 jours, promis =P)

ok, moi c'est val..entine =)
NAN!c'est pas juste, t'as pas le droiiiiit

Nonnn!
Pas Justee!
Mais J'T'aime Quand Même! :coeur:

=3
En attendant, allez lire celle de Kath, qui est très bonne!
(Meuh quoi, on se soutient xD)

Merci Ma P'tite Vall!

Aller Val
C'est Clhoéé!=P
Continuee Cest Tropp Bonn!!!
T'es Full Bonnee!! :ok:

Ses Full Tragiquee..!
Pauvre Tit Bill..
[[J'espère que tu Vas mettre une Suitee Bientôt (yn)]]

Suite Val !!

Sa sera pas long, attendez jusqu'a vendredi!

Voilà, comme promis! J'espère que vous avez toujours envie de la lire =')

***

Chapitre 6

Je ne sais même plus dans quelle ville je suis. Je ne fais que marcher, avec mon sac et mes pensées. J’ai coupé mes cheveux, il y a plusieurs semaines, parce que je voyais que les gens me reconnaissaient. Aussi, parce que plus court, j’ai pas à les coiffer tout les matins, j’ai qu’à passer mes mains et les ébouriffer, et c’est pas trop mal. C’est pratique, pour les jours où je suis dans la rue. Mais je me maquille encore. J’adore le faire, comme si sa me ramenait mon ancienne vie, pendant 15 minutes.

Je marche dans la rue pavée d’un petit marché extérieur depuis déjà une bonne heure, regardant tout ce qui est coloré et toutes les personnes qui m’entourent. Mais je ne peux rien acheter, je n’ai presque plus d’argent sur moi. Je pourrais m’en sortir, mais je sais que si j’utilise trop souvent ma carte, ils pourront facilement me retrouver, et je ne veux pas. Je continue à me promener encore quelques heures, avec mon blouson trop léger pour le temps qu’il fait dehors. J’ai enfin décidé d’entrer dans un petit café, ma peau découverte au vent complètement gelée et avec les lèvres bleues. La serveuse est venue m’apporter le menu à la seconde où je me suis assis, en me souriant et est aussitôt repartie. J’ai regardé le bout de carton quelques minutes, en me rendant compte que j’avais très faim. J’ai regardé la petite horloge rétro accrochée au mur en plissant les yeux. 17h09. Ah bon, j’ai de quoi avoir faim, j’ai encore rien mangé depuis hier soir.

Puis, j’ai fait mon choix. J’ai dû appeler la serveuse, qui n’était pas du tout a son affaire, jouant avec son petit cellulaire doré, pour qu’elle vienne enfin prendre ma commande. Je lui ai dit ce que je voulais et elle l’a prit en note sur son carnet avec le même sourire étrange sur son visage. Lorsque qu’elle m’apporte ma commande, je lui demande si quelque chose ne va pas, et elle me répond, un peu surprise j’imagine, en bégayant qu’il n’y a aucun problème. D’accord, si elle le dit. De toute façon, j’ai trop faim pour m’en soucier.

En finissant mon repas, je crois voir une éclair, dehors. C’est étrange, un orage au mois de novembre, pourtant. Puis, j’ai vu la serveuse se ruer vers la porte d’entré et l’ouvrir, laissant passer un caméraman et une reporter blonde qui m’a déjà interviewé à plusieurs reprises. C’est la serveuse qui les a avertit! Ah la co*****!

Suite !!

aller la suite !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

J'veux plus de lecteurs, là!
***

Chapitre 7

La reporter arrive en courant vers moi, en arrêtant pas de parler. Moi, j’ai rien à leur dire, j’suis trop occupé à fusiller la serveuse du regard, qui elle s’est calé contre un mur, regardant le sol. La reporter, qui n’a toujours pas arrêté de parler, m’agrippe le bras, me forçant à la regarder et à l’écouter.

-Monsieur Kaulitz, pourquoi êtes-vous disparu de la surface de la terre, depuis 2 mois? Qu’est-ce qui c’est passé le soir de l’accident? Aviez-vous bû autant que les rumeurs le voulaient?

Je me dégage alors brusquement, faisant sursauter la femme qui me retenait par le bras, et je m’enfuis d’un pas rapide vers la porte en prenant soins de fixer la serveuse d’un regard noir jusqu'à ce que je sois sur le trottoir froid, la reporter et le caméraman sur mes talons. Ne voulant pas entendre la vois stridente et enjouée de la reporter une deuxième fois, je pars à la course vers une grande route, puis je m’enfoui silencieusement dans une ruelle sombre, bien plus loin. Là, je me cache dans un coin, entre une poubelle et un mur. Je reste dans mon coin sombre plusieurs minutes, le temps de laisser mon cœur reprendre son rythme normal. Je ferme les yeux, accotant ma tête sur la brique froide et rude, et je me met a fredonner des paroles que j’ai composés, sur un air que mon frère a inventé. Je fredonne encore quelques instants, lorsque j’entend une voix.

-Petit, t’as besoin de quelque chose? Parce que moi, j’en ai plein, et a un bon prix.

J’ouvre les yeux, et découvre un grand noir tout maigre en face de moi; il a une main sur la fermeture éclair de son manteau noir. Il a plus ou moins le même style que Tom, avec baggys, casquette et tout. Voyant que je le fixe, il reprend, un peu plus rudement :

-Dis, décides-toi, j’ai pas que ça a faire. Et puis tu trouveras pas moins cher ailleurs, en passant.

En disant ça, le gars ouvre son manteau et me sort un petit sac, empli de coke. J’ai toujours été contre la drogue, par principes et pour les autres. Mais maintenant, tout est différent. Je me lève, pas trop sur de moi, et m’approche de lui. Il me donne son prix, et je paie ce qu’il demande. Il repart en courant aussitôt que l’argent est dans ses poches, me laissant à nouveau seul, déboussolé, dans la ruelle.

Ce soir, j’ai décidé de me payer une chambre, dans un petit motel indépendant. Il est environ 8h30 lorsque je m’étend sur le grand lit double, les yeux ouverts et les jambes croisées. J’ouvre la télé et zappe, jusqu'à ce que je tombe sur les flash-infos du soir. Eh bah ouais, j’allais pas m’en sauver. Info du soir? « Bill Kaulitz toujours en vie, mais continue a s’enfuir » C’est un petit reportage sur moi, sur la raison de ma disparition avec plusieurs commentaires de fans et de moins fans, où ils ont repassé au moins 10 fois les mêmes images tournées dans le bistro et sur le trottoir. Charmant. C’est bon, j’éteins la télé et m’assois sur le lit. Je suis immobile depuis quelques instants lorsque j’entend quelqu'un qui cogne à la porte.

La suite ::

Messages : 464 Points : 0 Date d'inscription : 08/07/2007 Âge : 32

new lectrice ! ta fic est magnifique ! la suite pour quand ???

jadore suite ^^

Demain, et j'espere qu'il y aura de nouveaux commentaires et lecteurs :=(:

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